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Gravure, Chiens d'agrément, Machines à coudre, Adolphe Willette (1857-1926), Guerre mondiale (1914-1918) -- Chansons, Histoire -- Humour, Militaires -- Famille, Poilus (Guerre mondiale, 1914-1918)
Enfin seuls, de Adolphe Willette (1857-1926), Journée du Poilu. 25 et 26 décembre 1915.
Le tour de la France par deux enfants, par George Bruno, pseudonyme d'Augustine Fouillée (née Tuillerie), p.37, manuel scolaire, édition de 1904 : LA MACHINE À COUDRE. - Cette machine, si utile et si répandue aujourd'hui, a été inventée par l'Américain Elias Howe (1817-1867). On la meut la plupart du temps avec le pied. Elle coud avec rapidité et solidité. Une machine à coudre peut faire l'ouvrage de deux ouvrières actives.
Peinture, Dix-neuvième siècle, Inventeurs, Machines à coudre, Équipement domestique, Chefs d'entreprise, Entrepreneurs, Inventeurs américains
Portrait d'Isaac Merritt Singer (1811-1875) par Edward Harrison May (1824-1887). Singer est l'inventeur américain de la machine à coudre à usage domestique, en 1851. Il fit des améliorations importantes dans la conception des machines à écrire et des machines à coudre inventées par Barthélemy Thimonnier et fut le fondateur de la fameuse "Singer Sewing Machine Company". Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Isaac_Merritt_Singer.
Photographie, Contribution à la reliure, Machines à relier, Édition, Reliure -- Appareils et matériel
Cousoir moderne servant à coudre les cahiers, une des étapes de la reliure. Cousoir monté sur presse : on voit des cahiers en train d'être cousus et les ficelles que le cousoir maintient en extension. Un cousoir est un appareil en bois utilisé en reliure pour maintenir les ficelles pendant que la brocheuse ou le relieur coud les cahiers qui formeront le livre. Il est composé de deux vis sans fin, verticales, qui permettent de faire monter une barre transversale sur laquelle sont attachées des ficelles. Ce faisant, le cousoir maintient en tension les ficelles, conserve leur écart et facilite ainsi grandement le travail de couture.
Le Grand-bi est supplanté par les bicylettes de sécurité, ancêtres de la bicyclette contemporaine. En 1884, John K. Starley de la société Société des machines à coudre de Coventry (The Coventry Sewing Machine Company), qui deviendra Rover, invente la bicyclette de sécurité avec des roues de taille raisonnable et une transmission par chaîne. Le cycliste y est installé à l'arrière, ce qui rend presque impossible la chute de type « soleil » où le cycliste est catapulté par-dessus la roue avant (brevet anglais n° 1 341 déposé par John K. Starley le 30 janvier 1885 : "Improvements in roller bearings for velocipedes, carriages, or like light vehicles or light machinery"). Un engrenage plus grand à l'avant (le plateau) qu'à l'arrière (le pignon) fait tourner la roue arrière plus vite que les pédales ne tournent, ce qui permet à ce type d'engin d'aller vite même sans une roue géante. John Boyd Dunlop invente le pneumatique en 1888 (brevet français n° 193 281 déposé par John Boyd Dunlop le 1er octobre 1888 : « Garniture de jante applicable aux roues de véhicules. ») qui contribue à améliorer encore le confort du cycliste. Edouard Michelin perfectionne cette invention en déposant en 1891 un brevet de «pneu démontable» : la chambre à air. Les bicyclettes de sécurité de 1890 ressemblent déjà beaucoup aux bicyclettes actuelles. Elles ont des pneumatiques de taille comparable à celle d'un vélo moderne, des roues à rayons, un cadre en tubes d'acier et une transmission par chaîne. La seule chose qui leur manque est le changement de vitesses. Dans les années 1890 ce nouveau modèle de bicyclette élargit la cible des utilisateurs potentiels. De plus, en lien avec la seconde révolution industrielle, les bicyclettes deviennent un produit industriel (en France les grandes marques sont alors Peugeot, Manufrance, Mercier ...) réduisant leur prix à un point qui les rend abordables aux ouvriers.