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Photographie, Musique, Instruments de musique, Cordes (musique), Instruments à cordes, Jeux de cordes, Musique ancienne, Citole, Warwick (Warwickshire, GB)
Citole (British Museum). La citole est un instrument à cordes pincées en usage jusqu'au XIVe siècle, ancêtre du cistre. De formes variées, la citole possède généralement quatre cordes en métal ou en boyaux, attachées sur un manche très court. Un rare exemplaire de cet instrument, trouvé au château de Warwick , est exposé au British Museum. Cette citole, construite autour des années 1300, a été transformée en violon au XVIe siècle par l'ajout d'une touche, d'un chevalet avec sa table d'harmonie et d'ouïes remplaçant son trou central : elle n'est donc pas représentative de l'instrument d'origine. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Citole.
Photographie, Musique, Instruments de musique, Luth, Instruments à cordes pincées, Luth, Musique de, Théorbe, Musique ancienne
Le théorbe ou téorbe (ou encore tüorbe), est un instrument à cordes pincées — une sorte de grand luth — créé en Italie à la fin du XVIe siècle. Les joueurs de théorbe se nomment théorbistes. Le théorbe était utilisé à la fois pour la basse continue et comme instrument soliste. Il servait aussi pour l'accompagnement du chant. Au XVIIIe siècle, en France, on utilisait surtout le théorbe d'accompagnement, instrument très imposant. Les théorbes ont disparu au cours du XVIIIe siècle, avant de réapparaître au XXe siècle avec le renouveau de l'interprétation de la musique ancienne sur instruments d'époque.
Automate du "Célèbre ACCORDEON-BOY", le joueur d'accordéon (Musée Baud). Le Musée Baud se consacre aux automates d'art, il est situé à L'Auberson, en Suisse. Les frères Baud Frédy (1915), Robert (1917) et Auguste (1924) vivent dans un milieu mi-campagnard mi-artisanal. Ils s'associent en 1946 et continuent d'exploiter le petit domaine et à restaurer les pièces à musique anciennes, ceci jusqu'en 1956.
Photographie, Instruments à vent, Béliers, Bergers, Instruments de musique anciens, Aulos, Flûtes, Pélikès
Berger monté sur un bélier et jouant de l'aulos. Face A d'un pélikè attique à figures noires, vers 470 av. J.-C. Provenance : Athènes.
Photographie, Musique, Cloches, Instruments à percussion, Cloches, Musique de, Art -- Chine, Bronzes -- Chine, Instruments de musique -- Chine, Ensemble à percussion, Musique d', Idiophone, Objets rituels
Les bianzhong ou cloches chinoises sont des instruments anciens de la musique chinoise. Il s'agit d'un ensemble de cloches de bronze, jouées mélodiquement. Les cloches sont suspendues à un cadre en bois et frappées à l'aide d'un maillet. Avec les instruments de pierre appelés bianqing, elles étaient un instrument important dans les rituels de Chine et la musique de cour en remontant dans les temps anciens. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Bianzhong
Photographie, Musique, Instruments à percussion, Bois (instruments de musique), Bois (instrument de musique), Musique de, Instruments de musique -- Japon, Instruments de musique anciens, Binzasara
Le binzasara est un instrument à percussion de la musique traditionnelle japonaise utilisé pour les chansons populaires, les danses paysannes et le théâtre kabuki. L'instrument se compose de nombreuses plaquettes de bois reliées par un fort cordon de coton tressé. En utilisant les poignées à chaque extrémité, on joue du binzasara en faisant onduler les plaquettes en ondes. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Binzasara
Photographie, Musique, Tambourin (instrument de musique), Instruments à percussion, Instruments à percussion -- Baguettes, Bodhran, Musique irlandaise
Le bodhrán (prononc. "bawraa-n" ou en API [ˈbaʊrɑːn]), pluriel bodhráin, est un instrument de percussion utilisé dans la musique irlandaise. C'est un tambour sur cadre joué avec un bâtonnet (stick) qui est sans doute dérivé du daf oriental et plus anciennement d'un tamis, un outil agricole servant à séparer les grains de leur enveloppe (son).
