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Nuage de mots clés

Photographie | Gravure | Dessins et plans | Instruments de musique | Musique | Peinture | Instruments à percussion | Main | Dix-huitième siècle | Art médiéval | Dessin en noir et blanc | Contes de fées | Fillettes | Dix-neuvième siècle | Biologie | Tambour (membranophones) | Anatomie humaine | Jeunes femmes | Outils | Manuscrits à enluminures | ...
Vie quotidienne au Moyen Age : la boulangerie. Source : http://data.abuledu.org/URI/50cb0956-vie-quotidienne-au-moyen-age-la-boulangerie

Vie quotidienne au Moyen Age : la boulangerie

Vie quotidienne au Moyen Age : la boulangerie. Un boulanger enfourne des petits pains posés sur une pelle plate en bois. Une cliente vient remplir sa panière. Source : Le Tacuinum sanitatis, manuel médiéval sur la santé, basé sur le Taqwin al‑sihha تقوين الصحة (Tableaux de santé), un traité médical arabe écrit par Ibn Butlan (v. 1001-1066), médecin irakien. Ses travaux traitent de l'hygiène, de la diététique et de l'exercice physique. Il a souligné les avantages d'une prise en compte attentive du bien-être physique et mental de la personne.

Alice fait tomber le lapin. Source : http://data.abuledu.org/URI/50cf8f07-alice-fait-tomber-le-lapin

Alice fait tomber le lapin

Alice fait tomber le lapin blanc, illustration d'origine (1865), par John Tenniel (28 février 1820 – 25 février 1914), du roman de Lewis Carroll, Alice au pays des merveilles : Elle attendit un peu ; puis, quand elle crut que le Lapin était sous la fenêtre, elle étendit le bras tout à coup pour le saisir ; elle ne prit que du vent. Mais elle entendit un petit cri, puis le bruit d’une chute et de vitres cassées (ce qui lui fit penser que le Lapin était tombé sur les châssis de quelque serre à concombre)...

Anatomie de la main. Source : http://data.abuledu.org/URI/52cf1c88-anatomie-de-la-main

Anatomie de la main

Les mains (du latin manus, pl. manūs) sont deux organes complexes et préhensiles situés à l'extrémité des bras des primates et munis de doigts. Elles sont les principaux organes utilisés pour saisir et manipuler des objets pris dans l'environnement, de la façon la plus brutale (brandir un gourdin) à la plus fine (enfiler une aiguille). L'extrémité des doigts contient l'une des plus fortes concentrations de terminaisons nerveuses du corps humain, ce qui fait de la main l'un des organes principaux du sens du toucher. Comme pour d'autres organes allant par paires, comme les yeux ou les oreilles, chaque main est principalement contrôlée par l'hémisphère opposé du cerveau. La main utilisée préférentiellement est l'aspect le plus visible de la latéralisation de chaque individu.

Anatomie de la main. Source : http://data.abuledu.org/URI/52cf1d1b-anatomie-de-la-main

Anatomie de la main

Anatomie de la main, avec légende. Les mains (du latin manus, pl. manūs) sont deux organes complexes et préhensiles situés à l'extrémité des bras des primates et munis de doigts. Elles sont les principaux organes utilisés pour saisir et manipuler des objets pris dans l'environnement, de la façon la plus brutale (brandir un gourdin) à la plus fine (enfiler une aiguille). L'extrémité des doigts contient l'une des plus fortes concentrations de terminaisons nerveuses du corps humain, ce qui fait de la main l'un des organes principaux du sens du toucher. Comme pour d'autres organes allant par paires, comme les yeux ou les oreilles, chaque main est principalement contrôlée par l'hémisphère opposé du cerveau. La main utilisée préférentiellement est l'aspect le plus visible de la latéralisation de chaque individu.

Babe Tisje et Zoon Tisje d'Hazebrouck. Source : http://data.abuledu.org/URI/51dc4ce0-babe-tisje-et-zoon-tisje-d-hazebrouck

Babe Tisje et Zoon Tisje d'Hazebrouck

Babe Tisje fut créée en tant que géant en 1980 par Stéphane Deleurence. D'une hauteur de 3,35 m et d'un poids de 50 kg, elle nécessite un porteur. Zoon Tisje (à l'arrière plan), de son vrai nom Jacques Louis Napoléon Vangrevelinghe, c'est le fils de Tisje Tasje et également le frère de Babe Tisje. Il fut érigé en géant en 1998 par Stéphane Deleurence pour représenter la ville d'Hazebrouck. Il a dans la main droite une gaufre: "wafel" et dans la main gauche, un moulinet d'enfant rappelant l'importance du vent en Flandre. Dimensions : hauteur : 3,20 m, poids : 47 kg, porté par un seul homme.

