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Photographie | Dessins et plans | Géographie | Mer -- Niveau | Biologie marine | Mer Rouge | Dauphin commun | Dauphins | Delphinus tropicalis | Odontocètes | Dauphins marins | Delphinidés | six-minutes-pour-la-mer-rouge | Cétacés -- Observation | Altitudes | Peinture | Phares | Botanique | Cartes du monde | Marégraphes | ...
Carte du monde du niveau de la mer en  2011. Source : http://data.abuledu.org/URI/56c3263b-carte-du-monde-du-niveau-de-la-mer-en-2011

Carte du monde du niveau de la mer en 2011

Carte du monde du niveau de la mer en 2011, par comparaison avec 1993. En bleu foncé remontée, en blanc pas de changement, en brun baisse du niveau.

Élévation du niveau de la mer depuis 1880. Source : http://data.abuledu.org/URI/5094fbf4-elevation-du-niveau-de-la-mer-depuis-1880

Élévation du niveau de la mer depuis 1880

Les mesures du niveau de la mer à partir de 23 enregistrements de marégraphes dans des environnements géologiquement stables montrent une élévation d'environ 2 mm par an. Depuis 1992, l'altimétrie satellite à partir de TOPEX/Poseidon indique un taux d'élévation d'environ 3 mm par an. L'élévation du niveau de la mer peut être une conséquence du réchauffement climatique à travers deux processus principaux : la dilatation de l'eau, de la mer (puisque les océans se réchauffent), et la fonte des glaces terrestres. D'après le rapport du GIEC de 20074, l'élévation du niveau des mers d'ici 2100 pourrait être comprise entre 18 et 42 cm.

Élévation post glacaire du niveau de la mer. Source : http://data.abuledu.org/URI/5094fd27-elevation-post-glacaire-du-niveau-de-la-mer

Élévation post glacaire du niveau de la mer

Graphique légendé en français illustrant l'élévation du niveau de la mer depuis la dernière glaciation. Sources : Fleming et al. 1998, Fleming 2000, & Milne et al. 2005. Image de départ en anglais de R. A. Rohde.

L'île de Tombelaine depuis le Mont Saint-Michel. Source : http://data.abuledu.org/URI/5357c400-tombelaine

L'île de Tombelaine depuis le Mont Saint-Michel

Tombelaine est un îlot granitique situé dans la baie du mont Saint-Michel, sur la rive droite du chenal de la Sée, à quelques kilomètres au nord du mont Saint-Michel. L'important marnage (plus de 10 mètres) de la baie permet à cet îlot d'être atteint à pied sec par basse mer (3,5 km depuis la côte du Cotentin au nord-est). L'îlot culmine à 45 mètres. Ses dimensions sont de 250 mètres de long pour 150 de large, avec une superficie de 0.40 km2. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Tombelaine

Montée du niveau des océans depuis 20 ans. Source : http://data.abuledu.org/URI/5094fabd-montee-du-niveau-des-oceans-depuis-20-ans

Montée du niveau des océans depuis 20 ans

Graphique illustrant l'évolution du niveau global (moyen) de la mer de 1992 à 2011, selon les mesures faites par les satellites TOPEX/Poseidon, Jason-1 et Jason-2. Ici les variations saisonnières ont été lissées pour rendre la courbe plus claire. Elle révèle ou confirme une montée constante de la mer, à raison de 3,3 ± 0,4 mm/an sur ces près de 20 ans.

Niveau de la mer durant l'Holocène. Source : http://data.abuledu.org/URI/5094fde1-niveau-de-la-mer-durant-l-holocene

Niveau de la mer durant l'Holocène

Graphique légendé en français illustrant l'évolution du niveau de la mer durant l'Holocène. Source : R. A. Rohde, pour le "Global Warming Art project".

Principe des courbes de niveau. Source : http://data.abuledu.org/URI/55798a09-principe-des-courbes-de-niveau

Principe des courbes de niveau

Principe des courbes de niveau. Une courbe de niveau ou isoplèthe d’altitude est, en cartographie, une ligne formée par les points du relief situés à la même altitude. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Courbe_de_niveau

Variations du niveau de la mer de 1993 à 2012. Source : http://data.abuledu.org/URI/56c32749-variations-du-niveau-de-la-mer-de-1993-a-2012

Variations du niveau de la mer de 1993 à 2012

Variations du niveau de la mer de 1993 à 2012 (en mm/par an). (Source : http://ibis.grdl.noaa.gov/SAT/SeaLevelRise/LSA_SLR_maps.php)

Archives de lithographies. Source : http://data.abuledu.org/URI/5392cad9-archives-de-lithographies

Archives de lithographies

Archives géodésiques de Munich, avec au 1er plan une planche lithographique concernant les anciens Pays-Bas, région de polders où il était particulièrement important de connaître l'altitude des terres conquises sur la mer souvent situées sous le niveau marin. Source : Landesamt für Vermessung und Geoinformation.

