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Photographie | Musique | Instruments à cordes | Instruments de musique | Bois (instruments de musique) | Instruments à percussion | Instruments à cordes pincées | Musique folklorique | Musique populaire -- Amérique latine | Instruments de musique anciens | Idiophone | Fêtes -- France | Luth | Cordes (musique) | Instruments de musique -- Amérique latine | Fête de la musique | Cordes pincées (instruments de musique) | Fêtes populaires | Musique traditionnelle | Instruments à vent | ...
FirefoxOS - 2. Source : http://data.abuledu.org/URI/560ba0b5-firefoxos-2

FirefoxOS - 2

"Firefox OS s'en va en terre", illustration pour Cyrille Borne : "il serait temps de changer de stratégie, pour adopter un principe à la Linux ou à la Cyanogen pour voir l'adoption du système d'exploitation qui permettrait de donner une nouvelle vie à certains smartphone et d'en libérer d'autres. Si le succès comptable est au rendez vous alors que peut être les constructeurs auront de bonnes raisons de vouloir vendre du Firefox OS, raisons qu'ils n'ont pas pour l'instant..." sur l'air de "Malbrough s'en va-t-en guerre".

Accordéon schwyzois suisse. Source : http://data.abuledu.org/URI/533c2c11-schwyzerorgeli

Accordéon schwyzois suisse

Le Schwyzerörgeli est un instrument de musique suisse (canton de Schwytz) de la famille de l'accordéon. C'est un petit accordéon diatonique datant du XIXe siècle. Ce fut probablement Johann Samuel Herrmann qui, en 1836, fabriqua le premier petit accordéon schwyzois. En tant qu’instrument de musique populaire et de danse, le schwyzois et l’accordéon ont supplanté en large mesure le violon ; seul l’intérêt porté à une instrumentation traditionnelle a remis ces deux instruments sur pied d’égalité. De nos jours, le schwyzerörgeli est l'un des instruments de musique folklorique suisse le plus commun tant en Suisse Alémanique, qu'en Suisse Romande. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Schwyzer%C3%B6rgeli

Angklung indonésien. Source : http://data.abuledu.org/URI/533970d3-angklung-indonesien

Angklung indonésien

L’angklung est à la fois un instrument de musique en bambou et un ensemble de musiciens l'utilisant. Il s'agit d'un hochet complexe d'Indonésie populaire dans toute l’Asie du Sud-Est. L’angklung indonésien a été inscrit en 2010 par l'UNESCO sur la liste représentative du patrimoine culturel immatériel de l’humanité. On obtient de la musique de l'angklung en le secouant, faisant ainsi claquer les résonateurs de bambou sur les montants. Chaque instrument produit ainsi deux ou trois notes. Il est souvent disposé en série croissante si bien qu'au lieu d'avoir un ou deux instruments par musicien, ce dernier pourra en manipuler plusieurs dizaines. Généralement, trois personnes ou plus ont un angklung dans leurs mains, qui produisent des sons sur différents tons. De cette façon, il est possible de jouer une mélodie pentatonique complète. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Angklung

Binzasara japonais. Source : http://data.abuledu.org/URI/533159c0-binzasara-

Binzasara japonais

Le binzasara est un instrument à percussion de la musique traditionnelle japonaise utilisé pour les chansons populaires, les danses paysannes et le théâtre kabuki. L'instrument se compose de nombreuses plaquettes de bois reliées par un fort cordon de coton tressé. En utilisant les poignées à chaque extrémité, on joue du binzasara en faisant onduler les plaquettes en ondes. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Binzasara

Binzasara japonais  en position étirée. Source : http://data.abuledu.org/URI/53316fe5-binzasara-japonais-en-position-etiree

Binzasara japonais en position étirée

Le binzasara est un instrument à percussion de la musique traditionnelle japonaise utilisé pour les chansons populaires, les danses paysannes et le théâtre kabuki. L'instrument se compose de nombreuses plaquettes de bois reliées par un fort cordon de coton tressé. En utilisant les poignées à chaque extrémité, on joue du binzasara en faisant onduler les plaquettes en ondes. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Binzasara

Bombarde chromatique. Source : http://data.abuledu.org/URI/50ed9e40-bombarde-chromatique

Bombarde chromatique

La bombarde est un instrument de musique à vent à anche double de la famille des hautbois, employé dans la musique bretonne. Le mot « bombarde » provient du latin bombus, signifiant « bourdonnement » ou « bruit sourd ». En breton l'instrument s'appelle ar vombard (mutation de bombard)1 ou an talabard. Un joueur de bombarde s'appelle un talabarder. Il s'agit d'une variante de hautbois populaire spécifique à la Bretagne.

