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Nuage de mots clés

Photographie | Musique | Instruments de musique | Instruments à vent | Musique traditionnelle | Instruments à cordes | Instruments à cordes pincées | Instruments à percussion | Instruments de musique -- Japon | Cornemuse | Flûte | Flûte droite | Afrique | Cordes pincées (instruments de musique) | Musiciens | Musique japonaise | Bois (instruments de musique) | Instruments à cordes frottées | Luth | Cithare | ...
Accordéon schwyzois suisse. Source : http://data.abuledu.org/URI/533c2c11-schwyzerorgeli

Accordéon schwyzois suisse

Le Schwyzerörgeli est un instrument de musique suisse (canton de Schwytz) de la famille de l'accordéon. C'est un petit accordéon diatonique datant du XIXe siècle. Ce fut probablement Johann Samuel Herrmann qui, en 1836, fabriqua le premier petit accordéon schwyzois. En tant qu’instrument de musique populaire et de danse, le schwyzois et l’accordéon ont supplanté en large mesure le violon ; seul l’intérêt porté à une instrumentation traditionnelle a remis ces deux instruments sur pied d’égalité. De nos jours, le schwyzerörgeli est l'un des instruments de musique folklorique suisse le plus commun tant en Suisse Alémanique, qu'en Suisse Romande. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Schwyzer%C3%B6rgeli

Binzasara japonais  en position étirée. Source : http://data.abuledu.org/URI/53316fe5-binzasara-japonais-en-position-etiree

Binzasara japonais en position étirée

Le binzasara est un instrument à percussion de la musique traditionnelle japonaise utilisé pour les chansons populaires, les danses paysannes et le théâtre kabuki. L'instrument se compose de nombreuses plaquettes de bois reliées par un fort cordon de coton tressé. En utilisant les poignées à chaque extrémité, on joue du binzasara en faisant onduler les plaquettes en ondes. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Binzasara

Domra russe. Source : http://data.abuledu.org/URI/53284e02-domra

Domra russe

La domra est un instrument à cordes russe de la famille des luths répandu jusqu'au XVIIe siècle puis disparu, et recréé à la fin du XIXe siècle par Vassili Andreyev, le musicien à l'origine du renouveau de la balalaika et de la musique folklorique russe. En 1905, un luthier y ajouta une quatrième corde. C'est un instrument que l'on retrouve souvent associé à la balalaïka. On en joue avec un plectre en solo, duo ou orchestre. Il est plutôt réservé à l'interprétation des musiques modernes ou classiques.

Grelots éthiopiens. Source : http://data.abuledu.org/URI/5335a543-grelots

Grelots éthiopiens

Addis-Abeba, Musée national d'Ethiopie, 3e étage : instruments de musique traditionnels. Les grelots forment un type de cloche qui produit un son distinctif, surtout lorsqu'ils sont employés en grand nombre. Ils trouvent leur utilisation dans de nombreux domaines comme instruments de percussion, et sont parfois accordés et utilisés comme une alternative moins coûteuse pour des petites cloches « classiques ». Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Grelot_%28instrument%29

Hautbois et tambours à Sète. Source : http://data.abuledu.org/URI/5395e6d6-hautbois-et-tambours-a-sete

Hautbois et tambours à Sète

Fêtes de la Saint-Pierre à Sète - musique traditionnelle des joutes : hautbois et tambours.

Instrument de musique en Casamance. Source : http://data.abuledu.org/URI/549346b0-instrument-de-musique-en-casamance

Instrument de musique en Casamance

Guide du musée en plein air consacré à la culture des Diolas à Boucotte en Casamance (Sénégal) jouant de l’écontine, instrument de musique traditionnel.

Joueur de cornemuse estonienne. Source : http://data.abuledu.org/URI/5427c6de-joueur-de-cornemuse-estonienne

Joueur de cornemuse estonienne

Joueur de cornemuse estonienne, le torupill, qui accompagne les danses rituelles (voortants et Sabatants) et les cérémonies comme le mariage.

Joueuse de cornemuse estonienne. Source : http://data.abuledu.org/URI/5427c7d1-joueuse-de-cornemuse-estonienne

Joueuse de cornemuse estonienne

Joueuse de cornemuse estonienne, le torupill.

