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Peinture | Botanique | Printemps | Plantes | Aquarelles | Aquarellistes | Flore | Fleurs dans l'art | Jules Eudes (1856-1938) | Vincent van Gogh (1853-1890) | Auvers-sur-Oise (Val-d'Oise) | Ornithologie | Architecture vernaculaire | muguet | France (1793) | Iris (plantes) | Orchidées | Mai | Plantes médicinales | Photographie | ...
Le chocolat chez les mayas. Source : http://data.abuledu.org/URI/5198730c-le-chocolat-chez-les-mayas

Le chocolat chez les mayas

Chocolat interdit : un responsable maya (assis à gauche) interdit à un homme (debout à droite) de toucher à un bol de chocolat.

Ajoncs de mai en 1836. Source : http://data.abuledu.org/URI/53edc481-ajoncs-de-mai-en-1836

Ajoncs de mai en 1836

Illustration de "Nature et romance", 1836, par Louisa Anne Meredith (1812–1895), poète australienne : THE MAY MORN BOUQUET, Ajoncs (Ulex europæus).

Aubriettes de jardin. Source : http://data.abuledu.org/URI/53ad1e85-aubriettes

Aubriettes de jardin

Aubriettes de Jules Eudes (1856-1938), aquarelliste français qui signait ses œuvres JEUDES, dans : A. Guillaumin, "Les Fleurs de Jardins", tome I, Fleurs de Printemps, Paul Lechevalier, 1929. Aubrieta est un genre botanique qui regroupe environ 12 espèces de plantes à fleurs de la famille des brassicacées, originaires d'Europe et d'Asie centrale. Ce genre a été dédié par Michel Adanson au peintre et dessinateur Claude Aubriet (1665-1742). Les Aubrieta sont des plantes herbacées vivaces, parfois appelées "aubriettes" ou "aubriéties". En avril-mai, les fleurs d'environ 2 cm de diamètre font leur apparition. Ces fleurs se composent de 4 pétales et leur cœur forme une croix de couleur blanche ou jaune. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Aubrieta

Bagarre à la sortie de l'école. Source : http://data.abuledu.org/URI/52109314-bagarre-a-la-sortie-de-l-ecole

Bagarre à la sortie de l'école

Bagarre à la sortie de l'école, 1842, par Johann Nepomuk Mayer (1805–1866).

Bouleau blanc. Source : http://data.abuledu.org/URI/50983d17-bouleau-blanc

Bouleau blanc

Planche N°306 de l'Atlas des Plantes de France de Masclef : Bouleau blanc (Betula pubescens, Betula alba). Les bouleaux poussent en général sur les terres pauvres et souvent siliceuses, jusqu'à 2000 m d'altitude, ainsi que dans les régions arctiques. Les bouleaux sont des plantes pionnières qui constituent souvent la première formation arborée lors de la reconquête ou de la colonisation de landes par la forêt. Ils apprécient les sols plutôt acides et humides. Les bouleaux forment des futaies appelées boulaies ou boulinières ou encore des bétulaies. Cet arbre caduc majestueux de la famille des betulaceae fleurit d'avril à mai. Ses fruits sont des cônes allongés de 10 cm de longueur, dressés puis pendants pour le mâle et de 3 cm dressés pour la femelle. Cet arbre à l'écorce blanche écaillée peut atteindre 20 à 30 m de hauteur et jusqu'à 60 cm de diamètre à la base. Sa sève riche en composés actifs, ainsi que son écorce, recèlent de nombreuses propriétés. Le mot "boul" vient du latin "betula" d'origine probablement celtique (gaulois) d'un thème *betuo-, thématisation de *betu-, dont est issu le nom brittonique de l'arbre : breton "bezv", gallois "bedw". *betu- pourrait être le nom celtique de la poix obtenue en chauffant de jeunes arbres pleins de sève et équivalent du latin "bitumen".

