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Peinture | Peintres paysagistes | Dix-neuvième siècle | Peintres de paysages | Peintres russes | Peintres français | Ivan Shishkin (1831–1898) | Peinture de paysages | Paysages | Gravure | Forêts | Félix Vallotton (1865-1925) | Paysage urbain | Nabis (groupe d'artistes) | Post-impressionnisme (art) | Paysages ruraux | Peintres allemands | Cubisme | Villes | Pins | ...
Aigles au-dessus des sommets d'Auvergne. Source : http://data.abuledu.org/URI/5169b952-aigles-au-dessus-des-sommets-d-auvergne

Aigles au-dessus des sommets d'Auvergne

Sommets d'Auvergne, 1864. Gravure imprimée par Auguste Delâtre (1822-1907). Jules Laurens (1825-1901). Connu pour ses tableaux orientalistes et ses portraits de paysans (Auvergnats, Comtadins), c'est dans l'art du paysage qu'il se révèle, tenant de Corot et de l'école de Barbizon.

Aurora Borealis. Source : http://data.abuledu.org/URI/55566f4e-aurora-borealis

Aurora Borealis

Aurora Borealis, 1865, par Frederick Edwin Church (1826-1900), peintre paysagiste anglais.

Berger au repos avec ses chèvres. Source : http://data.abuledu.org/URI/573ad519-berger-au-repos-avec-ses-chevres

Berger au repos avec ses chèvres

Roelant Savery (1576-1639), Berger se reposant sous un arbre avec ses chèvres.

Brebis et deux agneaux en Écosse. Source : http://data.abuledu.org/URI/517e5c8a-brebis-et-deux-agneaux-en-ecosse

Brebis et deux agneaux en Écosse

Brebis et deux agneaux, avec héron, au bord d'un loch écossais, 1867, par Richard Ansdell (1815-1885)

Clairière dans une forêt de chênes. Source : http://data.abuledu.org/URI/51391656-clairiere-dans-une-foret-de-chenes

Clairière dans une forêt de chênes

Clairière dans une forêt de chênes, 1896, par le peintre paysagiste russe Ivan Shishkin (1831–1898).

Colomb-Béchar en Algérie. Source : http://data.abuledu.org/URI/58851047-colomb-bechar-en-algerie

Colomb-Béchar en Algérie

Vue de Colomb-Béchar en Algérie par Alexandre YAKOVLEV, gouache sur papier, 32 cm / 48.5 cm.

Combat de la Dominique 1780. Source : http://data.abuledu.org/URI/50f7228b-combat-de-la-dominique-1780

Combat de la Dominique 1780

Combat de la Dominique, 17 Avril 1780, tableau de Rossel de Cercy (1736-1804). L'invasion de la Dominique en 1778 est une invasion française réussie de l'île de la Dominique dans les Antilles, pendant la Guerre d'indépendance des États-Unis. Le 6 septembre, une flotte française, sous le commandement du marquis de Bouillé, débarque des troupes dans l'île. Le détachement britannique se rend le même jour sans tirer un coup de feu. La prise de la Dominique par la marine française a incité les Anglais à renforcer leur flotte nord-américaine. Ils ont alors saisi l'île de Sainte-Lucie en novembre, Savannah et la Géorgie en décembre.

Crépuscule dans les Catskills. Source : http://data.abuledu.org/URI/555671c4-crepuscule-dans-les-catskills

Crépuscule dans les Catskills

Crépuscule dans les Catskills, 1849, par Frederick Edwin Church (1826-1900), High Museum of Art. Source : https://fr.wikipedia.org/wiki/Montagnes_Catskill

Dessinateur de croquis en 1609. Source : http://data.abuledu.org/URI/573ada18-dessinateur-de-croquis-en-1609

Dessinateur de croquis en 1609

Dessinateur de croquis en 1609, Roelant Savery (1576-1639).

