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Planche botanique d'angélique sauvage (Angelica silvestris), Atlas des Plantes de France, 1891. Elle était considérée comme une plante magique qui protège les enfants, combat la peste, guérit des morsures des bêtes enragées. Les feuilles peuvent être utilisées en salade et les graines en pâtisserie. Elle entre dans la composition de l'eau de mélisse.
Peinture, Balais et brosses, Magie, Sorcières, Quinzième siècle, Objets magiques, Manuscrits médiévaux, Martin Le France (1410-1461)
Miniature du manuscrit de Martin Le France (1410-1461), Le champion des dames, 1451 : le bala magique.
El Rei de la Màgia (1881), magasin traditionnel de produits pour magiciens et illusionnistes, carrer de la Princesa, núm. 11, Barcelone.
Illustration par Anne Anderson (1874-1930) du conte de Grimm "La vieille et la forêt".
Le cercle magique de la sorcière, 1886, par John William Waterhouse (1849–1917).
Contes, Peinture, Coffres, Magie, Art nouveau, Chiens, Hans Christian Andersen (1805-1875), Anne Anderson (1874-1930)
Illustration par Anne Anderson (1874-1930) du conte d'Andersen, "Le coffre volant".
Peinture, Magie, Ogres, Contes anglais, Dix-neuvième siècle, Haricots, Walter Crane (1845–1915), Géants, Harpes
Illustration du conte anglais "Jacques et le haricot magique" (Jack and the Beanstalk) de Walter Crane, 1875 : Jacques s'enfuit de chez l'ogre avec la harpe d'or.
Illustration du conte anglais "Jacques et le haricot magique" (Jack and the bean-stalk) de Joseph Jacobs, 1892, par Batten : Jacques profite de la sieste de l'ogre pour lui voler un sac d'or.
Peinture, Magie, Contes anglais, Mères et fils, Dix-neuvième siècle, Vaches, Haricots, Walter Crane (1845–1915)
Première illustration du conte anglais "Jacques et le haricot magique" (Jack and the Beanstalk) de Walter Crane, 1875 : "Du temps du bon roi Alfred, vivaient une veuve et son fils..."
Illustration du conte anglais "L'âne, la table et le bâton" de Joseph Jacobs, 1892, par Batten : il suffisait de tirer sur les oreilles de l'âne pour qu'il crache des pièces d'argent.
Gravure, Magie, Contes anglais, Dix-neuvième siècle, Contes médiévaux, Pommades, Relations sage-femme-patient, Sortilèges
Illustration d'un conte anglais de Joseph Jacobs, 1892, "La pommade magique" par John D. Batten.
Illustration du conte anglais "Moins que rien" (Nix Nought Nothing) de Joseph Jacobs, 1892, par Batten : la fille du géant convoque tous les poissons pour boire l'eau de l'étang.
Photographie, Livres, Magie, Magiciens, Objets magiques, Ethnologie, Sumatra (Indonésie), Art et anthropologie, Sorciers, Ethnologie -- Indonésie, Manuscrits batak, Toba Batak (peuple d'Indonésie) -- Art
Le livre des sorciers Batak à Sumatra en Indonésie, Rijksmuseum de Leyde aux Pays-Bas.
Contes, Grimm, Peinture, Pêcheurs, Magie, Art nouveau, Poissons, Anne Anderson (1874-1930), Barbue du Nord, Bord de mer
Illustration par Anne Anderson (1874-1930) du conte de Grimm, "Le pêcheur et sa femme".
Illustration par Anne Anderson (1874-1930) du conte de Grimm "Le prince grenouille" : le repas.
Grimm, Grenouilles, Peinture, Princesses, Magie, Art nouveau, Princes, Puits, Anne Anderson (1874-1930)
Illustration par Anne Anderson (1874-1930) du conte de Grimm, "Le prince grenouille" : le puits.
Illustration par J. D. Batten du conte indien "Le violon enchanté" (The magic violon), "Fairy Tales of India" (1892) de J. Jacobs (1854-1916) : tous les jours, la jeune fille retournait se cacher dans le violon de bambou après avoir préparé le repas du prince.
Gravure, Lettres (alphabet), Violon, Musique de, Magie, Contes indiens (de l'Inde), Musique et magie, Violons
Illustration par J. D. Batten du conte indien "Le violon merveilleux" (The magic fiddle), "Fairy Tales of India" (1892) de J. Jacobs (1854-1916) : Initiale de ONCE.
Gravure, Princesses, Magie, Anglais (langue), Jardiniers, Dragons, Animaux fantastiques, Edith Nesbit (1858-1924), Harold Robert Millar (1869-1942)
Le livre des Dragons, 1900, par Edith Nesbit (1858-1924), illustré par Harold Robert Millar (1869-1942). Source : http://www.gutenberg.org/ebooks/23661. Chapitre II : Oncle Jacques et l'étranger rougeoyant (Uncle James and the purple stranger).
Photographie, Statues, Contes de fées, Magie, Nains, Sourire, Lutins, Pots, William Shakespeare (1564-1616), Position assise, Parcs à thèmes, Parcs d'attractions, Altenberg (Odenthal) (Allemagne), Poudres
Parc allemand de Märchenwald Altenberg, à Odenthal en Allemagne : statue de lutin souriant dans une niche en pierre, avec inscription en allemand "Ich bin der Puck, A.D. 1974", célèbre réponse du lutin à la fée Urgèle qui lui demande son nom dans la pièce de Shakespeare, "Le songe d'une nuit d'été".
