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Photographie | Dessins et plans | Peinture | Jordic (1876 - 1915) | Histoires drôles bretonnes | Albums pour enfants | Fillettes | Botanique | Géographie | Épiceries | Sabots | Monuments historiques | Forêts | Bambous | Bétulacées | Animaux de compagnie | Géants | Gravure | Insectes | Phares | ...
Altocumulus castellanus. Source : http://data.abuledu.org/URI/52337437-altocumulus-castellanus

Altocumulus castellanus

Altocumulus castellanus ou Statocumulus castellanus : Un altocumulus castellanus (du latin castellanus, château) est un nuage de type castellanus de l'étage moyen (2 à 6 km d'altitude) qui se distingue par les tours multiples se formant à son sommet. Le nom vient du fait que ces tours ressemblent aux créneaux des châteaux médiévaux et elles indiquent un mouvement vertical convectif important à ce niveau. Leur épaisseur varie entre 1 000 m et 6 000 m.

Ancien phare de Fatouville-Grestain sur l'estuaire de la Seine. Source : http://data.abuledu.org/URI/535e27ac-phare-de-fatouville

Ancien phare de Fatouville-Grestain sur l'estuaire de la Seine

Le phare de Fatouville a été construit sur la commune de Fatouville-Grestain, Eure. Il guidait les bateaux sur l'estuaire de la Seine. Le phare fait l’objet d’un classement au titre des monuments historiques depuis le 13 septembre 2011. La construction du phare commença en 1839 pour se terminer en 1850 et fut éteint en 1907. En 1923 il a été mis aux enchères par l'État, il est aménagé en chambres d'hôtes. Hauteur : 32 m - Elévation : 132 m - portée : 40 km. Feu éteint depuis 1907 - Optique : Fresnel. Source :

Argousier. Source : http://data.abuledu.org/URI/506f218c-argousier

Argousier

Planche botanique N°283 de l'Atlas des Plantes de France de Masclef, 1894 : Argousier (Hyppophae rhamnoides). Ligneux très épineux, au port buissonnant, de 1-5 m (noté jusqu'à 18 m dans certaines flores, aux abords de pannes dunaires par exemple, il atteint facilement une dizaine de mètres alors qu'exposé au vent, la plante conserve des proportions moindres). Sa longévité s'étend jusqu'à 80 ans. La plante dioïque est pollinisée par les insectes et dispersée par les oiseaux. C'est une pionnière, héliophile, qui colonise les sols instables des alluvions de cours d'eau et du littoral sableux. En Grèce antique, l'argousier servait de remède aux chevaux : les feuilles et les jeunes rameaux étaient ajoutés à leurs fourrages pour favoriser une prise de poids rapide et rendre le pelage lustré notamment à l'occasion de courses de chevaux. Les Anciens ont maintenu les argousiers dans leurs pâturages. Selon une légende, les feuilles d'argousier ont été l'un des aliments préférés de Pégase.

Aulne glutineux ou verne. Source : http://data.abuledu.org/URI/509841f1-aulne-glutineux-ou-verne

Aulne glutineux ou verne

Planche N°307 de l'Atlas des Plantes de France de Masclef : Aulne glutineux (Alnus glutinosa). Porte parfois le nom de aulne noir, aulne poisseux, vergne ou verne. La verne est une essence hygrophile, comme nombre de Bétulacées, et affectionne particulièrement les sources d'eau, y compris domestiques. Il n'est pas rare de constater l'obstruction de canalisation par ses racines. L'arbre possède un système racinaire extrêmement développé (jusqu'à 4 m de profondeur) qui lui permet de bien résister aux vents forts. Ses racines sont le refuge d’une importante faune aquatique lorsqu'il pousse au bord d'un cours d'eau. Autrefois, lorsqu'on voulait se débarrasser de la vermine dans une maison, un poulailler ou une écurie, on épandait sur le sol des feuilles de verne encore bien humides de rosée le matin et toute la vermine venait s'y mettre. Ensuite on jetait les feuilles au feu et le lieu était vidé de ces parasites.

