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Dessins et plans | Photographie | Méthane | Spectromètres | Chambres d'ionisation | Ionisation | Densités des niveaux d'énergie | Spectroscopie de masse à ionisation chimique | Carburants | Décharges contrôlées | Atmosphères | Azote | Planètes -- Structure interne | Pluton (planète) | Planètes | Glace | Photographie panoramique | Interaction sol-atmosphère | Polluants atmosphériques | Terre | ...
Molécule du méthane en origami. Source : http://data.abuledu.org/URI/52f25f3a-molecule-du-methane-en-origami

Molécule du méthane en origami

Molécule du méthane créée par Belén Garrido, origami d'Archivaldo.

Portrait d'Alessandro Volta. Source : http://data.abuledu.org/URI/50c26c2b-portrait-d-alessandro-volta

Portrait d'Alessandro Volta

Portrait d'Alessandro Giuseppe Antonio Anastasio Volta (1745-1827). Alessandro Volta fait ses études à Rome, et devient professeur de physique à l'école royale de Côme en 1774 ; il y met au point l'électrophore, première machine électrique à influence. Il étudie par ailleurs la composition du gaz des marais et isole, en 1778, le méthane. De 1780 à 1783, il visite la France, l'Allemagne, les Pays-Bas et l'Angleterre et collabore avec Antoine Lavoisier et Pierre-Simon de Laplace à une étude de l'électricité atmosphérique. Au début de l'année 1800, Volta publie dans une lettre en français datée du 20 mars au président de la Royal Society l'invention de la pile voltaïque qu'il a mise au point le 17 mars 1800. Le 7 novembre 1801, Volta présente sa pile devant l'Institut de France et y énonce la loi des tensions, ainsi que la valeur des tensions de contact des métaux classés par ordre d'électropositivité décroissante, du zinc à l'argent. Napoléon Bonaparte, qui assiste à cette séance, lui fait décerner une médaille d'or, lui accorde une pension et, le nomme comte et sénateur du Royaume d'Italie (1805-1814). L'étude de l'électricité fut toujours sa passion et, encore jeune étudiant, il écrivit un poème directement en latin, De vi attractiva ignis electrici ac phaenomenis inde pendentibus, sur ce phénomène fascinant et nouveau. C'est son premier écrit scientifique.

Décharges contrôlées à Hong-Kong. Source : http://data.abuledu.org/URI/510e8133-decharges-controlees-a-hong-kong

Décharges contrôlées à Hong-Kong

Vue panoramique du site des décharges contrôlées, Hong-Kong. Les normes relatives à la protection de l'environnement imposent d'éliminer certains risques de pollution, par exemple en imperméabilisant le site vis-à-vis d'une nappe phréatique ou en le couvrant d'une couche étanche, avec récupération du méthane le cas échéant.

Densité d'énergie de quelques carburants. Source : http://data.abuledu.org/URI/50cb287b-densite-d-energie-de-quelques-carburants

Densité d'énergie de quelques carburants

Densité d'énergie volumique et massique brute de quelques carburants (à l'exclusion des comburants). En physique, la densité d'énergie représente l'énergie par unité de volume en un point, concernant une forme d'énergie non localisée. Le concept de densité d'énergie est abondamment utilisé en relativité générale et en cosmologie car il intervient explicitement dans les équations déterminant le champ gravitationnel (les équations d'Einstein), mais il est également présent en mécanique des milieux continus et en électromagnétisme. Dans les applications de stockage d'énergie, la densité énergétique fait référence soit à la densité d'énergie massique, soit à la densité d'énergie volumique. Plus la densité d'énergie est élevée, plus il y a d'énergie pouvant être stockée ou transportée pour un volume ou une masse donné. Ceci est particulièrement important dans le domaine des transports (automobile, avion, fusée...). On notera que le choix d'un carburant pour un moyen de transport, outre les aspects économiques, tient compte du rendement du groupe motopropulseur. Les sources d'énergie de plus forte densité sont issues des réactions de fusion et de fission. En raison des contraintes générées par la fission, elle reste cantonnée à des applications bien précises. La fusion en continu, elle, n'est pas encore maîtrisée à ce jour. Le charbon, le gaz et le pétrole sont les sources d'énergie les plus utilisées au niveau mondial, même s'ils ont une densité d'énergie beaucoup plus faible, le reste étant fourni par la combustion de la biomasse qui a une densité d'énergie encore plus faible. Liste des carburants cités : Aluminium, Silicium, Anthracite, Fer, Zinc, Magnésium, Polystyrène, Polyéthylène, Borohydrure de lithium, Polyester, Métabolisme des graisses, Diesel, Essence, Kérosène, Butanol, Butane GPL, Propane GPL, Métabolisme du sucre, Glucose, Éthanol, Lithium, Bitumineux, Hydrazine, Méthanol, Sodium, Ammoniac liquide, Gaz naturel, Hydrogène liquide, Dihydrogène (700 bar), Dihydrogène, Méthane, Batterie lithium-ion.

