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Peinture | Botanique | Plantes | Photographie | Botanique -- Nomenclature | Fleurs | Orchidées | Nectar (botanique) | Asclepiadaceae | Aquarelles | Fleurs dans l'art | Asclépiadacées | Jules Eudes (1856-1938) | Printemps | Flore | Aquarellistes | Liliacées | Plantes des jardins | Lierres | Pollinisation par les insectes | ...
Fourmi sur Népenthes. Source : http://data.abuledu.org/URI/52094c59-fourmi-sur-nepenthes

Fourmi sur Népenthes

Fourmi buvant le nectar du péristome de l'urne d'une Népenthes rafflesiana (Nepenthaceae). Parc National de Bako, Etat de Sarawak, Ile de Bornéo.

Trichode des ruches ou clairon. Source : http://data.abuledu.org/URI/54156d7f-trichode-des-ruches-ou-clairon

Trichode des ruches ou clairon

Trichode des ruches ou clairon (Trichodes alvaerius) sur une Vipérine commune (Echium vulgare), plante mellifère. L'attirance des abeilles, bourdons et papillons pour cette plante est exceptionnelle. Elle leur fournit un abondant nectar pendant plusieurs semaines consécutives. Un hectare de vipérine fournit 300 à 400 kg d'un excellent miel. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Vip%C3%A9rine_commune

Aristoloche clématite. Source : http://data.abuledu.org/URI/506f1f0a-aristoloche-clematite

Aristoloche clématite

Planche botanique N° 284 de l'Atlas des PLantes de France de Masclef, 1894 : Aristoloche clématite (Aristolochia clematitis). C'est une plante herbacée (20 à 80 cm) à tige dressée et anguleuse. Les feuilles sont larges et cordiformes (en forme de cœur). Le fruit de 5 cm de diamètre est une petite capsule en forme de poire. L'Aristoloche clématite possède également des stolons souterrains. Les fleurs de l'Aristoloche clématite sont jaunes et dégagent une odeur désagréable. Elles forment un tube d'environ 3 cm, par lequel les insectes pénètrent, attirés par le nectar. Le « piège » ainsi formé contient le pistil et les étamines, organes mâles et femelles de la plante. Les insectes pollinisateurs sont principalement des petites mouches. Une fois dans le réceptacle, les pollinisateurs ne peuvent s'échapper à cause des poils du conduit orientés vers le bas. Ces insectes vont donc se charger du pollen contenu dans les anthères. Les poils se fanent alors, ce qui libère les insectes. Ceux-ci véhiculent à leur insu les gamètes mâles de la plante vers un autre individu, et assurent ainsi la reproduction de l'espèce. L'Aristoloche clématite possède de l'acide aristolochique au niveau de ses parties souterraines. Cette molécule est toxique pour l'homme avec de multiples conséquences.

Callune ou bruyère. Source : http://data.abuledu.org/URI/5058d8b7-callune-ou-bruyere

Callune ou bruyère

Planche botanique de callune (Calluna vulgaris), Atlas des Plantes de France, 1891. Cette plante vivace est parfois appelée : Béruée, Brande, Bruyère commune, Bucane, Fausse Bruyère, Grosse Brande, Péterolle ou Bruyère callune. C'est la fleur nationale de la Norvège. Le nom « Calluna » vient du grec ancien « καλλύνω », kallúnô, qui signifie « orner, parer, embellir ». Dans les landes bretonnes, elle éloigne les esprits fantomatiques. En Écosse, si une jeune fille trouve un brin de bruyère blanche, elle est sûre de se marier dans l'année1. Plante mellifère, la bruyère est utilisée en apiculture car son nectar contient 24 % de sucre, principalement du saccharose, chaque fleur produisant une moyenne de 0,12 mg de sucre par jour.

Capucines jaunes. Source : http://data.abuledu.org/URI/53ee7caa-capucines-jaunes

Capucines jaunes

La Grande Capucine ou Capucine (Tropaeolum majus) est une plante herbacée annuelle ou vivace de la famille des Tropaéolacées et du genre Tropaeolum. Cette plante ornementale et comestible est probablement un hybride originaire d'Amérique du Sud. Elle a été introduite en France en provenance du Pérou à la fin du XVIIe siècle. Dans son pays d'origine, le Pérou, la capucine est pollinisée par les oiseaux-mouches. En Europe, les bourdons s'acquittent de cette tâche. Mais la fleur secrète son nectar tout au bout d'un interminable éperon. Certains bourdons, dont la langue est trop courte, n'hésitent pas à percer un trou sur le côté pour accéder au nectar (vol de nectar). Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Grande_capucine

Epipactis à large feuilles et Listère à feuilles ovales. Source : http://data.abuledu.org/URI/5063ffde-epipactis-a-large-feuilles-et-listere-a-feuilles-ovales

Epipactis à large feuilles et Listère à feuilles ovales

Planche botanique de l'Atlas des Plantes de France, 1891 présentant deux orchidées. A- L'épipactis à larges feuilles, (Epipactis helleborine subsp. helleborine), est une plante herbacée vivace de la famille des Orchidacées que l'on rencontre en forêt ou spontanément dans les parcs et jardins des villes et campagnes. Les pollinisateurs confirmés sont des fourmis, mouches, coléoptères (Cantharis rustica...), des bourdons et des guêpes (Vespula vulgaris, Dolichovespula sylvestris...). La plante produit du nectar facilement accessible aux visiteurs en tout genre, son hypochile nectarifère ayant une forme de coupe. Aire de répartition : eurasiatique, se répand dans le quart nord-est des États-Unis depuis 150 ans. Espèce courante en France, sauf dans les départements du Finistère, du Gers et des Landes. B- Listère à feuilles ovales (Listera ovata), Orchidacée terrestre européenne.