Musicien traditionnel à Palmyre. Source : http://data.abuledu.org/URI/59dd5f8c-musicien-traditionnel-a-palmyre

Musicien traditionnel à Palmyre

Musicien traditionnel à Palmyre, Syrie.

Otsuzumi, tambour japonais. Source : http://data.abuledu.org/URI/53315e15-otsuzumi

Otsuzumi, tambour japonais

L'Ōtsuzumi, aussi appelé ōkawa, est un tambour japonais en forme de sablier. Il s'agit d'une version plus grande du tsuzumi, ou kotsuzumi. Il est utilisé dans le théâtre japonais traditionnel et la musique folk. Son apparence et le son qu'il produit sont légèrement différents de ceux du tsuzumi. Alors que le tsuzumi est plus petit et a une peau de tambour plus ornée, l'ōtsuzumi est plus grand et sa tête prend un aspect cuir plus clair. Le son est également plus élevé et plus net en hauteur, ressemblant plus à un « pop » qu'au « pon » du tsuzumi. La structure en forme de sablier est légèrement plus grande et les têtes du tambour sont nouées très serré. L'ōtsuzumi se joue sur le côté du joueur, peut-être en raison de sa taille plus grande et de son poids plus lourd, alors que le tsuzumi se joue sur l'épaule. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/%C5%8Ctsuzumi

Shamisen japonais. Source : http://data.abuledu.org/URI/53316199-shamisen

Shamisen japonais

Le shamisen, "trois cordes parfumées", est un instrument de musique traditionnel à cordes pincées utilisé en musique japonaise. C'est un luth à long manche à la touche lisse mesurant de 110 à 140 cm, dont la caisse de résonance carrée est traditionnellement construite en bois de santal et recouverte de peau de chat ou de chien. À l'exception du shamisen de l'île d'Okinawa qui est traditionnellement recouvert de peau de serpent et est appelé sanshin ou jabisen. La table en peau fait qu'on donne parfois au shamisen le nom de "banjo japonais". Le manche est long et fin, sans frettes. Il est muni de trois cordes (d'où le nom de l’instrument, qui signifie littéralement « trois cordes du goût ») de soie ou de nylon. On joue du shamisen agenouillé sur un zabuton en pinçant les cordes à l'aide d'un large plectre en ivoire (bâshô ou bachi). La musique traditionnelle au shamisen intercale au milieu de la mélodie de longs silences qui donnent d'autant plus de force aux notes. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Shamisen

Autoharpe moderne. Source : http://data.abuledu.org/URI/53ebae66-autoharpe-moderne

Autoharpe moderne

Autoharpe moderne. Cet instrument a été popularisé en France par Hugues Aufray avec le morceau "Le rossignol anglais" et par Graeme Allwright à ses débuts, "Petit garçon" ; il est encore plus célèbre aux États-Unis grâce à la famille de musiciens traditionnels Carter dont notamment Maybelle Carter. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Autoharpe

Bayan russe. Source : http://data.abuledu.org/URI/53397737-bayan

Bayan russe

Le bayan ou accordéon à basses chromatiques, est l'accordéon chromatique de concert russe, apparu vers 1850 et dont l’usage s’est développé au début du XXe siècle. Il doit son nom au légendaire vieux chanteur et narrateur russe (ou slave) Bayan (ou Boyan) qui se produisit devant plusieurs princes au XIe siècle. Le bayan est doté d’un clavier de 105 boutons disposés sur 5 rangées (pour la main droite), et d’un clavier de 120 boutons disposés sur 6 rangées (pour la main gauche). Le système main gauche est caractérisé par un "déclencheur" permettant de convertir le clavier traditionnel à basses composées (un bouton correspond à un accord) en un clavier chromatique à basses libres (un bouton correspond à une note). Le bayan donne toutes les notes de la gamme chromatique tempérée, et la disposition des touches permet de jouer dans n’importe quelle tonalité sans changer de doigté. Grâce à l’étendue qu’offre l’instrument et la qualité de son timbre, ce modèle complet d'instrument permet d'aborder tous types de musiques de l'époque baroque à nos jours ; il est souvent utilisé par des virtuoses qui interprètent aussi bien de la musique classique que de la musique contemporaine. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Bayan_%28instrument%29

Bendir. Source : http://data.abuledu.org/URI/532819eb-bendir

Bendir

Le bendir est un instrument à percussion connu dans tout le Maghreb. C'est un tambour sur cadre assez similaire au daf asiatique, faisant partie des membranophones. Le bendir est un instrument à percussion connu dans tout le Maghreb. C'est un tambour sur cadre assez similaire au daf asiatique, faisant partie des membranophones.

