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Estey à marée basse dans les prés salés, Cap-Ferret, Gironde.
Photographie, Sentiers, Géographie, La Teste de Buch (Gironde), Sentiers de nature, Écologie des marais littoraux, Marais -- France
Sentier aménagé dans les prés salés de La Teste-de-Buch (Gironde).
Photographie, Géographie, La Teste de Buch (Gironde), Sentiers de nature, Marais -- France, Forêts des marais, Forêts des zones humides
Sentier dans les prés salés de La Teste-de-Buch (Gironde).
Sentier pédestre dans les prés salés de La Teste-de-Buch (Gironde).
Photographie, Phares, Phares -- France, Monuments historiques, Falaises -- France, Maison-phare, Phare de l'Eure, Maisons-phares, Saint-Samson-de-la-Roque (Eure, France), Saint-Samson-de-la-Roque (Eure, France) -- Phare
Le phare de la Roque est situé sur la pointe de la Roque, dominant l'estuaire de la Seine, sur la commune de Saint-Samson-de-la-Roque, dans le département de l'Eure. C'est une maison-phare construite au XIXe siècle, perchée sur une falaise dominant l'estuaire à plus de 50 m avec un feu fixe blanc. En 1900, il fut électrifié avec un groupe électrogène à essence. Il est éteint depuis 1909. De ce promontoire situé entre la Risle et le Marais-Vernier on peut voir le Havre, Honfleur, le pont de Normandie et le pont de Tancarville. Le phare fait l’objet d’une inscription au titre des monuments historiques depuis le 15 septembre 2011. Hauteur : 9.7 l - Elévation : plus de 50 m - Feux : éteint. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Phare_de_La_Roque
Photographie, Botanique, Plantes potagères, Angéliques, Coulon (Deux-Sèvres), Sèvre niortaise (France. - cours d'eau)
Angélique (Angelica Archangelica) à Coulon (Deux-Sèvres) au bord de la Sèvre niortaise dans le Marais poitevin : cultivée comme plante condimentaire et médicinale pour ses pétioles, tiges et graines très aromatiques et stimulantes et pour sa racine utilisée en phytothérapie. Source : https://fr.wikipedia.org/wiki/Ang%C3%A9lique_officinale
Photographie, Dix-huitième siècle, Architecture, Châteaux (France) -- France -- Essonne, Saint-Chéron (Essonne. - région)
Façade occidentale du château du Marais, près du Val-Saint-Germain, dans l'Essonne (France). Construit par l'architecte Jean-Benoît-Vincent Barré pour Jean Le Maître de La Martinière, trésorier général de l'Artillerie et du Génie, il est considéré comme l'un des plus remarquables exemples de château de style Louis XVI en région parisienne.
Planche botanique de la cigüe aquatique (Cicuta virosa), Atlas des Plantes de France de 1891, qui porte aussi le nom de ciguë vénéneuse, ciguë vireuse, persil des marais ou bien cicutaire du Nord. Le poison est surtout concentré dans le rhizome, qui peut être confondu avec celui d'une carotte sauvage. Cette plante est l'un des poisons végétaux les plus puissants. Elle fut notamment employée dans l'Antiquité pour commettre des crimes ou se donner la mort (suicide sur ordre du philosophe grec Socrate).
Planche botanique d'Eupatoire à feuilles de chanvre (Eupatorium cannabinum), Atlas des Plantes de France de 1891 : l'eupatoire chanvrine croît volontiers dans les zones humides, aux bords de fossés, dans les marais, jusqu'à 1 700 mètres d'altitude. Il s'agit d'une plante mellifère qui est appréciée des papillons. La tradition populaire en fait une plante laxative (racines).
Gravure, Seizième siècle, Architecture, Sanguines (art), Paris (France) -- Hôtel de Sens, Paris (France) -- Quartier du Marais
Sanguine originale, Hôtel de Sens au Marais-Paris par le peintre Michel RIGEL. Paris ne devient archevêché qu’en 1622. Avant cette date, la capitale dépendait de l'archevêché de Sens. C’est Tristan de Salazar, archevêque de cette ville (1474-1518) qui fait construire l’actuel bâtiment. Marguerite de Valois, surnommée la reine Margot, dont le mariage avec Henri IV fut déclaré nul en 1599 par l'Église, y résida de 1605 à 1606. L'hôtel fait l’objet d’un classement au titre des monuments historiques par la liste de 1862. Depuis 1961, il abrite la bibliothèque Forney, consacrée aux beaux-arts, aux métiers d'art et à leurs techniques, aux arts appliqués ainsi qu'aux arts décoratifs.
Photographie, Printemps, Cours d'eau, Rivières, Géographie, Iris (plantes), Eyre (France. - cours d'eau)
La Leyre sous le pont de Mios-33 ; au premier plan, iris des marais (Iris pseudacorus) en fleurs. Photo prise le 23 mai, rive droite.
Le tour de la France par deux enfants, par George Bruno, pseudonyme d'Augustine Fouillée (née Tuillerie), 1877, p.221 ; manuel scolaire, édition de 1904 : Un berger des Landes.—On appelle échasses deux perches ou bâtons munis d'une espère d'étrier ou fourchon qui soutient le pied. Elles sont serrées aux jambes par des courroies. Les échasses ne sont pas seulement un jouet d'enfant, les pâtres des Landes et du bas Poitou s'en servent pour marcher dans les marais et dans les sables.
