Transfert en cours..., vous êtes sur le "nouveau" serveur data.abuledu.org dont l'hébergement est financé par l'association abuledu-fr.org grâce à vos dons et adhésions !
Vous pouvez continuer à soutenir l'association des utilisateurs d'AbulÉdu (abuledu-fr.org) ou l'association ABUL.
Suivez la progression de nos travaux et participez à la communauté via la liste de diffusion.

Votre recherche ...

Nuage de mots clés

Dessins et plans | Photographie | Biologie | Textes | Sports -- Matériel | Parachutisme | Théories du vivant | Saut en parachute | Vie (biologie) | Articles de sport | Sécurité -- Mesures | Sécurité -- Dispositifs | Plantes -- Populations | Cartes du monde | Paysages | Biocénoses -- Structure trophique | Biocénoses | ADN | Biosphère | Biomes | ...
Cartographie mondiale du développement en 2008. Source : http://data.abuledu.org/URI/50e756ba-cartographie-mondiale-du-developpement-en-2008

Cartographie mondiale du développement en 2008

L'indice de développement humain (IDH) est un indice statistique composite, créé par le Programme des Nations unies pour le développement (PNUD) en 1990 pour évaluer le niveau de développement humain des pays du monde. L'IDH se fonde sur trois critères majeurs : l'espérance de vie à la naissance, le niveau d'éducation, et le niveau de vie.

Appelations viticoles en bordelais. Source : http://data.abuledu.org/URI/506b5afb-appelations-viticoles-en-bordelais

Appelations viticoles en bordelais

La notion de terroir signifie que les vins d'une région sont uniques, et qu'ils ne peuvent être reproduits en dehors de cet endroit, même si la variété des raisins et des techniques de vinification sont minutieusement répétées : AOC. Le climat, le type de sol et la topographie : L'action du climat sur le terroir peut généralement être définie en trois parties. Le macroclimat qui représente une grande superficie homogène, le mésoclimat qui se concentre sur une plus petite partie et enfin le microclimat qui se situe au niveau d'une parcelle. Le type de sol se rapporte à la fois à la composition et à la nature intrinsèque de la terre, comme la proportion d'argiles, de sables ou de limons, la fertilité, le drainage et la capacité à conserver la chaleur. Enfin, la topographie définit les caractéristiques naturelles du paysage, comme les reliefs, les vallées et les cours d'eau. La topographie d'un lieu influe sur le terroir via le climat qu'elle favorise ou non, l'altitude, l'orientation et la pente.

Changement de couleur d'une feuille de vigne en automne. Source : http://data.abuledu.org/URI/52784da1-changement-de-couleur-d-une-feuille-de-vigne-en-automne

Changement de couleur d'une feuille de vigne en automne

Changement de couleur d'une feuille de vigne au automne (octobre 2004) : les nervures sont restées vertes tandis que les autres tissus sont devenus rouges. À la fin de l'été, les nervures qui assurent le transport de fluides vers l'intérieur et l'extérieur de la feuille sont progressivement obstruées par un bouchon de liège à la base des feuilles, à l'endroit où précisément le pétiole se brisera. Avec le développement de cette couche de liège, l'afflux d'eau et de minéraux se réduit de plus en plus rapidement. C'est durant cette période que le niveau de chlorophylle commence à décroître. C'est alors que les autres pigments, qui étaient présents dans les cellules durant toute la vie de la feuille, commencent à être visibles. Ce sont les caroténoïdes, qui émettent dans des couleurs jaunes, rouges, brunes et orange.