Boulevard du Temple à Paris en 1862. Source : http://data.abuledu.org/URI/56c8ee29-boulevard-du-temple-a-paris-en-1862

Boulevard du Temple à Paris en 1862

Le boulevard du Temple (1862) avec, de gauche à droite, le Théâtre historique, le Cirque olympique, les Folies dramatiques, la Gaîté, les Funambules, les Délassements comiques. « Boulevard du Crime » est le surnom donné au XIXe siècle à cause des théâtres mélodramatiques dans lesquels étaient fréquemment représentés des crimes. Tous ces théâtres étaient situés sur la partie Est du boulevard. Ils ont été détruits lors de la réorganisation de Paris par le baron Haussmann en 1862. Seules les Folies-Mayer échappent à la démolition lors de la création de la place de la République — car situées sur le trottoir opposé à celui où elles se trouvent aujourd'hui sous le nom de théâtre Déjazet. Source : Wikipédia.

Calendrier des travaux agricoles. Source : http://data.abuledu.org/URI/5075aee4-calendrier-des-travaux-agricoles-

Calendrier des travaux agricoles

Travaux agricoles des douze mois de l'année au moyen âge : Calendrier extrait du Rustican, de Pierre Crescent (Pietro Crescenzi). Le Moyen Âge n’a pas ignoré les traités centrés autour d’une activité donnée comme l’agriculture ; ceux-ci se sont multipliés depuis les œuvres des Anglo-Normands du XIIIe siècle, dont Walter de Henley, au grand traité de Pierre de Crescent au XIVe siècle. Rédigé entre 1304 et 1306, le "Ruralium commodorum opus" réunit toute la science agronomique médiévale et tous les souvenirs des auteurs latins, avec une orientation vers l’agriculture méditerranéenne. Il fut composé en latin, sous ce titre : "Opus ruralium commodorum, libri duodecim". Dès qu'il parut, il fit une grande sensation, et fut bientôt répandu dans toute l'Europe. Charles V, roi de France, le fit traduire en français en 1373. Légende : janvier, curer les fossés à la houe ; février, étaler le fumier sur les terres avec bêche et houe ; mars, tailler la vigne à la serpe ; avril, tondre les moutons aux ciseaux (les forces) ; mai, chasse au faucon ; juin, faucher l’herbe à la faux ; juillet, moisson à la faucille ; août, battre le blé au fléau sur l'aire ; septembre, semer à la volée après avoir labouré les champs ; octobre, presser le raisin aux pieds dans une cuve ; novembre, cueillette des glands pour les cochons l'hiver ; décembre, pèle-porc.

Carte de la Mer Blanche. Source : http://data.abuledu.org/URI/50e74d09-carte-de-la-mer-blanche

Carte de la Mer Blanche

Carte du XVIIIème siècle de la Mer Blanche avec la Dvina, par Samuel Thornton, cartographe anglais du XVIIIème siècle. La mer Blanche s'étend sur 95 000 km2 au nord-ouest de la Russie, au sud de la mer de Barents ; elle constitue une dépendance de l'océan Arctique. L'été y dure de début juin à fin août. Mais dans la partie nord de la mer, il ne dépasse pas un mois et demi. Sa température évolue de 0,5° C à –2 °C l'hiver et de 12 °C à 15 °C l'été. Les glaces apparaissent dès octobre et forment des champs de glace à partir de la mi-novembre. Les animaux des régions polaires viennent alors s'y réfugier : le phoque du Groenland, le chien de mer et le veau marin. La fonte des neiges commence en avril et les glaces disparaissent en mai. Mais, à cause des vents du nord, on peut rencontrer des « glaçons » flottants jusqu'à fin juin. Au printemps, sous l'action des vents du sud et des courants, des animaux sont emportés sur leur morceau de glace vers l'Océan. Ils sont alors abattus par les habitants de la côte qui se déplacent dans des canots à patins. Le port important d'Arkhangelsk se trouve sur la mer Blanche. Pendant une bonne partie de l'histoire de la Russie, ce fut le principal centre de commerce international maritime. À l'époque moderne, ce port est devenu une base navale et sous-marine soviétique.

Composition florale de mai en 1836. Source : http://data.abuledu.org/URI/53edc55f-composition-florale-de-mai-en-1836

Composition florale de mai en 1836

Illustration de "Nature et romance", 1836, par Louisa Anne Meredith (1812–1895), poète australienne : LOVERS & LILIES, Muguet (Convallaria majalis) et Anémones.