Armérie maritime sauvage. Source : http://data.abuledu.org/URI/53ad28f6-armerie-maritime-sauvage

Armérie maritime sauvage

Oeillets marins, Jules Eudes (1856-1938), aquarelliste français qui signait ses œuvres JEUDES, dans : A. Guillaumin, "Les Fleurs de Jardins", tome I, Fleurs de Printemps, Paul Lechevalier, 1929. L'armérie maritime (Armeria maritima), œillet marin, gazon d'Olympe ou gazon d'Espagne, est une espèce de plantes herbacées vivaces de la famille des Plumbaginaceae. Sa répartition est au niveau du littoral de l'hémisphère nord. En France, elle est rencontrée sur les côtes de la Manche et de l'Atlantique (Vendée, Bretagne), sur les rochers et pelouses de bords de mer, battus par les embruns. C'est une plante basse à souche ramifiée, formant des coussinets, à feuilles linéaires, à fleurs roses en têtes denses, arrondies. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Arm%C3%A9rie_maritime

Ascendance thermique. Source : http://data.abuledu.org/URI/50b10e19-ascendance-thermique

Ascendance thermique

Schématisation du phénomène d'ascendance thermique : Le nuage (A) au-dessus du sol. Le soleil augmente la température du sol qui, à son tour, réchauffe l'air au-dessus (1). La bulle d'air chaud commence à s'élever (2) jusqu'à un certain point. La masse condense et redescend, à cause de sa température inférieure (3). Le vol thermique consiste à utiliser des courants d'air ascendants (appelés « thermiques », « ascendances », « pompes » ou « bulles ») pour monter. L'aérologie fait appel à quelques notions physiques : l'air chaud moins dense est plus léger que l'air froid ; si l'on considère la différence de température moyenne entre celle au niveau de la mer et celle au niveau de la tropopause, divisé par la hauteur, on obtient une diminution moyenne de la température de la masse d'air avec l'élévation de l'altitude de 0,65 °C tous les 100 m ; le soleil réchauffe de manière négligeable l'air directement mais le soleil réchauffe le sol de manière variable selon sa nature qui lui ensuite chauffe l'air au contact du sol par conduction ; lorsque qu'une masse d'air au contact du sol est suffisamment réchauffée, sa densité baisse, elle devient plus légère et s'élève si elle est entourée d'air plus froid ; cette « bulle » d'air s'élève aussi longtemps que l'air environnant est plus froid ; la « bulle » elle-même se refroidit non pas du fait du contact avec de l'air plus frais avec l'altitude mais du fait qu'avec l'altitude, la pression baisse, la bulle se dilate donc, la dilatation d'un gaz provoque son refroidissement à raison de 1 °C tous les 100 m de manière invariable.

Centre de recherches agricoles incas. Source : http://data.abuledu.org/URI/50e32fb7-centre-de-recherches-agricoles-incas

Centre de recherches agricoles incas

Moray est un ancien centre de recherche agricole inca situé dans la Vallée sacrée des Andes, à 3 500 m au-dessus du niveau de la mer et à 50 km au nord-ouest de Cuzco, sur le territoire de l'actuel Pérou. Le site de Moray est situé à environ 7 km des salines de Maras. À première vue, le site se présente comme un amphithéâtre principal et de deux secondaires, plus petits à proximité. Ils sont constitués de plusieurs terrasses disposées en cercle concentriques. Il s'agit d'un centre de recherche agricole inca où étaient pratiquées des expériences de culture. La position des terrasses crée toute une série de microclimats : la température est plus élevée au centre mais diminue ensuite en fonction de la distance de chaque terrasse. Cela permet de simuler une vingtaine de microclimats différents. On pense que Moray a notamment servi à prévoir les rendements agricoles, non seulement dans la Vallée sacrée mais aussi dans d'autres partie de l'Empire inca. Il semble aussi que les incas y "importaient" des plantes "exotiques" et tentaient de les acclimater aux conditions locales. Les terrasses sont constituées de murs de soutènement, de terre fertile et d'un système d'irrigation complexe permettant de cultiver plus de 250 espèces de plantes.

Chloé à la plage - texte. Source : http://data.abuledu.org/URI/510d24a3-chloe-a-la-plage

Chloé à la plage - texte

Une fillette, en vacances au bord de l'eau chez sa grand-mère, part à la plage et fait une petite sieste à l'ombre de son parasol. (Texte de niveau CE1, 330 mots).

Circulation thermohaline. Source : http://data.abuledu.org/URI/518be355-circulation-termohaline

Circulation thermohaline

La circulation thermohaline mondiale correspond au couplage de plusieurs cellules de convections océaniques et participe à la redistribution de la chaleur. La circulation thermohaline est la circulation permanente à grande échelle de l'eau des océans, engendrée par des écarts de température et de salinité des masses d'eau. La salinité et la température ont en effet un impact sur la densité de l'eau de mer. Les eaux refroidies et salées plongent au niveau des hautes latitudes (Norvège, Groenland, etc.) et descendent vers le sud, à des profondeurs comprises entre 1 et 3 km. Elles sont alors réchauffées sous les Tropiques, et remontent à la surface, où elles se refroidissent à nouveau, et ainsi de suite au travers de courants à forte composante latitudinale transverse. On estime qu'une molécule d'eau fait le circuit entier en environ 1 000/1 500 ans.

