Transfert en cours..., vous êtes sur le "nouveau" serveur data.abuledu.org dont l'hébergement est financé par l'association abuledu-fr.org grâce à vos dons et adhésions !
Vous pouvez continuer à soutenir l'association des utilisateurs d'AbulÉdu (abuledu-fr.org) ou l'association ABUL.
Suivez la progression de nos travaux et participez à la communauté via la liste de diffusion.

Votre recherche ...

Nuage de mots clés

Photographie | Dessins et plans | Dix-neuvième siècle | Gravure | Géographie | Phares -- France | Phares | Aides à la navigation | Inventions | Balises | Phare du XXe siècle en France | VTT | Saint-Clément-des-Baleines (Charente-Maritime) -- Phare des Baleines | Saint-Clément-des-Baleines (Charente-Maritime) | Phare monument historique (France) | Phare du Pas-de-Calais | Pins | Pologne | Le Portel (Pas-de-Calais) | Boulogne-sur-Mer (Pas-de-Calais. - région) | ...
Observation au microscope. Source : http://data.abuledu.org/URI/53930b44-observation-au-microscope

Observation au microscope

Observation au microscope : 1) oculaire, 2) mise au point, 3) objectif, 4) porte-échantillon, 5) miroir.

Amphore à vin romaine. Source : http://data.abuledu.org/URI/50c7b459-amphore-a-vin-romaine

Amphore à vin romaine

Amphore à vin romaine, de type Dressel 1B : l'amphore est, dans l'Antiquité, le récipient le plus utilisé pour le transport de produits de base : le vin, l'huile d'olive, la bière (zythum et zythogala) et les sauces de poissons (de type garum). Légende : 1 : lèvre - 2 : col - 3 : anse - 4 : épaule - 5 : panse - 6 : pilon ou pied. L'amphore est fabriquée à partir d'argile épurée. Il faut de l'eau pour délayer l'argile, et du bois ou un autre combustible pour la cuisson. Le plus fréquemment, c'est le tournage qui est utilisé pour la façonner. Afin de la fabriquer, le potier façonne d'abord un fût, puis y ajoute col, pointe, anses. Une fois mise en forme, elle est mise à sécher au soleil, ou à défaut dans un lieu ventilé. Elle est ensuite mise à cuire pendant plusieurs heures. Le poissage est parfois utilisé pour la rendre plus étanche : on verse à l'intérieur de la poix liquide, de manière à former un film imperméable. L'amphore conservant le vin est bouchée par une bourre de paille, recouverte d'une épaisse couche d'argile ou dès l'Antiquité par un bouchon de liège. Les amphores d'époque romaine portent des noms et une numérotation qui permettent aux archéologues de les retrouver dans la typologie et de les dater. Ces noms renvoient souvent aux savants qui ont établi la chronologie (Heinrich Dressel, Pascual) où à l'origine de l'amphore (Gauloise). Les amphores Dressel 1a et 1b sont typiques des amphores vinaires de la fin de la république romaine.

Balance de Coulomb. Source : http://data.abuledu.org/URI/50b14e14-balance-de-coulomb

Balance de Coulomb

Balance de Coulomb, Exposition Hautes Tensions, 18 Octobre 2008 - 5 Janvier 2009, Musée de la vie bourguignonne, Dijon. Charles-Augustin Coulomb énonce la loi d'interaction électrostatique en 1785 suite à de nombreuses mesures réalisées grâce à la balance de Coulomb qu'il a mise au point pour détecter des forces d'interaction très faibles. Il s'agit d'une balance de torsion pour laquelle la mesure de l'angle de torsion à l'équilibre permet de déterminer l'intensité de forces répulsives. Dans le cas de forces attractives c'est l'étude des oscillations du système qui permet de déterminer l'intensité des forces. Une charge électrique est placée à l'extrémité d'une tige horizontale fixée à fil vertical dont les caractéristiques de torsion sont préalablement établies. Le principe de la mesure consiste à compenser, grâce au couple de torsion du fil vertical, le couple exercé par une autre charge électrique amenée au voisinage de la charge fixée sur la tige.

Calculatrice mécanique de 1877. Source : http://data.abuledu.org/URI/5389a797-calculatrice-mecanique-de-1877

Calculatrice mécanique de 1877

Calculatrice mécanique de 1877 mise au point par George B. Grant de Boston, MA : addition, soustraction, multiplication et division. Machine présentée en public lors de l'exposition de 1876 de Philadelphie. Source : Hook, Diana H.; Norman, Jeremy M. (2001). "Origins of Cyberspace". Novato, California.

