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Photographie | Musique | Musique baroque | Instruments à vent | Rêves | Sonates (violon et basse) | Diable | Giuseppe Tartini (1692–1770) | Grosse caisse | Instruments à percussion | Percussion, Musique de | Mathématiques | Chalumeau (instrument à anche simple) | Pythagoriciens | Musique classique | Chalemie | Chalumeau, Musique de | Chalumeau (instrument à anche double) | Grosse caisse, Musique de | Orchestres symphoniques | ...
Joueuses de flûte à Château-Thierry. Source : http://data.abuledu.org/URI/5395a522-joueuse-de-flute-a-chateau-thierry

Joueuses de flûte à Château-Thierry

Joueuses de piccolo en costume traditionnel aux Fêtes "Jean de la Fontaine" 2008 à Château-Thierry, ville où naquit le fabuliste en 1621.

La sonate des trilles du diable. Source : http://data.abuledu.org/URI/51d91248-la-sonate-des-trilles-du-diable

La sonate des trilles du diable

Anecdote devenue légendaire où le violoniste Guiseppe Tartini (1692-1770) a raconté à l'astronome Jérôme Lalande la genèse de cette sonate pour violon et basse continue qui demande beaucoup de virtuosité à l'interprète. Le satiriste Louis-Léopold Boilly (1761-1845) l'a illustrée en 1824. Texte court (187 mots) mais littéraire : fin de cycle 3. Source : Arthur Pougin, Violon, les violonistes et la musique de violon du XVIe au XVIIIe siècle, Paris : Fischbacher, 1924, p. 106-107.

Le Songe de Tartini. Source : http://data.abuledu.org/URI/51d9102a-le-songe-de-tartini

Le Songe de Tartini

Le Songe de Tartini, 1824, par Louis-Léopold Boilly (1761-1845). Illustration de l'anecdote légendaire sur l'origine de la Sonate des trilles du Diable de Giuseppe Tartini (1692–1770) : « Une nuit (en 1713), je rêvais que j'avais fait un pacte, et que le Diable était à mon service. Tout me réussissait au gré de mes désirs, et mes volontés étaient toujours prévenues par mon nouveau domestique. J'imaginai de lui donner mon violon, pour voir s'il parviendrait à me jouer quelques beaux airs ; mais quel fut mon étonnement lorsque j'entendis une sonate si singulièrement belle, exécutée avec tant de supériorité et d'intelligence que je n'avais même rien conçu qui pût entrer en parallèle. J'éprouvai tant de surprise, de ravissement, de plaisir, que j'en perdis la respiration. Je fus réveillé par cette violente sensation. Je pris à l'instant mon violon, dans l'espoir de retrouver une partie de ce que je venais d'entendre ; ce fut en vain. La pièce que je composais alors est, à la vérité, la meilleure que j'aie jamais faite, et je l'appelle encore la Sonate du Diable ; mais elle est tellement au-dessous de celle qui m'avait si fortement ému, que j'eusse brisé mon violon et abandonné pour toujours la musique, s'il m'eût été possible de me priver des jouissances qu'elle me procure. »

Bayan russe. Source : http://data.abuledu.org/URI/53397737-bayan

Bayan russe

Le bayan ou accordéon à basses chromatiques, est l'accordéon chromatique de concert russe, apparu vers 1850 et dont l’usage s’est développé au début du XXe siècle. Il doit son nom au légendaire vieux chanteur et narrateur russe (ou slave) Bayan (ou Boyan) qui se produisit devant plusieurs princes au XIe siècle. Le bayan est doté d’un clavier de 105 boutons disposés sur 5 rangées (pour la main droite), et d’un clavier de 120 boutons disposés sur 6 rangées (pour la main gauche). Le système main gauche est caractérisé par un "déclencheur" permettant de convertir le clavier traditionnel à basses composées (un bouton correspond à un accord) en un clavier chromatique à basses libres (un bouton correspond à une note). Le bayan donne toutes les notes de la gamme chromatique tempérée, et la disposition des touches permet de jouer dans n’importe quelle tonalité sans changer de doigté. Grâce à l’étendue qu’offre l’instrument et la qualité de son timbre, ce modèle complet d'instrument permet d'aborder tous types de musiques de l'époque baroque à nos jours ; il est souvent utilisé par des virtuoses qui interprètent aussi bien de la musique classique que de la musique contemporaine. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Bayan_%28instrument%29