Carte des Traites en 1732 : les provinces étrangères. Source : http://data.abuledu.org/URI/52d01073-carte-des-traites-en-1732-les-provinces-etrangeres

Carte des Traites en 1732 : les provinces étrangères

Carte établie par l'administration royale en 1732 pour représenter les traites, c'est à dire les zones disposant de statuts fiscaux en terme de barrières douanières. Les cinq grosses fermes : en gros la partie nord de la Loire à quelques exceptions près où le commerce interne était libre et les droits de douane vers les autres provinces et l'étranger avaient été uniformisés (Anjou, Aunis, Berry, Bourbonnais, Bourgogne, Champagne, Maine, Orléanais, Picardie, Poitou, Touraine), correspondant globalement à l'aire linguistique de la langue d'oïl. Les provinces réputées étrangères : Le Royaume de Navarre et la Soule (Pays Basque) à l'extrême Sud Ouest, La Bretagne (à l'Ouest), La Flandre, l'Artois (dans le Nord), la Franche Comté (à l'Est) l'Occitanie et la Catalogne (dans le sud de la France) payaient des droits de douane lorsqu'elles échangeaient entre elles ou avec les autres provinces ordinaires du royaume de France. Les provinces à l'instar de l'étranger effectif : comme le Pays Basque (Bayonne et le Labourd), l’Alsace, la Lorraine, le Comtat Vénessain (États du Pape) étaient considérées comme étrangères au royaume (Provinces à l'instar de l'étranger effectif). À ce titre, elles pouvaient commercer librement avec l'étranger, mais payaient des droits de douane importants pour les échanges commerciaux avec les autres provinces françaises. Ces provinces réputés étrangères ou à l'instar de l'étranger effectif sont d'ailleurs les mêmes qui parlent alors, dans la vie quotidienne, une autre langue que le français : le basque, l'occitan et ses dérivés gascons ou provençal, le catalan, le breton, le gallo, l'alsacien, le flamand… En 1732, la Savoie, le comté de Nice, la Corse sont indépendants du Royaume de France.

Cherbourg et sa digue en 1877. Source : http://data.abuledu.org/URI/524ed821-cherbourg-et-sa-digue-en-1877

Cherbourg et sa digue en 1877

Le tour de la France par deux enfants, par George Bruno, pseudonyme d'Augustine Fouillée (née Tuillerie), 1877, p.244 : manuel scolaire, édition de 1904 : CHERBOURG ET SA DIGUE. - La rade de Cherbourg était une des plus belles de la Manche, mais elle était ouverte du côté de la mer, et exposée aux tempêtes et à l'attaque des ennemis. C'est pour la fermer qu'on a construit cette immense digue, oeuvre unique en son genre, qui est une sorte d'île faite de main d'homme et au milieu de laquelle s'élève un fort. Cherbourg (42 900 h.) est maintenant un des chefs-lieux des cinq arrondissements maritimes dans lesquels on a divisé nos côtes.

Claves cubaines. Source : http://data.abuledu.org/URI/53286353-claves

Claves cubaines

Les claves sont des instruments de musique de percussion idiophone très anciens joués dans la musique aborigène d'Australie, sous d'autres noms. Les claves proprement dites, apparaissent à Cuba vers le XVIe siècle, sur les docks du port de La Havane. Entrechoquées au rythme du travail, elles deviennent au XVIIe siècle un instrument de percussion, les « claves » (mélange des mots « clavar » et « llaves »). Les chevilles (« llaves » en espagnol) que l'on cloue (« clavar » en espagnol) pour fixer les pièces du navire sont en bois tropical dur (acana, jiqui, guayacan, jucaro, quiebrahacha...), longues de 20 cm. La clave tenue dans la main droite par l'une des extrémités (macho = mâle) vient percuter en cadence l'autre placée dans la main gauche (hembra = femelle). Le son est très sec et très fort.

Conga cubaine. Source : http://data.abuledu.org/URI/5335a936-conga-

Conga cubaine

La conga désigne plusieurs éléments musicaux cubains ou latins : un instrument de musique, un rythme, une formation musicale ou une danse. Haut tambour (90cm de haut pour 25 à 40 cm de diamètre) à long fût légèrement renflé, elle est faite à partir d'un assemblage de lattes de bois, ou creusée dans un tronc monoxyle, ou bâtie sur un tonneau cerclé ou moulé dans de la fibre synthétique. Une peau épaisse est fixée sur le dessus à l'aide de liens à l'origine et aujourd'hui à l'aide de cerclages et de fixations métalliques réglables. On appelle conguero le percussionniste qui joue des congas (de une à cinq congas) à la main à l'aide de cinq frappes de base. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Conga

Contes de fées japonais - 245. Source : http://data.abuledu.org/URI/5685c54a-contes-de-fees-japonais-245

Contes de fées japonais - 245

Contes de fées japonais - 245, traduction en anglais par 0zaki, 1908 : Elle lavait son linge quand elle vit passer une énorme pêche.

Descriptif du château de Gizeux. Source : http://data.abuledu.org/URI/50f14311-descriptif-du-chateau-de-gizeux

Descriptif du château de Gizeux

Propriété pendant 350 ans de la famille Du Bellay. Elle le vendra en 1677 à Anne Frezeau qui invitera au château l'École de peinture de Fontainebleau pour y décorer une salle de fresques murales représentant les plus célèbres châteaux royaux tels Chambord, Vincennes et Versailles. Cette vaste salle est considérée par les Monuments Historiques comme unique en France."