Barrage de Roselend. Source : http://data.abuledu.org/URI/501b06de-barrage-de-roselend

Barrage de Roselend

Le barrage de Roselend est un barrage français à voûte, situé dans le Beaufortain (Savoie), entre le col du Pré et le Cormet de Roselend, près de la station de sports d'hiver d'Arêches-Beaufort. Les montagnes aux alentours avoisinent les 2 800 mètres. Mesurant 800 m de long et 150 m de haut, il peut contenir jusqu'à 185 millions de m³ d'eau. Associé aux barrages de la Gittaz et de Saint-Guérin et à la centrale de la Bâthie, ils composent le vaste ensemble hydroélectrique du Beaufortain. Son voisin, le barrage de la Girotte, perché au-dessus de la vallée d’Hauteluce, n'en fait pas partie. Le barrage de Roselend est réputé être le plus « esthétique » des barrages de Savoie.

Bassin central à Neak Pean. Source : http://data.abuledu.org/URI/51d0a1c0-bassin-central-a-neak-pean

Bassin central à Neak Pean

Bassin central de Neak Pean à Angkor au Cambodge. Autrefois, l’eau s’écoulait du bassin central dans les bassins périphériques par quatre gargouilles ornementales, en forme de têtes d’éléphant au Nord, de cheval à l'Ouest, de lion au Sud et d’homme à l'Est, toujours visibles dans les pavillons portés à chaque axe du grand réservoir. Ce dernier servait aux rites de purification. L’ensemble du site était lui-même au centre de l'immense baray de Preah Khan de 3 km sur 900 m, aujourd’hui asséché et envahi par la végétation. Le site est supposé représenter l'univers dans la cosmogonie khmère, avec le mont Meru au centre des quatre océans, à moins qu'il ne s'agisse d'une réplique d'un lac mythique et sacré de l'Himalaya, source des quatre grands fleuves d'Asie.

Bleuets vivaces. Source : http://data.abuledu.org/URI/53ad372c-bleuets-vivaces

Bleuets vivaces

Centaurea montana ou bleuet vivace, Jules Eudes (1856-1938), aquarelliste français qui signait ses œuvres JEUDES, dans : A. Guillaumin, "Les Fleurs de Jardins", tome I, Les fleurs de printemps, Paul Lechevalier, 1929. Cette Centaurée est une plante rhizomateuse, duveteuse, plus ou moins ramifiée, aux feuilles molles, allongées, entières, aux fleurs bleues parfois pourpres en capitules avec de très longs fleurons externes, aux bractées à la base du capitule à bord brun-noir. Hauteur : de 50 cm à 1 m selon les variétés. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Centaurea_montana

Bouleau de l'Himalaya. Source : http://data.abuledu.org/URI/5394344a-bouleau-de-l-himalaya

Bouleau de l'Himalaya

Bouleau de l'Himalaya (Betula utilis), au Jardin du Pré-Catelan, Bois de Bouogne. C'est une espèce de bouleau originaire de l'Himalaya, où il pousse à des altitudes allant jusqu'à 4 500 m. L'épithète spécifique, utilis, se réfère aux nombreuses utilisations des différentes parties de l'arbre. L'écorce blanche, rappelant du papier, a été utilisée dans l'Antiquité pour écrire notamment les textes sacrés sanskrits. Elle est encore utilisée comme papier pour l'écriture des mantras sacrés, avec l'écorce placée dans une amulette et portée comme protection. Des variétés sélectionnées sont utilisées pour l'aménagement paysager à travers le monde, alors même que certaines zones de son habitat d'origine sont perdues en raison de la surexploitation des arbres comme bois de chauffage. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Betula_utilis

Calamar colossal à échelle humaine. Source : http://data.abuledu.org/URI/52d49592-calamar-colossal-a-echelle-humaine