Epipactis à larges feuilles. Source : http://data.abuledu.org/URI/50640152-epipactis-a-larges-feuilles

Epipactis à larges feuilles

Planche botanique de l'Atlas des Plantes de France, 1891. L'épipactis à larges feuilles, (Epipactis helleborine subsp. helleborine), est une plante herbacée vivace de la famille des Orchidacées que l'on rencontre en forêt ou spontanément dans les parcs et jardins des villes et campagnes. Les pollinisateurs confirmés sont des fourmis, mouches, coléoptères (Cantharis rustica...), des bourdons et des guêpes (Vespula vulgaris, Dolichovespula sylvestris...). La plante produit du nectar facilement accessible aux visiteurs en tout genre, son hypochile nectarifère ayant une forme de coupe.

Fleur de Ceropegia racemosa au Burkina Faso. Source : http://data.abuledu.org/URI/548a005e-fleur-de-ceropegia-racemosa-au-burkina-faso

Fleur de Ceropegia racemosa au Burkina Faso

Ceropegia racemosa, Forêt Classée de la Kou, SW du Burkina Faso. Elles comportent toutes d'étranges fleurs tubuleuses et, la plupart du temps, des pétales soudés à leurs extrémités ne laissant que des ouvertures latérales. Les pollinisateurs doivent donc emprunter parfois un circuit compliqué pour atteindre le nectar à la base de la fleur.

Fritillaire impériale. Source : http://data.abuledu.org/URI/53ad673d-fritillaire-imperiale

Fritillaire impériale

Fritillaire impériale, Jules Eudes (1856-1938), aquarelliste français qui signait ses œuvres JEUDES, dans : A. Guillaumin, "Les Fleurs de Jardins", tome I, Les fleurs de printemps, Paul Lechevalier, 1929. La fritillaire impériale (Fritillaria imperialis) encore appelée couronne impériale est une plante herbacée vivace de la famille des Liliacées. Le nom ancien de la couronne impériale était Larmes de Marie. Son nom persan (gole achke) signifie la fleur qui pleure. L'inflorescence est composée d'un verticille de fleurs en forme de clochettes disposées au sommet de la tige et tournées vers le bas, surmontée d'une houppe de bractées constituant la « couronne » (d'où le nom vernaculaire de la plante). La variété sauvage possède des fleurs orangées, alors que les couleurs des variétés cultivées varient du rouge écarlate au jaune. Elle possède une odeur particulière qui éloigne souris, taupes et autres rongeurs. Dans l'hémisphère nord, la floraison a lieu aux mois d'avril et de mai. Au XVIIe siècle, cette fleur faisait l'objet de compétitions acharnées entre collectionneurs, tous cherchant à multiplier le nombre des fleurs ou celui des étages de clochettes. Chacun des six tépales porte à sa base, une petite tache. Il s'agit de nectaires sécrétant des gouttes de nectar. Elle fut découverte en 1580 par le botaniste français Charles de L'Écluse. Mais l'on dit qu’elle était déjà cultivée dans les jardins du sultan ottoman Soliman le Magnifique. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Fritillaire_imp%C3%A9riale

Lierre terrestre. Source : http://data.abuledu.org/URI/5071cbd3-lierre-terrestre

Lierre terrestre

Planche botanique N°261 de l'Atlas des Plantes de France de Masclef, 1894 : Lierre terrestre (Glechoma hederacea). Toute la plante émet une odeur balsamique agréable, et a un goût aromatique rappelant la menthe avec une pointe d'amertume ou d'âcreté pour les feuilles et tiges ; la fleur est plus suave. C'est une plante mellifère dont le goût peut relever les salades ou les soupes. Les fleurs servent parfois pour décorer les gâteaux. Sa floraison précoce en mars-avril et durant jusqu'à l'automne, en fait l'une des premières fleurs de l'année et d'autant plus précieuse pour les insectes se nourrissant de nectar et notamment les bourdons. Elle a longtemps servi à clarifier, aromatiser et préserver la bière, avant l'utilisation du houblon. L'un de ses noms communs liés à la fabrication de la bière en anglais, est « gill », qui vient du français « guiller » (dit de la bière en fermentation). Elle a également été longtemps considérée comme une panacée : La « couronne de terre » est toute bénéfique. Placée sous la couche des jeunes mères, avec d'autres herbes, elle leur redonne des forces après le travail de l'enfantement d'après la tradition.

Syrphe ceinturé sur une pâquerette. Source : http://data.abuledu.org/URI/53adab9a-syrphe-ceinture-sur-une-paquerette

Syrphe ceinturé sur une pâquerette

Syrphe ceinturé (Episyrphus balteatus) sur une pâquerette. Ses œufs sont pondus dans des colonies de pucerons. Les larves qui en émergent se nourrissent alors uniquement de ces insectes. Les adultes, quant à eux se nourrissent de nectar et de miellat. On le confond souvent avec les guêpes, mais le syrphe est inoffensif. Son seul moyen de défense, est son extraordinaire rapidité, qui lui permet de s'éclipser en moins d'une seconde. On le retrouve près des conifères, tels que les pins et les sapins, il est commun dans les jardins. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Syrphe_ceintur%C3%A9