L'île de Tombelaine depuis le Mont Saint-Michel. Source : http://data.abuledu.org/URI/5357c400-tombelaine

L'île de Tombelaine depuis le Mont Saint-Michel

Tombelaine est un îlot granitique situé dans la baie du mont Saint-Michel, sur la rive droite du chenal de la Sée, à quelques kilomètres au nord du mont Saint-Michel. L'important marnage (plus de 10 mètres) de la baie permet à cet îlot d'être atteint à pied sec par basse mer (3,5 km depuis la côte du Cotentin au nord-est). L'îlot culmine à 45 mètres. Ses dimensions sont de 250 mètres de long pour 150 de large, avec une superficie de 0.40 km2. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Tombelaine

La mante religieuse en été. Source : http://data.abuledu.org/URI/510d52a8-la-mante-religieuse-en-ete

La mante religieuse en été

De l'oothèque à l'accouplement, le cycle de vie de la mante religieuse, à partir des observations de Jean-Henri Fabre (1829-1915), Souvenirs entomologiques. Niveau cycle 3 ; 943 mots.

Le cycle du manchot empereur. Source : http://data.abuledu.org/URI/510d659c-le-cycle-du-manchot-empereur

Le cycle du manchot empereur

Description du cycle de vie du manchot empereur. Niveau CE1-CE2. 863 mots.

Le wagon de troisième classe. Source : http://data.abuledu.org/URI/514ec277-le-wagon-de-troisieme-classe

Le wagon de troisième classe

Le wagon de troisième classe, 1862, par Honoré Daumier (1808-1879). Le Wagon de troisième classe est le titre d'un tableau d'Honoré Daumier, peint en 1864, dans lequel l'artiste dénonce la pauvreté. Il appartient au Musée des beaux-arts du Canada d'Ottawa1 qui l'a acquis 1946. Cette représentation du réel est dérangeante, non pas tant par ce qui est montré, les personnages, les vêtements, ces enfants misérables, que par la force des regards. Les yeux sombres de la femme au panier, au premier plan, fixant le spectateur de l'œuvre, paraissent terriblement accusateurs et traduisent le profond désarroi qui habite ces petites gens, dans leur vie de souffrance et de misère. Avant 1956, les Chemins de fer proposaient trois classes : la deuxième classe, confortable sans le luxe de la première, accueillait les voyageurs de la petite-bourgeoisie (commerçants, fonctionnaires, rentiers etc). La troisième classe a été supprimée, face à l'élévation générale du niveau de vie. Cette disposition en trois classes (et plus) existe toujours dans de nombreux pays du monde. Pour les bateaux, elle demeure plus rare. Cette classe était principalement réservée à l'émigration à la fin du XIXe siècle et au début du XXe siècle.

Niveau d'Organisation et d'Intégration du Vivant. Source : http://data.abuledu.org/URI/50b7f09c-niveau-d-organisation-et-d-integration-du-vivant

Niveau d'Organisation et d'Intégration du Vivant

Graphique représentant les différents niveaux d'organisation ou d'intégration du vivant. Il ne s'agit pas d'une hiérarchie, mais d'une présentation simplifiée, des niveaux étudiés par les biologistes et écologues : biosphère, biomes, paysages, écosystèmes, biocénoses, communautés, populations, individus, organes, cellules, molécules/ADN.

Parachutisme de secours - 2. Source : http://data.abuledu.org/URI/5399aade-parachutisme-de-secours-2

Parachutisme de secours - 2

Les élévateurs après une libération. La libération est la première étape de la procédure de secours (PDS). Elle consiste à désolidariser les élévateurs de la voile principale du sac-harnais via le système trois anneaux. Les élévateurs (à droite en bleu), les suspentes (blanches), le glisseur de la voile principale (en bleu au niveau des suspentes) et les commandes de la voile principale (en jaune, au niveau des élévateurs). La corde noire sur l'élévateur à droite de l'image est le LOR qui ouvre la voile de secours dès que la voile principale est libérée. Mais il faut tout de même tirer sur la poignée d'ouverture du secours car le LOR est désactivable.