Deux hommes sous la neige. Source : http://data.abuledu.org/URI/513ef25e-deux-hommes-sous-la-neige

Deux hommes sous la neige

Deux hommes au portail dans la montagne sous la neige, Utagawa Hiroshige (1797-1858), dessinateur, graveur et peintre japonais. Il se distingue par des séries d'estampes sur le mont Fuji. Auteur prolifique, actif entre 1818 et 1858, il crée une œuvre constituée de plus de 5 400 estampes. Il est avec Hokusai, avec qui on le compare souvent — pour les opposer — l'un des derniers très grands noms de l'Ukiyo-e et en particulier de l'estampe de paysage, qu'il aura menée à un sommet inégalé avant le déclin de la xylographie au Japon.

Honfleur dans la brume. Source : http://data.abuledu.org/URI/535ed7be-honfleur-dans-la-brume

Honfleur dans la brume

Honfleur dans la brume, huile sur toile, 1911, Musée des beaux-arts de Nancy, par Félix Vallotton (1865-1925), artiste suisse naturalisé français.

Honfleur un matin d'été en 1905. Source : http://data.abuledu.org/URI/535ed384-honfleur-un-matin-d-ete-en-1905

Honfleur un matin d'été en 1905

Honfleur un matin d'été en 1905, par Félix Vallotton (1865-1925), artiste suisse naturalisé français.

Johannisfriedhof de Dürer. Source : http://data.abuledu.org/URI/50b4c194-johannisfriedhof-de-durer

Johannisfriedhof de Dürer

Albrecht Dürer (1471–1528) : Le Cimetière et l'Église Saint-Jean à Nüremberg. Peinte en 1494, c'est probablement la première aquarelle en couleur représentant fidèlement un paysage.

La bohémienne. Source : http://data.abuledu.org/URI/5101d023-la-bohemienne

La bohémienne

La bohémienne, 1890, par William Bouguereau (1825-1905) : elle est pieds nus, elle porte une robe à manche longue grise et un châle sur les épaules, elle a un violon et son archet sur les genoux. Le paysage représente un fleuve et un pont, ainsi qu'une cathédrale à l'arrière-plan (Notre-Dame de Paris ?).

La mer. Source : http://data.abuledu.org/URI/50c4df70-la-mer

La mer

Huile sur toile (1871) de Gustave Courbet (1819–1877), Musée des Beaux-Arts de Caen. En 1841, Courbet découvre la mer, mais il faut attendre son passage à Montpellier pour qu’il en fasse un sujet pictural. Il préfère les termes « paysage de mer » au trop académique « marine ». La ligne d'horizon est clairement une ligne de fuite de la perspective. L'absence de lignes droites fuyant vers l'infini rend difficile d'affirmer si l'horizon est ou non ligne de fuite principale. Si vous partagez le sentiment que la mer y est peinte selon une vue en légère plongée, c'est-à-dire que l'artiste est situé sur un promontoire, alors l'horizon de ce tableau n'est pas pour vous une ligne principale.

La mer de glaces. Source : http://data.abuledu.org/URI/50e17b78-la-mer-de-glaces

La mer de glaces

Caspar David Friedrich (1774-1840), "Das Eismeer", La Mer de glaces (confondu à tort avec Le Naufrage de l'Espoir, faisant référence à une expédition au Pôle Nord), 1823-24.

La petite bergère. Source : http://data.abuledu.org/URI/5101cb19-la-petite-bergere

La petite bergère

La petite bergère, 1889, un bâton en travers des épaules, de William Bouguereau (1825-1905).

La Tamise à Hampton Court. Source : http://data.abuledu.org/URI/5102f027-la-tamise-a-hampton-court

La Tamise à Hampton Court

La Tamise à Hampton Court, 1874, par Alfred Sisley (1839-1899).

Lac des quatre cantons. Source : http://data.abuledu.org/URI/50b4c58d-lac-des-quatre-cantons

Lac des quatre cantons

Joseph Mallord William Turner (1775-1851), Le lac des quatre cantons, aquarelle, 1802. C'est en Angleterre, où l'enseignement de la peinture est moins encadré qu'en France, que l'aquarelle, par l'intermédiaire de la "Royal Watercolour Society", fondée en 1804 à Londres, acquiert une dimension nouvelle. Samuel Palmer, Richard Bonington, William Turner en sont ses principaux acteurs. La maison Winsor et Newton, célèbre fabrique d'aquarelles, est fondée en 1834.