Coupe d'un piano à queue. Source : http://data.abuledu.org/URI/510293f9-coupe-d-un-piano-a-queue

Coupe d'un piano à queue

Coupe d'un piano à queue : 1 et 14) Cadre métallique, 2) Abattant du couvercle, 3) Capo d'astro ou barre harmonique, 4) Tête d'étouffoir, 5) Couvercle, 6) Chevalet d'étouffoir (ou pivot des étouffoirs ?), 7) Rail des chevalets d'étouffoir (ou barre de forte ?), 8) Barre de transmission de la pédale forte, 9) Levier de la transmission du forte, 10) Tige de Lyre, 11) Pédale, droite (forte), gauche (piano), 12) Chevalet, 13) Cheville d'accord (pointe d'accroche), 15) Table d'harmonie, 16) Corde. Le piano à queue est constitué : d'un clavier, généralement à 88 touches (7 octaves 1/4), muni d'un couvercle ; d'un barrage, structure en poutres ; d'une table d'harmonie, mise en vibration par les cordes par l'intermédiaire de chevalets ; de cordes : une par note dans les graves, deux dans les notes intermédiaires, trois dans les aiguës. Les cordes d'aigus sont nues, les cordes de graves sont filées ; d'un cadre métallique au-dessus de la table d'harmonie (sur les pianos modernes) ; d'une ceinture, coffrage entourant la table d'harmonie ; d'un couvercle s'ouvrant à 45° ; d'une mécanique de percussion ; d'un pédalier (lyre) ; d'un pupitre.

Diffusion de la peste noire. Source : http://data.abuledu.org/URI/50793c4a-diffusion-de-la-peste-noire

Diffusion de la peste noire

Diffusion de l'épidémie de peste noire entre 1347 et 1351 en Europe : des navires infectés abordent en Méditerranée et déclenchent une épidémie dont mourra un quart de la population occidentale en quelques années. Les recherches archéologiques récentes ont confirmé qu'il s'agissait bien d'une épidémie due au bacille Yersinia Pestis. Jusqu'au XVIIIe siècle, des épisodes majeurs de peste (Grande peste de Londres et Peste de Marseille) et sont encore signalés régulièrement en Europe, comme à Toulouse en 1628-1633, à Londres en 1665-1666 et à Marseille en 1720. La dernière pandémie, qui commença en 1894, permit de découvrir le bacille responsable de la peste. Appelé en urgence à Bombay où une épidémie de peste bubonique s'est déclarée en octobre 1896, Waldemar Haffkine met au point le premier vaccin le 10 janvier 1897. Appelé aussi lymphe d’Haffkine ce vaccin était composé de germes tués. En 1908, une mise au point d'un sérum antipesteux est faite. En 1921, un vaccin aqueux est mis au point dans l'institut Pasteur.

La déesse verte au milieu de ses légumes verts. Source : http://data.abuledu.org/URI/546dc62c-la-deesse-verte-au-milieu-de-ses-legumes-verts

La déesse verte au milieu de ses légumes verts

La déesse verte (Green Goddess) servie au milieu de ses légumes verts. Recette mise au point par Philip Roemer au Palace Hotel de San Francisco en 1923 pour fêter le succès de l'acteur américain George Arliss comme Raja de Rukh, dans la pièce de William Archer "The Green Goddess". Source : https://en.wikipedia.org/wiki/Green_goddess_dressing

Margarine. Source : http://data.abuledu.org/URI/509d1cb7-margarine-

Margarine

La margarine fut mise au point en France en 1869 à la suite d’un concours lancé par Napoléon III pour la recherche d’un « corps gras semblable au beurre mais de prix inférieur, apte à se conserver longtemps sans s'altérer en gardant sa valeur nutritive » propre à suppléer au beurre qui, à cette époque, était cher, rare et se conservait mal. Le pharmacien français Mège-Mouriès réalisa une émulsion blanche résultant de graisse de bœuf fractionnée, de lait et d’eau baptisée « margarine » (à partir du grec margaron : « blanc de perle » et du nom polyalcool-glycérine). Le brevet est déposé en 1872 et la commercialisation de la margarine va alors se développer.