Biniou breton. Source : http://data.abuledu.org/URI/5323019d-biniou

Biniou breton

"Biniou Kozh", ou "vieux biniou", instrument typique de Bretagne, fait par Jorj Bothua. Le biniou est le terme générique en breton pour désigner la cornemuse, instrument à vent à anche double et à poche de réserve d'air. Il est joué par un sonneur (soner ou biniaouer). Traditionnellement, le terme désigne les cornemuses utilisées en Bretagne bretonnante, qui ne sont pas les mêmes que celles utilisées dans d'autres pays celtiques. Structurellement, le biniou se compose d'un réservoir de cuir (sac'h) alimenté par un petit tuyau (sutell) permettant au préalable de le gonfler. Ce sac, placé sous l'aisselle gauche du sonneur laisse échapper, sous la pression du bras contre les côtes, l'air qu'il contient par deux autres tuyaux : d'une part le chalumeau (levriad) à anche double, percé de six trous offrant la possibilité de jouer une octave de notes selon un doigté voisin de celui de la bombarde, et d'autre part, le bourdon (c'horn-boud) à anche simple, qui fait entendre un son grave, continu et invariable correspondant à ce que l'on appelle une pédale de tonique en harmonique. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Biniou

Binzasara japonais. Source : http://data.abuledu.org/URI/533159c0-binzasara-

Binzasara japonais

Le binzasara est un instrument à percussion de la musique traditionnelle japonaise utilisé pour les chansons populaires, les danses paysannes et le théâtre kabuki. L'instrument se compose de nombreuses plaquettes de bois reliées par un fort cordon de coton tressé. En utilisant les poignées à chaque extrémité, on joue du binzasara en faisant onduler les plaquettes en ondes. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Binzasara

Chanteurs corses. Source : http://data.abuledu.org/URI/53029623-chanteurs-corses

Chanteurs corses

I Muvrini en concert sur la scène Landaoudec lors du festival du bout du Monde (concert du 6 aout 2011) à Crozon dans le Finistère (France).

Cimboa du Cap-Vert. Source : http://data.abuledu.org/URI/532c4e8f-cimboa

Cimboa du Cap-Vert

La cimboa /sĩˈboɐ/ (ou cimbó /sĩˈbɔ/) est un instrument de musique originaire du Cap-Vert. Il s’agit d’un cordophone frotté, qui était traditionnellement utilisé pour accompagner les danses de batuque. Sur l’origine exacte de l’instrument, on ne sait presque rien, sauf qu'il vient de l’Afrique continentale. Certains auteurs notent cependant la ressemblance de la cimboa avec des instruments africains situés à des milliers de kilomètres de distance, comme le kiki des Tédas et Dazagadas du Tibesti et de Borkou, le nini des Zaghawa, le fini des Kanembou, ou encore le kiki des Maba de la région de Ouaddaï. La hauteur des notes est obtenue en pressant la corde en divers endroits du manche et en arquant le manche flexible.

Danseur basque d'Aurresku. Source : http://data.abuledu.org/URI/527fe715-danseur-basque-d-aurresku

Danseur basque d'Aurresku

Danseur basque d'Aurresku, avec les txistulariak et tambourins au fond, et les officiels sur l'estrade, devant la paroisse de San Pío, à Durango (Biscaye).

Danseurs de sardane. Source : http://data.abuledu.org/URI/50fbf56c-danseurs-de-sardane

Danseurs de sardane

Plaque émaillée représentan deux hommes et deux femmes de la campagne en costume traditionnel dansant la sardane. La sardane (en catalan "Sardana") est une danse traditionnelle catalane où les danseurs en cercle se tiennent par la main, accompagnés par la musique d'un ensemble instrumental appelé "cobla". La sardane se danse en cercle fermé, alternant si possible un homme et une femme, la femme à droite de son partenaire.