Lande de bruyère. Source : http://data.abuledu.org/URI/51350d88-lande-de-bruyere

Lande de bruyère

Lande de bruyère, 1897, par Archibald Thorburn (1860-1935), illustrateur écossais spécialiste des oiseaux et de leur environnement naturel. La lande (parfois appelée « Dorne » ou « Les dornes » dans le nord de la France) est une association de plantes qui dépassent rarement le stade d'arbustes et poussant sur des milieux pauvres, souvent acides et oligotrophes. Dans la lande européenne, on retrouve surtout des bruyères, des genêts, des buis et des ajoncs. On retrouve des landes sur toute la zone tempérée. En France elles se situent principalement dans le Massif central et le Massif armoricain. La lande silicicole, lande mésophile ou waste se développe dans les régions côtières au climat océanique, humide toute l'année avec des températures modérées. La faiblesse de l'insolation réduit la minéralisation, la litière est peu abondante et acide. Le lessivage est important. Les sols sont acides (pH voisin de 4) et peuvent donner des podzols. L'origine de cette formation est double. Le vent gêne la croissance des arbres (forte évaporation, bris des rameaux) et le lessivage réduit leur alimentation.

Le champ en fleurs. Source : http://data.abuledu.org/URI/535ed479-le-champ-en-fleurs

Le champ en fleurs

Le champ en fleurs, 1912, par Félix Vallotton (1865-1925), artiste suisse naturalisé français.

Le Mont Hor depuis Petra en 1849. Source : http://data.abuledu.org/URI/54b5adb4-le-mont-hor-depuis-petra-en-1849

Le Mont Hor depuis Petra en 1849

Le Mont Hor, depuis les falaises de Petra. Lithographie en couleur de la nécropole de Petra en Jordanie, Louis Haghe (1806-1885), d'après David Roberts (1796-1864), 1849. Le massif de grès rouge culmine à 1 396 mètres d'altitude, dominant à l'ouest la vallée de l'Arabah et à l'est la cuvette de Pétra. C'est le plus important sommet à proximité de la cité antique, et il est aisément reconnaissable à la vue du sanctuaire étincelant qui coiffe son sommet principal. Il offre un point de vue réputé, en particulier sur le site de Pétra et sur le Deir. Source : https://fr.wikipedia.org/wiki/Djebel_Haroun

Le Pont de Hampton Court. Source : http://data.abuledu.org/URI/51030919-le-pont-de-hampton-court

Le Pont de Hampton Court

Le pont de Hampton Court, 1874, par Alfred Sisley (1839-1899).

Les Andes de l'Équateur. Source : http://data.abuledu.org/URI/55567077-les-andes-de-l-equateur

Les Andes de l'Équateur

Les Andes de l'Équateur, 1855, par Frederic Edwin Church, peintre paysagiste anglais, Académie des Arts d'Honolulu.

Paysage à Beaulieu. Source : http://data.abuledu.org/URI/51002ab3-paysage-a-beaulieu

Paysage à Beaulieu

Paysage à Beaulieu en Touraine, 1918, par Juan Gris (1887-1927).

Paysage avec pont sur l'Oise en 1890. Source : http://data.abuledu.org/URI/5515b72a-paysage-avec-pont-sur-l-oise-en-1890

Paysage avec pont sur l'Oise en 1890

Paysage avec pont sur l'Oise, juin 1890, par Vincent Van Gogh (1853-1890).

Paysage de falaise et cascade. Source : http://data.abuledu.org/URI/54456f85-paysage-de-falaise-et-cascade

Paysage de falaise et cascade

Paysage de falaise et cascade près d'Ornans dans le Doubs, 1872, par Gustave Courbet (1819-1877), Rijksmuseum à Amsterdam.

Peintre de paysage. Source : http://data.abuledu.org/URI/50f42652-peintre-de-paysage

Peintre de paysage

Peintre de paysage (Parc National de Yellowstone). Étymologiquement, le paysage est l'agencement des traits, des caractères, des formes d'un espace limité, d'un « pays ». C'est une portion de l'espace terrestre, représentée ou observée à l'horizontale comme à la verticale par un observateur ; il implique donc un point de vue. La notion de paysage a une dimension esthétique forte, voire picturale ou littéraire en tant que représentation.