Masque de Bahtinov. Source : http://data.abuledu.org/URI/550d9e0d-masque-de-bahtinov

Masque de Bahtinov

Le masque de Bahtinov est un dispositif permettant de faciliter la mise au point des instruments astronomiques. Il a été nommé d'après son inventeur Pavel Bahtinov. Le masque est constitué de trois grilles distinctes, orientées selon trois angles différents, de façon à produire une légère diffraction pour chaque grille, à la focale de l'instrument lorsque celui-ci pointe une étoile suffisamment brillante. Lorsque la mise au point est modifiée, les éléments de diffraction forment des petits "traits" en forme de "X" qui partent de l'étoile, et le trait central semble se déplacer de haut en bas. La mise au point est optimale lorsque le trait central est centré sur l'étoile et positionné symétriquement par rapport aux deux autres traits. De ce fait, les mises au point approximatives sont rapidement décelées. Source : https://fr.wikipedia.org/wiki/Masque_de_Bahtinov

Mesure de la vitesse de la lumière par Foucault. Source : http://data.abuledu.org/URI/50aa9fd1-mesure-de-la-vitesse-de-la-lumiere-par-foucault

Mesure de la vitesse de la lumière par Foucault

Appareillage utilisé par Foucault avec miroir tournant pour mesurer la vitesse de la lumière : en bas à gauche, la lumière est réfléchie par un miroir tournant (à gauche) en direction d'un miroir fixe (en haut) ; à droite, la lumière réfléchie en provenance du miroir stationnaire rebondit sur le miroir tournant qui a avancé d'un angle θ pendant le déplacement de la lumière. Le télescope situé à un angle 2θ de la source récupère le rayon réfléchi par le miroir tournant. Vers 1848, Fizeau et Foucault se lancent dans la mise au point d'expériences visant à mesure la vitesse de la lumière sur Terre, et à comparer la vitesse de la lumière dans l'air et dans l'eau.

Musée des santons à Marseille. Source : http://data.abuledu.org/URI/50e8e8fe-musee-des-santons-a-marseille

Musée des santons à Marseille

Musée des santons de Provence Marcel Carbonel (collection privée marcel Carbonel). Architecte d'intérieur, Maurice Padovani, Marseille : Marcel Carbonel, né à Lyon le 25 juillet 1911, décédé à Marseille le 25 mai 2003 à l'âge de 92 ans, est un santonnier marseillais, doyen de sa profession. Pour fabriquer le moule original d'une nouvelle création appelé « moule-mère », il utilise du plâtre de Paris de couleur jaunâtre; ses particularités sont la finesse de l'empreinte, sa densité et sa solidité. Pour les moules de reproduction, il utilise un plâtre moins dur qui permet de démouler plus facilement le sujet. La forme des moules de reproduction est importante ; elle est arrondie en haut du moule afin de faciliter l'estampage en série. Ensuite, il laisse sécher le santon et le cuit dans un four électrique à une température qui atteint progressivement 980 °C. Il décore ses santons avec des gouaches de sa propre fabrication. Grâce à sa formation de lithographe, il met au point ses propres gouaches en broyant manuellement des pigments avec de la gomme arabique dure, dite « Kitir », qu'il décante lui-même. Il utilise 19 pigments de base (ocre rouge, ocre jaune, terre de sienne, terre de sienne brûlée, rouge hélios, rouge d'alizarine, rose tyrien, vert de chrome, vert valentine, violet d'alizarine, jaune hansa, jaune de chrome, bleu de cobalt, bleu de manganèse, bleu outremer, bleu de prusse, noir d'ivoire, blanc de titane, blanc de lithopone, qu'il mélange pour créer sa propre palette de 124 couleurs répertoriées et dosées. Ce procédé, d'après son expérience, permet en effet d'obtenir des couleurs plus vives et éclatantes que les gouaches en tube du commerce auxquelles ont généralement recours les autres santonniers. En 1961, la discipline santonnière rentre à la Sorbonne où Marcel Carbonel sera le premier santonnier à être distingué Meilleur ouvrier de France ; cette discipline est toujours en vigueur. Le 9 mai 2003, il est fait chevalier de la Légion d'honneur. Sa collection privée est constituée de pièces originales faites d'argile (cuite ou crue), papiers mâchés, bois sculpté et précieux, verre filé de Murano, plâtre, céramique, porcelaine, polychrome, maïs, liège, tissus (santons habillés). En 1997, cette collection est mise en valeur au travers d'un musée permettant aux visiteurs d'explorer cet artisanat. De la collection privée de Marcel Carbonel de plus de quatre mille cinq cents pièces, seules 2 421 pièces sont exposées.