Démonstration de danse zoulou en bottes. Source : http://data.abuledu.org/URI/52bd7f69-demonstration-de-danse-zoulou-en-bottes

Démonstration de danse zoulou en bottes

Démonstration de danse zoulou en bottes de caoutchouc, à Olomouc (République tchèque).

Divertissements médiévaux : musique et danse. Source : http://data.abuledu.org/URI/50ca4c2c-divertissements-medievaux-musique-et-danse

Divertissements médiévaux : musique et danse

Divertissements médiévaux : musique et danse. Source : Le Tacuinum sanitatis, manuel médiéval sur la santé, basé sur le Taqwin al‑sihha تقوين الصحة (Tableaux de santé), un traité médical arabe écrit par Ibn Butlan (v. 1001-1066), médecin irakien. Ses travaux traitent de l'hygiène, de la diététique et de l'exercice physique. Il a souligné les avantages d'une prise en compte attentive du bien-être physique et mental de la personne.

Gaïta galicienne. Source : http://data.abuledu.org/URI/5323189c-gaita-galega

Gaïta galicienne

Gaïta galicienenne : la gaïta est un instrument de musique à vent. Il s'agit d'une cornemuse ayant généralement un seul bourdon dont il existe plusieurs variantes en Europe, et en Amérique latine. La cornemuse traditionnelle de Galice "gaita galega" ou "gaita do fol" est utilisée en Galice, dans certaines zones de la province de Léon et au nord du Portugal entre le Douro et le Miño. Tous les sonneurs de musique traditionnelle galicienne n'utilisent pas la gaita galega. La gaita de boto est la cornemuse du folklore aragonais. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Ga%C3%AFta.

Géants de Douai. Source : http://data.abuledu.org/URI/51dc1545-geants-de-douai

Géants de Douai

Gayant (en picard chti) et Marie Cagenon, les géants de Douai. Les fêtes de Gayant se déroulent traditionnellement à Douai le premier week-end suivant le 5 juillet, du samedi au lundi. Les fêtes de Gayant correspondent à la sortie annuelle des géants de la ville : Monsieur Gayant, Madame G ayant (aussi connue sous le nom de Marie Cagenon) ainsi que leurs trois enfants Jacquot, Fillon et Binbin. Monsieur Gayant mesure 8,50 m et pèse 370 kg, il est porté par 6 hommes. Marie Cagenon mesure 6,25 m et pèse 250 kg, elle est, elle aussi, portée par 6 hommes. Jacquot mesure dans les 3 mètres et est porté par un homme, Fillon 2,80 m et Binbin 2,20 m. La procession de la famille Gayant est accompagnée d'une fête populaire où se produisent régulièrement des groupes de musique, des fanfares et des artistes de rue. Pour cette occasion, une fête foraine a lieu depuis une centaine d'année sur la Place du Barlet. Dans de nombreuses entreprises du Douaisis le lundi, dit «lundi de Gayant», est chômé. Gayant est un des plus anciens géants puisque son existence remonte à 1530. Les enfants apparaissent au début du XVIIIe siècle. Mais, interdite par l'Église en 1770, la famille ne réapparaîtra qu'en 1801.

Graines de Canna des Indes. Source : http://data.abuledu.org/URI/54de6d16-graines-de-canna-des-indes

Graines de Canna des Indes

Les graines de Canna indica ont la forme de petites billes noires luisantes et très denses (elles coulent) et très coriaces. Pour les faire germer, il est d'ailleurs nécessaire de les laisser tremper dans l'eau assez longtemps. Elles sont utilisées comme perles en joaillerie et constituent les éléments mobiles d'un instrument de musique traditionnel de la Réunion, le kayamb. Source : https://fr.wikipedia.org/wiki/Canna_indica

Guimbarde italienne. Source : http://data.abuledu.org/URI/533c1ada-marranzano

Guimbarde italienne

Guimbarde italienne dite marranzano. La guimbarde est un instrument de musique utilisant une lamelle actionnée par le doigt comme élément vibrant et la bouche du musicien comme cavité de résonance. Elle existe en Europe depuis au moins l'époque gallo-romaine, et elle est répandue en Asie et en Mélanésie. La guimbarde est composée de deux éléments : 1) une armature, d'une forme quelconque, qui comprend invariablement deux barres parallèles assez rapprochées; 2) une languette fine, haute de quelques millimètres, fixée à l'armature par l'une de ses extrémités, libre de l'autre côté et qui passe entre les deux barres. Un joueur de guimbarde place l'instrument devant la bouche d'une main, en la tenant par l'armature (à l'opposé des branches parallèles). Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Guimbarde_%28instrument%29

Joueur de rabab à Palmyre. Source : http://data.abuledu.org/URI/530294a0-joueur-de-rabab-a-palmyre

Joueur de rabab à Palmyre

Joueur de rabab à Palmyre en Syrie.