Ionisation chimique. Source : http://data.abuledu.org/URI/50ac0de8-ionisation-chimique

Ionisation chimique

Spectromètre de masse à ionisation chimique. En plus du dispositif Ionisation Électronique, un gaz réactif est introduit dans la source et ionisé par impact électronique. S'ensuit une série de réactions qui donne naissance à des ions pouvant réagir avec les molécules d'analyte arrivant dans la source. Ce type de réactions ions-molécules produit principalement (en mode positif) des ions [MH]+, et [M+adduit+H]+, permettant ainsi d'accéder à la masse moléculaire de l'analyte. Le méthane, l'isobutane et l'ammoniac sont parmi les gaz d'ionisation chimique les plus utilisés.

Proportions des gaz dans l'atmosphère. Source : http://data.abuledu.org/URI/50be1f4b-proportions-des-gaz-dans-l-atmosphere

Proportions des gaz dans l'atmosphère

Proportion actuelle des gaz atmosphériques (moyennes variant régionalement et saisonnièrement). Les gaz de l'atmosphère sont continuellement brassés, l'atmosphère n'est pas homogène, tant par sa composition que par ses caractéristiques physiques. La concentration des composants minoritaires, et en particulier les polluants, est très hétérogène sur la surface du globe, car des sources d'émission très locales existent, soit liées à l'activité humaine (usines, air intérieur ou extérieur, etc.) soit à des processus naturels (géothermie, décomposition de matières organiques, etc.). Au niveau de la mer, l'air sec est principalement composé de 78,1 % de diazote, 20,9 % de dioxygène, 0,93 % d'argon et de 0,034 % de dioxyde de carbone pour les gaz majeurs. Toutefois, il comporte aussi des traces d'autres éléments chimiques, les gaz mineurs, dont la proportion varie avec l'altitude. Les gaz à effet de serre majeurs sont la vapeur d'eau, le méthane, l'oxyde d'azote et l'ozone. Les concentrations en dioxyde de carbone s'élèvent, en 2011, à 0,0392 %, soit 392 ppm alors qu'en 1998, elle était de 345 ppm. D'autres éléments d'origine naturelle sont présents en plus faible quantité, dont la poussière, le pollen et les spores ainsi que des virus, bactéries.

Structure interne de Pluton. Source : http://data.abuledu.org/URI/50ac1289-structure-interne-de-pluton

Structure interne de Pluton

Structure interne hypothétique de Pluton : 1 - Azote gelé ; 2 - Glace d'eau ; 3 - Noyau rocheux. La composition interne de Pluton est pour l'instant inconnue. S'il y a eu différenciation planétaire, il pourrait y avoir un noyau rocheux. Si l'on accorde à Pluton une densité de 2, valeur approximative, la densité voisine de 1 des glaces détectées en surface doit être compensée par une masse rocheuse, de densité de l'ordre de 4 ou 5, en proportion égale aux glaces d'eau et d'éléments volatils (azote, méthane, oxyde de carbone). Ces roches pourraient affleurer à la surface sans être visibles car dépourvues de signatures spectrales caractéristiques, ou bien être recouvertes d'un manteau de glaces. Avec une teneur en glace d'eau de l'ordre de 50 % ou plus pour la masse de Pluton, la présence en profondeur d'eau liquide sous l'effet de la haute pression est envisageable dans les couches profondes, coexistant avec de la glace sous haute pression. L'UAI, lors de son 26e congrès tenu le 24 août 2006 en République tchèque, a décidé au terme d'une semaine de débats de compléter la définition de planète, disant qu'une planète élimine de son voisinage tous les objets ayant une taille qui lui soit comparable. Ce qui n'est pas le cas de Pluton, qui partage son espace avec d'autres objets transneptuniens et qui est reclassé en planète naine. Le "Minor Planet Center" lui attribua le 7 septembre 2006 le numéro d'objet mineur 134340.