Dauphin commun d'Arabie. Source : http://data.abuledu.org/URI/55461afc-dauphin-commun-d-arabie

Dauphin commun d'Arabie

Dauphin désigne en français de nombreux cétacés à dents (odontocètes) de moins de cinq mètres généralement dotés d'un rostre long. Sous le terme dauphin, on regroupe beaucoup d'espèces très différentes, aussi bien au niveau comportemental qu'au niveau physique aussi les généralités propres à tous les dauphins sont communes à tous les odontocètes, appelés « dauphins » ou non. Certains cétacés sont parfois appelés incorrectement « dauphins » par exemple ceux avec un rostre court ou à peine existant tels que le narval et le béluga, deux animaux plus grands que les dauphins classiques, mais surtout les marsouins qui sont, eux, beaucoup plus petits. Source: http://fr.wikipedia.org/wiki/Dauphin

Dauphin commun d'Arabie. Source : http://data.abuledu.org/URI/55461b20-dauphin-commun-d-arabie

Dauphin commun d'Arabie

Dauphin désigne en français de nombreux cétacés à dents (odontocètes) de moins de cinq mètres généralement dotés d'un rostre long. Sous le terme dauphin, on regroupe beaucoup d'espèces très différentes, aussi bien au niveau comportemental qu'au niveau physique aussi les généralités propres à tous les dauphins sont communes à tous les odontocètes, appelés « dauphins » ou non. Certains cétacés sont parfois appelés incorrectement « dauphins » par exemple ceux avec un rostre court ou à peine existant tels que le narval et le béluga, deux animaux plus grands que les dauphins classiques, mais surtout les marsouins qui sont, eux, beaucoup plus petits. Source: http://fr.wikipedia.org/wiki/Dauphin

Dauphin commun d'Arabie. Source : http://data.abuledu.org/URI/55461b2f-dauphin-commun-d-arabie

Dauphin commun d'Arabie

Dauphin désigne en français de nombreux cétacés à dents (odontocètes) de moins de cinq mètres généralement dotés d'un rostre long. Sous le terme dauphin, on regroupe beaucoup d'espèces très différentes, aussi bien au niveau comportemental qu'au niveau physique aussi les généralités propres à tous les dauphins sont communes à tous les odontocètes, appelés « dauphins » ou non. Certains cétacés sont parfois appelés incorrectement « dauphins » par exemple ceux avec un rostre court ou à peine existant tels que le narval et le béluga, deux animaux plus grands que les dauphins classiques, mais surtout les marsouins qui sont, eux, beaucoup plus petits. Source: http://fr.wikipedia.org/wiki/Dauphin

Dauphin commun d'Arabie. Source : http://data.abuledu.org/URI/55461b51-dauphin-commun-d-arabie

Dauphin commun d'Arabie

Dauphin désigne en français de nombreux cétacés à dents (odontocètes) de moins de cinq mètres généralement dotés d'un rostre long. Sous le terme dauphin, on regroupe beaucoup d'espèces très différentes, aussi bien au niveau comportemental qu'au niveau physique aussi les généralités propres à tous les dauphins sont communes à tous les odontocètes, appelés « dauphins » ou non. Certains cétacés sont parfois appelés incorrectement « dauphins » par exemple ceux avec un rostre court ou à peine existant tels que le narval et le béluga, deux animaux plus grands que les dauphins classiques, mais surtout les marsouins qui sont, eux, beaucoup plus petits. Source: http://fr.wikipedia.org/wiki/Dauphin

Dauphin commun d'Arabie. Source : http://data.abuledu.org/URI/55461b5d-dauphin-commun-d-arabie

Dauphin commun d'Arabie

Dauphin désigne en français de nombreux cétacés à dents (odontocètes) de moins de cinq mètres généralement dotés d'un rostre long. Sous le terme dauphin, on regroupe beaucoup d'espèces très différentes, aussi bien au niveau comportemental qu'au niveau physique aussi les généralités propres à tous les dauphins sont communes à tous les odontocètes, appelés « dauphins » ou non. Certains cétacés sont parfois appelés incorrectement « dauphins » par exemple ceux avec un rostre court ou à peine existant tels que le narval et le béluga, deux animaux plus grands que les dauphins classiques, mais surtout les marsouins qui sont, eux, beaucoup plus petits. Source: http://fr.wikipedia.org/wiki/Dauphin

Dauphin commun d'Arabie. Source : http://data.abuledu.org/URI/55461b82-dauphin-commun-d-arabie

Dauphin commun d'Arabie

Dauphin désigne en français de nombreux cétacés à dents (odontocètes) de moins de cinq mètres généralement dotés d'un rostre long. Sous le terme dauphin, on regroupe beaucoup d'espèces très différentes, aussi bien au niveau comportemental qu'au niveau physique aussi les généralités propres à tous les dauphins sont communes à tous les odontocètes, appelés « dauphins » ou non. Certains cétacés sont parfois appelés incorrectement « dauphins » par exemple ceux avec un rostre court ou à peine existant tels que le narval et le béluga, deux animaux plus grands que les dauphins classiques, mais surtout les marsouins qui sont, eux, beaucoup plus petits. Source: http://fr.wikipedia.org/wiki/Dauphin

Falaises de craie. Source : http://data.abuledu.org/URI/50e1769b-falaises-de-craie-

