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Photographie, Lion, Monuments funéraires, Statues -- France, Angers (Maine-et-Loire), Animaux -- Dans l'art, Juliomagus (ville ancienne)
Angers, Musée des Beaux-Arts, Juliomagus : statue de lion tenant entre ses pattes une tête de bélier (calcaire, II° siècle).
Monument funéraire de l'île Toud. Atlas pittoresque, planche 189. Jules Dumont d'Urville (1846) Voyage au Pôle Sud et dans l'Océanie sur les corvettes L'Astrolabe et La Zélée exécuté par ordre du Roi pendant les Années 1837–1838–1839–1840 sous le commandement de M. Dumont-d'Urville.
Nouveau monument aux victimes de l'incendie de Cestas en 1949
Photographie, Oiseaux, Monuments funéraires, Cuivre, Antiquités médiévales, Repoussé, Travail au repoussé, Art funéraire, États-Unis -- Antiquités, Mississippi (États-Unis)
Plaque en cuivre repoussé funéraire représentant un oiseau : civilisation mississipienne à Etowah en Géorgie (USA). Elle peut être rattachée à la culture des "Mound Builders", car elle a produit de grands tertres funéraires. Elle a commencé à s'épanouir dans la vallée du Mississippi, d'où son nom. Il semble qu'elle ait complètement disparu avant l'arrivée des colons européens en Amérique du Nord.
Photographie, Oiseaux, Monuments funéraires, Cuivre, Antiquités médiévales, Repoussé, Travail au repoussé, Art funéraire, États-Unis -- Antiquités, Mississippi (États-Unis), Homme-oiseau, Homme-oiseau, Culte de l'
Plaque en cuivre repoussé de la culture dite mississippienne : l'homme oiseau, trouvé par John P. Rogan sur le site des tumulus des Monts indiens d'Etowah, en Alabama en 1883. (Catalogue No. A91117, Département d'Anthropologie du Musée Smithsonian d'Histoire Naturelle, États-Unis).
Photographie, Monuments funéraires, Pierres tombales, Inscriptions, Guerre mondiale (1914-1918), Première guerre mondiale, Français (langue), Décorations (insignes) -- France, Décorations militaires -- France, Vingt-sept (le nombre), Castellar (Alpes-Maritimes), Dalles funéraires, Inscriptions funéraires, Médailles et décorations
Plaque funéraire de médailles de soldats de la première guerre mondiale à Castellar : Castellar à ses enfants.
Photographie, Afrique, Antiquités romaines, Monuments funéraires, Cavaliers, Pierres tombales, Latin (langue), Mauritanie, Mauritanie -- Antiquités, Naplouse (Cisjordanie)
Pierre tombale de Naplouse ("Nablus"), 2ème-3ème siècle de notre ère. L'inscription latine est dédiée à l'âme divinisée de Augindai, cavalier de l'escadron de la Mauritanie : D(is) I(nferis) M(anibus) Augindai eq(ues) Mau/rorum vi(x)it anno(s) / XXX h(eres) b(ene) m(erenti).
Photographie, Afrique, Dolmens, Mégalithes, Tombes, Afrique du Nord, Architecture préhistorique, Dougga (Tunisie), Afrique du Nord -- Histoire, Afrique du Nord-Est, Sépultures, Tumulus, Culture des bâtisseurs de
Dolmen de Dougga. Un dolmen est une construction mégalithique préhistorique constituée d'une ou plusieurs grosses dalles de couverture (tables) posées sur des pierres verticales qui lui servent de pieds (les orthostates). Le tout était originellement recouvert, maintenu et protégé par un amas de pierres et de terre nommé tumulus. Les dolmens sont généralement interprétés comme des monuments funéraires ayant abrité des sépultures collectives. Source : https://fr.wikipedia.org/wiki/Dolmen
Photographie, Dijon (Côte-d'Or), Architecture médiévale -- Europe, Art gallo-romain, Musées archéologiques, Dijon (Côte-d'Or) -- Église Saint-Bénigne, Monuments funéraires antiques
Musée archéologique de Dijon : monument funéraire trouvé dans la muraille du castrum.
