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Photographie | Musique | Instruments à percussion | Instruments de musique -- Inde | Tambour (membranophones) | Instruments de musique | Instruments à vent | Clarinette | Tambours (famille d'instruments) | Tambour | Charmeurs de serpents | Peinture | Luth | Kerala (Inde) | Instruments à cordes pincées | Jaipur (Rājasthān, Inde) | Musique indienne (de l'Inde) | Keralais (peuple de l'Inde) | Maddalam | Animaux -- Dans l'art | ...
Bols de Jal tarang. Source : http://data.abuledu.org/URI/530714f6-bols-de-jal-tarang

Bols de Jal tarang

Jal tarang (collection d'Emil Richards, C6-F7). Le jal tarang ou jaltarang est un instrument de musique indien très rare. Il s'agit d'un ensemble de quinze ou vingt bols de cuisine en porcelaine de taille croissante. Ils sont remplis d'eau afin d'émettre chacun une note particulière, et il suffit donc d'augmenter le volume d'eau ou de le diminuer pour changer la note. Les bols sont placés à terre en arc de cercle devant le musicien assis. celui-ci les frappe successivement à l'aide de deux baguettes en bois. C'est un instrument de percussion mélodique simple à construire et à jouer, mais le jeu peut en être très virtuose. Le son est crystallin, proche du glassharmonica européen. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Jal_tarang.

Charmeur de serpent jouant du pungi. Source : http://data.abuledu.org/URI/53070957-charmeur-de-serpent-jouant-du-pungi

Charmeur de serpent jouant du pungi

Charmeur de serpent jouant du pungi à l'entrée du Fort Amber, Jaipur en Inde.

Charmeur de serpent jouant du pungi. Source : http://data.abuledu.org/URI/53070a63-charmeur-de-serpent-jouant-du-pungi

Charmeur de serpent jouant du pungi

Charmeur de serpent jouant du pungi (famille des clarinettes) dans la rue à Delhi en Inde.

Chenda indien. Source : http://data.abuledu.org/URI/53397fd5-chenda

Chenda indien

Le chenda ou chende est un instrument de musique de l’Inde. C'est un instrument de percussion membranophone. C'est un tambour en tonneau à deux peaux utilisé dans la musique kéralaise. Seuls des membres de la communauté Mârâr ou Pothuvâl sont habilités à en jouer. D'un diamètre de 22 cm, avec 55 cm de long, il est en un bois épais de jacquier. Deux cercles de 32 cm de diamètre en bois ou en bambou assurent la fixation des cordes de tensions réglables à l'aide d'un anneau le long du fût. Les membranes sont en peau de vache ou de veau (l'une d'elles a six couches distinctes de peaux). C'est l'un des rares tambours, maintenu à l'aide d'une sangle passée sur les épaules, à être joué debout. L'instrument est tenu à la verticale, comme un tambour européen. On le frappe sur la face supérieure (valantâla) à l'aide d'une ou deux baguettes courbes ou avec la main gauche nue. À de rares occasions, la face inférieure (etântâla) est aussi frappée. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Chenda

Hudukka indien. Source : http://data.abuledu.org/URI/533980cd-hudukka

Hudukka indien

L'hudukkâ est un instrument de percussion de l'Inde et du Népal. C'est un ancien tambour en sablier similaire au damaru du Nord et à l'idakka du Sud. Il est toujours utilisé dans la musique kéralaise rituelle par la caste des Mârârs, dans les ballades martiales de la musique rajasthanie, dans les rituels chamaniques et toutes formes de danses folkloriques. Vu son faible encombrement, il accompagne aussi les musiciens itinérants. Ces tambours se caractérisent par une tension modifiable de la hauteur du son lors du jeu et ont donc une vocation mélodique autant que rythmique. Connu depuis le XIIIe siècle, c'est un tambour en tonneau converti en sablier par l'adjonction de larges membranes débordantes aux extrémités. Le kuddukâ est similaire, mais n'a pas de grelot et se joue à la baguette. Long de 48 cm pour 18 cm de diamètre, le corps de l'instrument est taillé dans du bois. Les membranes en peau de vache ou de chèvre sont collées sur un épais (2 cm) anneau (22 cm de diamètre) en fibre végétale percé de six trous où passe une corde de tension en coton permettant aussi le maintien en place de la membrane par un laçage en W. Des grelots sont fixés sur le laçage. Ce tambour d'aisselle est suspendu au moyen d'une lanière à l'épaule gauche du percussionniste. La main droite frappe la peau tandis que la main gauche assure les variations de tensions en serrant la partie centrale du cordage recouverte d'une large bande de coton. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Hudukk%C3%A2

Indienne jouant du Pulluvan pattu. Source : http://data.abuledu.org/URI/53070846-indienne-jouant-du-pulluvan-pattu

Indienne jouant du Pulluvan pattu

Indienne jouant du Pulluvan pattu dans le temple d'Ashtamudi : violon à une corde.