Falaises de craie

Tableau de Caspar David Friedrich (1774–1840) : Falaises de craie sur l'île de Rügen, 1818. Cette île allemande est située au large de la côte de la Mecklembourg-Poméranie occidentale dans la mer Baltique. Sa superficie est de 935 km² et sa population était de 73 000 habitants en 2001. À la fin de l'ère glaciaire, il y a 14 000 ans, la remontée du niveau des eaux de la Baltique recouvrit une partie des côtes. Les points hauts formèrent un chapelet d'îles que des dépôts de sable relièrent entre elles en quelques siècles pour former l'île de Rügen, qui compte désormais 570 km de côtes. Le Parc national de Jasmund inclue les célèbres falaises calcaires qui culminent à plus de 100 mètres au-dessus de la mer dont le Königsstuhl (traduction littérale = chaise du roi), immortalisé par le peintre romantique C. D. Friedrich. La craie de Rügen est réputée pour ses vertus médicales. La poudre de craie est utilisée par les stations thermales de l'île en application dermatologique ou cosmétique.

Herbier de posidonies en méditerranée. Source : http://data.abuledu.org/URI/50e46a05-herbier-de-posidonies-en-mediterranee

Herbier de posidonies en méditerranée

Herbier de posidonies (Posidonia oceanica) en Méditerranée. Les posidonies (du genre Posidonia) sont des plantes aquatiques de la famille des Posidoniaceae. Bien qu'elles vivent sous l'eau, ce ne sont pas des algues, mais des plantes à fleurs (angiospermes) monocotylédones sous-marines. Comme toutes les plantes à fleurs, elles ont des racines, et se reproduisent grâce aux fruits qu'elles produisent. Dans les eaux moins chaudes de l'Atlantique nord européen elles sont remplacées par les zostères qui constituent des herbiers jouant les mêmes fonctions écologiques. Le nom générique "Posidonia" dérive de "Poséidon" (dieu des Mers et des Océans dans la mythologie grecque). Les fibres des feuilles de posidonies, difficilement dégradables, sont rassemblées par les mouvements de la mer en boule feutrées, appelées aégagropiles, souvent rejetées sur les plages de Méditerranée. Les herbiers qu'elle forme sont des lieux de frayère et de nurserie pour de nombreuses espèces animales. Elle constitue également une source de nourriture, parfois importante, pour certaines espèces herbivores (oursins, saupes, etc.). Une partie de la production de feuilles d'un herbier va se retrouver exportée, sous forme de litière, vers d'autres écosystèmes éloignés (plage, canyon sous-marin,...) où elle constituera une source de carbone importante pour le fonctionnement de ces écosystèmes. Elle permet de fixer les fonds marins grâce à l'entrelacement de ses rhizomes. Ceux-ci s'empilent d'une année sur l'autre, contribuant à augmenter progressivement le niveau du fond (environ un mètre par siècle. Elle « piège » des particules en suspension et du sédiment, contribuant ainsi au maintien de la clarté des eaux. Les herbiers à Posidonia oceanica sont considérés comme des formations essentielles dans le stockage du carbone atmosphérique et l'oxygénation du milieu.

Lagune en Bolivie. Source : http://data.abuledu.org/URI/582cc208-lagune-en-bolivie

Lagune en Bolivie

Vue panoramique de la Lagune Hedionda, dans la province de Nor Lípez, dans le sud-ouest de la Bolivie. Elle est située à 4 121 mètres au-dessus du niveau de la mer et couvre une superficie de 3 km².

Lavande de mer, ou Lilas de mer. Source : http://data.abuledu.org/URI/507024d3-lavande-de-mer-ou-lilas-de-mer

Lavande de mer, ou Lilas de mer

Planche botanique N°272 de l'Atlas des Plantes de France de Masclef, 1894 : Lavande de mer (Limonium vulgare, Statice limonium), pousse dans les prés salés vasicoles de bas-niveau topographique.

Le bolong au Cap Skirring en Casamance. Source : http://data.abuledu.org/URI/54934da6-le-bolong-au-cap-skirring-en-casamance

Le bolong au Cap Skirring en Casamance

Le bolong au niveau de cap Skirring en Basse Casamance au Sénégal : Le bolong est un chenal d'eau salée, caractéristique des zones côtières du Sénégal ou de Gambie, proches d'estuaires. Ces bras de mer – tantôt éphémères, tantôt significatifs et répertoriés comme de petits affluents – sont particulièrement nombreux dans le Sine-Saloum et en Casamance. L'eau de mer s'y mêle à celle des cours d'eau (Saloum, fleuve Casamance) et ils sont soumis à la marée. Les bolongs sont généralement accessibles aux pirogues.

Le phare de Cape Point. Source : http://data.abuledu.org/URI/54ec9f98-le-phare-de-cape-point

Le phare de Cape Point

Nouveau phare de Cape Point, situé à 87 mètres au-dessus du niveau de la mer. Il remplace un ancien phare, placé beaucoup plus haut à 249 mètres d‘altitude, inefficace par temps de brouillard ou de nuages, qui fut remplacé en 1919.