Photographie, Dijon (Côte-d'Or), Architecture médiévale -- Europe, Art gallo-romain, Musées archéologiques, Dijon (Côte-d'Or) -- Église Saint-Bénigne, Monuments funéraires antiques
Musée archéologique de Dijon : monument funéraire trouvé dans la muraille du castrum. Un homme muni d'un fouet près de deux chevaux, derrière un gaulois tient une bourse à la main droite et un baton à la main gauche.
Photographie, Dijon (Côte-d'Or), Art gallo-romain, Musées archéologiques, Monuments funéraires antiques
Musée archéologique de Dijon : monument funéraire trouvé dans la muraille du castrum. Charrette chargée tirée par un âne.
Photographie, Dijon (Côte-d'Or), Art gallo-romain, Musées archéologiques, Bornes milliaires, Monuments funéraires antiques
Musée archéologique de Dijon : borne milliaire.
Photographie, Dijon (Côte-d'Or), Art gallo-romain, Musées archéologiques, Bornes milliaires, Monuments funéraires antiques, Boutiques
Musée archéologique de Dijon : monument funéraire représentant une boutique avec marchand de vin et charcuterie.
Photographie, Dijon (Côte-d'Or), Reconstitutions historiques, Art gallo-romain, Musées archéologiques, Monuments funéraires antiques, Boutiques
Musée archéologique de Dijon : reconstitution de boutique avec marchand de vin.
Photographie, Dijon (Côte-d'Or), Art gallo-romain, Musées archéologiques, Monuments funéraires antiques
Musée archéologique de Dijon : monument funéraire.
Photographie, Dijon (Côte-d'Or), Art gallo-romain, Musées archéologiques, Monuments funéraires antiques
Musée archéologique de Dijon : monument funéraire, pilier votif.
Photographie, Dijon (Côte-d'Or), Art gallo-romain, Musées archéologiques, Monuments funéraires antiques, Mythologie gauloise
Musée archéologique de Dijon : monument funéraire, pilier votif.
Photographie, Dijon (Côte-d'Or), Art gallo-romain, Musées archéologiques, Monuments funéraires antiques, Mythologie gauloise
Musée archéologique de Dijon : monument funéraire, pilier votif.
Gravure, Dix-neuvième siècle, Carrières, Carrières souterraines (exploitations minières), Catacombes, Héricart de Thury (1776-1854), Paris (France) -- Quartier des Grandes-Carrières
Visite des catacombes en 1860 : Un arrêt du Conseil d'État du 9 novembre 1785 décide la suppression du cimetière des Innocents avec évacuation des ossements, puis son réaménagement en marché public. Le nom de Catacombes est donné aux carrières aménagées, par analogie avec les anciennes nécropoles souterraines de Rome, même si les lieux n'ont jamais servi de sépulture directe et n'ont aucun caractère sacré. Durant toute son existence, plus de deux millions de parisiens sont inhumés au cimetière des Innocents. Dès leur création, les Catacombes suscitent la curiosité. En 1787, le premier visiteur, le comte d'Artois, futur Charles X, y descend en compagnie de dames de la Cour. L'année suivante, on mentionne la visite de Madame de Polignac et Madame de Guiche. Mais il faut attendre 1806 pour que les premières visites publiques soient organisées ; celles-ci ne s'opèrent qu'à des dates irrégulières pour de rares privilégiés. C'est le successeur de Guillaumot, Louis-Étienne Héricart de Thury, alors responsable du service des carrières de la Ville de Paris, qui organise les premières visites régulières dès sa prise de fonction. Il fait tracer au plafond un trait noir, servant de fil d'Ariane aux visiteurs. En 1810 et 1811, il fait aménager l'ossuaire avec la réalisation d'alignements d'ossements décorés de motifs macabres ou artistiques, et placer des plaques portant des citations gravées dans la pierre, tirées de textes sacrés, littéraires, philosophiques ou poétiques célèbres, avec un goût propre au Premier Empire. Les ouvrages de consolidation sont transformés en monuments à la pompe funéraire. Par ailleurs, l'ossuaire est isolé du reste des carrières souterraines, donnant un aspect proche de celui qu'on observe au XXIe siècle. Héricart de Thury (1776-1854) publie en 1815 la "Description des Catacombes de Paris", qui devint la base sur laquelle toutes les études postérieures s'appuient.