Calamar colossal à échelle humaine

Calamar colossal (Mesonychoteuthis hamiltoni) estimé à 10 mètres de longueur, par comparaison avec une taille d'homme. Les calmars géants du genre Architeuthis sont les plus connus, ils peuvent atteindre jusqu'à 13 m de long pour une centaine de kilos. Mais le calmar colossal est actuellement le plus grand de tous. Cette espèce est connue depuis 1925 grâce aux quelques parties de grands spécimens retrouvées dans l'estomac de cachalots, mais son étude n'a été rendue possible qu'après des prises accidentelles par des navires de pêche à la palangre flottante. Un calmar colossal de 10 m et 450 kg a été capturé en février 2007 en mer de Ross près de l'Antarctique par des pêcheurs néo-zélandais à 1 800 m de profondeur. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Calmar.

Centre de recherches agricoles incas. Source : http://data.abuledu.org/URI/50e32fb7-centre-de-recherches-agricoles-incas

Centre de recherches agricoles incas

Moray est un ancien centre de recherche agricole inca situé dans la Vallée sacrée des Andes, à 3 500 m au-dessus du niveau de la mer et à 50 km au nord-ouest de Cuzco, sur le territoire de l'actuel Pérou. Le site de Moray est situé à environ 7 km des salines de Maras. À première vue, le site se présente comme un amphithéâtre principal et de deux secondaires, plus petits à proximité. Ils sont constitués de plusieurs terrasses disposées en cercle concentriques. Il s'agit d'un centre de recherche agricole inca où étaient pratiquées des expériences de culture. La position des terrasses crée toute une série de microclimats : la température est plus élevée au centre mais diminue ensuite en fonction de la distance de chaque terrasse. Cela permet de simuler une vingtaine de microclimats différents. On pense que Moray a notamment servi à prévoir les rendements agricoles, non seulement dans la Vallée sacrée mais aussi dans d'autres partie de l'Empire inca. Il semble aussi que les incas y "importaient" des plantes "exotiques" et tentaient de les acclimater aux conditions locales. Les terrasses sont constituées de murs de soutènement, de terre fertile et d'un système d'irrigation complexe permettant de cultiver plus de 250 espèces de plantes.

Champ de lavande en Provence. Source : http://data.abuledu.org/URI/51c9f8ce-champ-de-lavande-en-provence

Champ de lavande en Provence

Ferme et champ de lavande en Provence. Lavandula angustifolia, ou lavande vraie. C'est la meilleure des lavandes pour la qualité de son huile essentielle. À l'état sauvage, elle pousse naturellement surtout en haute Provence au-dessus de 700 à 800 mètres d’altitude. Robuste, elle résiste aux contraintes climatiques des montagnes sèches de la haute Provence, mais elle peut être cultivée dans des régions plus septentrionales, d'autant qu'il en existe de nombreux cultivars. C'est un arbrisseau buissonnant pouvant atteindre 0,50 m de haut. Les feuilles, linéaires et de couleur gris-vert, ont une longueur variant entre 3 et 5 cm. Lors de la floraison (juillet-août), la plante développe de longs pédoncules non ramifiés terminés par des épis dont la couleur varie du mauve pâle au violet. Seule l’huile essentielle issue de cette production sur une zone déterminée bénéficie de l’Appellation d'origine contrôlée (AOC), huile essentielle de lavande de Haute-Provence. On recense environ 4 000 hectares cultivés dans les 4 départements producteurs.

Descriptif du château de Chinon. Source : http://data.abuledu.org/URI/50f123d6-descriptif-du-chateau-de-chinon

Descriptif du château de Chinon

Descriptif bilingue du château de Chinon, val de Loire : "Chinon, au XI° siècle, appartient aux comtes d'Anjou ; en 1154 Henry II Plantagenêt comte d'Anjou devient roi d'Angleterre, il construit le château sur un éperon rocheux qui domine la Vienne, vaste forteresse de 40 m sur 70 m. Son fils Richard Coeur de Lion y meurt en 1199. Jean Sans Terre qui lui succède, se voit confisquer tous ses fiefs en France, Chinon devient domaine royal. Charles VII, en guerre contre l'Angleterre, chassé de Paris, se réfugie à Chinon. C'est là que Jeanne d'Arc vient le persuader de se faire sacrer à Reims en 1429. Le château, abandonné au XV° siècle, racheté par le Cardinal de Richelieu, tombe en ruine."