Photographie, Antiquités, Musique, Instruments à vent, Serpents -- Mythologie, Cuivres (instruments de musique), Serpents -- Culte, Instruments de musique anciens, Buccin, Instruments de musique Etrusques, Stuttgart (Allemagne. - région)
Buccin du musée du Wurtemberg (Fruchtkasten, Stuttgart). Le buccin (du latin buccina ou būcina) est un instrument de musique à vent de la famille des cuivres, d’origine étrusque et en usage dans l’armée romaine antique. Le corps du buccin avait une forme semi-circulaire (la forme de la lettre « G »). Il possédait parfois un raidisseur (ou poignée) transversal. La perce était conique (comme celle du cor d’harmonie) et l’embouchure était tronconique. Le joueur de buccin est appelé « buccinateur ». Les Étrusques avaient l’habitude de conduire les troupeaux de porcs grâce à cette sorte de clairon. En dehors de la musique il était aussi utilisé pour des signaux à caractère guerrier. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Buccin_%28instrument%29
Photographie, Instruments à vent, Peur, Art celtique, Musique militaire, Instruments de musique anciens, Musique celtique, Carnyx
Un carnyx ou carnynx ou carnux est un instrument de musique celtique à caractère guerrier. Il est utilisé lors des guerres celtes pour contribuer à effrayer l’ennemi et pour mener les troupes. Il est constitué d'une trompe verticale pouvant mesurer jusqu'à 3 m, en tôle de bronze ou laiton, et d'un pavillon perpendiculaire sous forme principalement de hure de sanglier à gueule ouverte ou de tête de dragon, de cheval ou de serpent. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Carnyx
Photographie, Musique, Instruments à vent, Bois (instruments de musique), Clarinette, Hautbois, Musique classique, Chalemie, Chalumeau, Musique de, Chalumeau (instrument à anche double), Chalumeau (instrument à anche simple)
Nom générique au Moyen Âge et à la Renaissance, le chalumeau désigne tout instrument à vent de la famille des bois composé d'un tuyau conique ou cylindrique et d'une anche simple ou double. Puis, pendant la période baroque et classique, le chalumeau désigne spécifiquement un instrument de perce cylindrique et à anche simple, la chalemie (ou hautbois ancien) désignant un instrument en perce conique et à anche double. Chalumeau est donc le nom donné aux premières clarinettes, qui ont gardé ce terme pour leur registre grave. On trouve la musique pour chalumeau surtout dans deux centres différents : d'un côté Vienne, ou des compositeurs d'opéras comme Bononcini, Caldara, Fux etc. emploient souvent le chalumeau en combinaison avec la voix humaine ; de l'autre côté Hambourg et Darmstadt, où Telemann et Graupner montrent une préférence pour les chalumeaux à basse tessiture. Antonio Vivaldi a employé le chalumeau dans plusieurs de ses concertos où il est mentionné sous son nom italien de Salmoè. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Chalumeau_%28musique%29
Photographie, Musique, Cuivre, Percussions (instruments de musique), Musique militaire, Musique traditionnelle -- Chine, Instruments de musique -- France, Bonnet chinois, Chapeau chinois, Militaires -- Musique, Pavillon chinois, Musique -- Chine, Pagodes -- Chine
Le chapeau chinois est un instrument de musique militaire, à percussion, également appelé bonnet chinois ou pavillon chinois. Il est décrit dans le "Dictionnaire pratique et raisonné des instruments de musique anciens et modernes de A. Jacquot" de 1886 comme un instrument à percussion en cuivre, inventé par les Chinois. Le chapeau proprement dit, a la forme du toit d’une petite pagode, les grelots et les sonnettes sont suspendus au bord et à l’extrémité de différentes tiges de métal. Ce qui lui fait donner le nom de "demi-lune" c’est qu’au-dessous du chapeau se trouve aussi un croissant ou demi-lune garnie de sonnettes. Le tout est supporté par un bâton tenu et agité en mesure, de bas en haut, par l’exécutant. On s’en sert dans les musiques d’Orient, et il fut en usage dans celles de France pendant un certain temps. Il ne figure plus dans notre pays que parmi les instruments de musées ou dans les collections d’amateurs de musique. Au Moyen Âge, on l’appelait "tymbe-cembel", et, dès le XIIe siècle, Bombulum. Il est utilisé par les musiques militaires suivantes et décrit comme suit : 1) La musique des régiments sous Napoléon Bonaparte ; 2) La musique de la légion étrangère ; 3) Le 1er régiment de tirailleurs. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Chapeau_chinois_%28musique%29
La clarinette (du provençal clarin, « hautbois ») est un instrument de musique à vent de la famille des bois caractérisée par son anche simple et sa perce quasi cylindrique. Elle a été créée vers 1690 par Johann Christoph Denner (1655-1707) à Nüremberg sur la base d'un instrument à anche simple plus ancien : le « chalumeau ». La clarinette soprano (en si♭) est le modèle le plus commun.