Bongo. Source : http://data.abuledu.org/URI/53072465-bongo

Bongo

Le bongo ou bongó est un instrument de percussion de Cuba qui s'est répandu dans toute la musique latine. C'est une paire de tambours solidaires, à une membrane chacun et dont l'un est plus grand que l'autre. Le percussionniste jouant des bongos s'appelle un bongocero. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Bongo.

Bouzouki à quatre cordes. Source : http://data.abuledu.org/URI/5321dd0b-bouzouki-

Bouzouki à quatre cordes

Le bouzouki est un instrument de musique répandu en Grèce, dont il est souvent considéré comme l'instrument « national » depuis le milieu du XXe siècle. Le bouzouki grec a été introduit au début des années 1960 en Irlande à la suite d’une erreur. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Bouzouki

Cajón d'Amérique latine. Source : http://data.abuledu.org/URI/535a81a3-cajon

Cajón d'Amérique latine

Le cajón est un instrument de musique inventé au Pérou au XVIIIe siècle. Il fut très certainement à ses débuts une caisse destinée à la cueillette des fruits ou à la pêche des poissons, les esclaves n'ayant pas accès à autre chose que les matériaux rustiques. Le cajón est une caisse de résonance parallélépipède, de 50cm x 30cm x 30cm (hauteur/largeur/profondeur) en moyenne. La plaque de frappe (devant) est plus fine que les autres côtés, ce qui permet une élasticité et une résonance propre au cajón. Au dos, un trou d'environ 10cm de diamètre permet la sortie du son (même effet qu'un évent de décompression d'une enceinte de sono). Le cajón actuel possède généralement un élément de plus, le timbre, qui rend le son proche de celui d'une caisse claire de batterie. On joue du cajón en étant assis. Certaines personnes l'utilisent bloqué à plat entre les jambes (comme un djembé) ou encore posé sur un socle devant soi. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Caj%C3%B3n

Chanteur éthiopien jouant du Krar. Source : http://data.abuledu.org/URI/52d312d0-chanteur-ethiopien-jouant-du-krar

Chanteur éthiopien jouant du Krar

Chanteur éthiopien jouant du Krar (kora en Afrique occidentale) : lyre à six cordes.

Cistre allemand. Source : http://data.abuledu.org/URI/532b01bd-cistre-allemande

Cistre allemand

Le cistre est un instrument à cordes pincées qui semble avoir fait son apparition vers le XVe siècle et qui est encore répandu en Europe. Héritier de la citole, le cistre connut deux périodes d'intense prédilection : 1) la plus longue dura du début du XVIe à la moitié du XVIIe siècle. Il y acquiert les caractéristiques qui sont encore les siennes de nos jours. À cette époque, la pratique du cistre est proche de celle du luth mais d'un statut inférieur, plus populaire et plus simple. Les amateurs le pratiquent assidûment, et les recueils mis à leur disposition sont nombreux. Mais, vers le milieu du XVIIe siècle, sans raison apparente, il tombe dans l'oubli. 2) vers 1770 il refait surface. Là, c'est un véritable engouement du public et pour répondre à la demande, les compositeurs vont rivaliser d'imagination, au point que la production en perd sa qualité. Un facteur imagine même d'y adapter une petite table mécanique de pianoforte et de petits marteaux actionnés par l'intermédiaire d'un clavier. Les cordes sont pincées au plectre en bec de plume, au médiator comme pour la guitare folk, ou plus rarement avec des onglets en métal comme pour la guitare dobro. Certains comme Chris Thompson utilisent un bottleneck pour jouer du blues. Le cistre est encore pratiqué en Suisse, en Autriche et en Allemagne : il fait partie de la musique folklorique ou populaire depuis des siècles, dans des versions spécifiques (waldzither, halszither).

Claves cubaines. Source : http://data.abuledu.org/URI/53286353-claves

Claves cubaines

Les claves sont des instruments de musique de percussion idiophone très anciens joués dans la musique aborigène d'Australie, sous d'autres noms. Les claves proprement dites, apparaissent à Cuba vers le XVIe siècle, sur les docks du port de La Havane. Entrechoquées au rythme du travail, elles deviennent au XVIIe siècle un instrument de percussion, les « claves » (mélange des mots « clavar » et « llaves »). Les chevilles (« llaves » en espagnol) que l'on cloue (« clavar » en espagnol) pour fixer les pièces du navire sont en bois tropical dur (acana, jiqui, guayacan, jucaro, quiebrahacha...), longues de 20 cm. La clave tenue dans la main droite par l'une des extrémités (macho = mâle) vient percuter en cadence l'autre placée dans la main gauche (hembra = femelle). Le son est très sec et très fort.

