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Histoire | France (Révolution) (1789-1799) | Gravure | Christine de Pizan (1363?-1431?) | Féminisme et histoire | Féminisme | Quinzième siècle | France (1794) | France (9 et 10 Thermidor) ( 27-28 juillet 1794) | Anne-Robert-Jacques Turgot (1727-1781) | Peinture | Féminisme et littérature | La cité des dames - Christine de Pisan (1363?-1431?) | Pondichéry (Inde) | Louis-Antoine-Léon Saint-Just (1767-1794) | Montagnards (Histoire de France) | Paris (France. - Commune) (1871) | Victor Schoelcher (1804-1893) | Photographie | France (Gouvernement provisoire) (1848) | ...
Chambre des députés en 1876. Source : http://data.abuledu.org/URI/5071f592-chambre-des-deputes-en-1876

Chambre des députés en 1876

Chambre des députés française issue des élections législatives de 1876 : Union républicaine 98, Gauche républicaine 193, Centre-gauche 48, Centre-droit 54, Bonapartistes 76, Orléanistes 40, Légitimistes 24.

Corset et caricature. Source : http://data.abuledu.org/URI/50fd6ca2-corset-et-caricature

Corset et caricature

Caricature du peintre anglais James Gillray (1757-1815) intitulé : "La mode prime sur le confort, ou Une bonne constitution sacrifiée pour une forme fantastique" (Fashion before Ease;—or,—A good Constitution sacrificed for a Fantastick Form). Métaphore pour l'Angleterre ayant posé son bouclier contre une arbre et sa lance à terre, se retenant au tronc d'un gros chêne, pendant que Thomas Paine, bonnet phrygien sur la tête, tire à deux mains sur les lacets de son corset, un pied appuyé à son postérieur. De sa poche de veste émerge une paire de ciseaux et une inscription "Les Droits de l'homme". Derrière lui, une maisonnette porte l'inscriptio suivante : "Thomas Pain, Staymaker from Thetford. Paris Modes, by express". Publié par H. Humphrey, 2 janvier 1793. Thomas Paine, né le 29 janvier 1737 à Thetford en Grande-Bretagne et mort le 8 juin 1809 à New York, est un intellectuel, pamphlétaire, révolutionnaire devenu américain après avoir émigré à l’âge de 37 ans. Ses écrits, parmi lesquels figure "Rights of Man" (1791), ont également exercé une grande influence sur les acteurs de la Révolution française : il est élu député à l’assemblée nationale en 1792. Considéré par les Montagnards comme un allié des Girondins, il est progressivement mis à l’écart, notamment par Robespierre, puis emprisonné en décembre 1793.

Fabre d'Eglantine à Turgot. Source : http://data.abuledu.org/URI/50afdd19-fabre-d-eglantine-a-turgot

Fabre d'Eglantine à Turgot

Épître de Fabre d'Églantine à Anne Robert Jacques Turgot, Baron de Laune Turgot. Source : Augustin Challamel, "Histoire-musée de la république Française, depuis l'assemblée des notables", Paris, Delloye, 1842. J'ai vu sur nos chemins l'indigent villageois Accablé sous le faix d'un travail sans salaire, De ses propres secours privé dans sa misère Et mourir de fatigue et de faim à la fois : J'ai vu ce manheureux, honteux d'un esclavage Que par un choix injuste on â fait rdonner Arrosant de ses pleurs un insipide ouvrage, Au sombre désespoir prêt à s'abandonner ; Je l'ai vu frémissant de douleur et de rage À l'aspect des soldats, qui loin de son ménage, À ce travail ingrat accouraient le trainer. Pour punir un instant de désobéissance J'ai vu des hommes durs, dont l'affreuse équité, Au mépris de l'honneur et de l'humanité Vendaient le seul grabât qui fût en sa puissance Et lui ravissaient tout... jusqu'à sa liberté. Oui, tel était le sort de ces hommes utiles, Dont les pénibles soins, dignes d'un meilleur prix, Nourrissent tous les jours, et l'habitant des Villes, Et les Grands...dont peut-être il n'a que les mépris. L'homme sensible et fin, l'homme équitable et sage Gémissaient de ces maux, dans nos champs répandus, Mais contre des conseils, injustes, absolus, Dont le vernis du bien a coloré l'ouvrage, LOUIS de la sagesse a-t'il quelque avantage ? Pour les faire arrêter, pour les voir abbattus, Il fallait de TURGOT, le cœur et le courage Il fallait de LOUIS, les mœurs et les vertus. Par son très humble et très obéissant serviteur, Fabre d'Églantine. Philippe-François-Nazaire Fabre, dit Fabre d’Églantine né et baptisé le 28 juillet 1750 à Carcassonne et guillotiné le 5 avril 1794 à Paris, est un acteur, dramaturge, poète et homme politique français.

