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Photographie, Adolescentes, Danse, Danseurs, Photographie de danse, Danseuses, Jeunes filles, Festivals d'arts du spectacle, Porto Rico
Couple de jeunes danseurs à Porto Rico : Festival de danse à Plaza de Las Delicias, Porto Rico, Mars 2008.
Photographie, Musique, Instruments de musique, Instruments à vent, Accordéon, Instruments à clavier, Musique folklorique, Musique traditionnelle, Accordéon diatonique, Instruments de musique -- Suisse
Le Schwyzerörgeli est un instrument de musique suisse (canton de Schwytz) de la famille de l'accordéon. C'est un petit accordéon diatonique datant du XIXe siècle. Ce fut probablement Johann Samuel Herrmann qui, en 1836, fabriqua le premier petit accordéon schwyzois. En tant qu’instrument de musique populaire et de danse, le schwyzois et l’accordéon ont supplanté en large mesure le violon ; seul l’intérêt porté à une instrumentation traditionnelle a remis ces deux instruments sur pied d’égalité. De nos jours, le schwyzerörgeli est l'un des instruments de musique folklorique suisse le plus commun tant en Suisse Alémanique, qu'en Suisse Romande. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Schwyzer%C3%B6rgeli
Photographie, Afrique, Danseurs, Mendiants, Ouagadougou (Burkina Faso), Danse contemporaine, Femmes chorégraphes, Enfants des rues
Ballet "Allah Garibou", 2010 d'Irène Tassembédo. Le thème des enfants mendiants appelés garibous est le sujet délicat que la chorégraphe a abordé dans son avant-dernière création, donnée en décembre 2010 au Festival Dialogues de Corps à Ouagadougou. Allah Garibou, une pièce très émouvante pour 4 danseurs et 3 musiciens, parle de ces enfants qui ont perdu leurs droits d’être enfants, leurs droits d’être aimés, au nom d’une initiation religieuse... Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Ir%C3%A8ne_Tassemb%C3%A9do.
Photographie, Arlequin, Personnages de théâtre de marionnettes, Peinture sur porcelaine, Porcelaine de Meissen, Figurines en porcelaine, Commedia dell'arte, Colombine, Johann Joachim Kaendler (1706-1775)
Personnages de porcelaine de la Commedia dell'arte, par Johann Joachim Kaendler (1706-1775), Meissen : Arlequin assis avec une chope à la main, Arlequin dansant avec Colombine et Pantalone.
Photographie, Arlequin, Parapluies, Pierrot, Affiches, Deux (le nombre), Art contemporain, Artistes de la danse, Art suédois, Ballet (danse), Ballet-pantomime, Danse -- Affiches, Pluie artificielle
Affiche du ballet-pantomime 2011 "Pierrot" par l'Opéra suédois Kungliga avec Bo W Lindström comme Pierrot et Nicole Hedman comme Arlequine.
Photographie, Musique, Instruments à percussion, Bois (instruments de musique), Bois (instrument de musique), Musique de, Instruments de musique -- Japon, Instruments de musique anciens, Binzasara
Le binzasara est un instrument à percussion de la musique traditionnelle japonaise utilisé pour les chansons populaires, les danses paysannes et le théâtre kabuki. L'instrument se compose de nombreuses plaquettes de bois reliées par un fort cordon de coton tressé. En utilisant les poignées à chaque extrémité, on joue du binzasara en faisant onduler les plaquettes en ondes. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Binzasara
Photographie, Musique, Instruments de musique, Instruments à percussion, Musique japonaise, Musique -- Japon, Musique traditionnelle
Le binzasara est un instrument à percussion de la musique traditionnelle japonaise utilisé pour les chansons populaires, les danses paysannes et le théâtre kabuki. L'instrument se compose de nombreuses plaquettes de bois reliées par un fort cordon de coton tressé. En utilisant les poignées à chaque extrémité, on joue du binzasara en faisant onduler les plaquettes en ondes. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Binzasara
Photographie, Musique, Instruments de musique, Instruments à vent, Cornemuse, Boha, Cornemuse landaise
