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Photographie | Animaux -- Nage | Canards | Canetons | Animaux -- Dans l'art | Dessins et plans | Albums pour enfants | Lotus des Indes | Gravure | Tigre | Rivières | Nage animale | Oie cendrée | Ponts | Vol animal | Musique | Jade | Boeufs | Mythologie grecque | Ornithologie | ...
Alice et la mare de larmes. Source : http://data.abuledu.org/URI/532d71d8-alice-et-la-mare-de-larmes

Alice et la mare de larmes

Alice et la mare de larmes, illustration d'Arthur Rackham (1867-1939) : "Il était grand temps de s’en aller, car la mare se couvrait d’oiseaux et de toutes sortes d’animaux qui y étaient tombés. Il y avait un canard, un dodo, un lory, un aiglon, et d’autres bêtes extraordinaires. Alice prit les devants, et toute la troupe nagea vers la rive."

La grande course - 15. Source : http://data.abuledu.org/URI/555e0fb7-la-grande-course-15

La grande course - 15

"La Grande Course" - album de Cyri-L, avril 2015 : conte des origines du zodiaque chinois revisité. Le tigre traverse la rivière des lotus à la nage, sous l'oeil admiratif des neuf animaux.

Cane et canetons. Source : http://data.abuledu.org/URI/53296511-cane-et-canetons

Cane et canetons

Une cane suivie de ses cinq canetons.

Cane et canetons. Source : http://data.abuledu.org/URI/5329657c-cane-et-canetons

Cane et canetons

Une cane suivie de ses cinq canetons.

Cane et canetons barbotant. Source : http://data.abuledu.org/URI/53296bb4-cane-et-canetons-barbotant

Cane et canetons barbotant

Cane et canetons barbotant.

Cane et ses quinze canetons. Source : http://data.abuledu.org/URI/53296c3f-cane-et-ses-quinze-canetons

Cane et ses quinze canetons

Cane et ses quinze canetons.

Capybara au bord de l'eau au Venezuela. Source : http://data.abuledu.org/URI/5383a4d3-capybara-au-bord-de-l-eau-au-venezuela

Capybara au bord de l'eau au Venezuela

Un Capybara (Hydrochaeris hydrochaeris). Photo prise dans le Modulo Chititera, dans les plaines (Llanos) de l'État d'Apure (Venezuela). Rongeur qui mène la vie d'un mammifère social et semi-aquatique. Le capybara nage très bien et vit en groupe, les adultes s'organisant pour garder les petits. Le nom de "capybara" vient de "capivara", mot qui signifie "Seigneur des herbes" dans la langue des indiens Guaranis. Un capybara adulte mesure entre 105 et 135 centimètres de long et pèse de 35 à 65 kilogrammes. C'est le plus gros rongeur du monde. Le corps du capybara est couvert de poils durs bruns et sa tête a un large museau. Ses yeux sont petits et situés au-dessus du nez qui est surmonté à son tour par une glande qui sert à marquer les objets avec ses sécrétions. Ses oreilles sont petites et arrondies. Il n'a pas de queue. Ses pattes de devant ont 4 doigts, celles de derrière ont 3 doigts. Il laisse des traces très caractéristiques sur les sols humides. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Capybara

Empreinte d'élan. Source : http://data.abuledu.org/URI/516d726d-empreinte-d-elan

Empreinte d'élan

Empreinte d'élan. Son pied composé de 4 sabots par patte, reliés pour partie par une membrane interdigitaire qui lui permet de moins s’enfoncer dans les sédiments et sols mous que d’autres espèces (charge de 420 à 440 g/cm2, contre 750 pour un bovin et 800 pour un cheval). Cet animal, capable de traverser des lacs et fleuves importants à la nage en Amérique du Nord, est le seul mammifère cervidé capable de brouter des végétaux aquatiques, la tête sous l’eau. Il semble donc occuper une niche écologique particulière et il pourrait avoir joué pour cette raison un rôle important pour l’entretien de la biodiversité et de la végétation naturelle potentielle des zones humides froides et tempérées. Il consomme quotidiennement environ 5 % de son poids (soit plus ou moins 20 kg de biomasse végétale fraîche par adulte de 400 kg).

La grande course - 25. Source : http://data.abuledu.org/URI/555e6d92-la-grande-course-25

La grande course - 25

"La Grande Course" - album de Cyri-L, avril 2015 : conte des origines du zodiaque chinois revisité. Le chien s'ébroue sur la rive et le cochon traverse en faisant la planche sur le dos.

La grande course - 27. Source : http://data.abuledu.org/URI/555e6f31-la-grande-course-27

La grande course - 27

"La Grande Course" - album de Cyri-L, avril 2015 : conte des origines du zodiaque chinois revisité. Le boeuf et le rat sont accueillis par un vieillard. Le tigre traverse à la nage.