Couple de perdrix rouges et poussins. Source : http://data.abuledu.org/URI/5134905b-couple-de-perdrix-rouges-et-poussins

Couple de perdrix rouges et poussins

Couple de perdrix rouges (Alectoris rufa) et poussins. On peut noter un bandeau blanc au-dessus de l'œil. Les joues et la gorge sont blancs, bordés de noir. Le dessus du corps est rouille, la poitrine gris-bleu. Le bec et les pattes sont couleur de corail. La Perdrix rouge se rencontre dans toute la France, en Italie, dans la péninsule Ibérique et au Maroc. Cet oiseau consomme des végétaux : feuilles et graines sauvages. Le nid est au sol dans une dépression grattée par la femelle et garnie de feuilles sèches. La ponte a lieu en avril et mai : la femelle pond une dizaine d'œufs, au fond blanc taché de brun. L'incubation est de l'ordre de 24 jours. Les poussins, nidifuges, restent ensemble jusqu'à la saison de reproduction suivante. La femelle peut pondre deux couvées successives, dans deux nids différents. L'une d'elles est alors couvée par le mâle.

Dernier banquet des Girondins. Source : http://data.abuledu.org/URI/50acad47-dernier-banquet-des-girondins

Dernier banquet des Girondins

Peinture de Félix Philippoteaux (1815-1884), "Le Dernier banquet des Girondins" (vers 1850). Musée de la Révolution française (Domaine de Vizille). Dépôt du musée des Beaux-Arts de Marseille.

Fritillaire impériale. Source : http://data.abuledu.org/URI/53ad673d-fritillaire-imperiale

Fritillaire impériale

Fritillaire impériale, Jules Eudes (1856-1938), aquarelliste français qui signait ses œuvres JEUDES, dans : A. Guillaumin, "Les Fleurs de Jardins", tome I, Les fleurs de printemps, Paul Lechevalier, 1929. La fritillaire impériale (Fritillaria imperialis) encore appelée couronne impériale est une plante herbacée vivace de la famille des Liliacées. Le nom ancien de la couronne impériale était Larmes de Marie. Son nom persan (gole achke) signifie la fleur qui pleure. L'inflorescence est composée d'un verticille de fleurs en forme de clochettes disposées au sommet de la tige et tournées vers le bas, surmontée d'une houppe de bractées constituant la « couronne » (d'où le nom vernaculaire de la plante). La variété sauvage possède des fleurs orangées, alors que les couleurs des variétés cultivées varient du rouge écarlate au jaune. Elle possède une odeur particulière qui éloigne souris, taupes et autres rongeurs. Dans l'hémisphère nord, la floraison a lieu aux mois d'avril et de mai. Au XVIIe siècle, cette fleur faisait l'objet de compétitions acharnées entre collectionneurs, tous cherchant à multiplier le nombre des fleurs ou celui des étages de clochettes. Chacun des six tépales porte à sa base, une petite tache. Il s'agit de nectaires sécrétant des gouttes de nectar. Elle fut découverte en 1580 par le botaniste français Charles de L'Écluse. Mais l'on dit qu’elle était déjà cultivée dans les jardins du sultan ottoman Soliman le Magnifique. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Fritillaire_imp%C3%A9riale

Gentiane jaune. Source : http://data.abuledu.org/URI/505cb018-gentiane-jaune

Gentiane jaune

Planche botanique de la Gentiane jaune ou grande gentiane (Gentiana lutea), Atlas des Plantes de France, 1891. Noms locaux : gentiane officinale, jouvansanne, quinquina d'Europe, quinquina des pauvres, lève-toi-et-marche, jansonna et quinquina indigène. Le rhizome et les racines sont utilisés en phytothérapie comme le laissent supposer ses nombreux noms vernaculaires. Il faut attendre sept à dix ans avant de pouvoir les récolter. La récolte est réalisée essentiellement dans le Massif Central par les Gençanaïres. À l'aide d'une fourche spéciale appelée « fourche du diable », ils peuvent extraire plus de 200 kg de racines par jour. C'est un travail pénible qui s'effectue de mai à octobre. Ce sont près de 1 000 à 1 500 tonnes qui sont utilisées chaque année pour satisfaire les besoins de l'artisanat et l'industrie. En volume, la gentiane est une des trois premières plantes médicinales et aromatiques utilisées en France et ses applications sont nombreuses (pharmacie et médecine humaine et vétérinaire, boissons et spiritueux, cosmétique, fabrication d'arômes et d'extraits, gastronomie…).