La Cité des dames. Source : http://data.abuledu.org/URI/513fda93-la-cite-des-dames

La Cité des dames

La Cité des dames est un récit allégorique de Christine de Pizan (1363-1431) paru à Paris en 1405. Christine de Pizan est une philosophe et poétesse française de naissance italienne considérée comme la première femme de lettres française ayant vécu de sa plume. Son érudition la distingue des écrivains de son époque, hommes ou femmes. Veuve et démunie, elle dut gagner sa vie en écrivant. Elle composa des traités de politique et de philosophie, et des recueils de poésie. On lui doit, entre autres, "Cent ballades d'amant et de dame" et "la Cité des dames". Son travail majeur a été accompli entre 1400 et 1418. Christine est d'abord une poétesse. Et pour cause : c'est le premier moyen de se faire remarquer en bien par les princes mécènes, car leur cour se plaît particulièrement aux jeux poétiques de la littérature courtoise. Elle chante des amours plutôt malheureux en fin d'histoire, mais n'en abuse pas car elle sait que ses lecteurs préfèrent le chant amoureux comblé. C'est par la poésie qu'elle a fondé son autorité d'écrivaine, la manière la plus efficace de se faire admettre dans le monde littéraire pour une femme de la haute société. "La cité des dames" est un des premiers ouvrages féministes de la littérature, en ce sens qu'il ne reprend pas les tropes usés du débat rhétorique utilisés par les auteurs masculins pour attaquer ou défendre la femme, mais se place délibérément dans une perspective nouvelle, la narratrice prenant conscience de ce que sa vision d'elle-même est en fait déterminée par les clichés qui circulent sur les femmes et leur infériorité "naturelle". Christine de Pizan décrit une société allégorique, où la dame est une femme dont la noblesse est celle de l'esprit plutôt que de la naissance. L'ouvrage cite une série de figures féminines du passé que Christine de Pizan donne comme exemple de la façon dont les femmes peuvent mener une existence pleine de noblesse tout en apportant leur contribution à la société. Le Maître de la Cité des dames est un nom de convention désignant un enlumineur actif à Paris entre 1400 et 1415. Collaborateur de Christine de Pisan dans la réalisation de ses manuscrits, il doit son nom de convention des manuscrits de La Cité des dames qu'il a enluminés.

Plaque commémorative de Victor Schoelcher à Pondichéry. Source : http://data.abuledu.org/URI/5295f041-plaque-commemorative-de-victor-schoelcher-a-pondichery

Plaque commémorative de Victor Schoelcher à Pondichéry

Plaque commémorative de Victor Schoelcher à Pondichéry : SHOELCHER [Victor], homme politique français né à Paris, à Houilles (1804-1893). Il se signala par sa propagande antiesclavagiste et républicaine. Au début de la Commune, il essaya inutilement de réconcilier les gouvernements de Versailles et de Paris."

Portrait de Saint-Just. Source : http://data.abuledu.org/URI/50af9a7d-portrait-de-saint-just

Portrait de Saint-Just

Louis Antoine Léon de Saint-Just, né le 25 août 1767 à Decize, mort guillotiné le 10 thermidor an II (28 juillet 1794) à Paris, est un homme politique français de la Révolution française, un des plus jeunes élus à la Convention nationale, membre du groupe des Montagnards, soutien indéfectible de Robespierre avec qui il est emporté dans sa chute du 9 thermidor. D'une éloquence remarquée, il se distingue par la rigidité de ses principes prônant l'égalité et la vertu ainsi que par l'efficacité de ses missions au cours desquelles il redresse la situation de l'armée du Rhin et participe à la victoire des armées républicaines à Fleurus. Combattant politiquement les Girondins, les Hébertistes puis les Indulgents, il fait voter la confiscation des biens des ennemis de la République au profit des patriotes pauvres. Il est notamment l'inspirateur de la Déclaration des droits de l'homme et du citoyen de 1793.