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Dessins et plans | Photographie | Dix-huitième siècle | Subduction | Pulsations | Tectonique des plaques | Géologie | Temps, Mesure du | Modèles réduits | Puits de pétrole | Géodynamique | Métronomes | Physique | Chaleur de formation | Enthalpie | Entropie | Frederick Thomas Trouton (1863-1922) | Cuisson à la cocotte minute | Soupapes de sûreté | Maquettes (modèles réduits) | ...
L'automate du canard de Vaucanson. Source : http://data.abuledu.org/URI/50ec98d4-l-automate-du-canard-de-vaucanson

L'automate du canard de Vaucanson

L'automate du canard mécanique de Jaques de Vaucanson (1738, France). Il commence par réparer les horloges et les montres de son quartier à Grenoble. Il tente de reproduire mécaniquement les principales fonctions de l’organisme humain, encouragé par les chirurgiens Claude-Nicolas Le Cat et François Quesnay qui souhaitent de cette façon mieux comprendre ces fonctions. À partir de 1733 ou 1735 et jusqu’en 1737 ou 1738, il construit son premier automate, le flûteur automate, qui joue de la flûte traversière. Il semblait être grandeur nature, habillé en sauvage et jouant assis sur un rocher. Son deuxième automate est lui aussi un joueur de flûte et de tambourin, de taille humaine, habillé en berger provençal. Mais son instrument, un galoubet, est plus complexe à utiliser. Il construit ensuite son automate le plus sophistiqué : un canard digérateur, exposé en 1744 au Palais-Royal, qui peut manger et digérer, cancaner et simuler la nage.

Cinématique de l'étau limeur. Source : http://data.abuledu.org/URI/52accb9f-etau-limeur-cinematique

Cinématique de l'étau limeur

Etau limeur : cinématique de la course du coulisseau et de l'avance table. L’étau limeur est une machine à raboter mais travaillant à l’inverse d’une raboteuse, dans le sens que la pièce reste immobile pendant la passe alors que l’outil effectue le mouvement de coupe rectiligne. L’architecture d’un étau limeur est constituée de : 1) le bâti en fonte contenant les organes mécaniques (moteur électrique, hydraulique ou pneumatique ; boîte de vitesse ; système bielle-manivelle ; mécanisme d’avance de la table porte-pièce) ; 2) le coulisseau qui se déplace horizontalement sur le dessus du bâti et qui porte le chariot porte-outil ; 3) la table porte pièce qui coulisse sur une glissière horizontale, qui elle-même coulisse sur une autre glissière verticale. Cette table, selon les modèles, peut pivoter selon un axe parallèle à la trajectoire du coulisseau et être soutenue en bout par bretelle (ou béquille) ; 4) un socle fixé au sol et supportant l’ensemble.

Machine d'Atwood. Source : http://data.abuledu.org/URI/50c74c39-machine-d-atwood

Machine d'Atwood

Machine d'Atwood (surcharge à gauche, masse à droite) : Atwood (1746-1807) est surtout célèbre chez les élèves de terminales math. élém. des années 1945-1972, par sa « machine » hautement didactique qui permettait de s'entraîner sur la bonne application de la « relation fondamentale de la dynamique » (deuxième loi de Newton) et/ou la conservation de l'énergie mécanique. Tous les grands lycées de France possèdent sans doute encore, dans leurs placards, une machine d'Atwood. Du point de vue expérimental, l'appareil fut l'objet d'un travail soutenu durant au moins un siècle, ce qui permit de tenir compte de beaucoup de correctifs. Néanmoins, pouvoir placer l'appareil dans un grand tube de Newton est resté l'apanage des très grands lycées. La chute libre est difficile à étudier quantitativement, car les temps de parcours sont très courts. Galilée est le premier à chercher comment la ralentir, sans la « dénaturer » : il pensa au plan incliné d'angle α (où intervient seulement g⋅sinα), puis à la succession de plans inclinés. La difficulté pour Galilée restait la mesure du temps… Atwood proposa « sa » machine pour diminuer l'accélération des masses.

