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Concert sous la pluie à Montréal en 2012. Source : http://data.abuledu.org/URI/539a8e26-concert-sous-la-pluie-a-montreal-en-2012

Concert sous la pluie à Montréal en 2012

"Scène verte 2012" au festival Osheaga de Montréal sous la pluie. Le Festival musique et arts Osheaga est un festival de musique rock et de musique électronique qui a lieu annuellement à Montréal au Québec (Canada) depuis 2006. Selon les organisateurs, "Osheaga" est un mot que Jacques Cartier aurait entendu lorsqu'il a fait la rencontre des Mohawks pour la première fois, dans les environs des Rapides de Lachine, sur le territoire qui allait devenir Montréal. Les Européens agitaient leurs mains rapidement, pour désigner les rapides ou pour échanger des poignées de mains, des gestes auxquels les Mohawks n'étaient pas habitués. Le terme "O she ha ga" veut dire "les gens aux mains très agitées", mais Cartier l'interpréta comme voulant dire "gros remous", croyant que les Amérindiens désignaient le fleuve par ce mot. Toutefois rien de tel n'est relaté dans le court passage de Jacques Cartier lors de sa visite sur l'île de Montréal à l'automne 1535, et cette origine n'est en fait qu'un autre mythe attribué à Cartier. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Osheaga

Avertissement sonore. Source : http://data.abuledu.org/URI/52d30f73-avertissement-sonore

Avertissement sonore

Avertissement sonore concernant l'usage des Vuvuzelas pendant les rencontres de football.

Concerts en plein air à Oviedo. Source : http://data.abuledu.org/URI/55de0233-concerts-en-plein-air-a-oviedo

Concerts en plein air à Oviedo

Concerts en plein air à Oviedo par des étudiants de l'école internationale de musique.

Guitariste sur scène. Source : http://data.abuledu.org/URI/5395dfa6-guitariste-sur-scene

Guitariste sur scène

La guitariste Anaïs sur scène au Festival des Artefacts (Strasbourg) en 2009.

Plaques musicales de couleur - 0. Source : http://data.abuledu.org/URI/585fb514-plaques-musicales-de-couleur-0

Plaques musicales de couleur - 0

Téléphone à pied, concert ORGANic Evolution 2010.

Plaques musicales de couleur - 01. Source : http://data.abuledu.org/URI/585fb5b8-plaques-musicales-de-couleur-01

Plaques musicales de couleur - 01

Téléphone à pied, concert ORGANic Evolution 2010.

Trajet en omnibus en 1828. Source : http://data.abuledu.org/URI/514edebd-trajet-en-omnibus-en-1828

Trajet en omnibus en 1828

Le trajet en omnibus en 1828, par Jean Ignace Isidore Gérard, mieux connu sous son pseudonyme de J. J. Grandville (1803-1847), célèbre pour ses illustrations de journaux comme "La Silhouette," "L'Artiste," "La Caricature," et "Le Charivari." Ce dessin illustre une pièce de musique de "Une Course d'Omnibus" de Charles Henri Plantade (1764-1839). Un omnibus (du latin omnibus, signifiant « pour tous ») est un véhicule à traction hippomobile inspiré des diligences et assurant un service de transport public. Un omnibus circule à des horaires déterminés sur des lignes fixes, ce qui le distingue des fiacres, ancêtres des taxis, qui, loués par une personne ou une famille, se rend à la destination choisie par ses clients. Par ailleurs, il circule sur la chaussée, sans être guidés par des rails, ce qui les distingue des tramways. Il n'a pas nécessairement de points d'arrêts fixes. Le mot « omnibus », d'où viennent « autobus » et « bus », est apparu en relation avec la ligne créée à Nantes en 1826, la première en France, au XIXe siècle. L'âge d'or des omnibus est cependant le XIXe siècle, lorsque les villes commencent à s'étendre sous la pression d'une forte croissance démographique et industrielle, l'amélioration de la voirie, et à une époque où la petite bourgeoisie, qui pouvait économiquement payer des places, se développe. Lorsque Stanislas Baudry (1777-1830) décide de créer le même service à Paris, il crée une nouvelle entreprise à qui il donne le nom d'Entreprise générale des omnibus (EGO) ; il y est associé avec d'autres hommes d'affaires (Boitard et Saint-Céran). Le 30 janvier 1828, l'EGO obtient du préfet de police de Paris, Louis-Maurice Debelleyme, l'autorisation d'exploiter une entreprise de « voitures destinées à transporter à bas prix les habitants de certains points de la ville à d'autres points également fixés et en suivant des itinéraires fixés par la ville », avec au plus cent voitures. Les omnibus de l'EGO, tractés par trois chevaux, comptent 14 places assises réparties en trois classes. Après une phase de succès, l'EGO subit une crise dès l'hiver 1830 et est mise en faillite.