Peinture, Dix-neuvième siècle, Paris (France) -- Quartier du Marais, Louis-Léopold Boilly (1761-1845), Satiristes français
L'entrée au jardin turc, 1812, par Louis-Léopold Boilly (1761-1845) ; au J. Paul Getty Museum de Los Angeles. Le jardin turc était un lieu de rendez-vous bourgeois dans le quartier du Marais au XIXème siècle.
Les migrations de la grande oie blanche à la réserve nationale de faune du Cap-Tourmente, Québec, Canada. La réserve nationale de faune du cap Tourmente est l'une des huit réserves nationales de faune du Canada présentes au Québec. Établie dans une région liée aux premiers temps de l'histoire de la Nouvelle-France, cette réserve est destinée à protéger les marais à Scirpe d'Amérique, une plante qui constitue l'alimentation de l'Oie des neiges (ou oie blanche) lors de ses migrations annuelles. Le nom de « cap Tourmente » apparaît pour la première fois en 1608 sous la plume de l'explorateur Samuel de Champlain qui notait ainsi la propension des eaux du fleuve Saint-Laurent à s'agiter sous le vent à cet endroit : "De l'isle aux Couldres costoyans la coste, fusme à un cap, que nous avons nommé le Cap de Tourmente, qui en est à sept lieues, et l'avons ainsi appelé, d'autant que pour peu qu'il face de vent, la mer y esleve comme si elle estaoit pleine."
Photographie, Humour, Paris (France) -- Quartier du Marais, Mosaïques, Plaques de rues, Art contemporain, Jeux vidéo, Invader, 3e arrondissement (Paris, France), Louis-Marie Debelleyme (1787-1862)
Mosaïque de Space Invader Rue Debelleyme (1787-1862), Magistrat et Préfet de Police, à Paris 3°.
Oies cendrées (Anser anser) en vol. L'oie cendrée est une espèce aquatique qui nage plus souvent que les autres oies. À terre, elle marche avec moins de dandinements que les canards et elle est capable de courir avec vélocité. Lors des migrations, les troupes d'oies volent généralement en formation en V. Le vol est puissant, rapide, régulier, avec des battements d'ailes assez lents. Cette espèce plane avant de se poser et, à la fin, chute brusquement. Le régime alimentaire des oies peut dépendre de leurs habitudes sur leur lieu de nidification. Les Oies cendrées qui nichent en Norvège s’alimentent surtout des parties aériennes de graminées et d’autres plantes prairiales comme Festuca, Agropyron, Lolium, Poa, Taraxacum, Sonchus et Chenopodium. Le régime alimentaire dépend aussi des zones où elles stationnent. Dans l'ouest de la France, l’oie cendrée se nourrit surtout sur les prairies pâturées, consommant les ivraies et puccinellie maritime (Puccinellia maritima) sur les prés à Pâturin maritime (Poa maritima) de la baie de l'Aiguillon, glanant dans les chaumes de maïs et plus occasionnellement sur les céréales d’hiver. Dans les marais d'Orx, les hivernants consomment les pousses de jonc épars et de baldingère faux-roseau et même de la jussie rampante.
Planche botanique du Populage des marais (Caltha palustris), Atlas des Plantes de France de 1891 : plante herbacée vivace de la famille des Renonculacées. Toutes les parties de la plante mature sont toxiques. Elles contiennent de la proto-anémonine.
Peinture, Piles électriques, Piles voltaïques, Alessandro Volta (1745-1827), Électricité, Méthane, Physiciens italiens, Savants italiens
Portrait d'Alessandro Giuseppe Antonio Anastasio Volta (1745-1827). Alessandro Volta fait ses études à Rome, et devient professeur de physique à l'école royale de Côme en 1774 ; il y met au point l'électrophore, première machine électrique à influence. Il étudie par ailleurs la composition du gaz des marais et isole, en 1778, le méthane. De 1780 à 1783, il visite la France, l'Allemagne, les Pays-Bas et l'Angleterre et collabore avec Antoine Lavoisier et Pierre-Simon de Laplace à une étude de l'électricité atmosphérique. Au début de l'année 1800, Volta publie dans une lettre en français datée du 20 mars au président de la Royal Society l'invention de la pile voltaïque qu'il a mise au point le 17 mars 1800. Le 7 novembre 1801, Volta présente sa pile devant l'Institut de France et y énonce la loi des tensions, ainsi que la valeur des tensions de contact des métaux classés par ordre d'électropositivité décroissante, du zinc à l'argent. Napoléon Bonaparte, qui assiste à cette séance, lui fait décerner une médaille d'or, lui accorde une pension et, le nomme comte et sénateur du Royaume d'Italie (1805-1814). L'étude de l'électricité fut toujours sa passion et, encore jeune étudiant, il écrivit un poème directement en latin, De vi attractiva ignis electrici ac phaenomenis inde pendentibus, sur ce phénomène fascinant et nouveau. C'est son premier écrit scientifique.