Photographie, Instruments de musique, Bois (instruments de musique), Musique populaire -- Amérique latine, Claves, Claves, Musique de, Instruments de musique -- Amérique latine
Les claves sont des instruments de musique de percussion idiophone très anciens joués dans la musique aborigène d'Australie, sous d'autres noms. Les claves proprement dites, apparaissent à Cuba vers le XVIe siècle, sur les docks du port de La Havane. Entrechoquées au rythme du travail, elles deviennent au XVIIe siècle un instrument de percussion, les « claves » (mélange des mots « clavar » et « llaves »). Les chevilles (« llaves » en espagnol) que l'on cloue (« clavar » en espagnol) pour fixer les pièces du navire sont en bois tropical dur (acana, jiqui, guayacan, jucaro, quiebrahacha...), longues de 20 cm. La clave tenue dans la main droite par l'une des extrémités (macho = mâle) vient percuter en cadence l'autre placée dans la main gauche (hembra = femelle). Le son est très sec et très fort.
Photographie, Musique, Instruments à vent, Sécurité maritime, Corne de brume, Signal sonore, Signaux de brume
Corne de brume embarquée : modèle embarqué sur les bateaux de pêche du début du 20ème siècle (Musée d’Histoire de la Ville et du Pays Malouin). Une corne de brume est un instrument de signalisation maritime, émettant des signaux sonores par temps de brume pour signaler un obstacle ou danger (récif, banc, jetée..) ou pour signaler leur présence. Il s'agissait autrefois d'une corne animale, remplacée depuis par des cornes en laiton puis en plastique, puis par des cornes alimentées par une cartouche de gaz comprimé. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Corne_de_brume
Leçon de musique : professeur (droite, inscription : ΣΜΙΚΥΔΟΣ) et son élève (gauche, ΕΥΔΥΜΙΔΕΣ). Entre les deux, un jeune homme (ΤΛΕΜΠΟΜΕΝΟΣ) déclame des vers. Hydrie attique à figures rouges, v. 510 av. J.-C. Provenance : Vulci.
Photographie, Instruments de musique, Jouets en bois, Jouets, Instruments à percussion, Bois (instruments de musique), Instruments de musique anciens, Idiophone, Crécelle
Une crécelle est un instrument de musique idiophone datant du Moyen Âge, aussi appelée brouan ou tartuleuil, et répandue aujourd'hui encore partout en Europe. De conception et d'utilisation simples, elle est un instrument populaire mais aussi un jouet pour les enfants. Ce terme est attesté depuis la première moitié du XIVe siècle mais son origine n'est pas connue. Grâce au bruit puissant qu'elle émet, elle était aussi utilisée au Québec par les femmes des agriculteurs pour appeler leur mari au champ, avant la mécanisation de l'agriculture. On l'utilisait afin d'avertir du passage de personnes infectieuses, atteintes de maladies redoutées au Moyen Âge : la lèpre, la peste. Petite (5 cm) ou géante (5 m), manuelle ou mécanisée, elle est composée d'un manche et d'une partie rotative parfois multiple dont la lame en bois racle et craque sur la partie crantée du manche. Dotée d'un son très puissant, elle était utilisée dans les monastères et durant les carnavals (en Suisse notamment) ou charivaris. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Cr%C3%A9celle
Photographie, Musique, Instruments à cordes frottées, Instruments à cordes pincées, Instruments à cordes, Lyre, Cordes (instruments de musique), Instruments de musique anciens, Crwth, Cordes pincées (instruments de musique), Instruments de musique -- Angleterre, Instruments de musique celtique, Musique celtique, Bardes
Le crwth ou crouth (prononcé kruːθ ou krʊθ en gallois) est un instrument d'origine galloise ou irlandaise, probablement du Xe – XIe siècle, date à laquelle l'emploi de l'archet est devenu commun en Europe occidentale. Il s'agit de l'un des derniers instruments dont aient joué les bardes historiques de la fin du Moyen Âge et de la Renaissance. Le mot gallois crwth et le mot gaélique cruit étaient des termes génériques renvoyant aux instruments à cordes pincées en général, y compris les premières harpes, et les lyres à six cordes communes à toute l'Europe "barbare" du Haut Moyen Âge. Il se joue comme le fiddle qui l'a supplanté. Il connaît un regain d'intérêt depuis quelques années. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Crwth
Dessins et plans, Musique, Instruments de musique, Instruments à vent, Instruments à cordes pincées, Coloriages, Dessin en noir et blanc, Cordes (instruments de musique), Instruments de musique anciens, Dix (le nombre), Coloriage, Chine -- Ethnologie
Dix instruments de musique chinois : en haut à gauche, guqin (cithare) ; en haut au centre, yunluo à 5 gongs ; en haut à droite : sheng (orgue à bouche) ; centre gauche : sanxian (instrument à cordes pincées) ; centre : dizi (flûte traversière), guan (oboé) ou dongxiao (flûte verticale) ; centre à droite : paiban (claquettes de bois) ; en bas à gauche : konghou (harpe) ; en bas au milieu : guzheng ; en bas à droite : pian gu (tambour). Source : Li Zhuowu Ping Ben Pipa Ji 李卓吾評本琵琶記 (Li Zhuowu Critizes Pipa Ji), 1573-1619.