Phare Des Baleines. Source : http://data.abuledu.org/URI/53a9916d-phare-des-baleines

Phare Des Baleines

Le phare des Baleines est situé à la pointe ouest de l'île de Ré (Charente-Maritime), sur la commune de Saint-Clément-des-Baleines. Le phare a été construit, à partir de 1849 sur des plans de l'architecte Léonce Reynaud, pour remplacer l'ancien phare de 29 mètres construit en 1682 sur les directives de Vauban et qui subsiste encore aujourd'hui au nord du phare. La mise en service eut lieu en 1854. Le phare est haut de 57 mètres et l'accès au sommet se fait par un escalier hélicoïdal de 257 marches. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Phare_des_Baleines

Phare du Portel en Mer du Nord. Source : http://data.abuledu.org/URI/53591a41-phare-d-alprech-le-portel-pas-de-calais

Phare du Portel en Mer du Nord

Phare situé sur la pointe d'Alprech au sud de la ville de Le Portel. Destiné à signaler le coté Sud du port de Boulogne sur Mer. Mise en service en 1963. Automatisé en 1977. Hauteur : 17 m - Elévation : 62.35 m - Porté : 26 milles (48 km). Feux : Blanc (3 éclats groupés 15 s). Lanterne : 650 W. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Phare_du_Portel

Pin résiné en Pologne. Source : http://data.abuledu.org/URI/51331078-pin-resine-en-pologne

Pin résiné en Pologne

Forêt de pins résinés (Pologne) à la mode américaine, en V (dite en moustaches de chat) mise au point par Charles Herty (1867-1938).

Portrait d'Alessandro Volta. Source : http://data.abuledu.org/URI/50c26c2b-portrait-d-alessandro-volta

Portrait d'Alessandro Volta

Portrait d'Alessandro Giuseppe Antonio Anastasio Volta (1745-1827). Alessandro Volta fait ses études à Rome, et devient professeur de physique à l'école royale de Côme en 1774 ; il y met au point l'électrophore, première machine électrique à influence. Il étudie par ailleurs la composition du gaz des marais et isole, en 1778, le méthane. De 1780 à 1783, il visite la France, l'Allemagne, les Pays-Bas et l'Angleterre et collabore avec Antoine Lavoisier et Pierre-Simon de Laplace à une étude de l'électricité atmosphérique. Au début de l'année 1800, Volta publie dans une lettre en français datée du 20 mars au président de la Royal Society l'invention de la pile voltaïque qu'il a mise au point le 17 mars 1800. Le 7 novembre 1801, Volta présente sa pile devant l'Institut de France et y énonce la loi des tensions, ainsi que la valeur des tensions de contact des métaux classés par ordre d'électropositivité décroissante, du zinc à l'argent. Napoléon Bonaparte, qui assiste à cette séance, lui fait décerner une médaille d'or, lui accorde une pension et, le nomme comte et sénateur du Royaume d'Italie (1805-1814). L'étude de l'électricité fut toujours sa passion et, encore jeune étudiant, il écrivit un poème directement en latin, De vi attractiva ignis electrici ac phaenomenis inde pendentibus, sur ce phénomène fascinant et nouveau. C'est son premier écrit scientifique.

Tour génoise des îles Finocchiarola. Source : http://data.abuledu.org/URI/51d20594-tour-genoise-des-iles-finocchiarola

Tour génoise des îles Finocchiarola

Les îles Finocchiarola (en corse Finuchjarola) forment un archipel inhabité de la mer Tyrrhénienne. Elles se trouvent toutes proches de la côte nord-est du Cap Corse, sur la commune de Rogliano, entre la baie de Tamarone (au sud) et celle de Santa Maria (au nord), et sont constituées de trois îlots désertiques : A Terra, le plus proche de la côte (200 m) ; Mezzana, l'îlot central ; Finocchiarola, le plus grand, le plus haut et le plus au large des îlots (500 m), qui culmine à 27 m au niveau de la tour ruinée. En 1594, une tour littorale fut construite au point culminant du plus grand îlot. Elle était destinée à la défense du Cap corse sous l'occupation génoise et est aujourd'hui en état de ruine. Les deux îlots les plus au larges sont la propriété du Conservatoire du littoral aujourd'hui, et le troisième entre dans sa zone d'intervention. L'archipel fait partie de la Réserve naturelle des îles Finocchiarola depuis 1987. La réserve fut principalement mise en place pour la préservation du goéland d'Audouin, espèce endémique. Les îlots présentent une faune et une flore très particulière. Ils tirent d'ailleurs leur nom d'une plante caractéristique, le fenouil sauvage, finochju en corse.