Cornemuse des landes, connue sous le nom gascon de "boha". Instrument de facture récente (2003). La boha (prononcer "bou-heu") ou cornemuse des Landes de Gascogne est un instrument de musique à vent utilisé dans la musique gasconne. C'est une cornemuse à anches simples. Elle a une petite poche et possède une partie mélodique et un seul bourdon à 2 tons contenus dans une pièce en bois de buis ou de fruitier recelant deux perces parallèles, appelée pihet (mot gascon de même racine que "pifre" signifiant "fifre"). Le nom "boha" vient du verbe bohar qui en gascon signifie souffler ; les sonneurs de boha sont appelés bohaires. La boha était autrefois sonnée sur une aire comprenant une partie des actuels départements des Landes, de la Gironde, du Lot-et-Garonne et du Gers. La boha est constituée de 4 parties essentielles : - La poche : généralement en peau de chèvre voire d'agneau. - Le porte-vent : contenant en général une valve (d'autres systèmes existent ou sont en expérimentation) pour empêcher le retour de l'air. - Le pihet (double tuyau) : contenant deux tuyaux, un pour la mélodie et un pour le bourdon. Le tuyau mélodique est percé de 7 ou 8 trous ; le tuyau du bourdon est percé d'un trou et est prolongé par le brunidèr - Le brunider : pièce de bois prolongeant le tuyau du bourdon et qui permet s'il est mis ou enlevé de modifier la note du bourdon. La boha est généralement associée à une culture de bal gascon et accompagne des danses comme le rondeau, la mazurka, la polka, la valse, la scottish…
Photographie, Musique, Instruments de musique, instruments, Tambours (famille d'instruments), Caisse claire, Instruments à percussion, Instruments de musique -- Brésil, Tambour (membranophones), Samba (danse), Caixa de samba
Caixa de samba avec ses baguettes en bois : "caixa de guerra" de 12" en aluminium poli. La caixa' (ou caixa de guerra) et le tarol sont des instruments de percussion brésiliens. Dans les deux cas, il s'agit d'une caisse claire principalement utilisée dans les batteries de samba au Brésil. La caixa comprend un fût de métal de 12 à 14 pouces de diamètre et 5 à 20 centimètres de hauteur, classiquement en acier. Certains fabricants proposent des fûts en aluminium pour plus de légèreté. Les caisses les plus profondes et les plus larges sont surnommées caixa de guerra (littéralement : caisses de guerre), en référence à leur origine militaire. Elles servent d'accompagnement en assurant un continuum rythmique, une phrase répétitive très importante pour le son général de la batucada ; elles assurent le tempo et le swing de la batterie. Source : http://commons.wikimedia.org/wiki/File:Caixa_de_samba.JPG
Chaussures dansant le tango, celles de la danseuse posées sur celles du danseur dont elle suit les pas. Homer et Cristina Ladas à l'école de danse de Stanford en Février 2011.
Photographie, Musique, Instruments de musique, Instruments à cordes pincées, Instruments à cordes, Cap-Vert, Cimboa, Cordophones, Cordophones frottés, Cap-Vert -- Moeurs et coutumes, Ethnologie -- Cap-Vert
La cimboa /sĩˈboɐ/ (ou cimbó /sĩˈbɔ/) est un instrument de musique originaire du Cap-Vert. Il s’agit d’un cordophone frotté, qui était traditionnellement utilisé pour accompagner les danses de batuque. Sur l’origine exacte de l’instrument, on ne sait presque rien, sauf qu'il vient de l’Afrique continentale. Certains auteurs notent cependant la ressemblance de la cimboa avec des instruments africains situés à des milliers de kilomètres de distance, comme le kiki des Tédas et Dazagadas du Tibesti et de Borkou, le nini des Zaghawa, le fini des Kanembou, ou encore le kiki des Maba de la région de Ouaddaï. La hauteur des notes est obtenue en pressant la corde en divers endroits du manche et en arquant le manche flexible.
Photographie, Afrique, Art et danse, Art africain, Bar-le-Duc (Meuse), Cimiers (héraldique), Ethnologie -- Togo
Cimier de danse. Calebasse, cauris, perles, cornes d'antilope. Togo. Musée barrois (dépôt du Museum-Aquarium de Nancy)
Photographie, Musique, Instruments de musique, trombone, Contrebasse, Tambourin (instrument de musique), Trompettistes, Catalan (langue), Catalogne (Espagne) -- Civilisation, Orchestres, Coblas
La "Cobla Baix Llobregat" (Cobla du Bas-Llobregat) jouant sur la Place Saint Jaume (Place Saint Jacques), à Barcelone, devant le Palais de la Généralité. La cobla est un ensemble instrumental catalan qui utilise dans sa formation classique les instruments de musiques suivants : flabiol avec tambourin (tamborí), tible, tenora, trompette (trompeta), trombone (trombó), fiscorn et contrebasse (contrabaix) à trois cordes. La coble moderne est due au musicien catalan Pep Ventura (1817-1875) qui institua un ensemble d'onze musiciens pour douze instruments : un flabiol-tamborí, deux tibles, deux tenores, deux trompettes, un trombone, deux fiscorns et une contrebasse à 3 cordes. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Cobla La cobla est essentiellement destinée à l’interprétation de la sardane mais peut accompagner d'autres danses et peut aussi donner des concerts dans différents styles musicaux, autres que la sardane. Il existe d'ailleurs un répertoire important.