Joueuse de Tambûr en 1735. Source : http://data.abuledu.org/URI/53f45d04-joueuse-de-tambur-en-1735

Joueuse de Tambûr en 1735

Joueuse de tambûr à Kishangarh, vers 1735.

Kanjira indienne. Source : http://data.abuledu.org/URI/533a94d7-kanjira-indien

Kanjira indienne

La kanjira est un petit tambour sur cadre (membranophone à une peau) indien. D'un diamètre de 10 à 20 cm, il est en un bois épais de tun ou de jacquier. La peau est à l'origine une peau de lézard ou d'iguane (assez rare), mais elle est souvent en peau de serpent ; toutefois, vu la protection des reptiles, elle est de plus en plus souvent en chèvre. Mais cette nouveauté ne rend pas les effets spéciaux des peaux reptiles qui se distendent beaucoup quand on les mouille, permettant ainsi des variations mélodiques. Toutes les kanjiras ont une petite clochette ou cymbalette. Une main sert à frapper la peau à l'aide des doigts (au bord) et de la paume (au centre), l'autre sert à modifier la tension de la peau (donc la hauteur du son) en appliquant une pression du bout des doigts sur la face extérieure (ou intérieure) de la peau mouillée. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Kanjira

Khol bengali. Source : http://data.abuledu.org/URI/53396581-khol

Khol bengali

C'est une version originale de l'est de l’Inde. Il est long comme un mridangam, mais ses faces sont disproportionnées : l'une à droite, est minuscule (7 cm) et l'autre à gauche, est énorme (30 cm). L'instrument est en terre cuite, et donc très fragile, mais très léger, et très sonore. Si on retrouve la pastille noire à droite, elle n'émet en revanche aucun "buzz" et ne subit pas les frappes claquées si caractéristiques. En revanche, on n'applique aucune pâte à gauche. En effet, il s'y trouve une pastille noire (ou brune) permanente, mais elle peut être aussi placée à l'intérieur de la peau ! De ce fait s'offre une nouvelle possibilité de jeu, similaire à celle du baya (tambour basse) du tablâ : on peut utiliser des glissandos du poignet sur la peau et en variant la pression, obtenir un son plus ou moins long du genre "woop". Le nombre de lanières reliant les deux peaux est beaucoup plus important, afin de protéger la caisse de résonance. On n'accorde pas cet instrument à l'aide d'une action mécanique (coup), mais à l'aide d'une réaction physique : on chauffe l'instrument pour monter l'accord. Le khol accompagne les bhajans et les kirtans, les chants religieux dérivés du dhrupad. Il se joue souvent debout et son apprentissage est plus empirique que scientifique. Il est aussi utilisé par les musiciens errants, les bauls. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Mridang#Le_khol_bengali

Le Seigneur de la Danse en Inde. Source : http://data.abuledu.org/URI/533671e2-le-seigneur-de-la-danse-en-inde

Le Seigneur de la Danse en Inde

Shiva Nataraja (Seigneur de la danse). Inde, Tamil Nadu, époque Chola, 11ème siècle, bronze (Musée Guimet, Paris) : Shiva tient le petit damara (tambourin) de la création dans sa main droite supérieure et l'étincelle de la création dans sa main gauche supérieure ; le geste de la main droite inférieure signifie "ne craignez rien", tandis qu'il désigne de la gauche inférieure la jambe gauche soulevée, symbole de la délivrance .

Maddalam kéralais indien. Source : http://data.abuledu.org/URI/53514598-maddalam

Maddalam kéralais indien

Le maddalam, mattalam ou madale est un instrument de percussion du sud de l'Inde. C'est un tambour en tonneau à deux faces. Il est utilisé dans la musique kéralaise rituelle par la caste des Mârârs. Le lourd fût long de 60 cm est taillé dans du bois de jacquier. Les épaisses membranes en peau de veau sont maintenues au moyen d'un laçage de cuir de buffle. Une pastille noire similaire à celle du mridangam recouvre une face du maddalam afin d'obtenir des harmoniques. Une pâte blanche amovible de farine ou semoule est collée contre l'autre face afin d'accorder la face basse. On en joue debout, l'instrument étant suspendu horizontalement à une bandoulière autour des épaules ; il est recouvert d'un tissu miroitant. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Maddalam

