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Dessins et plans, Musique, Musique -- Intervalles et gammes, Partitions (musique), Solfège, Arnaud Pérat, RyXéo, Musique -- Classification, Note de musique, Musique -- Associations, Do, Partitions -- Lecture et déchiffrage
La note do, anciennement appelée ut, est la première note de la gamme majeure sans accident.Par la suite, on contesta que la syllabe Ut était peu praticable pour le chant : on lui substitua donc, à partir du au XVIIe siècle, le « do » − de Domine (« Seigneur »). Le do est placé avant le ré et après le si. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Do_%28note_de_musique%29
Dessins et plans, Musique, Musique -- Intervalles et gammes, Partitions (musique), Solfège, Arnaud Pérat, Notes (musique), RyXéo, Musique -- Classification, Note de musique, Musique -- Associations, Fa, Partitions -- Lecture et déchiffrage
La note représente par sa forme une durée (dimension horizontale du solfège). De par sa position sur la portée, elle représente une hauteur (dimension verticale). Tout son musical (ou note) possède une fréquence fondamentale correspondant à sa hauteur. Deux notes dont les fréquences fondamentales ont un ratio qui est une puissance de deux (c'est-à-dire la moitié, le double, le quadruple...) donnent deux sons très similaires. Cette observation permet de regrouper toutes les notes qui ont cette propriété dans la même catégorie de hauteur.
Dessins et plans, Musique, Musique -- Intervalles et gammes, Partitions (musique), Solfège, Notes (musique), Musique -- Classification, Musique -- Associations, Partitions -- Lecture et déchiffrage, Musique -- Théorie
En musique, une gamme musicale est un ensemble déterminé de notes conjointes s'étendant sur une octave. Une gamme se définit également par la succession des intervalles qui subdivisent une octave. Par exemple, la gamme de do majeur, ou gamme « classique », comporte sept notes : do (ou ut), ré, mi, fa, sol, la, si. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Gamme_musicale
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Le la est compris entre le sol et le si. En musique, le diapason est un outil de musicien donnant la hauteur (fréquence en hertz) d'une note-repère conventionnelle, en général le la, afin que celui-ci accorde son instrument. Par extension, le diapason désigne la hauteur absolue de la note de référence mondialement acceptée (actuellement la fréquence du la3 est de 440 Hz). Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Diapason
Dessins et plans, Musique, Musique -- Intervalles et gammes, Partitions (musique), Solfège, Notes (musique), Musique -- Classification, Note de musique, Mi, Musique -- Associations, Partitions -- Lecture et déchiffrage
En musique, une note désigne soit un symbole permettant de représenter la hauteur et la durée relative d'un son, soit la hauteur elle-même d'un son. Dans le solfège, la note de musique est littéralement "notée" sur une partition afin d'être lue par le musicien interprète. On lui attribue quatre caractéristiques principales : durée, hauteur, intensité et timbre. La note représente par sa forme une durée (dimension horizontale du solfège). De par sa position sur la portée, elle représente une hauteur (dimension verticale). Le mi est situé entre le ré et fa. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Mi_%28note_de_musique%29
Dessins et plans, Musique, Notation musicale, Partitions (musique), Solfège, Notes (musique), Musique -- Classification, Musique -- Associations, Partitions -- Lecture et déchiffrage, Portée
Dans le solfège, la portée est un ensemble de cinq lignes horizontales permettant de représenter les hauteurs. Elle est destinée à recevoir la figure de notes et de silences, les clefs, les altérations, et quelques autres symboles annexes. Dans le solfège, la représentation des hauteurs utilise six types de signes : la portée, les lignes supplémentaires, les figures de note, les clés, les signes d'octaviation et les altérations. Les cinq lignes de la portée sont également espacées et forment entre elles quatre interlignes. Les lignes et les interlignes sont numérotés du bas vers le haut. Le nombre de lignes a varié jusqu'à la Renaissance où il fut définitivement fixé à cinq. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Port%C3%A9e_%28musique%29
Dessins et plans, Musique, Musique -- Intervalles et gammes, Partitions (musique), Sol, Solfège, Arnaud Pérat, Notes (musique), RyXéo, Musique -- Classification, Associations de musique, Note de musique, Musique -- Associations, Partitions -- Lecture et déchiffrage
Le sol est le cinquième degré de la gamme de do en musique. En musique, une note désigne soit un symbole permettant de représenter la hauteur et la durée relative d'un son, soit la hauteur elle-même d'un son. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Note_de_musique
Photographie, Instrument à cordes, Musique d', Balalaïka, Instruments à cordes pincées, Musiciens russes, instrument de musique, Balalaïka, Musique de
La balalaïka (Russe : Балалайка) est un instrument de musique à cordes pincées russe. C'est un luth à manche long à la caisse typiquement triangulaire. Le mot balalaïka vient du russe balakat, qui signifie bavarder, plaisanter, taquiner. Elle se joue avec un plectre et se décline en plusieurs tailles. La plus courante, la prima, comporte trois cordes, deux accordées en mi et la troisième en la. Elle est souvent associée aux orchestres de balalaïkas. L'ancêtre de la balalaïka s'appelle la domra et date du XVIe siècle. Elle aurait été introduite en Russie par les Tartares. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Balala%C3%AFka.