Dessins et plans, Musique, Musique -- Intervalles et gammes, Partitions (musique), Solfège, Arnaud Pérat, RyXéo, Musique -- Classification, Note de musique, Musique -- Associations, Do, Partitions -- Lecture et déchiffrage
La note do, anciennement appelée ut, est la première note de la gamme majeure sans accident.Par la suite, on contesta que la syllabe Ut était peu praticable pour le chant : on lui substitua donc, à partir du au XVIIe siècle, le « do » − de Domine (« Seigneur »). Le do est placé avant le ré et après le si. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Do_%28note_de_musique%29
Photographie, Musique, Instruments de musique, Instruments à clavier, Diapasons, Instruments de musique anciens, Dulcitone
Un dulcitone (à l'origine forks piano, où fork = diapason) est un instrument de musique dont le son est produit par une rangée de diapasons métalliques, qui vibrent sous l'action de marteaux similaires à ceux du piano, activés par un clavier à échappement simple (2 modèles : 3 octaves, ou 5 octaves 1/2). Sa fabrication date de la fin du XIXe siècle, début du XXe siècle, par la firme écossaise Thomas Machell & Sons (Glasgow). Sa sonorité fait penser à celle d'un marimba dans les notes graves, atteignant progressivement celle d'un célesta dans les aiguës. Une forme plus ancienne apparaît sous le nom de typophone dans Le Chant de la cloche (Op. 18, création 1886) de Vincent d'Indy. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Dulcitone
Flûte de Pan des îles Salomon ; Date de collecte : fin XIX ème siècle - Ancienne collection de Théophile Savès ; Matériaux : Roseau, Bambou, Corde ; Taille: 22 x 11 x 1,5 cm ; Muséum de Toulouse.
Photographie, Danseuses, Flûte, Instruments de musique anciens, Art grec de l'Antiquité, Aulos, Musiciennes, Rhytons
Musicienne et danseuse, col d'un rhyton plastique en forme de tête d'âne. Provenance : Athènes. Date : 470-460 BC ; Dimensions : H. 17 cm, Diam. 8.9 cm. Musée du Louvre.
Photographie, Instruments à vent, Tabourets, Instruments de musique anciens, Lécythes, Art grec de l'Antiquité, Musiciennes, Flûtes
Jeune fille jouant de l'aulos (double flûte), lécythe attique à figures rouges. Date : vers 480 av. J.-C. Céramique à figures rouges. Metropolitan Museum à New York.
Photographie, Cuisine (conserves), Poisson fumé, Poissons dans l'alimentation, Conserves alimentaires, Conserves de poisson, Festivals -- France, Festivals de musique -- France, Fumage du poisson, Paimpol (Côtes-d'Armor)
Fumage de poisson au Festival du chant de marin de Paimpol 2009 (Gouel kan ar vartoloded en breton), manifestation musicale et maritime internationale qui a lieu tous les deux ans sur le port de Paimpol (Côtes-d'Armor).
Gayant (en picard chti) et Marie Cagenon, les géants de Douai. Les fêtes de Gayant se déroulent traditionnellement à Douai le premier week-end suivant le 5 juillet, du samedi au lundi. Les fêtes de Gayant correspondent à la sortie annuelle des géants de la ville : Monsieur Gayant, Madame G ayant (aussi connue sous le nom de Marie Cagenon) ainsi que leurs trois enfants Jacquot, Fillon et Binbin. Monsieur Gayant mesure 8,50 m et pèse 370 kg, il est porté par 6 hommes. Marie Cagenon mesure 6,25 m et pèse 250 kg, elle est, elle aussi, portée par 6 hommes. Jacquot mesure dans les 3 mètres et est porté par un homme, Fillon 2,80 m et Binbin 2,20 m. La procession de la famille Gayant est accompagnée d'une fête populaire où se produisent régulièrement des groupes de musique, des fanfares et des artistes de rue. Pour cette occasion, une fête foraine a lieu depuis une centaine d'année sur la Place du Barlet. Dans de nombreuses entreprises du Douaisis le lundi, dit «lundi de Gayant», est chômé. Gayant est un des plus anciens géants puisque son existence remonte à 1530. Les enfants apparaissent au début du XVIIIe siècle. Mais, interdite par l'Église en 1770, la famille ne réapparaîtra qu'en 1801.