Crécelle. Source : http://data.abuledu.org/URI/533a9b73-crecelle

Crécelle

Une crécelle est un instrument de musique idiophone datant du Moyen Âge, aussi appelée brouan ou tartuleuil, et répandue aujourd'hui encore partout en Europe. De conception et d'utilisation simples, elle est un instrument populaire mais aussi un jouet pour les enfants. Ce terme est attesté depuis la première moitié du XIVe siècle mais son origine n'est pas connue. Grâce au bruit puissant qu'elle émet, elle était aussi utilisée au Québec par les femmes des agriculteurs pour appeler leur mari au champ, avant la mécanisation de l'agriculture. On l'utilisait afin d'avertir du passage de personnes infectieuses, atteintes de maladies redoutées au Moyen Âge : la lèpre, la peste. Petite (5 cm) ou géante (5 m), manuelle ou mécanisée, elle est composée d'un manche et d'une partie rotative parfois multiple dont la lame en bois racle et craque sur la partie crantée du manche. Dotée d'un son très puissant, elle était utilisée dans les monastères et durant les carnavals (en Suisse notamment) ou charivaris. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Cr%C3%A9celle

Fête de la musique 2016 à Brest. Source : http://data.abuledu.org/URI/594acdf4-fete-de-la-musique-2016-a-brest

Fête de la musique 2016 à Brest

Nostrad en fest-noz pour la fête de la musique le 21 juin 2016 à Brest, vers le pont de Recouvrance.

Géants de Douai. Source : http://data.abuledu.org/URI/51dc1545-geants-de-douai

Géants de Douai

Gayant (en picard chti) et Marie Cagenon, les géants de Douai. Les fêtes de Gayant se déroulent traditionnellement à Douai le premier week-end suivant le 5 juillet, du samedi au lundi. Les fêtes de Gayant correspondent à la sortie annuelle des géants de la ville : Monsieur Gayant, Madame G ayant (aussi connue sous le nom de Marie Cagenon) ainsi que leurs trois enfants Jacquot, Fillon et Binbin. Monsieur Gayant mesure 8,50 m et pèse 370 kg, il est porté par 6 hommes. Marie Cagenon mesure 6,25 m et pèse 250 kg, elle est, elle aussi, portée par 6 hommes. Jacquot mesure dans les 3 mètres et est porté par un homme, Fillon 2,80 m et Binbin 2,20 m. La procession de la famille Gayant est accompagnée d'une fête populaire où se produisent régulièrement des groupes de musique, des fanfares et des artistes de rue. Pour cette occasion, une fête foraine a lieu depuis une centaine d'année sur la Place du Barlet. Dans de nombreuses entreprises du Douaisis le lundi, dit «lundi de Gayant», est chômé. Gayant est un des plus anciens géants puisque son existence remonte à 1530. Les enfants apparaissent au début du XVIIIe siècle. Mais, interdite par l'Église en 1770, la famille ne réapparaîtra qu'en 1801.

Il pleut, il pleut, bergère. Source : http://data.abuledu.org/URI/50afdf42-il-pleut-il-pleut-bergere

Il pleut, il pleut, bergère

Illustration de la chanson ''Il pleut, il pleut, bergère'', écrite par Fabre d'Églantine (1750-1794). Source : Théophile Marion Dumersan, "Chansons nationales et populaires de France", vol. I, 1866. Cette chanson est tirée de l'opérette "Laure et Pétrarque" écrite en 1780 par Fabre d'Églantine. La musique est du messin Louis-Victor Simon. La bergère à laquelle la chanson fait référence est en fait la reine Marie-Antoinette d'Autriche. Elle aimait à jouer les bergères au hameau de la Reine dans le parc du château de Versailles. L'orage pourrait être une allusion aux troubles qui conduisirent à la Révolution française. La petite histoire veut qu'elle ait été chantée lors de la création de la garde nationale, au lendemain de la prise de la Bastille, et que son auteur l'ait fredonnée quelques années plus tard en montant à l'échafaud. Elle s'est d'abord fait connaître sous le titre "Le Retour aux champs" avant de s'imposer sous son titre actuel vers 1787. Cependant, elle est encore connue de certains sous le nom de "L'Orage".