Miniature persane du début du 18ème siècle. Source : http://data.abuledu.org/URI/53f46cab-miniature-persane-du-debut-du-18eme-siecle

Miniature persane du début du 18ème siècle

Miniature persane Gaudi Ragini (Jaipur en Inde vers 1700-1725). Le râga ou râgam en tamoul signifiant attirance, couleur, teinte ou passion — est un cadre mélodique (à ne pas confondre avec les notions de gamme ou de mode, même s'il y a une certaine affinité avec celles-ci) utilisé dans la musique classique indienne. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/R%C3%A2ga

Nagara indiennes. Source : http://data.abuledu.org/URI/5331ae35-nagara

Nagara indiennes

Les nagara (monde arabe) ou tyanko (Népal) sont une paire de timbales indiennes rencontrée jusqu'au Tadjikistan. Le tasha en est une version sur trépied à une seule timbale, dont le tas iranien est sans doute l'origine, mais qui est joué avec des petits fouets. Parfois construites en terre cuite, les plus grandes, jusqu'à un mètre de diamètre, sont en cuivre, avec des peaux de chèvre liées à l'aide de cordes ou de lanières de cuir, tout autour. On en joue assis ou debout (avec une lanière), avec deux grosses et solides baguettes, les timbales étant soit côte à côte, soit l'une horizontale et l'autre verticale (les peaux perpendiculaires). Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Nagara_%28instrument%29

Pungi de charmeur de serpents. Source : http://data.abuledu.org/URI/53070b80-pungi-de-charmeur-de-serpents

Pungi de charmeur de serpents

Pungi de charmeur de serpents : La caisse de résonance est une gourde percée aux extrémités pour laisser passer deux ou trois morceaux de bambou, l'un d'eux comportant les trous de jeu. À l'intérieur de l'entrée de la gourde, une anche simple est fixée, et ce n'est qu'après son passage que l'air est séparé entre les bourdons et le "chanter", le tuyau de jeu. L'instrument est très décoré et peut atteindre 80 cm de long. C'est une sorte de cornemuse primitive, dont le sac est formé des poumons et de la bouche du musicien. Elle se joue avec un souffle continu, consistant à aspirer de l'air en même temps que l'on expire. On en joue debout, assis, mais surtout accroupi, tout près des serpents : les serpents étant sourds, mais sensibles aux vibrations. Seule une caste uniquement formée de musiciens, les sapera (de sâp serpent), est autorisée à en jouer. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Pungi.

Surbahar indien. Source : http://data.abuledu.org/URI/53344a15-surbahar

Surbahar indien

Le surbahar (en ourdou سربہار; en hindi सुर बहार) est un instrument de musique du nord de l'Inde. Utilisé dans la musique hindoustanie, c'est un sitar basse en quelque sorte, rarement joué. Le surbahar est un vieil instrument dérivé de la vînâ et du tambûr. Il ressemble au sitar, mais est encore plus grand. Son manche est beaucoup plus large. Sa tête se termine par une sculpture de cygne ou de paon. Et sa caisse de résonance est une calebasse aplatie, et non sphérique. Les cordes sont plus grosses et le son plus grave. On en joue assis en tailleur par terre, exclusivement les râgas dans le style dhrupad, accompagné par le pakhâwaj. On se sert de deux mezrabs (à l'index et au majeur) qui vont et viennent alternativement sur les cordes (comme dans la basse). Vu le manche spécialement étudié, on peut tirer une corde afin d'infléchir une note non plus seulement sur une quinte, mais sur une octave entière. Cette opération demande toutefois de la pratique du fait de la résistance de la corde. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Surbahar

Tabla indien. Source : http://data.abuledu.org/URI/53396120-tabla

Tabla indien

Le tabla est un instrument de musique à percussion indien certainement dérivé des nagaras ou des « tablas » arabes. La légende en attribue l'invention à Amir Khusrau, fondateur de la Delhi gharana, au XIVe siècle. On dit aussi qu'il serait né de la colère d'un musicien qui aurait jeté son mridangam par terre et l'aurait brisé en deux : l'instrument fonctionnait toujours et donna naissance au tabla. On en joue assis par terre, les instruments reposant sur des petits coussins afin de les orienter proprement. Avec le mridang, c'est le membranophone le plus complexe qui soit. Le tabla est composé de deux fûts, un petit tambour mâle, le dayan ou dahina (droite), et une timbale femelle, le bayan ou baya (gauche), accordée généralement à la quinte grave (en fonction de la tonalité et du raga, ce peut être à la quarte ou à l'octave). Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Tabla