Marégraphe. Source : http://data.abuledu.org/URI/50bf68fc-maregraphe

Marégraphe

Marégraphe avant son immersion dans un port en 2004, Institut de Physique du Globe de Paris (IPGP). Un marégraphe est un instrument permettant de mesurer le niveau de la mer à un endroit donné. Le principe du marégraphe est simple, situé dans un emplacement précisément identifié, le marégraphe enregistre le niveau de la mer au cours du temps. La complexité du marégraphe ne réside donc pas dans son principe mais dans la technologie mise en jeu, pour l'étalonnage des mesures, l'enregistrement… Les marégraphes numériques côtiers fonctionnent par un principe d'émission-réception d'ondes acoustiques (40-50 kHz) ou radar (> 1 GHz)). Un transducteur est placé au dessus de la surface de l'eau, il émet une impulsion et capte le signal réfléchi. Le temps écoulé entre l'émission et la réception du signal est traduit en hauteur de la colonne d'eau. Le transducteur effectue plusieurs mesures périodiquement puis les mesures sont moyennées afin de limiter les effets de la houle ou du clapot. Le réseau d'observation des côtes françaises est principalement constitué de ce type de marégraphe.

Marégraphe de Marseille. Source : http://data.abuledu.org/URI/50bf6e05-maregraphe-de-marseille

Marégraphe de Marseille

Marégraphe de Marseille, mis en place en 1883 au numéro 174 de la Corniche à Marseille, dans l'Anse Calvo. Le but était de déterminer une origine des altitudes françaises. Les mesures ont été effectuées en continu du 1er janvier 1884 au 31 décembre 1896, sur 13 ans. Le 1er janvier 1897, la moyenne arithmétique de l'ensemble des mesures effectuées pendant ces treize années a déterminé le niveau moyen de la mer en ce lieu. Ce niveau moyen a été adopté comme l'altitude zéro de référence français. Le MCN fait partie d'un réseau national d'observatoires marégraphiques, gérés par le SHOM (Service Hydrographique et océanique de la Marine) et d'un réseau mondial. Les données sont visualisables en temps quasi-réel et en temps différé et téléchargeables après inscription sur le portail des Réseaux de référence des observations marégraphiques REFMAR. Les niveaux moyens (journaliers, mensuels et annuels) sont quant à eux disponibles sur le portail SONEL.

Menhir à Houat. Source : http://data.abuledu.org/URI/518a43f7-menhir-houat-jpg

Menhir à Houat

Menhir à Houat indiqué sur la Carte IGN "Belle Ile - Menhir de Parc-er-Menhir" (classé MH 1992, PA00091299. Au début de l’ère néolithique en Bretagne (vers 5000 av. J.-C.), le niveau de la mer avait déjà remonté et Houat faisait alors partie d’un système insulaire avec Hoedic, séparées du continent par le passage de la Teignouse. Progressivement, vers 3500 avant J.-C., elle se sépara de Hoedic en raison de la remontée du niveau de la mer.

Murailles de Kotor au Monténégro. Source : http://data.abuledu.org/URI/555fd300-murailles-de-kotor-au-montenegro-

Murailles de Kotor au Monténégro

Murailles de Kotor au Monténégro. La vieille ville de Kotor, entourée d’une impressionnante muraille de défense, est particulièrement bien préservée et classée sur la liste du patrimoine mondial de l'UNESCO. les murs d’enceinte, récemment restaurés, ont une longueur totale de 4,5 kilomètres, pour une hauteur de 15 mètres et jusqu’à 20 mètres de largeur. En effet, ces murailles s’élèvent jusqu’au bastion Saint-Jean, situé à une altitude de 280 mètres au-dessus de la ville et du niveau de la mer. Source : https://fr.wikipedia.org/wiki/Kotor

Niveaux trophiques en Atlantique nord. Source : http://data.abuledu.org/URI/50b7e5d7-niveaux-trophiques-en-atlantique-nord

Niveaux trophiques en Atlantique nord

Tendance à la réduction du niveau trophique moyen dans les pêcheries de l'Atlantique nord et des zones côtières (poisson débarqué, sachant qu'une partie a été jetée en mer) pour la période 1950–2000, à partir d'un calcul basé sur l'aggrégation de données venant de 180 000 cellules d'un demi-degré de côté (latitude/longitude) (Méthode d'aggrégation de Watson et al, 2004). La validité statistique est forte et on peut remarquer un déclin beaucoup plus rapide (mai plus tardivement entamé ?) dans l'Atlantique Nord. Atelier Graphique de Wikimedia Commons, d'après Pauly D. and Watson R., (2005), « Background and interpretation of the ‘Marine Trophic Index’ as a measure of biodiversity », Philosophical Transactions of the Royal Society B., n°360, pp. 415-423.