Deux escrimeurs. Source : http://data.abuledu.org/URI/5276e725-deux-escrimeurs

Deux escrimeurs

Le Hongrois Áron Szilágyi (à gauche) affronte le Russe Nikolay Kovalev (à droite) en demi-finale du sabre masculin aux championnats du monde d'escrime 2013 au Syma Hall à Budapest, le 10 août 2013.

Dodécaèdre étoilé d'Escher. Source : http://data.abuledu.org/URI/54b58a88-dodecaedre-etoile-d-escher

Dodécaèdre étoilé d'Escher

Sculpture du petit dodécaèdre étoilé qui apparait dans Gravitation, 1952, d'après un dessin de M. C. Escher. Devant l'immeuble de "Mesa+" sur le Campus. En géométrie, le petit dodécaèdre étoilé est un solide de Kepler-Poinsot. C'est un des quatre polyèdres réguliers non convexes. Il est composé de 12 faces pentagrammiques, avec cinq pentagrammes se rencontrant à chaque sommet. Les 12 sommets coïncident avec ceux d'un icosaèdre. Les 30 arêtes sont obtenues en reliant chacun des 12 sommets aux 5 sommets les plus éloignés de lui, autres que le sommet diamétralement opposé. Elles sont partagées par le grand icosaèdre. Source : https://fr.wikipedia.org/wiki/Petit_dod%C3%A9ca%C3%A8dre_%C3%A9toil%C3%A9

Drapeau de Slovaquie. Source : http://data.abuledu.org/URI/537a2851-drapeau-de-slovaquie

Drapeau de Slovaquie

Le drapeau de la Slovaquie (en slovaque : vlajka Slovenska) a été adopté le 3 septembre 1992. C'est un drapeau tricolore composé de trois bandes horizontales reprenant les couleurs panslaves : la bande supérieure est blanche, l'intermédiaire bleue et l'inférieure rouge. L'écu national, de type néogothique, est placé sur le drapeau pour le distinguer des autres drapeaux slaves : décalé du côté de la hampe, il empiète sur les bandes supérieure et inférieure du drapeau. Les proportions du drapeau sont 2:3. Ce drapeau aux dimensions d'1,5 m × 1 m est également le pavillon de la marine marchande slovaque. C'est l'un des quatre symboles officiels de la République slovaque. Depuis le 1er mai 2004, le drapeau européen est hissé à côté du drapeau slovaque, les deux drapeaux forment ensemble la présentation des couleurs de la République slovaque. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Drapeau_de_la_Slovaquie

Eristalinus quinquestriatus. Source : http://data.abuledu.org/URI/5323828d-eristalinus-quinquestriatus

Eristalinus quinquestriatus

Eristalinus est un genre d'insectes du sous-ordre des Brachycera (les Brachycera sont des mouches muscoïdes aux antennes courtes).

Feu de Saint-Pol à Dunkerque. Source : http://data.abuledu.org/URI/53591177-feu-de-saint-pol

Feu de Saint-Pol à Dunkerque

Le feu de Saint-Pol est un phare situé en bout de la jetée ouest du port de Dunkerque, inscrit aux monuments historiques. Propriété de l'État, bien qu'il soit envisagé de le céder aux collectivités locales, paradoxalement il doit son nom à Saint-Pol-sur-Mer, bien qu'il se trouve à Dunkerque. Construit en 1937-1938 (mais restauré à l'identique en 1954), allumé en 1939, il est la dernière œuvre de l'architecte Gustave Umbdenstock. C'est aussi le seul phare Art déco de l’Hexagone. Le feu de Saint-Pol est dénommé "feu" faute de satisfaire à au moins deux des critères de la définition du phare au sens strict qu'en donne l'administration française. Hauteur : 35 m - Elévation : 35 m - Portée : 15/18 milles. Feux : Feux à deux éclats verts toutes les six secondes. Lanterne : alimentée par panneaux solaires. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Feu_de_Saint-Pol_%28Dunkerque%29

Flétan de mer géant. Source : http://data.abuledu.org/URI/5200d84f-fletan-de-mer-geant

Flétan de mer géant

Fiorello H. LaGuardia, le "petit" maire de New York City, posant en 1939 à côté d'un flétan géant au Marché de poissons de Fulton.