Joueur de silimba au Zaïre. Source : http://data.abuledu.org/URI/5301f820-joueur-de-silimba-au-zaire

Joueur de silimba au Zaïre

Silimba, instrument de musique caractéristique de la Zambie : le silimba est un instrument de musique à percussion, de la famille des idiophones, caractéristique de l'ouest de la Zambie. C'est une sorte de xylophone doté de calebasses vides suspendues sous le clavier et faisant office de caisse de résonance. Commun notamment chez les Lozis, il avait déjà été remarqué par l'explorateur David Livingstone qui l'appelait marimba.

Joueuse de Shamisen assise, de Katsushika Hokusai. Source : http://data.abuledu.org/URI/47f52c80-joueuse-de-shamisen-assise-de-katsushika-hokusai

Joueuse de Shamisen assise, de Katsushika Hokusai

Le Shamisen (= trois cordes parfumées) est un instrument de musique traditionnel à cordes pincées utilisé en musique japonaise. C'est un luth à long manche à la touche lisse.

Joueuses de flûte à Château-Thierry. Source : http://data.abuledu.org/URI/5395a522-joueuse-de-flute-a-chateau-thierry

Joueuses de flûte à Château-Thierry

Joueuses de piccolo en costume traditionnel aux Fêtes "Jean de la Fontaine" 2008 à Château-Thierry, ville où naquit le fabuliste en 1621.

Kantele Finlandais. Source : http://data.abuledu.org/URI/5331a7c5-kantele-finlandais

Kantele Finlandais

Le kantele (prononcé [ˈkɑntele] en finnois) est le principal instrument de musique traditionnel finlandais. Instrument à cordes pincées, il est également appelé cithare finlandaise, ou parfois psaltérion finlandais. Il est en bois et comporte traditionnellement 5 cordes. Les modèles plus récents (du XXe siècle principalement) peuvent comporter un nombre variable de cordes, de 5 à 40. Le joueur de kantele pose son instrument à plat sur ses genoux ou sur une table. Pour les petits kantele de 5 à 15 cordes, on positionne l'instrument de façon à ce que les cordes graves soit les plus éloignées de soi, à l'inverse des kantele de concert à plus de 30 cordes. Les cordes sont pincées avec les doigts pour jouer des arpèges ou des mélodies, ou bien grattées à l'aide d'un plectre pour jouer des accords, les doigts de la main libre bloquant les cordes ne faisant pas partie de l'accord désiré.

Kaval des Balkans. Source : http://data.abuledu.org/URI/53394013-kaval

Kaval des Balkans

Le kaval est une flûte oblique diatonique ou chromatique selon la région, jouée dans les musiques traditionnelles des Balkans (Serbie, Bulgarie, Macédoine, Albanie, Grèce), de Turquie, d'Arménie et d'Égypte. Le kaval bulgare est en trois parties assemblées comme une clarinette, avec des renforts en corne de vache et des décorations en métal, alors que le kaval macédonien est en une seule pièce de bois. Le kaval bulgare existe principalement en ré et plus rarement en do. La difficulté est la même que celle présentée par toute flûte à col ouvert, sans tuyau ou conduit. Ce sont les lèvres qui doivent former le conduit qui permettra à l'air de venir buter de manière correcte contre le biseau de la flûte, d'où ce son particulier, venteux (gagnene). Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Kaval