Maquette de puits de pétrole au Musée Mécanique de San Francisco. Source : http://data.abuledu.org/URI/587ba640-maquette-de-puits-de-petrole-au-musee-mecanique-de-san-francisco

Maquette de puits de pétrole au Musée Mécanique de San Francisco

Maquette de puits de pétrole au Musée Mécanique de San Francisco.

Métronomes. Source : http://data.abuledu.org/URI/50b00587-metronomes

Métronomes

Métronome électronique simple à gauche et métronome mécanique à ressort à droite : Inventé à Amsterdam en 1812 par l'horloger hollandais Dietrich Nikolaus Winkel (vers 1780-1826), le métronome traditionnel à pulsation audible fut breveté en 1816 par l'Allemand Johann Nepomuk Maelzel. Il est constitué d'un mouvement d'horlogerie à échappement muni d'un balancier gradué dont les battements (c'est-à-dire les pulsations) déterminent des durées égales (c'est-à-dire les temps), un contrepoids mobile coulissant sur le balancier permettant de modifier la vitesse (c'est-à-dire le tempo). Chaque graduation indique une subdivision de la minute. Par exemple, 60 signifie soixante pulsations par minute, soit une oscillation par seconde; 120 = cent-vingt pulsations par minute, soit deux oscillations par seconde, etc. Les instrumentistes et chefs d'orchestre lui préfèrent au XXIe siècle les métronomes électroniques apparus au cours de la deuxième moitié du XXe siècle et dont il existe un grand nombre de modèles plus ou moins perfectionnés, moins encombrants, plus précis et surtout plus fiables.

Orogénèse. Source : http://data.abuledu.org/URI/503d3a5c-orogenese

Orogénèse

L’orogenèse est le terme scientifique désignant l'ensemble des mécanismes de formation des montagnes, divers systèmes théoriques (modèles géodynamiques) englobant ces processus de formation des reliefs, et des ensembles d'orogènes (systèmes montagneux sur une portion de croûte terrestre ayant subi d'importantes contraintes compressives engendrant plis et nappes de charriage) se succédant à travers les temps géologiques encore appelés phases orogéniques. En ce qui concerne ces regroupements temporels et géographiques effectivement constatés, les cycles de Wilson donnent un cadre explicatif cohérent basé sur la tectonique des plaques et la finitude de la surface sub-sphérique de la Terre.

Soupape d'autocuiseur. Source : http://data.abuledu.org/URI/52d71dc8-soupape-d-autocuiseur

Soupape d'autocuiseur

Principe du fonctionnement de la soupape d'un autocuiseur : Règle de Trouton. Le point d'ébullition de l'eau dépendant de la pression atmosphérique, l'augmentation de pression permet de faire monter la température de cuisson plus haut que 100 °C (122 °C). Une soupape de sécurité relâche la vapeur quand la pression dépasse 1,8 bar. Il faut alors diminuer l'intensité du feu et commencer le décompte du temps de cuisson. Frederick Thomas Trouton (1863-1922) en 1884 a constaté la croissance régulière de l'enthalpie de vaporisation des liquides purs en fonction de leur température d'ébullition. L'entropie de vaporisation qui s'en déduit est à peu près constante et, sauf exception, égale à 10,5 R ou 87 J.K-1.mol-1. Ce résultat empirique constitue la règle de Trouton, simplification de la formule de Clapeyron. On relève de nombreux accidents causés par l'ouverture d'anciens modèles d'autocuiseur restés sous pression. Ceci peut se produire après obstruction de la soupape et provoquer de graves brûlures. Les autocuiseurs modernes sont pourvus d'un mécanisme de sécurité qui empêche l'ouverture du couvercle tant que le récipient est sous pression. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Autocuiseur.