Pleine lune en hiver. Source : http://data.abuledu.org/URI/515716af-pleine-lune-en-hiver

Pleine lune en hiver

Paysage de pleine lune en hiver, 1869, par Louis Douzette (1834-1924) : ruisseau gelé au pied d'une maison.

Rouen en 1806. Source : http://data.abuledu.org/URI/555b0159-rouen-en-1806

Rouen en 1806

La Seine à Rouen en 1806, dessin et lavis par Constance Lézurier de la Martel, épouse de Louis Lézurier de La Martel.

Sous le pont de Hampton Court. Source : http://data.abuledu.org/URI/5102ee7e-sous-le-pont-de-hampton-court

Sous le pont de Hampton Court

Sous le pont de Hampton Court, 1874, par Alfred Sisley (1839-1899). Travail audacieux de la perspective : vue du dessous du pont aux piliers en briques et de son tablier d'acier, peints en larges aplats horizontaux et verticaux ; autre technique, celle des petites touches impressionnistes pour l'eau (effets miroitants) et la rive. Des rameurs en régate sur la gauche et un canoe amarré au premier plan entre deux piliers.

Sous-bois en 1920. Source : http://data.abuledu.org/URI/535edaec-sous-bois-en-1920

Sous-bois en 1920

Sous-bois, 1920, par Félix Vallotton (1865-1925), artiste suisse naturalisé français : papier calque collé sur papier.

Tempête. Source : http://data.abuledu.org/URI/58b2e6ba-tempete

Tempête

Tempête, 1830, par Joseph Mallord William Turner (1775-1851). British Museum.

Vue de la baie de Cannes. Source : http://data.abuledu.org/URI/514dfadd-vue-de-la-baie-de-cannes

Vue de la baie de Cannes

Vue de la baie et de la ville de Cannes, par Augustus Wall Callcott (1700-1844).

Vue des vieux fossés de Montauban. Source : http://data.abuledu.org/URI/57108d91-vue-des-vieux-fosses-de-montauban

Vue des vieux fossés de Montauban

Vue des vieux fossés de Montauban, par Bernard-Prosper Debia (1791-1876), cliché A. Connes.

Vue des vieux fossés de Montauban. Source : http://data.abuledu.org/URI/57108c4c-vue-des-vieux-fosses-de-montauban

Vue des vieux fossés de Montauban

Vue des vieux fossés de Montauban, par Bernard-Prosper Debia (1791-1876), cliché A. Connes.

Vue du Fort Royal de la Martinique vers 1750. Source : http://data.abuledu.org/URI/50f71eb7-vue-du-fort-royal-de-la-martinique-vers-1750

Vue du Fort Royal de la Martinique vers 1750

Vue de Fort Royal, Martinique. François Denis (1732-1817) : Le 15 septembre 1635, le flibustier Pierre Belain d'Esnambuc débarque dans la rade de Saint-Pierre avec 150 colons français qui ont été chassés de l'île Saint-Christophe. Il installe ainsi la première colonie dans l'île, pour le compte de la couronne de France et de la Compagnie des îles d'Amérique. Les premiers établissements français en Martinique sont Le Fort Saint-Pierre (actuelle ville de Saint-Pierre) fondé par d'Esnambuc, et la ville du Fort-Royal (actuellement Fort-de-France) fondée par les gouverneurs De Baas et Blenac. la lutte se concentre entre les Français et les Anglais (et, après 1707, date de la fondation du Royaume-Uni, les Britanniques). Tous les grands conflits européens ont leur composante caraïbe. C'est notamment le cas de la guerre de Sept Ans qui vaudra à la France la perte de nombreuses possessions au profit de la Grande-Bretagne. La Martinique deviendra ainsi, par deux fois, possession britannique, mais pour d'assez courtes périodes. Elle restera définitivement française après 1816.