Chalumeau moderne. Source : http://data.abuledu.org/URI/533acdc6-chalumeau-modern

Chalumeau moderne

Nom générique au Moyen Âge et à la Renaissance, le chalumeau désigne tout instrument à vent de la famille des bois composé d'un tuyau conique ou cylindrique et d'une anche simple ou double. Puis, pendant la période baroque et classique, le chalumeau désigne spécifiquement un instrument de perce cylindrique et à anche simple, la chalemie (ou hautbois ancien) désignant un instrument en perce conique et à anche double. Chalumeau est donc le nom donné aux premières clarinettes, qui ont gardé ce terme pour leur registre grave. On trouve la musique pour chalumeau surtout dans deux centres différents : d'un côté Vienne, ou des compositeurs d'opéras comme Bononcini, Caldara, Fux etc. emploient souvent le chalumeau en combinaison avec la voix humaine ; de l'autre côté Hambourg et Darmstadt, où Telemann et Graupner montrent une préférence pour les chalumeaux à basse tessiture. Antonio Vivaldi a employé le chalumeau dans plusieurs de ses concertos où il est mentionné sous son nom italien de Salmoè. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Chalumeau_%28musique%29

Grosse caisse. Source : http://data.abuledu.org/URI/50f03d3a-grosse-caisse

Grosse caisse

La grosse caisse (Bass Drum en anglais) comme la caisse-claire est un des éléments principaux de la batterie. Elle est également utilisée indépendamment dans les fanfares et dans les orchestres classiques (depuis la musique baroque). Son origine semble remonter aux premiers âge de l'humanité. Elle est aujourd'hui composée d'un fût cylindrique, de deux peaux (de frappe et de résonance) et de son accastillage. Certaines batteries possèdent une seconde grosse caisse, ou comme dit ci-dessus éventuellement remplacée par une double pédale de grosse caisse, afin d'effectuer des roulements avec les deux pieds ou tout autre figure syncopée.

Orchestre symphonique. Source : http://data.abuledu.org/URI/50eea06f-orchestre-symphonique

Orchestre symphonique

Un orchestre symphonique ou orchestre philharmonique est un ensemble musical formé des quatre familles d'instruments : cordes, bois, cuivres et percussions. L'orchestre symphonique est issu de l'orchestre à cordes de la période baroque qui progressivement s'est étoffé de hautbois, de bassons, parfois de cors, de trompettes, et de timbales. La période classique avec Gossec, Haydn ou Mozart voit souvent les vents s'architecturer par deux (2 flûtes, 2 hautbois, 2 clarinettes, 2 bassons, 2 cors, 2 trompettes). Les pupitres de la période romantique s'ordonnancent plutôt par trois avec l'ajout plus ou moins systématique d'instruments comme le piccolo, le cor anglais, la clarinette basse, les saxophones, le contrebasson, les trombones ou le tuba. C'est aussi la période qui connaît la grande évolution des percussions. Au début du XXe siècle, l'orchestre symphonique peut être de grande taille, généralement, plus de quatre-vingts musiciens, l'effectif dépassant parfois la centaine d'instrumentistes.

Quinte du loup et comma pythagoriciens. Source : http://data.abuledu.org/URI/56f9941f-quinte-du-loup-et-comma-pythagoriciens

Quinte du loup et comma pythagoriciens

Quinte du loup et comma pythagoriciens dans le cercle des quintes justes construit à partir du do. En musique, le loup est une perturbation d'un ordre établi. Traditionnellement la quinte du loup est l'intervalle formé par les notes laflat - miflat dans les instruments à claviers construits à la renaissance et pendant la période baroque (orgue et clavecin).