Photographie, Musique, Instruments à vent, Cornes, Flûte, Instruments de musique médiévaux, Instruments de musique anciens, Vents (instruments de musique), Objets en corne, Flûte en corne, Gemshorn
Le gemshorn ou flûte en corne est un instrument de musique du Moyen Âge fabriqué au XVe siècle. Il est composé d'une corne d'animal évidée puis percée de six trous ; à la fin on bouche le fond de la corne. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Gemshorn
Photographie, Architecture romaine, Théâtres romains, Djarach (Jordanie), Gerasa (ville ancienne), Musées -- Signalisation
Histoire du Théâtre Nord de Jerash en jordanie, Panneau informatif, 8 novembre 2014 : Vers 130 après J.C - 749 après J.C. ; Le Théatre Nord de Gerasa est explicitement désigné comme étant un "odeion" dans la grande dédicace courant sur l'architrave de la "scaenae frons" (bâtiment de scène non restauré). Il était donc destiné à accueillir des récitals de musique, des déclamations poétiques etc. Cependant, dans un premier temps, il fut limité à un simple mur de scène percé de trois portes monumentales et à une "cavea" réduite (ensemble de sièges en hémicycle). Il accueillait les réunions de la "boulé" (conseil municipal) et d'une autre assemblée, à la proportionnelle, des représentants des douze tribus civiques de la cité, comme les inscriptions gravées sur les sièges en portent témoignage. C'est actuellement le plus bel exemple connu au monde où de telles informations sur l'organisation de la vie civique d'une ville antique sont conservées. Sa date de construction n'est pas connue mais peut être placée sous le règne de l'empereur Hadrien, peut-être même Trajan. Ce "bouleutérion" fut agrandi et transformé en "odeion" en 165/166 de notre ère. Il fut alors doté de rangées de sièges supplémentaires et d'un "velum", couverture amovible, en toile, sur câbles tendus. Abandonné, il fut réoccupé par des potiers à l'époque omeyyade avant d'être ruiné par le tremblement de terre de 749 après J.C.
Photographie, Musique, Instruments de musique, Instruments à percussion, Tambour, Instruments de musique anciens, Tambour (membranophones), Instruments de musique -- Inde, Hudukka
L'hudukkâ est un instrument de percussion de l'Inde et du Népal. C'est un ancien tambour en sablier similaire au damaru du Nord et à l'idakka du Sud. Il est toujours utilisé dans la musique kéralaise rituelle par la caste des Mârârs, dans les ballades martiales de la musique rajasthanie, dans les rituels chamaniques et toutes formes de danses folkloriques. Vu son faible encombrement, il accompagne aussi les musiciens itinérants. Ces tambours se caractérisent par une tension modifiable de la hauteur du son lors du jeu et ont donc une vocation mélodique autant que rythmique. Connu depuis le XIIIe siècle, c'est un tambour en tonneau converti en sablier par l'adjonction de larges membranes débordantes aux extrémités. Le kuddukâ est similaire, mais n'a pas de grelot et se joue à la baguette. Long de 48 cm pour 18 cm de diamètre, le corps de l'instrument est taillé dans du bois. Les membranes en peau de vache ou de chèvre sont collées sur un épais (2 cm) anneau (22 cm de diamètre) en fibre végétale percé de six trous où passe une corde de tension en coton permettant aussi le maintien en place de la membrane par un laçage en W. Des grelots sont fixés sur le laçage. Ce tambour d'aisselle est suspendu au moyen d'une lanière à l'épaule gauche du percussionniste. La main droite frappe la peau tandis que la main gauche assure les variations de tensions en serrant la partie centrale du cordage recouverte d'une large bande de coton. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Hudukk%C3%A2
Reconstitution d'un ancien celte (tribu Vacomagi) avec carnyx et casque (100-300 après J-C.). Cet instrument de musique était utilisé pour effrayer l'ennemi.
Photographie, Instruments de musique anciens, Art grec de l'Antiquité, Flûtes, Vulci (ville ancienne)
Joueuse d'aulos (flûte grecque double). Kylix attique à figures rouges, vers 490 av. J.-C. Provenance : Vulci. Dimensions : H. 22.10 cm; D. 7.50 cm.