Perche de sable dans la Mer Rouge. Source : http://data.abuledu.org/URI/55315ad2-perche-de-sable-dans-la-mer-rouge

Perche de sable dans la Mer Rouge

Perche de sable mâle (Parapercis hexophtalma), Gymnosarda unicolor, dans un récif corallien près de Safaga, Mer Rouge. La pintade de mer s'identifie facilement par une grosse tache noire au centre de la nageoire caudale. Dimorphisme sexuel : les livrées des mâles et des femelles diffèrent au niveau de la tête. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Parapercis_hexophtalma

Phare de l'île de Groix. Source : http://data.abuledu.org/URI/54324964-phare-de-l-ile-de-groix

Phare de l'île de Groix

Le phare de la pointe des chats, île de Groix dans le Morbihan. Construit vers 1897 sur une ancienne batterie de défense, il fut mis en service le 15 octobre 1898. On jugea indispensable la construction de cet édifice de 15,22 m (17,92 m au-dessus du niveau de la mer) en raison des nombreux navires qui faisaient naufrage sur la longue base rocheuse des Chats (appellation venant du surnom donné à ces récifs par les groisillons de l'époque), s'étendant sur plus d'un kilomètre. Chaque nuit, il avertit donc les marins en direction ou en partance de Lorient de l'important danger que représente cette côte très découpée, par 1 éclat rouge toutes les 5 secondes d'une portée d'environ 19 milles (soit 35 km). Automatisé, habité mais non gardienné, il ne se visite pas. La pointe où il se situe constitue une réserve naturelle géologique protégée. On y trouve plusieurs types de minéraux (grenats, micaschistes, glaucophanes, épidotes...). Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Phare_de_la_pointe_des_Chats

Plage à posidonies de Macinaggio. Source : http://data.abuledu.org/URI/51d207a1-plage-a-posidonies-de-macinaggio

Plage à posidonies de Macinaggio

Macinaggio, marine de Rogliano, plage avec dépot de posidonies. Tirant son nom du dieu de la mer grec Poséidon, elle joue plusieurs rôles fondamentaux pour le milieu marin littoral. Les herbiers qu'elle forme sont des lieux de frayère et de nurserie pour de nombreuses espèces animales. Elle constitue également une source de nourriture, parfois importante, pour certaines espèces herbivores (oursins, saupes, etc.). Une partie de la production de feuilles d'un herbier va se retrouver exportée, sous forme de litière, vers d'autres écosystèmes éloignés (plage, canyon sous-marin,...) où elle constituera une source de carbone importante pour le fonctionnement de ces écosystèmes. Elle permet de fixer les fonds marins grâce à l'entrelacement de ses rhizomes. Ceux-ci s'empilent d'une année sur l'autre, contribuant à augmenter progressivement le niveau du fond (environ un mètre par siècle. Elle « piège » des particules en suspension et du sédiment, contribuant ainsi au maintien de la clarté des eaux. Les herbiers à Posidonia oceanica sont considérés comme des formations essentielles dans le stockage du carbone atmosphérique et l'oxygénation du milieu. Lorsque les herbiers de posidonie se développent au fond de criques de très faible profondeur, les plantes affleurent la surface et peuvent créer un récif barrière, par analogie aux récifs coralliens, contribuant à la formation d'un biotope particulier.

Plan général du Palais de Topkapi. Source : http://data.abuledu.org/URI/51138cd6-plan-general-du-palais-de-topkapi

Plan général du Palais de Topkapi

A. Première cour B. Anciens jardins, près du mur le long de la mer de Marmara. C. Cinquième cour, aujourd'hui partie du parc de Gülhane, s'étendant jusqu'à la Corne d'Or à Seraglio. D. Anciens jardins, aujourd'hui parc de Gülhane, s'étend jusqu'à la ligne de chemin de fer. E. Niveau où se trouvent le Pavillon des Tuiles et d'autres musées. 1) Fontaine du bourreau 2) Porte du milieu, entrée du musée 3) Deuxième Cour 4) Selâm ou pierre de bienvenue 5) Sommet de la citerne byzantine 6) Vieux puits 7) Fontaine 8) Porte de la Mort 9) Mosquée de Haci Beşir Ağa 10) Porte de la mosquée) 11) Porte extérieure de la Mort 12) Écuries impériales 13) Dortoirs des hallebardiers à tresses 14) Terrasse 15) Arcades avec inscriptions anciennes 16) Porte des Carrosses, vers le harem 17) Chambre du Conseil impérial 18) Chambre des scribes 19) Chambre du grand Vizir 20) Trésor impérial 21) Pierre cible 22) Monument à Sukhum 23) Porte vers les pompes du palais 23a) Pompes 24) Cuisine des sultans, des princes et de la sultane validé 26) Cuisine des femmes du harem 27) Cuisine des sentinelles 28) Cuisines du divan 29) Cuisine des pages 30) Cuisine des serviteurs 31) Cuisine des femmes servant le harem 32) Cuisine pour les servants civils du divan, pièce du fabricant de café et pâtisserie 33) Mosquée des cuisiniers) 34) Dortoir des apprentis cuisiniers et plongeurs 35) fonderie d'étain 36) zone utilisée par les serviteurs de la cuisine 37) Porte de la Félicité 38) Troisième Cour 39) Salle d'audience 40) Librairie d'Ahmed III 41) Quartiers des eunuques blancs 42) Porte de la volière 43) Cuisine privée du sultan 44) Rue de marbre du pavillon du manteau sacré à la salle du trône 45) Mosquée des Ağas 46) Mosquée du harem 47) Chapelle 48) Dortoirs des pages de la chambre forte sacrée 49) Chambre forte sacrée 50) Salle du foulard 51) Pavillon du manteau sacré 51a) Antichambre de la chambre forte sacrée 51b) Salle du manteau sacré 52) Pierre où s'arrêtait le sultan 53) Fontaine 54) Trésor des reliques sacrées (anc. Trésor des armures) 55) Dortoir des pages du trésor 56) Dortoir des pages du commissariat 57) Passage souterrain de la troisième à la quatrième cour 58) Trésor impérial 59) Dortoir des pages royaux 60) Conservatoire 61) Quartiers des eunuques blancs 62) Corridor à piliers 63) Porte vers le harem et la route dorée 64) Salle des circoncisions 65) Pavillon d'Erevan 66) Quatrième Cour (jardin des tulipes) 67) Fontaine à étages 68) Piscine avec jets sur la terrasse 69) Terrasse de marbre 70) Jardins Iftariye 71) Porte des éléphants ou du jardin 72) Pavillon de Bagdad 73) Pavillon sur la terrasse et pavillon de Mustafa pacha 74) Salle du médecin principal 75) Jardin de la quatrième cour 76) Porte des jardins privés, reliant la quatrième et la cinquième cour, aujourd'hui partie du Parc Gülhane 77) Guérites 78) Grand Pavillon 79) Mosquée sur la terrasse 80) Garde-robe 81) Piscine sculptée de thèmes marins.