Graveur au travail. Source : http://data.abuledu.org/URI/5120d815-graveur-au-travail

Graveur au travail

Encrage à la main d'une plaque de cuivre gravée, par Chaim Goldberg dans son atelier (5 mai 2007).

Iris pumila de jardin. Source : http://data.abuledu.org/URI/53ad820b-iris-pumila-de-jardin

Iris pumila de jardin

Iris pumila de jardin, ou iris nain, Jules Eudes (1856-1938), aquarelliste français qui signait ses œuvres JEUDES, dans : A. Guillaumin, "Les Fleurs de Jardins", tome I, Les fleurs de printemps, Paul Lechevalier, 1929. Iris pumila (appelé aussi Iris nain mais qui est une dénomination vernaculaire commune à Iris lutescens, espèce proche au moins dans sa taille) - est une plante herbacée vivace de la famille des Iridacées originaire d'Asie et d'Europe centrales. Il s'agit d'un iris à rhizome. Sa taille reste modeste : 10 à 20 centimètres de haut. Cette caractéristique est à l'origine de l'épithète spécifique. La floraison a lieu d'avril à mai. La fleur, lavande ou bleu foncé dans les formes botaniques, mais de diverses couleurs dans les variétés horticoles - principalement jaune -, comporte trois grands sépales à crête jaune et trois pétales de plus petite taille. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Iris_pumila

Julienne des dames. Source : http://data.abuledu.org/URI/506e7967-julienne-des-dames

Julienne des dames

Planche botanique N°29 de l'Atlas des Plantes de France de Masclef, 1894 : La julienne des dames (Hesperis matronalis). C'est une plante à fleurs pourpres, parfois blanches, de la famille des Brassicaceae . Elle est connue aussi sous les noms de girarde, giroflée des dames, violette de Damas, cassolette beurrée, aragone. Les feuilles sont oblongues ou lancéolées, dentées, couvertes de pois courts qui les rendent rugueuses. Les fleurs de 15–20 mm de diamètre sont de couleur lilas, blanches ou panachées, odorantes. Les sépales sont à peu près de même longueur que le pédicelle. La floraison a lieu de mai à juillet. La julienne des dames croît spontanément dans les lieux frais et ombragés, fourrés et forêts ripicoles, lisières forestières, chemins, coupes. C'est une plante mellifère, médicinale considérée comme stimulante, antiscorbutique, diurétique, sudorifique, expectorante, rubéfiante et ornementale. Le terme Hesperis vient du grec hesperos "soir", en raison de l'agréable parfum que diffusent ses fleurs en fin de journée. Le terme matronalis signifie en latin "dames'

Julienne des dames. Source : http://data.abuledu.org/URI/53ad9388-julienne-des-dames

Julienne des dames

Julienne des dames (Hesperis matronalis) par Jules Eudes (1856-1938), aquarelliste français qui signait ses œuvres JEUDES, dans : A. Guillaumin, "Les Fleurs de Jardins", tome I, Les fleurs de printemps, Paul Lechevalier, 1929. La julienne des dames est une plante à fleurs pourpres, parfois blanches, de la famille des Brassicaceae. Elle est connue aussi sous les noms de girarde, giroflée des dames, violette de Damas, cassolette beurrée, aragone. Le terme Hesperis vient du grec hesperos "soir", en raison de l'agréable parfum que diffusent ses fleurs en fin de journée. Le terme matronalis signifie en latin "dames". Les feuilles sont oblongues ou lancéolées, dentées, couvertes de pois courts qui les rendent rugueuses. Les fleurs de 15–20 mm de diamètre sont de couleur lilas, blanches ou panachées, odorantes. Les sépales sont à peu près de même longueur que le pédicelle. La floraison a lieu de mai à juillet. Elle croît spontanément dans les lieux frais et ombragés, fourrés et forêts ripicoles, lisières forestières, chemins, coupes. C'est aussi une plante cultivée comme ornementale. On la trouve souvent dans les mélanges de fleurs de jachères car elle se ressème facilement. Elle est souvent subspontanée. C'est une plante mellifère. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Julienne_des_dames