Photographie, Instrument à vent, Musique d', Flûte, Art maori, Flûte Maori, Koauau, Maoris (peuple de Nouvelle-Zélande) -- Art, Maoris (peuple de Nouvelle-Zélande) -- Musique, Musique maorie
La kōauau est une flûte maorie, longue de 10 à 20 centimètres et possédant de trois à six trous pour les doigts. Les joueurs maori de kōauau étaient supposément renommés pour le pouvoir que leur instrument leur donnait pour obtenir l'affection des femmes (pouvoir illustré notablement par l'histoire de Tūtānekai, qui, en jouant de son kōauau, a convaincu Hinemoa de traverser le lac Rotorua à la nage pour le rejoindre). La flûte kōauau est faite de bois ou d'os. Anciennement, des os d'oiseaux étaient utilisés, comme des os d'albatros ou de moa. Certains instruments furent aussi fabriqués à partir d'os humains et étaient associés à un statut de chef et à la pratique précoloniale du utu.
Photographie, Cithare, Bas-reliefs, Instruments de musique anciens, Djarach (Jordanie), Gerasa (ville ancienne), Théâtres antiques
La joueuse de cithare du Théâtre Nord de Jerash en Jordanie, bas-relief de la cavea, 8 novembre 2014.
Photographie, Instruments de musique anciens, Djarach (Jordanie), Gerasa (ville ancienne), Théâtres antiques, Musiciennes
La musicienne du Théâtre Nord de Jerash en Jordanie, bas-relief de la cavea, 8 novembre 2014.
Photographie, Antiquités, Instruments à vent, Cuivres (instruments de musique), Âge du bronze, Instruments de musique anciens, Instruments de musique -- Norvège, Lur, Lure
Le lur ou lure est un instrument de musique à vent scandinave. C'est une sorte de trompe plus ou moins droite. On retrouve l'appellation lur dans les Sagas islandaises (lors du Ragnarök, Heimdall, gardien de Bifröst, souffle dans son lur pour appeler hommes et dieux au combat). Lors de fouilles, les lurs sont souvent retrouvés par paires. Plus d'une cinquantaine de lurs en bronze ont ainsi été retrouvés en Suède, Danemark, Norvège et Allemagne. Le lur était utilisé à des fins guerrières, servant à rassembler les troupes et à effrayer l'ennemi. Il servait aussi aux funérailles. La version en bois avait une vocation pastorale proche du cor des Alpes et semble toujours en activité dans les pays nordiques. Il en existe deux types : le lur en bois (du Moyen Âge) et le lur en bronze (de l'âge du bronze), datant d'environ 14 siècles avant Jésus-Christ. Il mesure entre 1 et 2,5 mètres et il n'y a aucun de trou de jeu. Il est en forme de S et se termine par un disque décoré faisant office de pavillon. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Lur_%28instrument%29
Photographie, Instruments à vent, Bergers, Bois (instruments de musique), Instruments de musique anciens, Instruments de musique -- Norvège, Lur, Lure, Neverlur, Musique (Moyen âge), Norvège -- Ethnologie, Pasteurs (élevage)
Lur norvégien en bois datant du Moyen Âge (le lur en bronze date de l'âge du bronze). Il mesure entre 1 et 2,5 mètres et il n'y a aucun de trou de jeu. La version en bois avait une vocation pastorale proche du cor des Alpes et semble toujours en activité dans les pays nordiques. Source : http://commons.wikimedia.org/wiki/File:Neverlur.JPG.
Photographie, Musique, Instruments de musique, Luth, Instruments à cordes pincées, Instruments à cordes, Cordes (instruments de musique), Musique folklorique, Art turc, Instruments de musique -- Turquie, Musique Turcque, Peuples turcs -- Art, Musique turque, Tziganes
Le cümbüş (djumbuch) est un instrument à cordes pincées turc. C'est un luth à manche long similaire au banjo inventé en 1930 par Zeynel Abidin Cümbüş et présenté à Atatürk par son inventeur, ancien forgeron reconverti dans la lutherie. Il est conçu pour pouvoir permettre en théorie d'adapter différents manches à une même caisse. Cümbüş : à douze cordes, manche court, sans frette, accordé comme le oud. On en joue avec un mediator ou mezrab. Il est essentiellement utilisé dans la musique turque populaire ou folklorique et surtout par les Tziganes, mais le banjo lui fait concurrence.