Forêt de bambous. Source : http://data.abuledu.org/URI/5102b0a5-foret-de-bambous

Forêt de bambous

Forêt de bambous. Tous les bambous ont des tiges souterraines, appelées rhizomes. Ils permettent à la plante de croître en formant des touffes plus ou moins serrées. C'est aussi un organe de réserve. Les racines sont adventives et se développent autour des nœuds du rhizome. La tige principale est un chaume, ou canne, lignifié, fistuleux (c'est-à-dire en tube) cloisonné aux nœuds. La cicatrice visible aux nœuds est la trace de la gaine des feuilles tombées. Le chaume peut se diviser en rameaux feuillés, eux-mêmes divisés en ramuscules. Le bois des chaumes, riche en silice, est très dur et très résistant. La taille des tiges varie selon les espèces de moins d'un mètre à près de 10 m. La vitesse de croissance peut chez certaines espèces être spectaculaire, jusqu'à un mètre par jour. Les chaumes se balancent aux vents forts et se plient sous le poids de la neige mais ils se cassent rarement. Cette flexibilité est due aux entrenœuds creux de chacun des chaumes.

Forêt de bambous à Taïwan. Source : http://data.abuledu.org/URI/513af3ef-foret-de-bambous-a-taiwan

Forêt de bambous à Taïwan

Forêt de bambous près de Shizhuo (Comté de Shiayi à Taïwan). Cette île est située au sud-est de la Chine continentale, au sud du Japon et au nord des Philippines, et bordée à l’est par l’océan Pacifique, au sud par la mer de Chine méridionale, à l’ouest par le détroit de Taïwan et au nord par la mer de Chine orientale. Elle sera longtemps connue en français sous le nom de Formose et Formosa dans la majorité des autres langues européennes (ceci durant toute la période antérieure aux années 1960), puisque les marins portugais l’appelaient Ilha Formosa, la « belle île ». Le bambou est une graminée ligneuse. Il peut fixer 30 % de plus de CO2 que les arbres feuillus, jusqu'à 12 tonnes de CO2/ha/an (3 tonnes pour une forêt de feuillus). Il libère donc 30 % d'oxygène de plus que des arbres. L'étroitesse de ses feuilles améliore l'infiltration de l'eau dans le sol (deux fois plus qu'une forêt de feuillus). Il limite l'érosion des sols (grâce à son réseau racinaire très dense sur 60 centimètres de profondeur) et restaure des sols appauvris. On l'utilise pour l’élimination de certaines toxines du sol (phyto-remédiation), et sa culture ne nécessite peu ou pas d'engrais, ni de produits phytosanitaires. Mais les bambous sont répertoriés parmi les espèces invasives. Certaines espèces, par leurs aptitudes à s'étendre via leurs rhizomes, peuvent porter un réel préjudice à la biodiversité des écosystèmes, à l'échelle locale. Le tronc du bambou est utilisé pour sa résistance et sa légèreté pour les échafaudages des gratte-ciel. Parmi les dix plus hauts du monde, ceux du Two International Finance Center (416 m) et Central Plaza (374 m) de Hong Kong, la Jin Mao Tower (421 m) de Shanghai, le Shun Hing Square (384 m) Shenzhen ou le Citic Plaza (391 m) de Guangzhou (Canton), en Chine, ont notamment utilisé ce matériau.