Kayagum coréen. Source : http://data.abuledu.org/URI/53393797-kayagum-coreen

Kayagum coréen

Le kayagum est un instrument de musique traditionnel de Corée de la famille des cithares, avec douze cordes de soie. Il remonte au VIe siècle et est probablement le plus connu des instruments de musique coréen. Son usage a été développé par Ureuk, musicien à la cour de Gaya. C'est un proche cousin du koto japonais et du guzhen chinois. La caisse de résonance en paulownia mesure 160cm de long, 30cm de large et 10cm de hauteur. Les éclisses sont parfois en noyer. Il dispose de 12 cordes de soie, mais les instruments récents peuvent avoir jusqu'à 25 cordes en nylon, passant sur des hauts chevalets amovibles. Il se joue assis par terre, l'instrument posé sur soi ; on pince les cordes avec les doigts d'une main et avec les doigts de l'autre, on appuie sur les cordes afin d'obtenir la hauteur de son voulue (ou on déplace le chevalet). On en joue en solo, duo ou trio. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Kayagum

Koncovka slovaque. Source : http://data.abuledu.org/URI/533c1de9-koncovka

Koncovka slovaque

La koncovka est une flûte harmonique slovaque, traditionnellement utilisée par les bergers. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Koncovka

Koto japonais. Source : http://data.abuledu.org/URI/532c617d-koto-japonais

Koto japonais

Le koto (箏 en japonais, ou 琴 en japonais classique) est un instrument de musique à cordes pincées utilisé en musique japonaise traditionnelle, notamment dans le kabuki et le bunraku. Originaire de Chine (gŭzhēng), il fut introduit au Japon entre le VIIe siècle et le VIIIe siècle et était joué principalement à la Cour impériale ; l'usage s'en est ensuite démocratisé. Le koto est une longue cithare (en forme de dragon tapi), mesurant environ 1,80 m de long et comptant 13 cordes. La caisse est traditionnellement fabriquée en bois de paulownia évidé, et les hauts chevalets amovibles, en ivoire. Ses cordes sont en fil de soie que l'on pince avec des grattoirs en ivoire. Le koto produit un son lyrique, comparable à celui d'une harpe, ce qui peut expliquer le terme souvent rencontré de « harpe japonaise ». Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Koto.

Le chanteur Yann-Fañch Kemener à Guérande. Source : http://data.abuledu.org/URI/53b45ca9-le-chanteur-yann-fa-ch-kemener-a-guerande

Le chanteur Yann-Fañch Kemener à Guérande

Le chanteur breton Yann-Fañch Kemener du groupe Barzaz dans le cadre des Festi'Cités de Guérande. En 1988, Gilles Le Bigot (guitares) et Jean-Michel Veillon (flûtes), qui viennent d'arrêter Kornog, un groupe de musique bretonne avec un chanteur écossais, décident d'intégrer du chant breton en faisant appel à Yann-Fañch Kemener et fondent le groupe Barzaz (oeuvre poétique), travaillant autour d'un répertoire poétique en breton. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Barzaz

Luth maghrébin. Source : http://data.abuledu.org/URI/529efce3-luth-maghrebin

Luth maghrébin

Un Oud ou outi est un luth à manche court, pas fretté.

Musiciens traditionnels à Oviedo. Source : http://data.abuledu.org/URI/55ddfdb0-musiciens-traditionnels-a-oviedo

Musiciens traditionnels à Oviedo

Musiciens traditionnels à Oviedo : trois joueurs de gaïta et un tambour.

Nyckelharpa verticale suédoise. Source : http://data.abuledu.org/URI/53345232-nyckelharpa-vertical

Nyckelharpa verticale suédoise

La nyckelharpa est un instrument de musique traditionnel à cordes frottées d'origine suédoise, plus précisément de la région d'Uppland, au nord de Stockholm. Il appartient à la même famille que la vielle à roue et la vièle. Il existe depuis le Moyen Âge (les premières représentations de l'instrument datent du XVIe siècle) sous différentes formes et connaît aujourd'hui un regain d'intérêt depuis les années 1970 en Suède et ailleurs. La nyckelharpa moderne date des années 1940 et est le fruit des travaux d'Eric Sahlström, musicien et luthier novateur, qui a ainsi remis au goût du jour l'instrument tombant peu à peu dans l'oubli. Traditionnellement, l'instrument se tient horizontalement, soutenu par une bandoulière, posé sur la cuisse droite. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Nyckelharpa

Ocarina. Source : http://data.abuledu.org/URI/50f038c9-ocarina

Ocarina

L’ocarina est un instrument de musique à vent ovoïde, ressemblant à une tête d’oie ; d’où son nom : en italien, oca signifie « oie », et ocarina, « petite oie ». C’est un instrument traditionnel, en Afrique, il est conçu dans l’écorce de certains fruits, en terre cuite en Amérique et en porcelaine en Chine. Il aurait à peu près 12 000 ans d'existence.

