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Dessins et plans | Gouttes | Solides | Capillarité | Mouillage (chimie des surfaces) | Gouttes -- Dimensions | Physique | Liquides | Tornades | Météorologie | Vents | Mesures thermodynamiques | Thermodynamique de l'atmosphère |
Anatomie d'un orage violent. Source : http://data.abuledu.org/URI/52c7d554-anatomie-d-un-orage-violent

Anatomie d'un orage violent

Diagramme thermodynamique bilinbue qui montre que T soulevé adiabatiquement à rapport de mélange constant nous permet de trouver le NCA : T est la température de l'air à la hauteur où se produit le soulèvement et T_d le point de rosée au même niveau. On intersecte la courbe de mélange partant de T_d et la courbe adiabatique sèche partant de T. Le point d'intersection correspond à l'altitude b de la base du nuage lors d'un soulèvement mécanique. Quand la parcelle s'élève, elle se refroidit jusqu'à son point de rosée, à un niveau appelé « niveau de condensation par ascension » (NCA) et la vapeur d'eau qu'elle contient commence à se condenser. Ce niveau peut être atteint avant ou après le NCL (LCL sur le graphique). La condensation libère une certaine quantité de chaleur, la chaleur latente, fournie à l'eau au moment de son évaporation. Il en résulte une diminution notable du taux de refroidissement de la masse d'air ascendante, ce qui augmente la poussée d'Archimède en augmentant la différence de température entre la parcelle et l'environnement. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Tornade.

Formes d'une goutte. Source : http://data.abuledu.org/URI/50cda85c-formes-d-une-goutte

Formes d'une goutte

Illustration de la longueur capillaire d'une goutte posée sur un liquide, sphérique ou aplatie selon sa taille, comparée à sa longueur capillaire. Il existe une très grande diversité de forme de goutte (sphérique, en larme, etc.). Ce sont les forces en présence (poids, tension de surface, inertie pour une goutte en mouvement) qui en déterminent la forme. Une goutte statique sur un solide peut être décrite de la même manière qu’une goutte dans l’air. Ainsi, si elle est suffisamment petite, la seule force qui détermine sa forme est la tension de surface. Par contre, l’angle de contact avec lequel la goutte repose sur le solide dépend des conditions de mouillage. Cet angle de contact et les conditions de mouillage sont décrits thermodynamiquement par le modèle de Young qui met en relation les tensions de surface et l'angle de contact à l’équilibre ( heta_mathrm{C}) du système goutte-substrat. L’angle de contact à l'équilibre en soi est physiquement difficile à mesurer. Une façon d'acquérir l'angle de contact à l'équilibre, est à travers sa relation (son lien) avec les angles de contact avançant ( heta_mathrm{A}) et reculant ( heta_mathrm{R}) qui quant à eux peuvent être mesurés facilement. Au final, la goutte aura donc une forme de calotte sphérique.