Photographie, Musique, Instruments de musique, Instruments à vent, Cornemuse, Boha, Cornemuse landaise
Cornemuse des landes, connue sous le nom gascon de "boha". Instrument de facture récente (2003). La boha (prononcer "bou-heu") ou cornemuse des Landes de Gascogne est un instrument de musique à vent utilisé dans la musique gasconne. C'est une cornemuse à anches simples. Elle a une petite poche et possède une partie mélodique et un seul bourdon à 2 tons contenus dans une pièce en bois de buis ou de fruitier recelant deux perces parallèles, appelée pihet (mot gascon de même racine que "pifre" signifiant "fifre"). Le nom "boha" vient du verbe bohar qui en gascon signifie souffler ; les sonneurs de boha sont appelés bohaires. La boha était autrefois sonnée sur une aire comprenant une partie des actuels départements des Landes, de la Gironde, du Lot-et-Garonne et du Gers. La boha est constituée de 4 parties essentielles : - La poche : généralement en peau de chèvre voire d'agneau. - Le porte-vent : contenant en général une valve (d'autres systèmes existent ou sont en expérimentation) pour empêcher le retour de l'air. - Le pihet (double tuyau) : contenant deux tuyaux, un pour la mélodie et un pour le bourdon. Le tuyau mélodique est percé de 7 ou 8 trous ; le tuyau du bourdon est percé d'un trou et est prolongé par le brunidèr - Le brunider : pièce de bois prolongeant le tuyau du bourdon et qui permet s'il est mis ou enlevé de modifier la note du bourdon. La boha est généralement associée à une culture de bal gascon et accompagne des danses comme le rondeau, la mazurka, la polka, la valse, la scottish…
Dessins et plans, Couleurs, Piano, Claviers, Compositeurs russes, Couleurs -- Aspect religieux, Musique -- Intervalles et gammes, Pianistes, Skriabine (1871-1915), Synesthésie
Clavier de piano avec les couleurs synésthésiques perçues par Scriabine : Par la combinaison des sons, des couleurs (« clavier à lumières » pour Prométhée ou le poème du feu), à la recherche d'une liberté spirituelle et de l’extase, sa musique évolue de façon toujours plus nette vers les aspects mystiques de la vie, de la mort, de la réincarnation. La synesthésie (du grec syn, avec (union), et aesthesis, sensation) est un phénomène neurologique par lequel deux ou plusieurs sens sont associés : la musique et d'autres sons peuvent être perçus colorés, ou ayant une forme particulière. Alexandre Nikolaïevitch Scriabine ou Skriabine (en russe : Александр Николаевич Скрябин) est un pianiste et un compositeur russe né à Moscou le 25 décembre 1871 du calendrier julien/6 janvier 1872 et mort à Moscou le 14 avril du calendrier julien/27 avril 1915. DO en rouge, R2 en jaune, MI en bleu clair, FA en marron, SOL en orange, LA en vert, SI en bleu.
En solfège, une clef (ou clé) est un signe graphique placé au début de la portée qui indique la hauteur des notes associées à chaque ligne.
En solfège, une clef (ou clé) est un signe graphique placé au début de la portée qui indique la hauteur des notes associées à chaque ligne.
Photographie, Luth, Instruments à cordes frottées, Domra, Instruments à cordes, Musique d', Musique Russe, Musique folklorique, Musique traditionnelle
La domra est un instrument à cordes russe de la famille des luths répandu jusqu'au XVIIe siècle puis disparu, et recréé à la fin du XIXe siècle par Vassili Andreyev, le musicien à l'origine du renouveau de la balalaika et de la musique folklorique russe. En 1905, un luthier y ajouta une quatrième corde. C'est un instrument que l'on retrouve souvent associé à la balalaïka. On en joue avec un plectre en solo, duo ou orchestre. Il est plutôt réservé à l'interprétation des musiques modernes ou classiques.
Photographie, Instrument à vent, Musique d', Flûte, Art maori, Flûte Maori, Koauau, Maoris (peuple de Nouvelle-Zélande) -- Art, Maoris (peuple de Nouvelle-Zélande) -- Musique, Musique maorie
La kōauau est une flûte maorie, longue de 10 à 20 centimètres et possédant de trois à six trous pour les doigts. Les joueurs maori de kōauau étaient supposément renommés pour le pouvoir que leur instrument leur donnait pour obtenir l'affection des femmes (pouvoir illustré notablement par l'histoire de Tūtānekai, qui, en jouant de son kōauau, a convaincu Hinemoa de traverser le lac Rotorua à la nage pour le rejoindre). La flûte kōauau est faite de bois ou d'os. Anciennement, des os d'oiseaux étaient utilisés, comme des os d'albatros ou de moa. Certains instruments furent aussi fabriqués à partir d'os humains et étaient associés à un statut de chef et à la pratique précoloniale du utu.
Photographie, Instruments de musique, Art japonais, Instruments à percussion, Musique japonaise, Instruments de musique -- Japon, Musique -- Japon, Taiko
Taiko (太鼓) veut dire tambour en japonais, ce mot vient du chinois : 太鼓 ; pinyin : tàigǔ ; littéralement : « tambour le plus grand » mais ce mot est généralement utilisé en dehors de ce pays pour désigner les différentes formes de tambours. Les Japonais préfèrent utiliser le terme plus spécifique wadaiko (和太鼓, littéralement tambour japonais), associé depuis longtemps à l'histoire du Japon.
Gravure, Dix-neuvième siècle, Humour par l'image, Artistes français, Grandville (1803-1847), Illustration des périodiques, Illustrations humoristiques, Transports publics par omnibus
Le trajet en omnibus en 1828, par Jean Ignace Isidore Gérard, mieux connu sous son pseudonyme de J. J. Grandville (1803-1847), célèbre pour ses illustrations de journaux comme "La Silhouette," "L'Artiste," "La Caricature," et "Le Charivari." Ce dessin illustre une pièce de musique de "Une Course d'Omnibus" de Charles Henri Plantade (1764-1839). Un omnibus (du latin omnibus, signifiant « pour tous ») est un véhicule à traction hippomobile inspiré des diligences et assurant un service de transport public. Un omnibus circule à des horaires déterminés sur des lignes fixes, ce qui le distingue des fiacres, ancêtres des taxis, qui, loués par une personne ou une famille, se rend à la destination choisie par ses clients. Par ailleurs, il circule sur la chaussée, sans être guidés par des rails, ce qui les distingue des tramways. Il n'a pas nécessairement de points d'arrêts fixes. Le mot « omnibus », d'où viennent « autobus » et « bus », est apparu en relation avec la ligne créée à Nantes en 1826, la première en France, au XIXe siècle. L'âge d'or des omnibus est cependant le XIXe siècle, lorsque les villes commencent à s'étendre sous la pression d'une forte croissance démographique et industrielle, l'amélioration de la voirie, et à une époque où la petite bourgeoisie, qui pouvait économiquement payer des places, se développe. Lorsque Stanislas Baudry (1777-1830) décide de créer le même service à Paris, il crée une nouvelle entreprise à qui il donne le nom d'Entreprise générale des omnibus (EGO) ; il y est associé avec d'autres hommes d'affaires (Boitard et Saint-Céran). Le 30 janvier 1828, l'EGO obtient du préfet de police de Paris, Louis-Maurice Debelleyme, l'autorisation d'exploiter une entreprise de « voitures destinées à transporter à bas prix les habitants de certains points de la ville à d'autres points également fixés et en suivant des itinéraires fixés par la ville », avec au plus cent voitures. Les omnibus de l'EGO, tractés par trois chevaux, comptent 14 places assises réparties en trois classes. Après une phase de succès, l'EGO subit une crise dès l'hiver 1830 et est mise en faillite.