Orphée à la surface de l'eau. Source : http://data.abuledu.org/URI/5116dbf6-orphee-a-la-surface-de-l-eau

Orphée à la surface de l'eau

La tête d'Orphée, flottant à la suface de l'eau, 1881, par Odilon Redon (1840-1916). La légende d'Orphée, une des plus singulières de la mythologie grecque, est liée à la religion des mystères ainsi qu'à une littérature sacrée. Aède mythique de Thrace, fils du roi Œagre et de la muse Calliope, il savait par les accents de sa lyre charmer les animaux sauvages et parvenait à émouvoir les êtres inanimés. Il fut comblé de dons multiples par Apollon, et on raconte qu'il ajouta deux cordes à la traditionnelle lyre à sept cordes que lui donna le dieu, en hommage aux neuf muses, auxquelles appartenait sa mère. Il passe pour être l'inventeur de la cithare. Héros voyageur, il participa à l'expédition des Argonautes. Il y faisait office de chef de nage c'est-à-dire qu'il donnait par son chant la cadence aux coups de rame des autres héros. Son chant permit également à l'expédition de résister au danger du chant des sirènes dont il parvint à surpasser le pouvoir de séduction. Il se rendit jusqu'en Égypte, puis revint en Grèce. À la fin de son périple, il rentra en Thrace, dans le royaume de son père. Sa femme, Eurydice (une dryade) fut, lors de leur mariage, mordue au pied par une vipère. Elle mourut et descendit au royaume des Enfers. Orphée put, après avoir endormi de sa musique enchanteresse Cerbère, le monstrueux chien à trois têtes qui en gardait l'entrée, et les terribles Euménides, approcher le dieu Hadès. Il parvint, grâce à sa musique, à le faire fléchir, et celui-ci le laissa repartir avec sa bien-aimée à la condition qu'elle le suive et qu'il ne se retourne ni ne lui parle tant qu'ils ne seraient pas revenus tous deux dans le monde des vivants. Alors qu'Orphée s'apprêtait à sortir des Enfers, il ne put résister à la tentation de contempler sa bien-aimée, et Eurydice disparut définitivement.

Pièces de monnaie musicales. Source : http://data.abuledu.org/URI/53a89d26-pieces-de-monnaie-musicales

Pièces de monnaie musicales

Pièces de monnaie utilisées comme instrument de musique en dansant, en Grèce.

Professeure de musique japonaise. Source : http://data.abuledu.org/URI/52768ff1-professeure-de-musique-japonaise

Professeure de musique japonaise

Professeure de musique japonaise, de l'ère Keisi, estampe de Yoshitoshi Taiso (1839-1892), Trente-deux Aspects des Coutumes et des Manières, 1888. Le shamisen (trois cordes parfumées) est un instrument de musique traditionnel à cordes pincées utilisé en musique japonaise. C'est un luth à long manche à la touche lisse d'origine chinoise.

Quinte du loup et comma pythagoriciens. Source : http://data.abuledu.org/URI/56f9941f-quinte-du-loup-et-comma-pythagoriciens

Quinte du loup et comma pythagoriciens

Quinte du loup et comma pythagoriciens dans le cercle des quintes justes construit à partir du do. En musique, le loup est une perturbation d'un ordre établi. Traditionnellement la quinte du loup est l'intervalle formé par les notes laflat - miflat dans les instruments à claviers construits à la renaissance et pendant la période baroque (orgue et clavecin).