Oies cendrées en vol. Source : http://data.abuledu.org/URI/5134dfc4-oies-cendrees-en-vol

Oies cendrées en vol

Oies cendrées (Anser anser) en vol. L'oie cendrée est une espèce aquatique qui nage plus souvent que les autres oies. À terre, elle marche avec moins de dandinements que les canards et elle est capable de courir avec vélocité. Lors des migrations, les troupes d'oies volent généralement en formation en V. Le vol est puissant, rapide, régulier, avec des battements d'ailes assez lents. Cette espèce plane avant de se poser et, à la fin, chute brusquement. Le régime alimentaire des oies peut dépendre de leurs habitudes sur leur lieu de nidification. Les Oies cendrées qui nichent en Norvège s’alimentent surtout des parties aériennes de graminées et d’autres plantes prairiales comme Festuca, Agropyron, Lolium, Poa, Taraxacum, Sonchus et Chenopodium. Le régime alimentaire dépend aussi des zones où elles stationnent. Dans l'ouest de la France, l’oie cendrée se nourrit surtout sur les prairies pâturées, consommant les ivraies et puccinellie maritime (Puccinellia maritima) sur les prés à Pâturin maritime (Poa maritima) de la baie de l'Aiguillon, glanant dans les chaumes de maïs et plus occasionnellement sur les céréales d’hiver. Dans les marais d'Orx, les hivernants consomment les pousses de jonc épars et de baldingère faux-roseau et même de la jussie rampante.

Orphée à la surface de l'eau. Source : http://data.abuledu.org/URI/5116dbf6-orphee-a-la-surface-de-l-eau

Orphée à la surface de l'eau

La tête d'Orphée, flottant à la suface de l'eau, 1881, par Odilon Redon (1840-1916). La légende d'Orphée, une des plus singulières de la mythologie grecque, est liée à la religion des mystères ainsi qu'à une littérature sacrée. Aède mythique de Thrace, fils du roi Œagre et de la muse Calliope, il savait par les accents de sa lyre charmer les animaux sauvages et parvenait à émouvoir les êtres inanimés. Il fut comblé de dons multiples par Apollon, et on raconte qu'il ajouta deux cordes à la traditionnelle lyre à sept cordes que lui donna le dieu, en hommage aux neuf muses, auxquelles appartenait sa mère. Il passe pour être l'inventeur de la cithare. Héros voyageur, il participa à l'expédition des Argonautes. Il y faisait office de chef de nage c'est-à-dire qu'il donnait par son chant la cadence aux coups de rame des autres héros. Son chant permit également à l'expédition de résister au danger du chant des sirènes dont il parvint à surpasser le pouvoir de séduction. Il se rendit jusqu'en Égypte, puis revint en Grèce. À la fin de son périple, il rentra en Thrace, dans le royaume de son père. Sa femme, Eurydice (une dryade) fut, lors de leur mariage, mordue au pied par une vipère. Elle mourut et descendit au royaume des Enfers. Orphée put, après avoir endormi de sa musique enchanteresse Cerbère, le monstrueux chien à trois têtes qui en gardait l'entrée, et les terribles Euménides, approcher le dieu Hadès. Il parvint, grâce à sa musique, à le faire fléchir, et celui-ci le laissa repartir avec sa bien-aimée à la condition qu'elle le suive et qu'il ne se retourne ni ne lui parle tant qu'ils ne seraient pas revenus tous deux dans le monde des vivants. Alors qu'Orphée s'apprêtait à sortir des Enfers, il ne put résister à la tentation de contempler sa bien-aimée, et Eurydice disparut définitivement.

Planche d'ascidies en 1904. Source : http://data.abuledu.org/URI/535cff18-planche-d-ascidies

Planche d'ascidies en 1904

Planche d'ascidies, Ernst Haeckel (1834-1919), "Kunstformen der Natur" (1904), planche 85 : Cynthia melocactus, Molgula tubulosa, Fragarium elegans, Polyclinum constellatum, Polyclinum constellatum, Synoecum turgens, Botryllus polycyclus, Botryllus rubigo, Botryllus Marionis, Botryllus helleborus, Polycyclus cyaneus, Botrylloides purpureus. Fait rare dans le règne animal, ces animaux sont partiellement constitués de tunicine, une molécule proche de la cellulose, qui est caractéristique des végétaux. À l’état adulte, les ascidies ressemblent à des sacs à deux ouvertures : Le siphon buccal où le courant d’eau entre, entraîné par des battements de cils ; Le siphon cloacal ou expirateur où l’eau est rejetée. Le système nerveux de l’adulte se limite à un ganglion cérébral. Un cœur en forme de tube est l’organe propulseur de l’appareil circulatoire. Il envoie le sang dans des sinus creusés dans le tissu conjonctif. Le flux change de sens toutes les deux à trois minutes. Les ascidies sont hermaphrodites. Testicules et ovaires libèrent leurs gamètes dans la chambre péripharyngienne où a lieu l’incubation. La larve ressemble extérieurement à un minuscule têtard de grenouille. Elle nage peu de temps, se fixe à un support et subit une profonde métamorphose. La reproduction asexuée et la régénération ont un rôle important, surtout chez les formes coloniales. Les particules alimentaires (micro-organismes planctoniques) se trouvant dans l’eau sont filtrées par un mucus secrété par la face ventrale interne de la cavité pharyngienne, puis acheminées par des cils dans l’estomac puis l’intestin. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Ascidiacea