Bois de hêtres en Suisse. Source : http://data.abuledu.org/URI/51390b09-bois-de-hetres-en-suisse

Bois de hêtres en Suisse

Bois de hêtres (Fagus sylvatica) en Suisse, 1863, par le peintre paysagiste russe Ivan Shishkin (1831–1898). C'est une essence bioindicatrice d'un climat tempéré humide. Les forestiers en pratiquent de longue date la sylviculture pour produire du bois de futaie principalement destiné à l'ameublement. Il est également utilisé comme source de bois de chauffage, surtout en zone de montagne.

Champs de seigle. Source : http://data.abuledu.org/URI/5138e123-champs-de-seigle

Champs de seigle

Champs de seigle, 1878, par le peintre paysagiste russe Ivan Shishkin (1831–1898).

Fonte des neiges au printemps. Source : http://data.abuledu.org/URI/5171c6e1-fonte-des-neiges-au-printemps

Fonte des neiges au printemps

Fonte des neiges au printemps, 1873, par Alexei Savrasov (1830–1897), peintre russe spécialiste de paysages lyriques.

Forêt de bouleaux. Source : http://data.abuledu.org/URI/5138dc3a-foret-de-bouleaux

Forêt de bouleaux

Forêt de bouleaux, 1883, par le peintre aquarelliste russe Ivan Shishkin (1831–1898). C'est pour ses œuvres de paysages, frappants de réalisme et de technique irréprochable, qu'il est le plus connu. La technique de peinture de Chichkine est fondée sur une étude analytique de la nature et il faisait des recherches approfondies sur tous ses sujets. Ici, deux paysannes chargées d'eau longent un ruisseau.

Forêt de chênes le soir. Source : http://data.abuledu.org/URI/5138dd97-foret-de-chenes-le-soir

Forêt de chênes le soir

Forêt de chênes le soir, 1887, par le peintre paysagiste russe Ivan Shishkin (1831–1898).

Forêt de hêtres en Suisse. Source : http://data.abuledu.org/URI/5139b6f9-foret-de-hetres-en-suisse

Forêt de hêtres en Suisse

Forêt de hêtres en Suisse, 1863-1864, par le peintre paysagiste russe Ivan Shishkin (1831-1898). Femme portant un bébé dans le chemin, et gros rochers moussus en premier plan.

Forêt de pins en hiver. Source : http://data.abuledu.org/URI/5138d518-foret-de-pins-en-hiver

Forêt de pins en hiver

Forêt de pins en hiver, 1890, par le peintre paysagiste russe Ivan Shishkin (1831–1898).

Grand-mère en 1892. Source : http://data.abuledu.org/URI/533682d5-grand-mere-en-1892

Grand-mère en 1892

Grand-mère tenant un bébé dans les bras, en 1892, par Hans Thoma (1839–1924).

Grues au bord de l'étang. Source : http://data.abuledu.org/URI/51390681-grues-au-bord-de-l-etang

Grues au bord de l'étang

Grues au bord d'un étang, dans les marais de Polésie, au nord de l'Ukraine, 1884, par le peintre paysagiste russe Ivan Shishkin (1831–1898).

Grues au bord du marais de Pinsk en Polésie. Source : http://data.abuledu.org/URI/5139b924-grues-au-bord-du-marais-de-pinsk-en-polesie

Grues au bord du marais de Pinsk en Polésie

Grues au bord d'un étang, 1890, par le peintre paysagiste russe Ivan Shishkin (1831-1898). Le nom slave de la Polésie vient de Pod-lese qui signifie « sous la forêt ». La Polésie est considérée par les historiens slaves comme étant au cœur de la région où les peuples slaves se sont différenciés, avant leur expansion dans toutes les directions aux Ve et VIe siècles. Les marais de Pinsk (en russe : Пинские болота, Pinskie bolota), marais du Pripet ou marais du Pripiat (en russe : Припятские болота, Pripiatskie bolota) sont une vaste zone humide située le long de la rivière Pripiat et de ses affluents. Les marais de Pinsk se trouvent principalement dans les basses terres de Polésie et occupent la plus grande partie du sud de la Biélorussie et du nord-ouest de l'Ukraine. Ils couvrent 98 419 km2 de part et d'autre de la rivière Pripiat. Ils sont couverts par une forêt dense parsemée d'étangs, tourbières et ruisseaux, et s'étendent sur 480 km d'ouest en est et 225 km du nord au sud. L'étendue des marais varie considérablement au cours de l'année, en raison de la fonte des neiges au printemps et des précipitations en automne, qui font déborder la Pripiat et provoquent des inondations. Le drainage de la partie orientale a commencé en 1870 et des zones ont été défrichées et transformées en pâturages et terres agricoles.