Photographie, Musique, Instruments de musique, Conga (instrument de musique), Instruments à percussion, Percussion, Musique de, Tambour (membranophones), Instruments de musique -- Cuba, Instruments de musique latine
La conga désigne plusieurs éléments musicaux cubains ou latins : un instrument de musique, un rythme, une formation musicale ou une danse. Haut tambour (90cm de haut pour 25 à 40 cm de diamètre) à long fût légèrement renflé, elle est faite à partir d'un assemblage de lattes de bois, ou creusée dans un tronc monoxyle, ou bâtie sur un tonneau cerclé ou moulé dans de la fibre synthétique. Une peau épaisse est fixée sur le dessus à l'aide de liens à l'origine et aujourd'hui à l'aide de cerclages et de fixations métalliques réglables. On appelle conguero le percussionniste qui joue des congas (de une à cinq congas) à la main à l'aide de cinq frappes de base. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Conga
Le Kumpo, le Samay et le Niasse sont trois figures traditionnelles dans la mythologie des Diolas en Casamance (Sénégal) et en Gambie. Plusieurs fois par an, pendant les Journées culturelles, une fête traditionnelle dans le village est organisée. Le Samay invite les gens du village pour participer aux activités. Le Kumpo est habillé avec des feuilles de palme et porte un bâton au bout de sa tête. Quand la danse commence, une jeune fille met un drapeau au bâton. C’est l’indication de la richesse et la puissance de la nature en Casamance. Il danse pendant des heures avec le bâton et le drapeau sur sa tête. Il parle une langue secrète et communique avec les spectateurs. Source : https://fr.wikipedia.org/wiki/Kumpo.
Photographie, Tambourin (instrument de musique), Folklore, Danses traditionnelles, Musiciens de folklore, Caractère national basque, Instruments de musique -- Pays basque, Pays basque, Biscaye (Espagne), Durango (Espagne), Tambour de basque
Danseur basque d'Aurresku, avec les txistulariak et tambourins au fond, et les officiels sur l'estrade, devant la paroisse de San Pío, à Durango (Biscaye).
Giuseppe Picone "La Lacrimosa". La technique du danseur repose sur la combinaison de trois éléments : l'occupation de l'espace, le rythme et le temps, et le mouvement du corps. Le mouvement du corps comporte notamment les éléments d'énergie, d'équilibre afin de parvenir à donner une forme au corps.
Photographie, Vêtements, Catalogne (Espagne), Espadrilles, Sardane (danse), Caractère national catalan
Plaque émaillée représentan deux hommes et deux femmes de la campagne en costume traditionnel dansant la sardane. La sardane (en catalan "Sardana") est une danse traditionnelle catalane où les danseurs en cercle se tiennent par la main, accompagnés par la musique d'un ensemble instrumental appelé "cobla". La sardane se danse en cercle fermé, alternant si possible un homme et une femme, la femme à droite de son partenaire.
Photographie, Vêtements de danse, Danseuses, Serviettes de table -- Pliage, Quatre (le nombre), Origami, Pliages en papier, Produits de bricolage, Flamenco (danse)
Quatre danseuses de flamenco en serviettes de table en papier pliées.
Photographie, Danseurs, Bottes, Articles en caoutchouc, Danses traditionnelles, Danseurs -- Costume, Musique zouloue, Olomouc (République tchèque), Zoulous (peuple d'Afrique)
Démonstration de danse zoulou en bottes de caoutchouc, à Olomouc (République tchèque).
Photographie, Équitation, Chevaux, Folklore, Fêtes, Fêtes populaires, Carinthie (Autriche), Danses régionales, Pentecôte (fête), Temps de la Pentecôte
Le "Kufenstechen" est un évènement qui se déroule à Feistritz an der Gail, en Carinthie (Autriche) durant la kermesse annuelle du lundi de pentecôte. Les jeunes hommes célibataire doivent briser un baril de bois avec une barre de fer en chevauchant à cru un cheval de race Noriker. Chaque concurrent doit passer plusieurs fois avant que le baril ne soit détruit. Celui qui arrive enfin à le briser recoit un bouquet de fleurs qu'il met à son poignet. Ensuite a lieu la danse traditionnelle sous un tilleul. Le vainqueur du « Kufenstechen » ouvre la danse suivi des autres couples non mariés, habillés en costume folkloriques. La danse s'accompagne de chansons anciennes.
Graines de pois rouge (abrus precatorius). À La Réunion, les graines sont aussi utilisées dans le kayamb ou "caïambe", instrument de musique rectangulaire fait de bambou creux, qu'on remue des mains pour avoir la "grainée" sonore de la danse maloya.
Photo-montage de Yumegusa, pour illustrer ce haïku en espéranto : "lastjarsimile/ la fratinoj aĝumaj/ dansas en la kamp'" = Cette année encore, Les vieilles soeurs Dansent au carrefour.