La Tour dorée. Source : http://data.abuledu.org/URI/50b4c90b-la-tour-doree

La Tour dorée

Plan et coupe de la Tour Dorée, par Sébastien Le Prestre de Vauban (1633–1707). Convention de représentation : les éléments existants sont pochés en vieux rose, et les éléments en projet sont pochés en jaune. Vauban, chargé de la défense de la rade de Brest consigne dans son mémoire du 9 mai 1685 : « Il y a encore deux Rades hors du Goullet de Brest qui sont comme le vestibulle de cette entrée, dont l'une, sçavoir celle de Berthaume, est parée contre tous les vents du Nord, et celle de Camaret contre tous ceux du Midy, touttes deux de très-bonne tenüe. Il n'y a rien à faire à celle de Berthaume parce que l'on peut mouiller au large hors du canon des terres. Mais il y a un petit port marchand À un recoin de celle de Camaret où il se retire des bastiments que des corsaires viennent impunément enlever, ce qui leur arrive fort souvent en tems de guerre : c'est pourquoy il seroit nécessaire d'y faire une batterie de quatre ou cinq pièces de canon soutenue d'une tour et d'une petite closture de massonnerie pour les escarter de là et tenir cette Rade nette qui, de cette façon, deviendra un refeuge asseuré pour le bien des vaisseaux marchands que les maivais tems contraignent le plus souvent d'y mouiller et toujours au risque d'y estre pris. » il décide en premier d'installer une position de défense à Bertheaume et de construire une « tour de côte » à Camaret, unique en son genre8. Les premiers dessins de Vauban prévoient la construction d'une tour ronde, mais une fois sur place, il la crée polygonale. Les travaux pour la tour de Camaret ont débuté en 1689.

La tribune de la Convention. Source : http://data.abuledu.org/URI/50afb467-la-tribune-de-la-convention

La tribune de la Convention

Le député Lanjuinais agressé à la tribune de la Convention. Malgré les critiques acerbes de Charles Baudelaire aux salons de 1845 et 1846, Muller (1815-1892) acquiert la célébrité en 1850 avec la toile "L’appel des dernières victimes de la Terreur à la prison Saint-Lazare les 7 et 9 Thermidor", sur laquelle est représenté le poète André Chénier. Au musée du Louvre il décore les plafonds de la Galerie d’Apollon, l’escalier Mollien, la salle Denon. Nommé Directeur de la Manufacture des Gobelins, il laisse de nombreux tableaux de grand format décrivant des scènes violentes sous la Révolution, ainsi que de remarquables portraits (Portrait de Madame la Supérieure des Filles de la Compassion) et esquisses. Jean Denis, comte de Lanjuinais (1753-1827), député d’Ille-et-Vilaine, prit position sous la Convention contre la Commune insurrectionnelle et contre La Montagne. Molesté lors de la chute des Girondins durant les journées du 31 mai au 2 juin 1793, il fut fait comte en 1808 malgré son opposition à l’Empire. Il fut membre de la Chambre des Pairs sous la Restauration. Le tableau décrit l’agression de Lanjuinais le 2 juin 1793 par les Montagnards Chabot, Legendre, Drouet, Robespierre (jeune) et Turreau, et défendu par les Girondins Barbaroux, Penières et Lidon.

