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Photographie, Printemps, Chaussures de sport, Affiches publicitaires, Paris (France) -- Boulevard Haussmann
Affiche publicitaire sur la façade du Printemps, Boulevard Haussmann à Paris, pour une marque de chaussures espagnoles : "L'imagination en marche" (Imagination walks).
Photographie, Printemps, Années 1910, Art nouveau (décoration), Art nouveau (architecture), Architecture, Paris (France) -- Boulevard Haussmann, Coupoles
Coupole du salon de thé du magasin du Printemps, Boulevard Haussmann à Paris. Le nouveau magasin est dominé par une coupole qui éclaire un grand hall de 42 mètres de hauteur, et comprend également un escalier central à quatre révolutions d'inspiration Art Nouveau. En 1905, un nouveau slogan apparaît dans les catalogues publicitaires : « Les magasins du Printemps sont les plus élégants de Paris. »
Photographie, Printemps, Vitraux civils, Art nouveau (décoration), Art nouveau (architecture), Architecture, Paris (France) -- Boulevard Haussmann, Coupoles
Coupole du Printemps, boulevard Haussmann à Paris. En 1907, Laguionie se lance à la construction d'un nouveau bâtiment qui, en 1908, ouvre déjà plusieurs de ses nouvelles galeries à l'angle des rues Caumartin et de Provence. Il est relié au magasin plus ancien par un sous-sol. C'est en avril 1910 qu'a lieu l'inauguration de ce qui est appelé les Nouveaux Magasins. À l'époque ils occupent environ la moitié de la surface des magasins actuels du Printemps Haussmann. Le style du nouveau bâtiment, coiffé d'une coupole et d'une terrasse, est assez proche de celui du magasin de Sédille pour conserver une certaine homogénéité. Mais une fois de plus, les innovations architecturales ne passent pas inaperçues : le nouveau hall octogonal est perçu comme audacieux, la ferronnerie des balcons et des rampes d'escalier est une réalisation de style art nouveau, l'éclairage du nouveau bâtiment étonne, et les trois nouveaux ascenseurs rapides émerveillent les visiteurs.
Photographie, Printemps, Vitraux civils, Art nouveau (décoration), Art nouveau (architecture), Paris (France) -- Boulevard Haussmann, Coupoles
Coupole de la brasserie du Printemps Haussmann - Paris IXème arrondissement.
Photographie, Incendies, Dix-neuvième siècle, Paris (France) -- Boulevard Haussmann, Services des incendies
L'incendie du Printemps Haussmann en 1881 : vue des toits incendiés.
Photographie, Printemps, Vitraux civils, Années 1910, Art nouveau (décoration), Art nouveau (architecture), Architecture, Paris (France) -- Boulevard Haussmann, Coupoles
La coupole du Printemps, salle du restaurant, boulevard Haussmann à Paris.
Photographie, Printemps, Belle Époque, Architecture, Paris (France) -- Boulevard Haussmann, René Binet (1866-1911)
"Au printemps, Grands magasins du printemps", façade du grand magasin parisien sur le Boulevard Haussmann, le Printemps de la mode, situé côté numéros pairs du boulevard Haussmann, dont l'architecte fut René Binet (1866-1911). La première pierre est posée au mois de mai 1907 et le nouveau magasin est inauguré en avril 1910.
Photographie, Printemps, Métros, Nuit, Paris (France) -- Boulevard Haussmann, Noctambules, Stations de métro
Station de métro Havre-Caumartin et magasin du Printemps de nuit, Boulevard Haussmann.
Photographie, Printemps, Affiches de publicité, Paris (France) -- Boulevard Haussmann, Campagnes publicitaires
Coupole du Printemps Haussman à Paris : affiche publicitaire pour une marque de montres suisses.
Photographie, Printemps, Dix-neuvième siècle, Architecture, Toitures, Paris (France) -- Boulevard Haussmann, Épis (architecture), Paris (France) -- Opéra Garnier, Paul Sédille (1836-1900)
Epi de toiture en zinc de l'architecte Paul Sédille (1836-1900), constructeur Perin-Grados, 1882, du Printemps Haussmann avec l'Opéra Garnier en arrière-plan, vus depuis la terrasse panoramique - Paris IXème arrondissement. Paul Sédille est l'architecte des Magasins du Printemps à Paris, théoricien de la polychromie architecturale, et avocat du "réalisme architectural" basé sur l'œuvre de Gottfried Semper.
Le boulevard du Temple (1862) avec, de gauche à droite, le Théâtre historique, le Cirque olympique, les Folies dramatiques, la Gaîté, les Funambules, les Délassements comiques. « Boulevard du Crime » est le surnom donné au XIXe siècle à cause des théâtres mélodramatiques dans lesquels étaient fréquemment représentés des crimes. Tous ces théâtres étaient situés sur la partie Est du boulevard. Ils ont été détruits lors de la réorganisation de Paris par le baron Haussmann en 1862. Seules les Folies-Mayer échappent à la démolition lors de la création de la place de la République — car situées sur le trottoir opposé à celui où elles se trouvent aujourd'hui sous le nom de théâtre Déjazet. Source : Wikipédia.