Portrait de l'architecte Jean-Baptiste Lepère. Source : http://data.abuledu.org/URI/541d82d5-portrait-de-l-architecte-jean-baptiste-lepere

Portrait de l'architecte Jean-Baptiste Lepère

Portrait de l'architecte Jean-Baptiste Lepère, 1893, par Jean Auguste Dominique Ingres. Bonaparte l'avait emmené en Égypte pour vérifier si le projet de creuser un canal pour relier la mer Méditerranée et la mer Rouge à travers le delta du Nil était réalisable : il s'agissait aussi pour lui de vérifier si le niveau entre les deux mers était suffisamment peu important pour la réalisation de ce canal. Source : Élie Brault, Les Architectes par leurs œuvres, t. III, Paris, H. Laurens, 1893.

Premier chemin de fer transcontinental américain. Source : http://data.abuledu.org/URI/55a21426-premier-chemin-de-fer-transcontinental-americain

Premier chemin de fer transcontinental américain

Premier chemin de fer transcontinental américain. Promontory Summit est un lieu situé dans le comté de Box Elder, dans l'État de l'Utah, aux États-Unis d'Amérique, approximativement à 41°37′07″N, 112°32′51″O, à une altitude de 1 494 mètres au-dessus du niveau de la mer. Il devint célèbre en devenant le lieu où s'opéra la jonction entre les chemins de fer de l'Union Pacific Railroad et la Central Pacific Railroad en 1869, constituant ainsi le premier chemin de fer transcontinental des États-Unis. Source : https://fr.wikipedia.org/wiki/Promontory_Summit

Proportions des gaz dans l'atmosphère. Source : http://data.abuledu.org/URI/50be1f4b-proportions-des-gaz-dans-l-atmosphere

Proportions des gaz dans l'atmosphère

Proportion actuelle des gaz atmosphériques (moyennes variant régionalement et saisonnièrement). Les gaz de l'atmosphère sont continuellement brassés, l'atmosphère n'est pas homogène, tant par sa composition que par ses caractéristiques physiques. La concentration des composants minoritaires, et en particulier les polluants, est très hétérogène sur la surface du globe, car des sources d'émission très locales existent, soit liées à l'activité humaine (usines, air intérieur ou extérieur, etc.) soit à des processus naturels (géothermie, décomposition de matières organiques, etc.). Au niveau de la mer, l'air sec est principalement composé de 78,1 % de diazote, 20,9 % de dioxygène, 0,93 % d'argon et de 0,034 % de dioxyde de carbone pour les gaz majeurs. Toutefois, il comporte aussi des traces d'autres éléments chimiques, les gaz mineurs, dont la proportion varie avec l'altitude. Les gaz à effet de serre majeurs sont la vapeur d'eau, le méthane, l'oxyde d'azote et l'ozone. Les concentrations en dioxyde de carbone s'élèvent, en 2011, à 0,0392 %, soit 392 ppm alors qu'en 1998, elle était de 345 ppm. D'autres éléments d'origine naturelle sont présents en plus faible quantité, dont la poussière, le pollen et les spores ainsi que des virus, bactéries.

Quatre étapes de formation d'un atoll. Source : http://data.abuledu.org/URI/53b97e15-quatre-etapes-de-formation-d-un-atoll

Quatre étapes de formation d'un atoll

Quatre étapes de formation d'un atoll. Le terme fut popularisé par le naturaliste anglais Charles Darwin (1842), qui a décrit des atolls comme un sous-ensemble dans une classe spéciale d'îles, dont l'unique propriété est la présence d'un récif organique. Darwin théorise également la formation de ce type de structures par enfoncement total d'un volcan sous l'eau. Darwin avait pressentit que la disposition en anneau des bancs madréporiques était probablement imputable à la submersion graduelle d'une île existant précédemment, souvent d'origine volcanique, du fait de l'affaissement de celle-ci ou de la montée du niveau de la mer due à la phase interglaciaire actuelle. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Atoll

Récifs barrières de corail. Source : http://data.abuledu.org/URI/591c110e-en-naturforskares-resa-omkring-jorden-illustration-sida-417-png

Récifs barrières de corail

Coupe des îles de Vanikoro, de Gambier et de Maurua. "Les hachures horizontales indiquent les récifs barrières et les canaux ; les hachures inclinées, placées au-dessus du niveau de la mer (A A), indiquent la forme actuelle de la terre ; les hachures inclinées au-dessous de cette ligne indiquent la prolongation probable des terres au-dessous de l’eau." Charles Darwin (1809-1882), Voyage d'un naturaliste autour du monde, page 562.