Krar éthiopien. Source : http://data.abuledu.org/URI/5331a943-krar

Krar éthiopien

Le krar est un instrument de musique à cordes, proche de la lyre, que l'on trouve en Érythrée et en Éthiopie. Il est généralement décoré de bois, de tissus et de perles. Ses cinq ou six cordes déterminent les hauteurs musicales disponibles. La table d'harmonie est en membrane animale. Le krar est souvent joué par des musiciens que l'on appelle azmaris et il accompagne en principe des chansons d'amour et des chansons populaires de la musique éthiopienne. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Krar

La joueuse de Vielle. Source : http://data.abuledu.org/URI/514e1737-la-joueuse-de-vielle

La joueuse de Vielle

La joueuse de vielle, 1907, par Gustave Jacquet (1846–1909). La vielle à roue est un instrument à cordes frottées par une roue en bois au lieu d'un archet. La roue est tournée avec une manivelle, pendant que la main gauche du musicien joue la mélodie sur un clavier. La révolution française va provoquer un changement profond de l'usage de la vielle, qui revient alors dans le domaine des instruments régionaux et populaires. Au XIXe siècle, elle tombe en désuétude avant que le Berry, en quête d’identité, ne s’empare de l’instrument ainsi que de la cornemuse pour en faire ses emblèmes. La société des Gâs du Berry, fondée par Jean Baffier en 1888, solidifie cette réputation. Au XXe siècle, dans les années 1960 et 1970, le mouvement « folk » se l’approprie de nouveau et les groupes dits « folkloriques » se constituent.

Mandoline Banjo turque. Source : http://data.abuledu.org/URI/532c69cc-mandoline-banjo-turcque

Mandoline Banjo turque

Le cümbüş (djumbuch) est un instrument à cordes pincées turc. C'est un luth à manche long similaire au banjo inventé en 1930 par Zeynel Abidin Cümbüş et présenté à Atatürk par son inventeur, ancien forgeron reconverti dans la lutherie. Il est conçu pour pouvoir permettre en théorie d'adapter différents manches à une même caisse. Cümbüş : à douze cordes, manche court, sans frette, accordé comme le oud. On en joue avec un mediator ou mezrab. Il est essentiellement utilisé dans la musique turque populaire ou folklorique et surtout par les Tziganes, mais le banjo lui fait concurrence.

Pièces de monnaie musicales. Source : http://data.abuledu.org/URI/53a89d26-pieces-de-monnaie-musicales

Pièces de monnaie musicales

Pièces de monnaie utilisées comme instrument de musique en dansant, en Grèce.

Raga du soir au Collège des Bernardins en 2010. Source : http://data.abuledu.org/URI/594aa850-raga-du-soir-au-college-des-bernardins-en-2010

Raga du soir au Collège des Bernardins en 2010

Concert d'Indrajit Banerjee, sitar avec Subrata Bhattacharya, tablas et Sudipta Rémy, tampura, le lundi 21 juin 2010, dans le grand auditorium du Collège des Bernardins dans le cadre de la Fête de la musique à Paris.

Tiple colombien. Source : http://data.abuledu.org/URI/5334416e-tiple-colombien

Tiple colombien

Le tiple (terme signifiant "soprano" en espagnol) est une petite guitare qu'on trouve dans toute l'Amérique latine, sachant que les versions des Caraïbes (Porto Rico, République dominicaine, etc.) diffèrent beaucoup de celles du continent (Colombie, Pérou, Venezuela). Il dérive sans doute de l'ancien timple des îles Canaries, lui-même hérité des colons espagnols. Il ressemble de loin à une petite guitare ancienne, à la caisse de résonance très resserrée et très ornementée. Il est monté de trois à six cordes en métal. Il a un accordage aux intervalles similaires à ceux de la guitare et est de ce fait propice à la formation d’accords et à l’accompagnement tant des services religieux que des danses de salon, dans des orchestres composés aussi de cuatro (instrument) et de bordunua. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Tiple

Ukulélé hawaiien. Source : http://data.abuledu.org/URI/533184f4-ukulele

Ukulélé hawaiien

L'ukulélé est un instrument à cordes pincées traditionnel des îles Hawaï, proche du cavaquinho portugais dont il est une adaptation. Souvent bon marché et à la mode dans la première moitié du XXe siècle, ce petit instrument polyvalent composante indispensable d’un orchestre hawaïen fut rapidement adopté par divers courants musicaux – de la chanson populaire au jazz – parfois parce qu’il apportait une dimension humoristique ou exotique à un ensemble. C'est à bord du Ravenscraga que la braguinha fut importée à Hawaï (à l'époque l'archipel était encore appelé îles Sandwich). À bord du bateau se trouvaient les trois hommes que l'histoire a retenus comme responsables de l'introduction et de la transformation d'une certaine tradition de lutherie portugaise : il s'agissait de Manuel Nunes, José do Espírito Santo et Augusto Diasa, trois ébénistes de Madère qui avaient des connaissances en lutherie et qui transportaient apparemment leurs cavaquinhos. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Ukul%C3%A9l%C3%A9