Trajet en omnibus en 1828. Source : http://data.abuledu.org/URI/514edebd-trajet-en-omnibus-en-1828

Trajet en omnibus en 1828

Le trajet en omnibus en 1828, par Jean Ignace Isidore Gérard, mieux connu sous son pseudonyme de J. J. Grandville (1803-1847), célèbre pour ses illustrations de journaux comme "La Silhouette," "L'Artiste," "La Caricature," et "Le Charivari." Ce dessin illustre une pièce de musique de "Une Course d'Omnibus" de Charles Henri Plantade (1764-1839). Un omnibus (du latin omnibus, signifiant « pour tous ») est un véhicule à traction hippomobile inspiré des diligences et assurant un service de transport public. Un omnibus circule à des horaires déterminés sur des lignes fixes, ce qui le distingue des fiacres, ancêtres des taxis, qui, loués par une personne ou une famille, se rend à la destination choisie par ses clients. Par ailleurs, il circule sur la chaussée, sans être guidés par des rails, ce qui les distingue des tramways. Il n'a pas nécessairement de points d'arrêts fixes. Le mot « omnibus », d'où viennent « autobus » et « bus », est apparu en relation avec la ligne créée à Nantes en 1826, la première en France, au XIXe siècle. L'âge d'or des omnibus est cependant le XIXe siècle, lorsque les villes commencent à s'étendre sous la pression d'une forte croissance démographique et industrielle, l'amélioration de la voirie, et à une époque où la petite bourgeoisie, qui pouvait économiquement payer des places, se développe. Lorsque Stanislas Baudry (1777-1830) décide de créer le même service à Paris, il crée une nouvelle entreprise à qui il donne le nom d'Entreprise générale des omnibus (EGO) ; il y est associé avec d'autres hommes d'affaires (Boitard et Saint-Céran). Le 30 janvier 1828, l'EGO obtient du préfet de police de Paris, Louis-Maurice Debelleyme, l'autorisation d'exploiter une entreprise de « voitures destinées à transporter à bas prix les habitants de certains points de la ville à d'autres points également fixés et en suivant des itinéraires fixés par la ville », avec au plus cent voitures. Les omnibus de l'EGO, tractés par trois chevaux, comptent 14 places assises réparties en trois classes. Après une phase de succès, l'EGO subit une crise dès l'hiver 1830 et est mise en faillite.

Un cristal artificiel d'argent pur. Source : http://data.abuledu.org/URI/505a3167-un-cristal-artificiel-d-argent-pur

Un cristal artificiel d'argent pur

Un cristal artificiel d'argent pur (>99,95%), obtenu par électrolyse, et présentant une structure Dendritique. Image obtenue en combinant 12 photos du cristal réalisées avec des distances de mise au point différentes. Masse : 11 g environ.

Vtt carbone. Source : http://data.abuledu.org/URI/565814f7-vtt-carbone

Vtt carbone

Specialized Epic Marathon Carbone 2007, montrant la géométrie générale du cadre, y compris le positionnement spécifique de l'amortisseur arrière. Photo retravaillée par Arnaud Pérat. Le Specialized Epic est un vélo de type VTT destiné à la pratique du X-country, conçu et fabriqué par le constructeur américain Specialized. Il est commercialisé depuis 2003, et a subi une refonte importante en 2009. Comme tous les cadres de bicyclette suspendus de la marque Specialized, l'Epic se base sur une géométrie FSR à point de pivot virtuel, qui permet de limiter l'influence de la transmission sur le travail de la suspension. Cependant, la mise en œuvre de la géométrie diffère selon les générations, surtout au niveau du design de la bicyclette. Source : https://fr.wikipedia.org/wiki/Specialized_Epic