Diable et sac à roulettes. Source : http://data.abuledu.org/URI/51de5d23-diable-et-sac-a-roulettes

Diable et sac à roulettes

Diable et sac à roulettes. La brouette à deux roues permet de plus grandes contenances, plus stable elle peut se conduire d’une seule main mais elle est très difficile, voire éprouvante, à mener sur les terrains accidentés tandis que la brouette à une roue se joue des irrégularités du terrain. Par ailleurs la place nécessaire pour manœuvrer la brouette à deux roues dépend de la largeur de l’essieu. Le porte-charge est sur les brancards : c’est le type de la brouette contemporaine standard. Cette disposition permet le report de charge vers l’axe de roue,

Don Quichotte pour enfants - 10. Source : http://data.abuledu.org/URI/555ce1d0-don-quichotte-pour-enfants-10

Don Quichotte pour enfants - 10

Illustration réalisée par Armand-Louis-Henri Telory, lithographe, pour l'adaptation pour enfants de Don Quichotte parue au XIXe siècle et rééditée au XXe siècle par Mango - collection Au Temps Jadis, scannée par Cyrille Largillier. Un matin, à peine la blanche aurore avait-elle fait place au brillant Phébus, pour qu’il séchât par de brûlants rayons les perles liquides de ses cheveux d’or, que Don Quichotte, secouant la paresse de ses membres, se met sur pied, et appelle son écuyer Sancho qui ronflait encore et se lève avec enthousiasme, le nez chatouillé par des effluves de cuisine de noce. Ce sont les préparatifs du festin du riche paysan Gamache. Sancho est invité à prendre un acompte sur toute cette bonne chair et se montre digne de figurer lui aussi dans ces mémorables aventures en triomphant tour à tour d'un oison et de deux poulets dont il ne laisse que les os. Don Quichotte intervient pour interrompre le mariage et remettre la mariée entre les mains de Basile son amoureux.

Éponges naturelles. Source : http://data.abuledu.org/URI/5341da14-eponges-naturelles

Éponges naturelles

Éponges naturelles suspendues, en vente. Autrefois effectuée à mains nues et en apnée, la pêche à l'éponge se pratique de nos jours généralement à l'aide de scaphandres autonomes ou non. Cette pêche se pratique essentiellement en Méditerranée, mais aussi en mer Rouge, le long des côtes d'Amérique centrale et en Australie. Une fois remontées, les éponges sont lavées à grande eau et pressées pour débarrasser le squelette de spongine de toutes les parties vivantes. Puis elles subissent de nouveaux lavages, notamment dans des solutions chlorées afin de les blanchir. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Porifera

Feuilles de palmier : PALMAE. Source : http://data.abuledu.org/URI/50fab0de-feuilles-de-palmier-palmae

Feuilles de palmier : PALMAE

Lithographie de Anton Seder (1850–1916), Art Nouveau 1890, Feuilles de palmier. Les palmes, en botanique, sont les feuilles du palmier, elles sont d’une très grande diversité en forme et en taille. Sur le palmier, la croissance se fait en général par un unique bourgeon terminal, qui ne se divise pas, l’axe principal ne se ramifie donc pas, d’où l’absence de branche et un tronc qui n’est dichotomique que dans de très rares cas. Pour simplifier voici les quatre types principaux de forme que les feuilles adoptent : Les feuilles palmées, avec une forme en éventail, ou disposées comme les doigts de la main ; Les feuilles pennées en forme de plume, ou de peigne (on retrouve cette forme sur le cocotier entre autres) ; Les feuilles costapalmées, dont la construction est intermédiaire entre les deux types précédents, d’un aspect général en éventail on trouve un axe central sur la structure ; Les feuilles bipennées, qui sont pennées selon l’axe principal, mais de même sur les axes secondaires, ce type de feuille n’existe que dans le genre Caryota. En forme de queue de poisson, ces feuilles ont un aspect déstructuré assez particulier. Les folioles sont larges, en forme de triangle, et sembles déchirées à leurs extrémités. Le nom vernaculaire du genre est le palmier céleri.

Fleuve Gediz en Turquie. Source : http://data.abuledu.org/URI/50b105c7-fleuve-gediz-en-turquie

Fleuve Gediz en Turquie

Fleuve Gediz en Turquie, connu sous le nom d'Hermos. L'Hermos est présenté comme l'un des 25 fils de Téthys et d'Océan, cités par Hésiode dans sa Théogonie, où il relate la création du monde : « Téthys à Océan enfanta les fleuves tourbillonnants : Nil, Alphée, Éridan aux tourbillons profonds, Strymon, Méandre, Istros aux belles eaux courantes, Phase, Rhésos, Achéloos aux tourbillons d'argent, Nessos, Rhodios, Halliacmon, Heptaporos, Granicos, Aisepos, le divin Simoïs, Pénée, Hermos, et Caïque au beau cours, le grand Sangarios, Ladon, Parthénios, Événos, Ardescos et le divin Scamandre. » Son affluent, le Sart Çayı ou Pactole, est célèbre pour la légende grecque, disant qu'il charriait des paillettes d'or. Midas était le roi de Phrygie, royaume d'Asie mineure situé entre la Lydie et la Cappadoce. Une histoire raconte l'aventure arrivée au vieil ivrogne Silène. Celui-ci, suivant une procession en l'honneur du dieu de la fête et de l'ivresse Dionysos, se perdit près du palais royal. Midas et ses gardes le retrouvèrent assoupi et le roi lui offrit de rester quelques jours au palais avant de le rendre à Dionysos. Le dieu récompensa le roi en lui accordant un souhait. Midas demanda que tout ce qu'il touche se transforme en or. Incapable de manger et de boire, il supplie le dieu de reprendre son présent. Dionysos lui ordonne alors de se laver les mains dans les eaux du Pactole, dont le sable se change en or. Cette légende explique le caractère aurifère du Pactole, auquel la Phrygie doit une bonne partie de son empire. Les ressources du Pactole étaient déjà épuisées avant le Ier siècle selon le témoigsnage du géographe grec Strabon (57 av. J.-C.-entre 21 et 25 ap. J.-C.). L'électrum a été utilisé dans l'Antiquité pour frapper les premières monnaies. Les sources littéraires montrent que les Lydiens, fréquemment présentés comme les inventeurs de la monnaie, disposaient grâce au fleuve Pactole d'une source d'or naturel. Les fouilles américaines à Sardes ont confirmé l'existence d'une métallurgie de l'or et de l'argent : elles ont mis au jour des installations permettant d'obtenir par coupellation de l'électrum à partir des pépites d'or locales.

Grande aulnée. Source : http://data.abuledu.org/URI/50578567-grande-aulnee

Grande aulnée

Planche botanique de Grande aulnée (Inula helenium), Atlas des Plantes de France, 1891. "helenium vient du fait qu'Hélène aurait eu une branche d'Aunée dans la main lorsqu'elle fut enlevée par Pâris. La Grande Aunée fait partie des plantes comestibles. On apprécie en particulier sa racine très aromatique, utilisée fraîche ou séchée pour parfumer certains desserts. Cette racine riche en inuline est à la fois amère et tonique (d'où le nom de quinquina français parfois donné à la plante). Elle possède également diverses vertus médicinales : elle est notamment recommandée pour son action sur les bronches.

Guimbarde italienne. Source : http://data.abuledu.org/URI/533c1ada-marranzano

Guimbarde italienne

Guimbarde italienne dite marranzano. La guimbarde est un instrument de musique utilisant une lamelle actionnée par le doigt comme élément vibrant et la bouche du musicien comme cavité de résonance. Elle existe en Europe depuis au moins l'époque gallo-romaine, et elle est répandue en Asie et en Mélanésie. La guimbarde est composée de deux éléments : 1) une armature, d'une forme quelconque, qui comprend invariablement deux barres parallèles assez rapprochées; 2) une languette fine, haute de quelques millimètres, fixée à l'armature par l'une de ses extrémités, libre de l'autre côté et qui passe entre les deux barres. Un joueur de guimbarde place l'instrument devant la bouche d'une main, en la tenant par l'armature (à l'opposé des branches parallèles). Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Guimbarde_%28instrument%29

Histoire de la bicyclette, la draisienne de 1818. Source : http://data.abuledu.org/URI/50edab76-histoire-de-la-bicyclette-la-draisienne-de-1818

Histoire de la bicyclette, la draisienne de 1818

Une draisienne est un véhicule à deux roues alignées que l'on fait avancer en poussant sur le sol avec ses pieds. Elle est munie d'une sorte de guidon qui permet juste de poser les mains, et d'un dirigeoir, sorte de levier permettant d'orienter la roue avant.

Kanjira indienne. Source : http://data.abuledu.org/URI/533a94d7-kanjira-indien

Kanjira indienne

La kanjira est un petit tambour sur cadre (membranophone à une peau) indien. D'un diamètre de 10 à 20 cm, il est en un bois épais de tun ou de jacquier. La peau est à l'origine une peau de lézard ou d'iguane (assez rare), mais elle est souvent en peau de serpent ; toutefois, vu la protection des reptiles, elle est de plus en plus souvent en chèvre. Mais cette nouveauté ne rend pas les effets spéciaux des peaux reptiles qui se distendent beaucoup quand on les mouille, permettant ainsi des variations mélodiques. Toutes les kanjiras ont une petite clochette ou cymbalette. Une main sert à frapper la peau à l'aide des doigts (au bord) et de la paume (au centre), l'autre sert à modifier la tension de la peau (donc la hauteur du son) en appliquant une pression du bout des doigts sur la face extérieure (ou intérieure) de la peau mouillée. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Kanjira

La joueuse de Vielle. Source : http://data.abuledu.org/URI/514e1737-la-joueuse-de-vielle

La joueuse de Vielle

La joueuse de vielle, 1907, par Gustave Jacquet (1846–1909). La vielle à roue est un instrument à cordes frottées par une roue en bois au lieu d'un archet. La roue est tournée avec une manivelle, pendant que la main gauche du musicien joue la mélodie sur un clavier. La révolution française va provoquer un changement profond de l'usage de la vielle, qui revient alors dans le domaine des instruments régionaux et populaires. Au XIXe siècle, elle tombe en désuétude avant que le Berry, en quête d’identité, ne s’empare de l’instrument ainsi que de la cornemuse pour en faire ses emblèmes. La société des Gâs du Berry, fondée par Jean Baffier en 1888, solidifie cette réputation. Au XXe siècle, dans les années 1960 et 1970, le mouvement « folk » se l’approprie de nouveau et les groupes dits « folkloriques » se constituent.

La Petite aux grelots 10. Source : http://data.abuledu.org/URI/53482a70-la-petite-aux-grelots-10

La Petite aux grelots 10

Images d'Épinal, 1880, La Petite aux grelots : Belle-Orange le prit par la main et le reconduisit à sa maman. Par le plus heureux hasard, celle-ci qui était fée lui demanda ce qu’elle pouvait pour elle pour lui prouver sa reconnaissance. Belle-Orange lui raconta son aventure : Alors la fée pour lui faciliter le moyen de voir plus facilement son père, la changea en une jolie petite hirondelle. Source : http://fr.wikisource.org/wiki/La_Petite_aux_grelots

La philosophie et les sept arts libéraux. Source : http://data.abuledu.org/URI/530fb53e-la-philosophie-et-les-sept-arts-liberaux

La philosophie et les sept arts libéraux

Représentation de la philosophie et des arts libéraux, in "Hortus Deliciarum" de Herrad von Landsberg, aux alentours de 1180. La philosophie, figure principale, est surmontée de trois têtes identifiées comme étant l'Éthique, la Logique et la Physique. Elle tient dans la main droite une inscription où l'on peut lire "Omnis sapientia a Domino Deo est" (Toute sagesse vient du seigneur), phrase par laquelle débute le texte biblique de l'Ecclésiaste. Sept fontaines de sagesse s'en écoulent, correspondant aux allégories des sept arts libéraux : Grammaire, Rhétorique, Dialectique, Musique, Arithmétique, Géométrie et Astronomie. Dans le cercle central, se trouvent intégrés Socrate et Platon. À l'extérieur, placés au bas de l'image, quatre personnages sont en train d'écrire, chacun étant accompagné d'un oiseau noir perché sur l'épaule qui semble lui chuchoter à l'oreille. Il s'agit d'une allégorie de l'esprit mauvais qui inspire les écrits des auteurs païens. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Hortus_deliciarum.

Le conte d'Ourson, chapitre 7. Source : http://data.abuledu.org/URI/53139d6c-le-conte-d-ourson-chapitre-7

Le conte d'Ourson, chapitre 7

Le conte d'Ourson, chapitre 7, Le sanglier, par la Comtesse de Ségur (1799-1874), illustré par Virginia Frances Sterrett (1900–1931) : Violette ne savait si elle devait fuir ou se cacher. Pendant qu'elle hésitait, le Sanglier l'aperçut, s'arrêta. Ses yeux flamboyaient, ses défenses claquaient, ses poils se hérissaient. Il poussa un cri rugissant et s'élança sur Violette. Par bonheur, près d'elle se trouvait un arbre vert dont les branches étaient à sa hauteur. Elle en saisit une des deux mains, sauta dessus et grimpa de branche en branche jusqu'à ce qu'elle fût à l'abri des attaques du Sanglier. A peine était-elle en sûreté que le Sanglier se précipita de tout son poids contre l'arbre qui servait de refuge à Violette.

Le conte de la petite souris grise. Source : http://data.abuledu.org/URI/5313698e-le-conte-de-la-petite-souris-grise

Le conte de la petite souris grise

Le conte de la petite souris grise de la Comtesse de Ségur (1799-1874), illustré par Virginia Frances Sterrett (1900–1931) : "Attends, méchante bête !" s’écria Rosalie, hors d’elle de colère et d’effroi. Elle saisit un balai et allait en donner un coup violent sur la Souris, lorsque le balai devint flamboyant et lui brûla les mains ; elle le jeta vite à terre et le poussa du pied dans la cheminée pour que le plancher ne prît pas feu.

Le mois de septembre dans les Très Riches Heures du Duc de Berry. Source : http://data.abuledu.org/URI/531c5895-le-mois-de-septembre-dans-les-tres-riches-heures-du-duc-de-berry

Le mois de septembre dans les Très Riches Heures du Duc de Berry

Le mois de septembre dans les Très Riches Heures du duc de Berry : septembre est illustré par les vendanges. Cinq personnages cueillent du raisin tandis qu'un homme et une femme, apparemment enceinte, se reposent. Les grappes sont déposées dans des paniers qui sont ensuite vidés dans des hottes fixées sur des mulets. Ces hottes sont elles-mêmes déversées dans des cuves chargées dans des charrettes tirées par des bœufs. Le second plan est entièrement occupé par le château de Saumur en Anjou, région déjà viticole à l'époque. Les tours sont coiffées de girouettes à fleurs de lys. À ses abords, une lice (palissade) est représentée avec sa barre centrale et son mur de treillage.

Matriçage de sécateurs. Source : http://data.abuledu.org/URI/512127a8-matricage-de-secateurs

Matriçage de sécateurs

Forges de Pesmes, empreintes d'outillages pour forgeage - Pesmes - Haute-Sâone. Le forgeage est l'ensemble des techniques permettant d'obtenir une pièce mécanique en appliquant une force importante sur une barre de métal, à froid ou à chaud, afin de la contraindre à épouser la forme voulue. Le forgeage implique un dispositif de frappe (marteau, masse, martinet ou marteau-pilon) et un support (enclume ou matrice). Un sécateur est un outil d' agriculteur pour les opérations de taille. C'est une sorte de paire de ciseaux robuste qui permet de couper de petites branches pour tailler les arbustes par l'action d'une seule main. Il fut inventé par Antoine François Bertrand de Molleville (1744-1818), ancien ministre de Louis XVI, exilé par la Révolution. Lors du retour des Bourbons, il revint en France en 1815 avec son invention. Les sécateurs sont formés de deux poignées mobiles reliées entre elles par un axe et prolongées l'une par une lame et l'autre par une contre-lame. Le ressort du sécateur permet d'écarter la mâchoire de la lame coupante lorsqu'on n'appuie pas sur les poignées.

Météorologie populaire en 1888. Source : http://data.abuledu.org/URI/53328bf0-meteorologie-populaire-en-1888

Météorologie populaire en 1888

La gravure, dite de Flammarion, ou « au pèlerin », est souvent décrite comme une gravure médiévale, à cause du sujet traité. En réalité le style indique une gravure sur bois allemande de la Renaissance. Elle représente un paysage et un ciel hémisphérique où s'accrochent le Soleil, la Lune et les étoiles, et un homme, qui, à cause de son bâton, fait penser à un pèlerin du Moyen Âge, mais que son vêtement long désigne plutôt comme un clerc, ou un étudiant. À quatre pattes sur le sol, il passe sous la voûte céleste à l'endroit où celle-ci rencontre la Terre, et la position de sa main trahit sa surprise, en découvrant ce qui se trouve au-delà. Au premier plan de ce qu'il découvre figure un rideau de flammes, qui nous désigne le "ciel empyrée" que la cosmologie médiévale plaçait au-delà de la sphère des étoiles fixes. Plus haut, l'étrange roue à deux jantes perpendiculaires est identique aux représentations de la "roue d'Ézéchiel", ce qui confirme qu'il s'agit bien du ciel empyrée chrétien, séjour du créateur. Cependant l'image du soleil à droite est étrangement tronquée, tout comme la roue d'Ezéchiel à gauche, à la différence des authentiques gravures de l'époque. Ceci laisse penser que l'image a été recadrée, et donc que l'image originale en montrait plus à gauche, dans le ciel empyrée. Elle montrait probablement ce qui provoque l'étonnement du personnage. Dans le livre de Flammarion, l'image comporte une légende : Un missionnaire du Moyen Âge raconte qu'il avait trouvé le point où le ciel et la Terre se touchent ... En regard, le texte suivant accompagne l'image : Qu'y a-t-il, alors, dans ce ciel bleu, qui existe certainement, et qui nous voile les étoiles durant le jour ? Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Gravure_sur_bois_de_Flammarion.

Meules de foin dans un champ. Source : http://data.abuledu.org/URI/52d72f21-meules-de-foin

Meules de foin dans un champ

Meules de foin dans un champ. La meule est une méthode de séchage et stockage du foin ou de la paille après la fauche ou la moisson, disposée à la main avant l'abandon de cette pratique au profit du stockage en balles, avec le développement de la mécanisation de l'agriculture. Elle présentait l'inconvénient de pouvoir laisser moisir certaines de ses parties exposées à la pluie, au risque d'empoisonner ou rendre malades les animaux. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Meule.

Mitaines. Source : http://data.abuledu.org/URI/50fdbb11-mitaines

Mitaines

Plusieurs types de mitaines : Une mitaine (emploi plus souvent pluriel : des mitaines) est un gant dont les doigts ne sont pas fermés, comme s'ils avaient été coupés. Parfois même les doigts ne sont pas délimités et la mitaine ne couvre que la paume et le dessus de la main. Comme les gants, les mitaines peuvent monter plus ou moins haut sur le bras. La mitaine est généralement considérée comme un accessoire féminin, même si elle tend à se masculiniser. Elles peuvent se porter seules ou superposées sur un gant. Les mitaines présentent l'avantage de tenir les mains au chaud tout en préservant la sensibilité tactile de la pulpe des doigts.

Motte féodale de Saint-Sylvain d'Anjou. Source : http://data.abuledu.org/URI/532e9883-motte-feodale-de-saint-sylvain-d-anjou

Motte féodale de Saint-Sylvain d'Anjou

Le château à motte de l'an 990 de Saint-Sylvain-d'Anjou (Maine-et-Loire), reconstitué dans les années 1990, unique en Europe. Les dimensions des mottes varient de 50 à 200 mètres de diamètre et d'une hauteur de 10 à 60 mètres. L’habitation du seigneur pouvait être au sommet de la motte (dans une tour) ou bien dans la basse-cour. La tour était encerclée par une palissade ou un muret. Dans les premiers temps, la tour était en bois et comportait un ou deux étages où l'on trouvait des réserves et la chambre du châtelain et de sa famille ; elle était entourée d'une palissade aménagée sur une levée de terre et d'un fossé en haut. L'entrée pouvait se faire par pont amovible gardé par une porte et une tour en bois. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Ch%C3%A2teau_fort.

Outils de gemmeurs. Source : http://data.abuledu.org/URI/5131c2f9-outils-de-gemmeurs

Outils de gemmeurs

Les outils du gemmeur pour le pelage du pin maritime et le barrasquage : sarcle à peler de profil et de face ; barrasquit double et simple. Une campagne de gemmage commence début février. On dit qu'un pin est prêt à être résiné dès que l’on peut l’entourer de son bras sans apercevoir sa main. Il faut alors préparer la future care, que l’on place à l’est car elle est à l’abri des intempéries. Pour cela on utilise le sarcle à peler, outil en acier, recourbé qui va permettre de racler l’écorce. Le pelage est une opération délicate car il faut laisser une fine épaisseur d’écorce en évitant de blesser le pin prématurément. La campagne se termine au mois de novembre avec l’arrivée de l’hiver. La dernière étape est le barrasquage. Le résinier entoure le pied du pin avec un drap et gratte la résine séchée sur la care pendant toute l’année avec le barrasquit. Le barras (résine sèche tombée sur le drap) est ensuite ajouté à la résine molle dans la barrique, damé puis transporté à la distillerie.

Parachutisme de secours - 1. Source : http://data.abuledu.org/URI/5399a916-parachutisme-de-secours-1

Parachutisme de secours - 1

La libération est la première étape de la procédure de secours (PDS). Elle consiste à désolidariser les élévateurs de la voile principale du sac-harnais via le système trois anneaux. A gauche en orange, la voile principale qui a été libérée. En blanc la voile de secours, toujours attachée au sac harnais qui est en noir. Le sac blanc qui dépasse de la voile principale est l'extracteur de la voile principale qui permet d'ouvrir cette dernière. On le tire à la main. D'où son nom : hand-deploy.

Perspective cavalière en dessins de fortifications. Source : http://data.abuledu.org/URI/50e82ccc-perspective-cavaliere-en-dessins-de-fortifications

Perspective cavalière en dessins de fortifications

Source : Ephraim Chambers (1680–1740), "Cyclopaedia, or an Universal Dictionary of Arts and Sciences" 1728. La perspective cavalière est une manière de représenter en deux dimensions des objets en volume. Cette représentation ne présente pas de point de fuite : la taille des objets ne diminue pas lorsqu'ils s'éloignent. C'est une forme particulière de perspective axonométrique, où l'on situe les points grâce à leurs coordonnées dans un repère formé de trois axes. Dans cette perspective, deux des axes sont orthogonaux et ont un facteur de report de 1. Le troisième axe est incliné, en général de 30 ou 45° par rapport à l'horizontale, appelé « angle de fuite », et a un facteur de report inférieur à 1, en général. Cette perspective ne prétend pas donner l'illusion de ce qui peut être vu, mais simplement donner une information sur la notion de profondeur. Simple à réaliser, c'est une perspective naïve qui peut traduire un manque de « vision dans l'espace ». Trop souvent utilisée dans les dessins à main levée, elle est malgré tout à déconseiller par son ambiguïté de représentation : un objet éloigné d'un autre peut sembler être plutôt au-dessus ou au-dessous. Cette représentation était utilisée initialement pour la conception des fortifications militaires. Le « cavalier » est un promontoire de terre situé en arrière des fortifications et qui permet de voir par-dessus, et donc de voir les assaillants. La perspective cavalière était donc la vue que l'on avait du haut du cavalier (les anglais utilisent parfois le terme de « high view point », en français « point de vue de haut »). Certains avancent également que c'est la vue qu'a un cavalier du haut de son cheval.

Rouleur réunionnais. Source : http://data.abuledu.org/URI/534806b1-rouleur-

Rouleur réunionnais

Le rouleur, ou roulèr, est un gros tambour frappé à deux mains, l’exécutant est assis à cheval sur lui : ce qui permet de modifier la tension et donc le timbre en se servant d’un de ses pieds. Les différentes graphies du nom sont quant à elles le reflet de différentes prononciations suivant les locuteurs considérés ou l’époque : rouleur, houleur, ouleur, oulèr, oulère, rouler. Le rouleur ou houler doit probablement son nom à son usage. En effet on roule le maloya, c’est-à-dire qu’on roule les hanches en dansant. En outre l’instrumentaliste fait des roulements et donc fait rouler ses mains sur la peau du tambour. Le rouleur peut aussi tirer son nom de la musique qu’il produit : fait rouler maloya. Cet instrument se retrouve à l'île de la Réunion (et Rodrigues où on le nomme simplement tambour). Traditionnellement fabriqué dans un tronc évidé au bois variable d'au moins 70 cm de long et 50 cm de diamètre, il est souvent conçu aujourd'hui avec une barrique ou un tonneau dont on a détruit les deux extrémités. Le plus souvent, la peau est de bœuf ou de cabri collée sur un cercle de bois comportant des cymbalettes. Le rouleur se joue maintenu au sol en position horizontale, le musicien accroupi à cheval dessus. Le talon est parfois utilisé pour percuter l'instrument en plus des mains. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Rouleur

Sourdine de cor avec sa lanière. Source : http://data.abuledu.org/URI/5300bc20-sourdine-de-cor-avec-sa-laniere

Sourdine de cor avec sa lanière

Les sourdines de cor ont pour but d'atténuer le son et de modifier le timbre. À quelques exceptions près, le cor n'utilise qu'un seul type de sourdine : la sourdine sèche. Contrairement aux sons bouchés, la sourdine ne modifie pas la hauteur d'un son. La sourdine des cors possède souvent une lanière formant une boucle dans laquelle le musicien passe la main. Cela permet d'avoir la sourdine à portée de la main pendant le jeu (elle pend sous le poignet) et de gagner du temps à sa mise en place dans le pavillon ainsi qu'à son retrait.

Statue de l'Âme de la France à La Réunion. Source : http://data.abuledu.org/URI/543ec949-statue-de-l-ame-de-la-france-a-la-reunion

Statue de l'Âme de la France à La Réunion

Statue de la Victoire "Âme de la France" de Carlo Sarrebezolles à Hell-Bourg, dans les Hauts de La Réunion. Comme les deux autres modèles, en plâtre et en pierre, L'Âme de la France en bronze est une statue de 3,20 mètres de haut. Elle représente une guerrière casquée étendant ses deux bras vers le ciel, sa main droite terminée par une délicate petite gerbe de fleurs et son poing gauche serrant au contraire avec force un bouclier enfilé sur son avant-bras. Cette posture singulière formant un V n'est pas gratuite. D'après Le Quotidien de La Réunion, "cette femme symbolise la victoire de la France à ses morts reconnaissants", en l'occurrence elle est un hommage aux soldats qui sont tombés pendant la Première Guerre mondiale, une guerre à laquelle La Réunion et les Réunionnais ont participé pour la défense de la Patrie, notamment emmenés par l'aviateur Roland Garros. Ainsi, le personnage figure visuellement la gratitude du pays envers les Poilus grâce à ce que la base Mérimée des Monuments historiques appelle une allégorie profane, et la statue peut donc faire fonction de monument aux morts. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/L%27%C3%82me_de_la_France

Statue de la déesse de la Victoire. Source : http://data.abuledu.org/URI/509048a6-statue-de-la-deesse-de-la-victoire

Statue de la déesse de la Victoire

Statue de la déesse de la Victoire, 2°-1er siècle avant JC : Elle est représentée comme une divinité ailée, capable de se déplacer à grande vitesse. Une célèbre sculpture de Niké, la Victoire de Samothrace, est conservée au musée du Louvre. Elle est aussi souvent représentée dans les mains de Zeus et d'Athéna. Le prénom Bérénice (littéralement "qui porte la victoire") est directement tiré de cette divinité, ainsi que le nom de la ville de Nice.

Stèle de Tarquinia Priscilla à Burdigala. Source : http://data.abuledu.org/URI/55592076-stele-de-tarquinia-priscilla-a-burdigala

Stèle de Tarquinia Priscilla à Burdigala

Stèle de Tarquinia Priscilla à Burdigala. Le fronton portant l’inscription surmonte la niche, où une jeune femme est représentée en pied, vêtue d’une longue tunique et d’un manteau ; elle se regarde dans un miroir qu’elle tient de la main gauche, et a un peigne dans la main droite. Inscription en latin : "Aux dieux Mânes de Tarquinia Priscilla décédée à l’âge de 21 ans, fille de Perpetus, Calvisinus Serdus a fait faire (ce monument) à ses frais". Musée d'Aquitaine, Bordeaux.

Vielle à roue dite Hurdy Gurdy. Source : http://data.abuledu.org/URI/532c4c1b-hurdy-gurdy

Vielle à roue dite Hurdy Gurdy

Hurdy Gurdy, 1700 (Germanic National Museum, Nuremberg). La vielle à roue est un instrument à cordes frottées par une roue en bois au lieu d'un archet. La roue est tournée avec une manivelle, pendant que la main gauche du musicien joue la mélodie sur un clavier. Deux cordes, appelées chanterelles, passent par le clavier ; leur longueur de vibration est changée par l'action des touches appelées sautereaux. Le sautereau est un élément du clavier de la vielle à roue qui comprend des tiges coulissantes pour chaque note. Les sautereaux sont fixés sur chaque tige par groupe de deux (deux cordes en chanterelles) et permettent, comme le doigt du violoniste, de déterminer la partie de corde vibrante. Après appui sur la tige du clavier, celle-ci est rejetée par la vibration des cordes, faisant ainsi reculer la paire de sautereaux. Un nombre variable de cordes, passant hors du clavier, émettent chacune un son, formant ainsi un accord continu : ce sont les bourdons (gros bourdon, petit bourdon, mouche et corde de chien ou trompette). Au-dessous des bourdons se trouvent parfois des cordes sympathiques qui donnent au ton un caractère plus doux. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Vielle_%C3%A0_roue. Parmi les bourdons, une corde particulière donne cette caractéristique originale de la vielle qui est de pouvoir rythmer une mélodie. Cette corde ne passe pas sur un chevalet fixe, mais repose sur une petite pièce de bois appelée le « chien », elle-même maintenue sur la table d'harmonie par la pression de la corde. Lorsque cette corde vibre suffisamment, la pièce de bois vibre alors sur la table, et génère un son comparable à un grésillement. L'instrumentiste produit cette vibration par une frappe de la manivelle, que l'on appelle détaché ou « coup de poignet ».