Gravure, Meubles, Tables (meubles), Éventails, Instruments à cordes pincées, Sandales, Tables (mobilier), Sièges (mobilier), Paniers à provisions, Histoire ancienne, Étendards, Mobilier, Sièges (meubles), Bijoux égyptiens de l'Antiquité, Histoire ancienne -- Antiquités, Instruments de musique antiques, Mobilier royal
Planche 03, Mobilier égyptien ancien, in Costumes of All Nations (Londres, 1882) par Albert Kretschmer, peintre du théâtre de la Cour Royale de Berlin, et Dr. Carl Rohrbach : 1-3, étendards militaires ; 4-9, armes ; 10-13, sceptres et fléaux ; 14, bâton à crochet (Le Pharaon, le jour de son sacre, recevait une houlette et un fléau. Houlette dont l'image retrouvée dans les écrits et l'iconographie de l'Égypte ancienne correspond à celle du "bâton à crochet". Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Houlette_%28agriculture%29.), 15-20, vases à boire ; 21-22, boucliers ; 23-27, bijoux ; 28, miroir ; 29-31 ; 34-35, instruments de musique ; 32-33, éventails ; 36, Horus ; 37-39, sandales ; 40-41, paniers ; 42, table ; 43-46, sièges.
Gravure, Instruments de musique, Couteaux, Antiquités grecques, Récipients à boire, Chaises, Bijoux antiques, Éventails, Paniers, Instruments à percussion, Antiquités (objets anciens), Cratères (vases), Vases à boire, Sceptres, Nu-pieds (sandales), Sacrifice d'animaux, Histoire ancienne, Cornes à boire, Candélabres, Cordes (instruments de musique), Miroirs de bronze
Planche 14, Mobilier grec antique, in Costumes of All Nations (Londres, 1882) par Albert Kretschmer, peintre du théâtre de la Cour Royale de Berlin, et Dr. Carl Rohrbach : 1, 11, flambeaux ; 2, miroir ; 3-7, 10, 12-13, bijoux ; 8-9, sceptres ; 14, 17, éventails ; 15-16, cornes à boire ; 18-21, sandales ; 22-29, vases et cratères ; 30-31, couteaux sacrificiels ; 32, 34, 42-43, paniers ; 33, lampe à huile, 35-41, instruments de musique ; 44, lit de repas avec table et candélabre ; 45-47, sièges.
Photographie, Instruments de musique, Instruments à cordes frottées, Instruments à cordes, Animaux -- Légendes et histoires, Cordes (instruments de musique), Instruments de musique -- Mongolie, Morin Khuur, Musique mongole, Viole
Le morin khuur est un instrument à cordes mongol. Le nom du morin khuur en mongol ancien est mongol et signifie « viole à tête de cheval ». Il produit un son qui est poétiquement décrit comme chaleureux et sans contrainte, tout comme le cheval mongol sauvage qui hennit, ou comme une brise dans les prairies. Il est l’instrument musical le plus important du peuple mongol, et est considéré comme un symbole de la nation mongole. Une légende sur l’origine du morin khuur est qu’un berger nommé Kuku Namjil reçu le don d’un poney magique ailé, qu’il montait la nuit pour voler et rejoindre sa bien-aimée. Une femme jalouse fit couper les ailes du cheval, de sorte qu’il tomba du ciel et mourut. Le berger, dans son deuil, utilisa les os de son défunt cheval pour faire un violon orné d’une tète de cheval, qu’il utilisa pour jouer des chansons émouvantes sur la vie de son cheval.
Muse accordant deux cithares. Détail de l'intérieur d'une coupe attique à fond blanc, vers 470-460 av. J.-C. Provenance : Érétrie ; diamètre 15cm ; Musée du Louvre.
L'olifant (anciennement « oliphant ») est un instrument de musique à vent de la famille des cornes. C'est un cor d'une grande dimension, fait habituellement d'une défense d'éléphant garnie de viroles de métal pour la suspendre. L'olifant était un cor de guerre et de chasse, il servait à donner des signaux, à rallier les troupes, à annoncer l'approche d'un ennemi.
Photographie, Instruments de musique -- Afrique, Castagnettes, Instruments à percussion, Idiophone, Instruments de musique -- Afrique du Nord, Krakeb
Les qraqeb sont des instruments de percussions idiophones maghrébins. C'est un genre de castagnettes utilisé par les Gnaouas, assez similaires aux anciens crotales. Généralement en fer battu, mais des variétés en bois existent, les qraqeb sont des castagnettes montées sur un manche, ayant la forme d'une cuillère à double embout, de 20 à 30 cm de long. Chaque exécutant utilise deux paires, et les entrechoque par des mouvements d'ouverture-fermeture. Ces quatre qraqeb sont très sonores et rythment la musique gnaoui jouée sur le luth guembri. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Qraqeb
Photographie, Cordes (musique), Instruments à cordes pincées, instrument de musique, Musique orientale, Sarod, Sarod, Musique de
Le sarod (ou sarode) est un instrument de musique à cordes pincées apparu au XIXe siècle au nord de l'Inde et utilisé en musique indienne classique. C'est un luth hybride issu du dhrupad rabâb, un instrument indien ancien et du rabâb afghan. Le nom dérive peut-être du persan sarûd (chanter) car nombre de chanteurs s'accompagnaient ainsi. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Sarod.
