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Photographie, Dijon (Côte-d'Or), Silex, Travail du silex, Reconstitutions historiques, Musées archéologiques, Archéologie -- Musées, Archéologie -- Techniques, Paléolithique
Reconstitution d'un atelier de taille de silex (Alain Roussot), Musée archéologique de Dijon, reportage Marie Sartori 20160224.
Photographie, Outils, Aiguilles et épingles préhistoriques, Gourdan-Polignan (Haute-Garonne), Grottes préhistoriques, Objets en os
Aiguille à chas plate en os. Localité : Grotte de Gourdan, Gourdan–Polignan (Haute-Garonne) ; étage : Magdalénien, Paléolithique supérieur (de 17 000 à 10 000 ans avant notre ère) ; Muséum de Toulouse ; Taille 59x3x2 mm.
Photographie, Aiguilles et épingles, Antiquités préhistoriques, Gourdan-Polignan (Haute-Garonne), Objets en os, Industrie de l'os
Aiguille à chas plate en os ; Localité : Grotte de Gourdan, Gourdan–Polignan, Haute-Garonne ; Etage : Magdalénien, Paléolithique supérieur (de 17 000 à 10 000 ans avant notre ère) ; Muséum de Toulouse - MHNT.PRE.2009.0.246.1 – Taille 59x3x2 mm. Vues du même objet.
Photographie, Préhistoire, Aiguilles et épingles, Magdalénien, Matériaux, Aiguilles et épingles préhistoriques, Gourdan-Polignan (Haute-Garonne), Os
Aiguille à chas plate en os – Gourdan, Gourdan-Polignan, Haute-Garonne - Magdalénien, Paléolithique supérieur (de 17 000 à 10 000 ans avant le présent) - Muséum de Toulouse - MHNT.PRE.2009.0.246.1 – Taille 59 × 3 × 2 mm. Trois vues du même objet. Avec les premiers outils en pierre, les chasseurs-cueilleurs, ont pu exécuter différentes tâches, dont la découpe de la viande, la fracture des os pour accéder à la moelle osseuse, la coupe du bois, l'ouverture des noix, le dépouillement des carcasses animales pour récupérer la peau, et, par la suite, la fabrication d'autres outils avec des matériaux plus tendres comme l'os et le bois.
Le Bouquetin alpin (Capra ibex) est une espèce de mammifère de la famille des bovidés, de l'ordre des artiodactyles et de la sous-famille des caprinés. Il y a 100 000 ans, le bouquetin vivait dans toutes les régions rocheuses d'Europe centrale. Il est même source d'inspiration pour les hommes du Paléolithique supérieur qui le peignent dans de nombreuses grottes à l'instar de celle de Lascaux. Jusqu'au milieu du XVe siècle, il était encore répandu dans tout l'Arc alpin, mais le développement des armes à feu signe très vite la fin de cet habitant des Alpes. L'animal, facile à approcher et à chasser, est alors consommé pour sa viande. De plus, la médecine de l'époque toute empreinte de superstitions, lui est alors fatale : les cornes broyées en poudre sont alors utilisées comme remède contre l'impuissance, son sang comme remède contre les calculs urinaires, son os en forme de croix situé au niveau du cœur comme talisman. Enfin l'estomac est utilisé pour vaincre les dépressions. Aussi appelé bouc, il mesure entre 75 et 90 cm au garrot pour une longueur, du museau à la queue, comprise entre 1,40 et 1,60 mètre. Son poids varie en fonction des saisons, s'établissant entre 65 et 100 kilogrammes. Si, comme son nom l'indique, il se rencontre principalement dans l'arc alpin, il existe d'autres espèces de bouquetins dans d'autres massifs montagneux, par exemple le bouquetin d'Espagne ou des Pyrénées, Capra pyrenaica. Sept autres espèces de chèvres sauvages vivent également dans le Caucase, en Asie centrale, au Proche-Orient, dans la péninsule arabique ainsi que dans les régions montagneuses de l'Afrique, du Soudan et de l'Éthiopie.
Dessins et plans, Bisons, Altamira (Espagne), Grottes d', Art pariétal préhistorique, Controverses historiques, Émile Cartailhac (1845-1921), Marcelino Sanz de Sautuola (1831-1888)
Relevé du plafond aux polychromes publié par M. Sanz de Sautuola en 1880 (d'après Cartailhac, 1902). Les peintures d'Altamira ont été découvertes en 1879, lors de fouilles conduites par Marcelino Sanz de Sautuola. La grotte était connue depuis 1868 et Sanz de Sautuola y effectuait des visites depuis 1876. Il avait observé la présence de dessins géométriques sur les parois sans y accorder d'importance mais c'est sa fillette Maria, alors âgée de huit ans, qui remarqua la première la présence de «toros» dessinés au plafond. Sanz de Sautuola publia dès 1880 « Brèves notes sur quelques objets préhistoriques de la province de Santander ». Émile Cartailhac avait été un des plus grands adversaires de l'authenticité d'Altamira. À partir de 1895, la découverte de gravures et de peintures dans les grottes françaises de la Mouthe, des Combarelles et de Font-de-Gaume, lui firent reconsidérer sa position. Après avoir visité les grottes, il écrivit dans la revue L'Anthropologie (1902) un article intitulé « La grotte d'Altamira. Mea culpa d'un sceptique ». Après cet article le caractère paléolithique des peintures d'Altamira fut universellement reconnu.
Photographie, Bijoux préhistoriques, bovidés, Grottes préhistoriques, Incisives, Gargas (Haute-Garonne), Culture gravettienne, Gravettien
Incisive de bovidé en ivoire percée de la grotte de Gargas, entre - 29 000 et - 22 000 avant le présent (Paléolithique supérieur - Gravettien).
Photographie, Cheval, Préhistoire, Grottes, Cheval -- Dans l'art, Relief (sculpture), Tête, Oeuvres -- Sculpture
Tête de cheval, paléolithique, musée des antiquités nationales, saint Germain en Laye.