Fort de La Conchée en Bretagne. Source : http://data.abuledu.org/URI/5357d887-la-conchee

Fort de La Conchée en Bretagne

La Conchée est un îlot rocheux fortifié situé au large dans la baie de Saint-Malo. Construit par Vauban, le fort recouvre la quasi-totalité de l'îlot situé face à la grande plage de Rochebonne. Ressemblant à un vaisseau de granit, difficilement accessible même par temps calme, le fort est en cours de restauration. Le fort de la Conchée se situe en baie de Saint-Malo à deux milles marins (3 700 m) au nord du port. Il fut édifié par Vauban à partir de 1692 pour s’opposer aux attaques des navires anglais. En 1689, Saint-Malo était alors un centre corsaire actif ouvert sur la Manche. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/La_Conch%C3%A9e

Fort des Basses-Perches. Source : http://data.abuledu.org/URI/5468d5d9-fort-des-basses-perches

Fort des Basses-Perches

Plan du fort des Basses Perches. Légende en français : Caserne A) corps de garde, salle de discipline, télégraphe, salle d'artifice ; Caserne B) latrines des officiers en temps de guerre, latrines de troupes, 5-8 casemates de troupe, casemates de sous-officiers, magasin aux vivres, cuisine de la troupe, magasin des ordinaires ; Autres : A abris-traverses, A1 plates-formes de tir, C urinoirs, D latrines de troupe en temps de paix, E latrines des officiers, M-N magasins à poudre, O salle d'artifice, P cartoucherie, F Forge, S-T coffres de contrescarpe, U rue du rempart. Le Fort des Basses Perches, de son vrai nom fort Valmy (François-Christophe Kellermann, duc de Valmy, maréchal, 1735-1820), a été construit entre 1874 et 1877. C'est un ouvrage faisant partie des fortifications de l'Est de la France du type Séré de Rivières. Il fait partie intégrante de la place forte de Belfort. Il est situé sur les communes de Danjoutin et de Belfort. Ce fort a la particularité d'être équipé de coffres de contrescarpe en lieu et place des caponnières, alors qu'à cette époque, les caponnières furent utilisées massivement. Source : https://fr.wikipedia.org/wiki/Fort_des_Basses_Perches À partir de 1893, ce fort fut relié à un certain nombre d'autres forts autour de Belfort grâce à un chemin de fer stratégique.

Frêne commun. Source : http://data.abuledu.org/URI/505a1148-frene-commun

Frêne commun

Planche botanique du frêne commun (Fraxinus excelsior), Atlas des Plantes de France, 1891. C'est un grand arbre, jusqu'à 40 m de hauteur et 1 m de diamètre, à tronc droit à écorce lisse et grisâtre, se crevassant avec l'âge. Le bois est assez dur, tenace, élastique, couleur blanc nacré, sans aubier distinct. Essence de lumière, à croissance rapide, très résistant au froid mais sensible aux gelées tardives, qui peuvent tuer les bourgeons terminaux et à la sécheresse. Son bois est recherché pour certains usages en raison de sa résistance à la flexion et aux chocs : manches d'outils, outils en bois (râteaux), cannes et bâtons (de hockey notamment), charronnage, carrosserie... les meilleurs exemplaires fournissent un bois de déroulage utilisé en placage. À défaut, c'est un excellent bois de chauffage. Les feuilles sont inscrites à la pharmacopée française.

Géants et santons de M. et Mme Goliath. Source : http://data.abuledu.org/URI/51dc270c-geants-et-santons-de-m-et-mme-goliath

Géants et santons de M. et Mme Goliath

Santons et fèves aux effigies des géants d'Ath.