Photographie, Musique, Instruments de musique, Figuier, harpe, Birmanie, Cordes (musique), Instruments à cordes pincées, Instruments à cordes, Cordes (instruments de musique), Cordes pincées (instruments de musique), Instruments de musique -- Birmanie, Saung, Myanmar (langue)
La saung ou saung-gauk est une harpe traditionnelle birmane (Myanmar). Elle est très ancienne et remonte au VIIIe siècle, d'après des sculptures au temple de Baw-baw-gyi. Bien que jouée depuis, elle bénéficia néanmoins d'un nouvel élan au XVIIIe siècle grâce à Myawaddy Mingyi U Sa (1766-1853) qui adapta la musique siamoise et créa de la musique pour harpe pour accompagner le Ramayana tout en inventant un nouveau genre appelé yodaya. Le nombre de cordes serait alors passé de 7 à 13. C'est une grande harpe de Cour naviforme de 80cm de long sur 76 cm de haut. Elle fait partie des harpes arquées car sa caisse de résonance laquée et recouverte d'une peau de daim (percée de fines ouïes) est horizontale. Son arc est taillé dans une racine d'arbre qui se termine par une sculpture de feuille de l'arbre sacré bo (figuier). L'ensemble est incrusté de mica, perle, verre... Le support sur lequel elle repose est lui aussi très décoré, de même que le bout des 13 à 16 cordes en soie ou nylon. Le chevillier est à friction, mais il en existe des modernes. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Saung
Séance de la Convention, 1897, extrait de "La France illustrée", géographie, histoire, administration, statistique, etc., tome I, par V.-A. Malte-Brun. La Convention a fondé plusieurs institutions aujourd'hui célèbres : l’École polytechnique, le Conservatoire national des arts et métiers, l’École normale supérieure, le système métrique, le Conservatoire de musique, le Muséum d’histoire naturelle, l’École spéciale des Langues orientales (30 mars 1795). La Convention nationale a supprimé toutes les universités le 15 septembre 1793. Elle groupa sous le nom d’Institut les anciennes Académies (qu’elle avait préalablement dissoutes au cours de l’été 1793 sous l’influence de Marat, qui les accusait d’être des repaires d’aristocrates) et celles qu’elle fonda elle-même.
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Le sheng est un instrument de musique à vent à anche libre. Orgue à bouche chinois, il date de 2000 avant JC puisqu'il est mentionné dans le Che-king (Livre des Odes ou de la Poésie). Le sheng a un réservoir en métal et entre 17 et 30 tuyaux en bois d'ébène ou en métal chromé, muni chacun d'un petit orifice à couvrir avec les doigts (comme une flûte) et une anche libre, permettant ainsi une polyphonie tant à l'inspiration qu'à l'expiration. On pense souvent que ce sont Johann Wilde et le Père Amiot (respectivement en 1740 et 1777) qui ont ramené les premiers shengs en Europe à la suite de leur voyage en Chine. C'est seulement au début du XIXe siècle que le sheng d'Amiot inspira l'invention de l'harmonium, de l'harmonica puis de l'accordéon. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Sheng
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Le siyotanka - « le grand coq de bruyère » en langue sioux ou « le bâton qui chante » en langue lakota - (Iroquois, Winnebagos, Ojibwés, Mandans, Hidatsas, Cris, Sioux. C'est une « flûte de courtoisie » à double conduit jouée notamment lors de la cérémonie de la danse du Soleil. Une légende voudrait que c'est un pivert en creusant une branche de cèdre avec son bec qui a offert cet instrument à un jeune guerrier amoureux. Une autre légende hidatsa parle de « la squaw qui ne meure jamais » qui offrit cette flûte à son petit-fils et qu'elle confectionna dans la tige d'un tournesol avec sept trous représentant les mois de l'hiver. La représentation la plus ancienne de cet instrument est un pictogramme sur des rochers très connu appelé Kokopeli. Le siyotanka désigne aussi un sifflet sacré taillé dans un os d'aigle chez les Sioux.