Photographie, Musique, Instruments de musique, Instruments à percussion, Tambour, Instruments de musique anciens, Tambour (membranophones), Instruments de musique -- Inde, Hudukka
L'hudukkâ est un instrument de percussion de l'Inde et du Népal. C'est un ancien tambour en sablier similaire au damaru du Nord et à l'idakka du Sud. Il est toujours utilisé dans la musique kéralaise rituelle par la caste des Mârârs, dans les ballades martiales de la musique rajasthanie, dans les rituels chamaniques et toutes formes de danses folkloriques. Vu son faible encombrement, il accompagne aussi les musiciens itinérants. Ces tambours se caractérisent par une tension modifiable de la hauteur du son lors du jeu et ont donc une vocation mélodique autant que rythmique. Connu depuis le XIIIe siècle, c'est un tambour en tonneau converti en sablier par l'adjonction de larges membranes débordantes aux extrémités. Le kuddukâ est similaire, mais n'a pas de grelot et se joue à la baguette. Long de 48 cm pour 18 cm de diamètre, le corps de l'instrument est taillé dans du bois. Les membranes en peau de vache ou de chèvre sont collées sur un épais (2 cm) anneau (22 cm de diamètre) en fibre végétale percé de six trous où passe une corde de tension en coton permettant aussi le maintien en place de la membrane par un laçage en W. Des grelots sont fixés sur le laçage. Ce tambour d'aisselle est suspendu au moyen d'une lanière à l'épaule gauche du percussionniste. La main droite frappe la peau tandis que la main gauche assure les variations de tensions en serrant la partie centrale du cordage recouverte d'une large bande de coton. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Hudukk%C3%A2
Photographie, Jeux électroniques, Informatique, Batterie (instrument de musique), Japon, Loisirs, Jeux vidéo, Bornes interactives, Jeux d'arcades
Jeux d'arcade (Tsukuba au Japon) utilisant une batterie en guise de contrôleur. Les constructeurs n'ont cessé d'innover pour offrir des sensations de jeu nouvelles : les premières bornes ne permettaient d'interagir avec le jeu qu'avec des joysticks et des boutons. Vinrent ensuite des commandes spécialisées, plus immersives et réalistes, ajoutant de l'ambiance et des accessoires, comme des bornes incluant un dispositif de conduite avec retour de force, des bornes dédiées avec un pistolet optique, des affichages de décors en arrière-plan, des reproductions d'habitacles de voiture ou de cockpits d'avion, des postes de pilotage en forme de moto ou de cheval, ou même des contrôleurs très spécifiques comme des tapis de danse et des cannes à pêche. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Borne_d%27arcade.
Joueur de cornemuse estonienne, le torupill, qui accompagne les danses rituelles (voortants et Sabatants) et les cérémonies comme le mariage.
Photographie, Afrique du Sud, Bottes, Danses, Mineurs (ouvriers), Activité motrice, Afrique du Sud -- Moeurs et coutumes, Bleus (vêtements), Danses noires, Percussionnistes, Percussions corporelles
La danse des bottes (gumboot dancing), inventée par les mineurs d'Afrique du Sud : percussions en bleus de travail, avec les mains.
M. et Mme Goliath, géants d'Ath, en 2008 avec leur garde : À Ath, les diables apparaissent dans des processions de l'Ancien Régime. Ils y font la police (ouvrir la voie, tenir les spectateurs à distance) ou, le plus souvent, interviennent dans le tableau de l'Enfer, dans la dramatisation de légendes hagiographiques (St Michel, Ste Gudule, St Antoine, St Médard, etc.), dans un jeu processionnel (combat de St Georges contre le dragon). Ils participent encore au Lumeçon montois. Les hommes sauvages (hommes de feuilles) ont marché dans quelques processions et tenu un rôle dans des jeux de printemps. Figurant toujours dans la procession et le Jeu de St Evermare à Russon, ils restent, à Mons, les alliés du dragon. Après avoir caracolé dans les processions figuratives, animé des fêtes villageoises et des charivaris, les chevaux-jupon jouent encore leur rôle d'auxiliaires à Mons et harcèlent le public dans divers cortèges, carnavalesques ou non. Ces trois types de déguisement qui, dans certaines villes, ont pour mission principale de protéger la marche ou la danse des figures gigantesques, se retrouvent à la ducasse d'Ath.
Photographie, Danseurs, Statues -- France, Valse (danse), Femmes sculpteurs, Camille Claudel (1864-1943)
Camille Claudel, "La Valse", 1893, bronze, vers 1895, Musée Rodin, Paris.
Photographie, Lièvres, Statues, Yorkshire (GB), Art contemporain, Artistes irlandais, Animaux -- Dans l'art, Barry Flanagan (1941–2009), Parcs -- Grande-Bretagne
Statue en bronze du lièvre dansant, en équilibre sur une patte, par Barry Flanagan, Parc de la sculpture, dans le Yorkshire.