Girelle commune. Source : http://data.abuledu.org/URI/548c1a7d-girelle-commune

Girelle commune

La girelle royale est un poisson hermaphrodite protérogyne, qui passe de femelle à mâle à un stade particulier de sa vie, et le demeure jusqu'à la fin. Sa reproduction est donc sexuée, et les femelles sont plus nombreuses que les mâles. Elle vit sur les côtes Méditerranéennes, où elle est très commune, à l'est de l'Atlantique (déjà vue en Bretagne), du Gabon au nord de l'Écosse, ainsi que sur les côtes des îles du Cap-Vert, des îles Canaries et des Açores. Le nom de girelle royale s'applique aux individus mâles, et le nom de girelle commune aux femelles. Le nom de Girelle royale n'est pas choisi au hasard : en effet les mâles, contrairement aux femelles, arborent des couleurs vives, alors que les femelles, elles, possèdent des couleurs plus fades. Lors de la transformation d'une femelle en mâle, la girelle finira par adopter les couleurs vives définitives. Source: http://fr.wikipedia.org/wiki/Coris_julis

Gouvernail d'étambot. Source : http://data.abuledu.org/URI/5209d1c7-gouvernail-d-etambot

Gouvernail d'étambot

Schéma du système de montage d'un gouvernail d'étambot sur un navire du Moyen Âge et de l'Époque moderne. Ce système est apparu initialement en Europe du Nord au début du XIIe siècle. 1 : Safran ; 2 : Mèche ; 3 : Tube d'étambot ; 4 : Étambot ; 5 : Bordages. Source : Lawrence V. Mott, "The Development of the Rudder", A.D. 100-1600 : A Technological Tale, Thesis May 1991, Texas A&M University (p. 83, Fig. 7.2). Le gouvernail d'étambot, fixé à l'arrière d'un navire par des charnières, donnait un meilleur contrôle sur sa direction et réduisait l'espace nécessaire aux manœuvres tournantes. Le gouvernail d'étambot est apparu en Europe du Nord au début du XIIe siècle sur les coques. Il est fixé à la poupe, l'arrière de la coque.

Grotte d'Altamira en 1880. Source : http://data.abuledu.org/URI/5248848c-grotte-d-altamira-en-1880

Grotte d'Altamira en 1880

Relevé du plafond aux polychromes publié par M. Sanz de Sautuola en 1880 (d'après Cartailhac, 1902). Les peintures d'Altamira ont été découvertes en 1879, lors de fouilles conduites par Marcelino Sanz de Sautuola. La grotte était connue depuis 1868 et Sanz de Sautuola y effectuait des visites depuis 1876. Il avait observé la présence de dessins géométriques sur les parois sans y accorder d'importance mais c'est sa fillette Maria, alors âgée de huit ans, qui remarqua la première la présence de «toros» dessinés au plafond. Sanz de Sautuola publia dès 1880 « Brèves notes sur quelques objets préhistoriques de la province de Santander ». Émile Cartailhac avait été un des plus grands adversaires de l'authenticité d'Altamira. À partir de 1895, la découverte de gravures et de peintures dans les grottes françaises de la Mouthe, des Combarelles et de Font-de-Gaume, lui firent reconsidérer sa position. Après avoir visité les grottes, il écrivit dans la revue L'Anthropologie (1902) un article intitulé « La grotte d'Altamira. Mea culpa d'un sceptique ». Après cet article le caractère paléolithique des peintures d'Altamira fut universellement reconnu.

Haricot beurre noir nain à longue cosse. Source : http://data.abuledu.org/URI/5471d0f4-haricot-beurre-noir-nain-a-longue-cosse

Haricot beurre noir nain à longue cosse

Haricot beurre noir nain à longue cosse Vilmorin-Andrieux 1904. Cette race paraît être une sous-variété du haricot beurre noir, mais elle en diffère très nettement par sa cosse plus longue et aussi par la forme du grain, qui, au lieu d’être ovoïde, devient presque cylindrique et mesure jusqu’à 0,016 m de long, avec une grosseur et une épaisseur de 0,007m à 0,008m. La cosse est très franchement sans parchemin ; elle est plus effilée, moins charnue que celle de l'autre variété. Le litre pèse 800 grammes, et 100 grammes contiennent environ 340 grains. Ce haricot est déjà répandu aux environs de Paris et se cultive en plein champ pour l’approvisionnement du marché. