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Dessins et plans | Limes (outils) | Outillage | Cinématique | Rabots | Machines -- Cinématique | Dispositifs de serrage de la pièce | Outils | Bétonnières | Énergie hydraulique | Aubes (technologie) | Génie hydraulique -- Instruments | Moteurs hydrauliques | Pompes rotatives | Photographie |
Pompe centrifuge. Source : http://data.abuledu.org/URI/50cb3dc4-pompe-centrifuge

Pompe centrifuge

Pompe centrifuge : machine rotative qui pompe un liquide en le forçant au travers d’une roue à aube ou d'une hélice appelée impulseur. C’est le type de pompe industrielle le plus commun. Par l’effet de la rotation de l’impulseur, le fluide pompé est aspiré axialement dans la pompe, puis accéléré radialement, et enfin refoulé tangentiellement. On appelle « corps de pompe » l’enveloppe extérieure de la machine. C’est la partie fixe de la machine ou stator. Le corps est constitué principalement de la « tubulure d’aspiration », de la « volute », et de la « tubulure de refoulement ». La partie mobile ou rotor est formée de l’impulseur (roue à aubes), monté sur un arbre. Le rotor est actionné par une machine d’entraînement qui est le plus souvent un moteur électrique mais peut être également une turbine. Comme l’arbre traverse le plus souvent la volute, il est nécessaire de réaliser à cet endroit un dispositif assurant l’étanchéité globale. Ceci est effectué à l’aide de deux types principaux d’accessoires : le presse-étoupe et la garniture mécanique. On appelle aubes les lamelles grossièrement radiales qui, à l’intérieur de l’impulseur, canalisent le fluide de l’intérieur vers l’extérieur de la volute. On appelle « flasques » les parois de l’impulseur qui enserrent les aubes. (Les roues à deux flasques dites aussi impulseur fermé sont les plus fréquentes. Il existe également des roues sans flasque, et des roues à une seule flasque (impulseur ouvert ou semi-ouvert).

Bétonnière de chantier. Source : http://data.abuledu.org/URI/51dddc34-betonniere-de-chantier

Bétonnière de chantier

Bétonnière avec benne de chargement utilisée sur les chantiers de construction. Le modèle de base pèse quelques dizaines de kilos pour un encombrement de un mètre sur un mètre, pour un 1,5 mètre de haut environ, et comprend : une cuve basculante grâce à un volant de manœuvre ; un moteur thermique ou électrique ; un châssis muni de roues. Le chargement des agrégats peut se faire manuellement (à la pelle) sur les bétonnières de petite capacité ou à l'aide d'une benne relevable par vérin hydraulique ou câble, pour les plus gros modèles.

Cinématique de l'étau limeur. Source : http://data.abuledu.org/URI/52accb9f-etau-limeur-cinematique

Cinématique de l'étau limeur

Etau limeur : cinématique de la course du coulisseau et de l'avance table. L’étau limeur est une machine à raboter mais travaillant à l’inverse d’une raboteuse, dans le sens que la pièce reste immobile pendant la passe alors que l’outil effectue le mouvement de coupe rectiligne. L’architecture d’un étau limeur est constituée de : 1) le bâti en fonte contenant les organes mécaniques (moteur électrique, hydraulique ou pneumatique ; boîte de vitesse ; système bielle-manivelle ; mécanisme d’avance de la table porte-pièce) ; 2) le coulisseau qui se déplace horizontalement sur le dessus du bâti et qui porte le chariot porte-outil ; 3) la table porte pièce qui coulisse sur une glissière horizontale, qui elle-même coulisse sur une autre glissière verticale. Cette table, selon les modèles, peut pivoter selon un axe parallèle à la trajectoire du coulisseau et être soutenue en bout par bretelle (ou béquille) ; 4) un socle fixé au sol et supportant l’ensemble.