Janissaires ottomans au siège de Rhodes. Source : http://data.abuledu.org/URI/53087727-janissaires-ottomans-au-siege-de-rhodes

Janissaires ottomans au siège de Rhodes

Janissaires ottomans et chevaliers de l'ordre de Saint-Jean, Siège de Rhodes, 1522. Auteurs : Fethullah Çelebi Arifi (historien, poète et peintre) et Matrakçı Nasuh (peintre de paysage) et autres peintres de la cour du Sultan Soliman le Magnifique.

Jeune lièvre. Source : http://data.abuledu.org/URI/50b4c292-jeune-lievre

Jeune lièvre

Albrecht Dürer (1471-1528), Un jeune lièvre, 1502, aquarelle, Palais Albertina à Vienne en Autriche. En Allemagne, Albrecht Dürer développe cette technique, la mélangeant souvent à de l'encre et de la gouache. Il l'utilise en lavis pour des études de paysages durant son voyage en Italie en 1490, puis pour représenter de façon très détaillée des herbes, des fleurs, des oiseaux, des animaux…

L'hôpital Saint-Yves à Rennes. Source : http://data.abuledu.org/URI/5148da8e-l-hopital-saint-yves-a-rennes

L'hôpital Saint-Yves à Rennes

L'hôpital Saint-Yves à Rennes, par Jean-Jacques Monanteuil (1785-1860).

La bouée rouge à Saint-Tropez. Source : http://data.abuledu.org/URI/51b8ad64-la-bouee-rouge-a-saint-tropez

La bouée rouge à Saint-Tropez

La bouée rouge à Saint-Tropez, 1895, par Paul Signac (1863-1935). Le 7 juillet, est émis un timbre artistique de 0,75 € reproduisant La Bouée rouge, peinture de Paul Signac de 1895, conservée au musée d'Orsay et représentant un paysage du port de Saint-Tropez. Le timbre imprimé en héliogravure est mis en page par l'atelier Didier Thimonier. Il est conditionné en feuille de trente. Environ 5,7 millions d'exemplaires ont été vendus jusqu'au retrait le 12 mars 2004.

La jeune bergère. Source : http://data.abuledu.org/URI/5101c9f5-la-jeune-bergere

La jeune bergère

William-Adolphe Bouguereau (1825-1905), La jeune bergère, 1885.

La mer à Dieppe. Source : http://data.abuledu.org/URI/51a4f421-la-mer-a-dieppe

La mer à Dieppe

La mer à Dieppe, 1852, par Eugène Delacroix (1798-1863).

La prairie à Bezons. Source : http://data.abuledu.org/URI/5171c822-la-prairie-a-bezons

La prairie à Bezons

La prairie à Bezons, 1874, par Claude Monet (1840–1926).

Le Canigou. Source : http://data.abuledu.org/URI/50ff4483-le-canigou

Le Canigou

Le Canigou, 1921, par Juan Gris (1887-1927).

Le chat à la fenêtre. Source : http://data.abuledu.org/URI/53368067-le-chat-a-la-fenetre

Le chat à la fenêtre

Le chat à la fenêtre, 1901, par Hans Thoma (1839–1924).

Le printemps avec arc-en-ciel. Source : http://data.abuledu.org/URI/5171c613-le-printemps-avec-arc-en-ciel

Le printemps avec arc-en-ciel

Le printemps (1868-1873), par Jean-François Millet (1814–1875).