Gravure, Peintres français, Cirques, Dix-neuvième siècle, Chevaux, Chevaux de spectacle, Henri de Toulouse-Lautrec (1864-1901)
Croquis de chevaux de cirque, 1899, par Henri de Toulouse-Lautrec (1864-1901). Dans son acception moderne, un cirque est une troupe d'artistes, traditionnellement itinérante, qui comporte le plus souvent des acrobates, des numéros de dressage et de domptage d’animaux, des spectacles de clowns, des tours de magie. La première représentation d’un cirque moderne date du 9 janvier 1768 et a été présentée par Philip Astley à Londres. Vétéran de retour d’Amérique, il décide de représenter surtout des spectacles équestres égayés par des bateleurs. Le mariage du monde équestre militaire et du monde forain autour du cercle est établi. Cette nouvelle forme de spectacle, fondée essentiellement sur des exercices équestres, fut ensuite introduite en France par Astley en 1774, puis reprise par Antonio Franconi et ses descendants. C'est seulement au XIXe siècle lors des vagues de colonisation que furent introduits en France et en Allemagne les premiers animaux sauvages.
Peinture, Printemps, Aquarellistes, Botanique, Ranunculacées, Rose de Noël, Aquarelles, Fleurs dans l'art, Jules Eudes (1856-1938), Flore, Plantes de jardins, Hellébore noir, Helleborus
Héllébore noir ou rose de Noël, Jules Eudes (1856-1938), aquarelliste français qui signait ses œuvres JEUDES, dans : A. Guillaumin, "Les Fleurs de Jardins", tome I, Les fleurs de printemps, Paul Lechevalier, 1929. On l'appelle également herbe aux fous, pied de griffon, pied de lion, patte d’ours, rose de serpent ou pain de couleuvre. C'est la seule espèce de la section Helleborus. Jadis, l'Helleborus niger , était considérée comme une plante magique associée à la magie noire. Selon la légende, lorsque le bétail paraissait empoisonné, il fallait lui percer l'oreille et y glisser un fragment de racine de Rose de Noël et l'animal était rétabli en 24 heures. La rose de Noël ne fleurit à cette période qu’à l’intérieur, en pots maintenus à température ambiante. À l’extérieur elle fleurit en général en février – mars. Au Moyen Âge, la plante s'appelait aussi aliboron, terme de l'ancien français issu lui-même du grec elleboros, folie. Considérée comme un remède universel contre la folie dès l'Antiquité, aliboron a pu être associé au nom de maistre pour désigner le médecin, puis le savant et enfin l'âne ou le "maître Aliboron", personnage ridicule car se mêlant de tout. Helleborus niger est une des rares espèces d’hellébores qui produisent des exemplaires à fleurs doubles. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Helleborus_niger
Kempelen a l'idée de construire son automate de joueur d'échecs, dit le "Turc mécanique" après avoir assisté à un spectacle de magie de François Pelletier à la cour de l'Impératrice d'Autriche Marie-Thérèse, au château de Schönbrunn. Après le spectacle, Kempelen promet à Pelletier de revenir au château avec une invention dépassant sa magie. Le résultat de ce défi fut l'« Automate joueur d'échecs » connu par la suite sous le nom de « Turc mécanique » ou plus simplement « Turc ». La machine contient un mannequin à taille humaine constitué d'une tête et d'un torse, avec des yeux gris et une barbe noire, portant une robe à la turque et un turban, ce qui constitue selon le journaliste et auteur Tom Standage « le costume traditionnel d'un magicien ou d'un sorcier oriental ». Son bras gauche tient une longue pipe, le droit repose sur le haut d'un large meuble mesurant environ 110 cm de long, 60 cm de large et 75 cm de haut. Sur le meuble était placé un échiquier d'environ 50 cm de côté. L'avant du meuble comportait trois portes, une ouverture, et un tiroir qui pouvait être ouvert pour révéler un jeu d'échecs rouge et blanc en ivoire. Illustration du fonctionnement du Turc : les différentes parties étaient actionnées par un opérateur humain via un mécanisme. Cette illustration est inexacte, basée sur les calculs de Racknitz, et montre un agencement impossible au vu des dimensions réelles de l'automate. L'intérieur de la machine était très complexe, et conçu pour tromper ceux qui voulaient l'observer. Une fois ouvertes sur la gauche, les portes du meuble révélaient de nombreux engrenages similaires au mécanisme d'une horloge. Cette partie était conçue de telle manière qu'en ouvrant aussi les portes arrière du meuble, on pouvait voir à travers la machine.
Peinture, Garçons, Métamorphoses, Elfes, Artistes suédois, Contes fantastiques, John Bauer (1882-1918), Trolls
Parmi des lutins et des Trolls (Bland Tomtar och Troll), livre de contes pour enfants édité en Suède à partir de 1907, par John Bauer (1882-1918) artiste suédois. Les sept voeux : "A ce moment-là, elle se transforma par magie en un petit elfe adorable."