Lagopèdes alpins. Source : http://data.abuledu.org/URI/5134876c-lagopedes-alpins

Lagopèdes alpins

Lagopèdes alpins, "Attention, danger en vue" (Danger aloft), 1927 par Archibald Thorburn (1860-1935), illustrateur écossais spécialiste des oiseaux et de leur environnement naturel. Le lagopède alpin (Lagopus muta) a 34 cm - 36 cm de longueur, il est totalement blanc en hiver (à l'exception des rectrices sous-caudales qui restent sombres), puis se recouvre de brun en été. En automne, il devient grisâtre avec le dessous blanc. Le mâle a une livrée nuptiale où domine le gris-brun, la femelle est d'un rouge-brun. Son cri est bas et rauque. Cri d'alarme et d'envol râpeux à sonorités creuses : keurr-keurr-keurr-kè-kè-kè et aussi ker-r-r-rk. En haute montagne, il vit en zone nivale à la limite des neiges éternelles, sur les terrains pierreux, broussailleux ou dénudés, parfois plus bas par mauvais temps. Dans le Grand Nord, il habite les toundras. Il niche à l'abri d'un rocher ou sous la basse végétation. De mai à juin, le lagopède construit son nid à même le sol, souvent derrière un buisson où la femelle pond 8 à 12 œufs qu'elle couve seule pendant 22 à 26 jours. En octobre, les jeunes sont devenus adultes. Plusieurs familles se rassemblent en groupes de 15 à 20 individus.

Langue de chien officinale. Source : http://data.abuledu.org/URI/505d980d-langue-de-chien-officinale

Langue de chien officinale

Planche botanique de la cynoglosse officinale apppelée "langue de chien" (Cynoglossum officinale), Atlas des Plantes de France, 1891. C'est une plante herbacée vivace de 3 à 60 cm de hauteur. Les feuilles sont âpres et dégagent une forte odeur de souris quand elles sont frottées énergiquement. La floraison se situe de mai. Ses fruits sont à maturité à partir de juillet. Les graines possèdent de petits crochets qui se fixent sur la peau des animaux et ainsi permettent leur diffusion. Cette plante, anciennement considérée officinale, est seulement utilisée aujourd'hui en homéopathie pour le traitement de la toux et contre la diarrhée, également utilisée pour le traitement des hémorroïdes. Elle est toxique pour les animaux à sang froid et non pour les mammifères.

Le mois de Mai des Très Riches Heures du Duc de Berry. Source : http://data.abuledu.org/URI/531c528d-le-mois-de-mai-des-tres-riches-heures-du-duc-de-berry

Le mois de Mai des Très Riches Heures du Duc de Berry

Le mois de Mai des Très Riches Heures du duc de Berry : Ce mois est illustré par la cavalcade traditionnelle du 1er mai : des jeunes gens vont à cheval, précédés de joueurs de trompettes. Ils partent en forêt chercher des rameaux qu'ils porteront sur la tête ou autour du cou. À cette occasion, les dames arborent une longue robe verte, comme c'est ici le cas de trois d'entre elles. Plusieurs personnages portent des feuillages dans leur coiffure. Les constructions de l'arrière-plan ont donné lieu à des interprétations divergentes. Il pourrait s'agir du palais de la Cité à Paris avec le Châtelet à gauche, la Conciergerie et la tour de l'Horloge.

Le printemps au parc. Source : http://data.abuledu.org/URI/5180dab8-le-printemps-au-parc

Le printemps au parc

Le printemps, Mai 1902, in "Le Rire", par Benjamin Rabier (1864-1939). "Le printemps, grand magasin de nouveautés, Confection d'enfants".

Les iris de Van Gogh. Source : http://data.abuledu.org/URI/572b98d9-les-iris-de-van-gogh

Les iris de Van Gogh

Les iris de Van Gogh, mai 1889.

Madame de Pompadour en belle jardinière. Source : http://data.abuledu.org/URI/539572f9-madame-de-pompadour-en-belle-jardiniere

Madame de Pompadour en belle jardinière

Charles André Van Loo - Madame de Pompadour en belle jardinière - v.1754-1755. Château de Versailles, Petite salle à manger du Petit Trianon.