Le semeur. Source : http://data.abuledu.org/URI/514ed2e2-le-semeur

Le semeur

Le semeur, 1965, par Jean-François Millet (1814-1875). Paysage de la campagne de Barbizon avec un laboureur, un vol de corbeaux et la tour de Chailly. L'école de Barbizon désigne le centre géographique et spirituel d'une colonie de peintres paysagistes désirant travailler « d’après nature ». L'appellation tient son nom du village de Barbizon, situé en lisière de la forêt de Fontainebleau (Seine-et-Marne), autour duquel certains artistes peintres affluèrent pendant près de cinquante ans entre 1825 et 1875. Au cours de la révolution de 1848, les peintres de l'école de Barbizon ou l'école de Crozant se réunirent et optèrent de suivre délibérément les préceptes de John Constable, afin de rendre la nature elle-même sujet de leurs peintures. Parmi eux, Millet étendit sa vision des paysages aux personnages, peignant la paysannerie et les travaux des champs.

Les Fenêtres simultanées sur la ville. Source : http://data.abuledu.org/URI/53447637-les-fenetres-simultanees-sur-la-ville

Les Fenêtres simultanées sur la ville

"Les Fenêtres simultanées sur la ville", 1912 par Robert Delaunay (1885-1941). Robert Delaunay passe à l'abstraction avec la série "Les Fenêtres", présentée de 1912 à 1913. Elle inaugure une longue série de recherche sur la possibilité de traduire l'harmonie représentative, par le seul agencement des couleurs. Les couleurs remplacent les objets, qui n'ont plus de substance et laissent la place à la lumière. Ce passage à l'abstraction se fait après la lecture des théories de Vassily Kandinsky dans son livre manifeste "Du spirituel dans l'art", et alors que Guillaume Apollinaire diagnostique en 1912 la naissance d'un nouvel art pictural : "Les peintres nouveaux peignent des tableaux où il n'y a plus de sujet véritable". Mais, contrairement à Vassily Kandinsky qui donne un contenu psychologique et mystique à ses œuvres, Robert Delaunay n'exploite que l'effet purement physique. Il s'explique en s'inspirant d'un texte de Léonard de Vinci : "L’œil est notre sens le plus élevé, celui qui communique le plus étroitement avec notre cerveau, la conscience. L'idée d'un mouvement vital du monde et son mouvement est simultanéité. Notre compréhension est corrélative à notre perception". À cette époque, Delaunay fait également de nombreuses recherches sur les couleurs et plus précisément sur la loi du contraste simultané des couleurs. Avec Sonia Delaunay, il crée le simultanéisme, une technique qui vise à trouver l'harmonie picturale grâce à l'agencement simultané des couleurs, et qui se concentre essentiellement sur le rôle de la lumière, qui est perçue comme principe créateur originel. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Robert_Delaunay

Lisière de forêt de pins. Source : http://data.abuledu.org/URI/5139155b-lisiere-de-foret-de-pins

Lisière de forêt de pins

Forêt de pins dominant la vallée, 1878, par le peintre paysagiste russe Ivan Shishkin (1831–1898).

Matin dans une forêt de pins. Source : http://data.abuledu.org/URI/5138cd73-matin-dans-une-foret-de-pins

Matin dans une forêt de pins

Matin dans une forêt de pins, 1872, par le peintre russe Ivan Shishkin (1831–1898). Après avoir passé son enfance dans les régions sauvages de l'Oural et de la Volga, il étudia à l'École de Peinture, Sculpture et Architecture de Moscou pendant quatre années, puis à l'Académie impériale des Arts de Saint-Pétersbourg de 1856 à 1860, dont il sortit avec les plus grands honneurs et une médaille d'or. Cinq ans plus tard, Chichkine devint lui-même membre de cette Académie, puis professeur. Il était par ailleurs professeur à l'École supérieure des Arts, spécialisé dans les paysages.

Mines de cuivre au 16ème siècle. Source : http://data.abuledu.org/URI/5120b6d3-mines-de-cuivre-au-16eme-siecle

Mines de cuivre au 16ème siècle

Henri Blès, flamandisé en Henri Met de Blès (1510-1560), se fait connaître à Anvers dans le deuxième quart du XVIe siècle. En Italie, il est connu sous le nom de "il Civetta" par le fait qu'il cache dans tous ses tableaux une chouette. C'est le peintre qui introduit le paysage dans la peinture, non pas comme ornement, mais comme thème central.