Répartition mondiale des espèces de reptiles. Source : http://data.abuledu.org/URI/50f73011-repartition-mondiale-des-especes-de-reptiles

Répartition mondiale des espèces de reptiles

Répartition mondiale du nombre d'espèces de reptiles par continents. Les reptiles sont présents sur quasiment l'intégralité de la surface du globe, à l'exception des zones trop froides à proximité des pôles. Comme ce sont des animaux à sang froid, ils préfèrent tout de même les températures assez élevées, et leur présence et leur diversité deviennent plus importante à proximité des tropiques. Ainsi, les continents les plus riches en reptiles sont l'Asie, l'Afrique et l'Amérique du Sud. Les reptiles peuvent s'adapter à des habitats très différents. On les trouve très présents dans les forêts tropicales, avec une très forte diversité d'espèces, mais ils peuplent également les déserts, où l'on retrouve des lézards et des serpents qui s'abritent durant la journée et sortent la nuit. Dans les zones montagneuses les lézards aiment se cacher dans des amas de pierres, et certains serpents se sont spécialisés dans les zones d'altitude comme la Vipère d'Orsini (Vipera ursinii) que l'on trouve dans les hautes montagnes d'Europe à des altitudes avoisinant 2 000 m. Certains reptiles sont dits fouisseurs et passent une partie de leur vie sous la terre comme les amphisbènes. Les reptiles ont également colonisé les milieux aquatiques : les crocodiliens, certaines tortues comme la Cistude d'Europe et certains serpents comme l'anaconda, le Mocassin d'eau et les couleuvres sont à leur aise dans les rivières et lacs d'eau douce, quand les tortues marines sont présentes dans tous les océans du monde, et ne rejoignent la terre ferme que pour se reproduire. Les serpents marins représentent un niveau d'adaptation supérieur, puisqu'ils ne retournent plus du tout à terre pour la plupart d'entre eux, et ont adopté un cycle de vie exclusivement marin. De nombreuses espèces ont des mœurs arboricoles, comme les serpents ou les lézards. Certains peuvent se déplacer d'arbre en arbre en « planant » comme les dragons volants et dans une moindre mesure certains serpents comme les couleuvres volantes.

Schéma d'éolienne. Source : http://data.abuledu.org/URI/50cb7fcf-schema-d-eolienne

Schéma d'éolienne

Schéma d'éolienne de type aérogénérateur : une éolienne est un dispositif qui transforme l'énergie cinétique du vent en énergie mécanique. Le plus souvent cette énergie est elle-même transformée en énergie électrique. Les éoliennes produisant de l'électricité sont appelées aérogénérateurs. Une éolienne se compose des éléments suivants : un mât, qui permet de placer le rotor à une hauteur suffisante pour permettre son mouvement (nécessaire pour les éoliennes à axe horizontal) ou placer ce rotor à une hauteur lui permettant d'être entraîné par un vent plus fort et régulier qu'au niveau du sol. Le mât abrite généralement une partie des composants électriques et électroniques (modulateur, commande, multiplicateur, générateur, etc.) ; une nacelle montée au sommet du mât, abritant les composants mécaniques, pneumatiques, certains composants électriques et électroniques, nécessaires au fonctionnement de la machine. La nacelle peut tourner pour orienter la machine dans la bonne direction ; un rotor, composé de plusieurs pales (en général trois) et du nez de l'éolienne, fixé à la nacelle. Le rotor est entraîné par l'énergie du vent, il est branché directement ou indirectement (via un multiplicateur de vitesse à engrenages) au système mécanique qui utilisera l'énergie recueillie (pompe, générateur électrique...).

Théâtre de marionnettes. Source : http://data.abuledu.org/URI/50e96105-theatre-de-marionnettes

Théâtre de marionnettes

Théâtre de marionnettes italien. Le théâtre de marionnettes est une sorte de théâtre d'effigie. La représentation n’y est pas assurée par des comédiens en chair et en os, mais par des figurines (les marionnettes), voire par de simples objets, manipulés en temps réel par des marionnettistes (ou manipulateurs). Pour les marionnettes à fils, les figurines sont suspendues à des fils par plusieurs points d’attache (notamment au niveau des bras et des jambes). Le manipulateur peut ainsi leur donner vie par des mouvements en apparence très simples, mais qui nécessitent une véritable connaissance du métier. Ce type de marionnette est aussi appelé fantoche.