Rouleur réunionnais. Source : http://data.abuledu.org/URI/534806b1-rouleur-

Rouleur réunionnais

Le rouleur, ou roulèr, est un gros tambour frappé à deux mains, l’exécutant est assis à cheval sur lui : ce qui permet de modifier la tension et donc le timbre en se servant d’un de ses pieds. Les différentes graphies du nom sont quant à elles le reflet de différentes prononciations suivant les locuteurs considérés ou l’époque : rouleur, houleur, ouleur, oulèr, oulère, rouler. Le rouleur ou houler doit probablement son nom à son usage. En effet on roule le maloya, c’est-à-dire qu’on roule les hanches en dansant. En outre l’instrumentaliste fait des roulements et donc fait rouler ses mains sur la peau du tambour. Le rouleur peut aussi tirer son nom de la musique qu’il produit : fait rouler maloya. Cet instrument se retrouve à l'île de la Réunion (et Rodrigues où on le nomme simplement tambour). Traditionnellement fabriqué dans un tronc évidé au bois variable d'au moins 70 cm de long et 50 cm de diamètre, il est souvent conçu aujourd'hui avec une barrique ou un tonneau dont on a détruit les deux extrémités. Le plus souvent, la peau est de bœuf ou de cabri collée sur un cercle de bois comportant des cymbalettes. Le rouleur se joue maintenu au sol en position horizontale, le musicien accroupi à cheval dessus. Le talon est parfois utilisé pour percuter l'instrument en plus des mains. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Rouleur

Ryuteki, flûte traversière japonaise. Source : http://data.abuledu.org/URI/53315eca-ryuteki

Ryuteki, flûte traversière japonaise

Le ryūteki est une flûte traversière japonaise fabriquée traditionnellement en bambou. Ryūteki signifie littéralement "flûte du dragon". Elle est utilisée dans la musique gagaku où le son du ryūteki est censé représenter les dragons qui montent entre les lumières des cieux (représentés par les shō) et les gens de la terre représentés par les hichiriki. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Ry%C5%ABteki.

Saung Birman. Source : http://data.abuledu.org/URI/53316918-saung-birman

Saung Birman

La saung ou saung-gauk est une harpe traditionnelle birmane (Myanmar). Elle est très ancienne et remonte au VIIIe siècle, d'après des sculptures au temple de Baw-baw-gyi. Bien que jouée depuis, elle bénéficia néanmoins d'un nouvel élan au XVIIIe siècle grâce à Myawaddy Mingyi U Sa (1766-1853) qui adapta la musique siamoise et créa de la musique pour harpe pour accompagner le Ramayana tout en inventant un nouveau genre appelé yodaya. Le nombre de cordes serait alors passé de 7 à 13. C'est une grande harpe de Cour naviforme de 80cm de long sur 76 cm de haut. Elle fait partie des harpes arquées car sa caisse de résonance laquée et recouverte d'une peau de daim (percée de fines ouïes) est horizontale. Son arc est taillé dans une racine d'arbre qui se termine par une sculpture de feuille de l'arbre sacré bo (figuier). L'ensemble est incrusté de mica, perle, verre... Le support sur lequel elle repose est lui aussi très décoré, de même que le bout des 13 à 16 cordes en soie ou nylon. Le chevillier est à friction, mais il en existe des modernes. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Saung

Shakuhachi, flûte chinoise. Source : http://data.abuledu.org/URI/53316008-shakuhachi

Shakuhachi, flûte chinoise

Le shakuhachi est une flûte chinoise, également utilisée en musique japonaise droite à embouchure libre en bambou. Évoquant la nature, elle est utilisée en musique traditionnelle. C'est au VIe siècle qu'on retrouve des traces écrites de la flûte de bambou prouvant son utilisation au Japon. Au VIIe siècle, la flûte de bambou faisait partie des instruments utilisés pendant les représentations données à la cour, musique connue sous le nom de Gagaku. Le musicien est généralement agenouillé, assis sur ses talons. Contrairement au joueur de flûte à bec, qui souffle dans un bec rigide conduisant ainsi l’air dans un sifflet, le joueur de shakuhachi souffle dans son instrument comme on soufflerait dans le goulot d’une bouteille vide. L’embouchure du shakuhachi présente également un bord biseauté, permettant au joueur de contrôler très finement la hauteur du son, en un mouvement d’abaissement ou de montée de l’instrument, par rapport à l’axe des lèvres. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Shakuhachi

Taiko japonais . Source : http://data.abuledu.org/URI/53305376-taiko

Taiko japonais

Taiko. La pratique du Taiko fait appel à un travail corporel exigeant tel qu'on le retrouve dans beaucoup de pratiques telles que les arts martiaux traditionnels. Faire le « bon son » demande un ancrage et une stabilité du bassin (Tanden ou Hara) qui permet d'accéder à la souplesse, le silence intérieur et à la joie profonde que procure cette pratique. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Taiko