Règles de vol à vue. Source : http://data.abuledu.org/URI/50b12466-regles-de-vol-a-vue

Règles de vol à vue

Schéma résumant les règles de vol à vue en France (visibilité minimum, distance aux nuages) selon l'altitude par rapport au niveau moyen de la mer (AMSL) ou par rapport au sol (ASFC). Les règles spécifiques qui s'appliquent sous la surface S (vol à proximité des nuages, visibilité réduite à 1.5 km) ne concernent que les espaces aériens non controlés. Dans un espace de classe E la règle de distances aux nuages (1500 m hor. et 300 m vert.) et de visibilité minimale de 5 km s'applique jusqu'au sol.

Rivière des Pères en Guadeloupe. Source : http://data.abuledu.org/URI/5276a487-riviere-des-peres-en-guadeloupe

Rivière des Pères en Guadeloupe

Rivière des Pères vers le saut de Matouba, à Saint-Claude, dans le parc national de la Guadeloupe. La rivières des Pères — qui doit son nom au lieu-dit des Pères-Blancs de Baillif — prend naissance dans le Grand Sans Toucher, constitue la frontière entre les communes de Baillif et de Saint-Claude sur Basse-Terre, passe le saut de Matouba au niveau du lieu-dit éponyme et se jette dans la mer des Caraïbes à la jonction des communes de Baillif et de Basse-Terre au niveau de la pointe de Pères près de la Tour du Père-Labat. Elle a pour affluents la rivière Rouge, la Matouba et la rivière Saint-Louis.

Sept zones des alertes cycloniques. Source : http://data.abuledu.org/URI/51f3f057-sept-zones-des-alertes-cycloniques

Sept zones des alertes cycloniques

Carte des sept zones des alertes cycloniques : les différents bassins et les centres responsables. Une alerte cyclonique est un dispositif de sécurité civile visant à protéger les personnes et les biens menacés par un cyclone tropical en les prévenant de l'imminence de l'irruption des phénomènes les plus violents puis en les informant sur la réalité de leur passage au-dessus des zones concernées. Ces bulletins permettent aux autorités civiles de prendre les mesures nécessaires dont l'évacuation des zones côtières, l'ouverture d'abris, la mise en alerte des services médicaux, etc. Chaque pays pouvant être affecté par de tels systèmes a développé son propre code pour les alertes cycloniques. Par exemple, dans les départements outre-mer de France, le niveau d'alerte est relié à un code de couleurs (orange et rouge) alors qu'en Amérique du Nord on a des veilles et des alertes météorologiques.

Tondeuse au Cap Béveziers. Source : http://data.abuledu.org/URI/5369e40c-tondeuse-au-cap-beveziers

Tondeuse au Cap Béveziers

Tondeuse au Cap Béveziers (Beachy Head), promontoire de craie sur la côte sud de l'Angleterre, près de la ville d'Eastbourne (comté de l'East Sussex), immédiatement à l'est des Seven Sisters, Sussex. Sa falaise est la plus haute falaise côtière de craie en Grande-Bretagne, s'élevant à 162 mètres au-dessus du niveau de la mer.

Tour génoise des îles Finocchiarola. Source : http://data.abuledu.org/URI/51d20594-tour-genoise-des-iles-finocchiarola

Tour génoise des îles Finocchiarola

Les îles Finocchiarola (en corse Finuchjarola) forment un archipel inhabité de la mer Tyrrhénienne. Elles se trouvent toutes proches de la côte nord-est du Cap Corse, sur la commune de Rogliano, entre la baie de Tamarone (au sud) et celle de Santa Maria (au nord), et sont constituées de trois îlots désertiques : A Terra, le plus proche de la côte (200 m) ; Mezzana, l'îlot central ; Finocchiarola, le plus grand, le plus haut et le plus au large des îlots (500 m), qui culmine à 27 m au niveau de la tour ruinée. En 1594, une tour littorale fut construite au point culminant du plus grand îlot. Elle était destinée à la défense du Cap corse sous l'occupation génoise et est aujourd'hui en état de ruine. Les deux îlots les plus au larges sont la propriété du Conservatoire du littoral aujourd'hui, et le troisième entre dans sa zone d'intervention. L'archipel fait partie de la Réserve naturelle des îles Finocchiarola depuis 1987. La réserve fut principalement mise en place pour la préservation du goéland d'Audouin, espèce endémique. Les îlots présentent une faune et une flore très particulière. Ils tirent d'ailleurs leur nom d'une plante caractéristique, le fenouil sauvage, finochju en corse.