Maisons au toit de chaume à Cordeville. Source : http://data.abuledu.org/URI/5515b320-maisons-au-toit-de-chaume-a-cordeville

Maisons au toit de chaume à Cordeville

Maisons au toit de chaume à Cordeville, mai 1890, par Vincent Van Gogh (1853-1890).

Mode contemporaine. Source : http://data.abuledu.org/URI/530efcbb-mode-contemporaine

Mode contemporaine

Modèle contemporain de dos, rouleau de peinture à la main, par le styliste H. Chalayan. Exposition "Hussein Chalayan, From Fashion and Back", Design Museum, Londres, janvier à mai 2009 : rétrospective sur quinze ans de carrière. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Hussein_Chalayan.

Néottie nid d'oiseau. Source : http://data.abuledu.org/URI/506402b0-neottie-nid-d-oiseau

Néottie nid d'oiseau

Planche botanique de l'Atlas des Plantes de France, 1891. La Néottie nid d'oiseau (Neottia nidus-avis) est une plante herbacée vivace de la famille des Orchidaceae. C'est un géophyte à rhizomes dépourvu de chlorophylle. Elle de couleur brun jaunâtre. Ses fleurs, roussâtres, sont disposées en épi. Les feuilles sont brunes et transformées en écailles engainantes le long de la tige. La tige desséchée avec les capsules vides persiste d'une année sur l'autre. Sur l'appareil végétatif, en partie souterrain, la disposition et l'enchevêtrement des rhizomes et racines font penser aux brindilles d'un nid d'oiseau. La comparaison est attribuée au médecin et botaniste Jacques Daléchamps en 1586. La floraison s'étale de mai à juillet. Elle peut se faire sous terre. La pollinisation est assurée par les insectes, en particulier des coléoptères et des thysanoures. L'autofécondation peut avoir lieu à défaut de visite d'insecte: les pollinies enflent, puis s'effritent et le pollen se dépose sur le stigmate. La Néottie s'associe à un champignon qui vit en symbiose avec les racines d'un feuillu. L'énergie de l'arbre lui est transmise par le champignon. C'est une espèce d'ombre. Elle est mésophile et apprécie des sols riches au pH basique à neutre. Ses biotopes préférés sont les hêtraies, chênaies ou pineraies.

Nid de pinson en mai. Source : http://data.abuledu.org/URI/51fcf5d3-nid-de-pinson-en-mai

Nid de pinson en mai

Nid de pinson en mai (Chaffinch Nest and May Blossom), 1845, aquarelle par William Henry Hunt (1790-1864).

Orchis de mai à larges feuilles. Source : http://data.abuledu.org/URI/506405d7-orchis-de-mai-a-larges-feuilles

Orchis de mai à larges feuilles

Planche botanique de l'Atlas des Plantes de France, 1891. Le Dactylorhize de mai, (Dactylorhiza majalis), ou 'Orchis de mai' ou 'Orchis à larges feuilles' est une espèce de plante terrestre européenne de la famille des Orchidaceae. L'inflorescence est dense avec des bractées dépassant souvent les fleurs. Les fleurs sont pourpres, rarement lilas clair. Les sépales latéraux sont écartés, le sépale supérieur et les deux pétales latéraux forment un casque. Le labelle est trilobé, au centre plus clair, maculé de dessins violets. l'éperon est plutôt descendant, un peu moins long que l'ovaire. C'est une espèce de pleine lumière, des prairies humides peu amendées, ou des zones marécageuses.

Paysage avec maisons. Source : http://data.abuledu.org/URI/5515b557-paysage-avec-maisons

Paysage avec maisons

Paysage avec maisons, mai 1890, par Vincent Van Gogh (1853-1890).

Tahiti par Gauguin. Source : http://data.abuledu.org/URI/58597e6a-tahiti-par-gauguin

Tahiti par Gauguin

"Haere mai", "Viens ici !" en tahitien, 1891 par Paul Gauguin.

Vieille vigne et vieille femme. Source : http://data.abuledu.org/URI/5515b47e-vieille-vigne-et-vieille-femme

Vieille vigne et vieille femme

Vieille vigne et vieille femme, mai 1890, par Vincent Van Gogh (1853-1890).