Tour Santa Maria. Source : http://data.abuledu.org/URI/51caa65a-tour-santa-maria

Tour Santa Maria

Tour génoise Santa Maria, Cap Corse : 1) guardiola, 2) terrasse, 3) salle de garde, 4) salle de repos, 5) réserves. Les tours génoises sont des édifices en pierre de 12 à 17 m de haut sur 8 à 10 m de diamètre. Parfois carrées, le plus souvent circulaires, elles sont toujours construites sur quatre niveaux : 5) la réserve : au sous-sol de la tour ; une niche servait à ranger les vivres ; on y stockait également les munitions ; et l'eau y était conservée dans une citerne, alimentée depuis la terrasse par une conduite directe ; 4) la salle de repos : au premier étage ; parfois séparée de la salle de garde par un simple plancher sommaire et formant avec elle un espace de vie unique ; 3) la salle de garde : au deuxième étage ; percée de meurtrières pour permettre aux torregiani de guetter ; 2) la terrasse : au sommet de la tour ; pour la surveillance ; percée de mâchicoulis ou munie de bretèches, était flanquée d'une guardiola. On passait d'un niveau à l'autre par des trappes et des échelles. L'accès à la porte d'entrée se faisait par une longue échelle mobile, directement au premier étage. Les gardes habitaient à tour de rôle la pièce unique pourvue de niches et d'une cheminée, et située sous la salle de guet.

Turboréacteur. Source : http://data.abuledu.org/URI/50c83ec3-turboreacteur

Turboréacteur

Schéma de turboréacteur d'avion typique (simple flux, simple corps). L'air est comprimé par les pales en entrant dans le réacteur, puis est mélangé avec le carburant qui brûle dans la chambre de combustion. Les gaz d'échappement donnent une forte poussée en avant et font tourner les turbines qui actionnent les pales de compression. Un turboréacteur fonctionne sur le principe d'action-réaction. La variation de vitesse de l'air entre l'entrée et la sortie du réacteur crée une quantité de mouvement (dénommée poussée) vers l'arrière du moteur qui, par réaction, — d'où le terme de moteur à réaction — engendre le déplacement du moteur, donc du véhicule sur lequel il est fixé, vers l'avant. Le turboréacteur fonctionne sur le principe des turbines à gaz. À l'admission, l'air est aspiré par la soufflante (le cas échéant) puis comprimé via un compresseur (dans tous les cas). Du kérosène est ensuite injecté puis mélangé avec l'air au niveau de la chambre de combustion puis enflammé, ce qui permet de fortement dilater les gaz. Ces derniers s'échappent du turboréacteur par la tuyère qui, en raison de sa section convergente, augmente la vitesse de l'air (suivant l'effet venturi) (l'écoulement étant maintenu subsonique au sein du réacteur). L'air passe au préalable par une turbine permettant d'entraîner le compresseur et les accessoires nécessaires au fonctionnement du réacteur ; le mouvement est auto-entretenu tant qu'il y a injection de carburant. En simplifiant, l'énergie de pression engendrée au sein du réacteur sera transformée en énergie cinétique en sortie, ce qui engendrera une forte poussée. À l'image des moteurs automobile, le turboréacteur réalise ainsi un cycle continu à quatre temps — admission, compression, combustion et détente/échappement — théoriquement décrit par le cycle de Brayton. Ce cycle est constitué d'une compression adiabatique réversible, d'une combustion isobare irréversible (le réacteur étant considéré comme un système ouvert), d'une détente adiabatique réversible et d'un refroidissement isobare réversible.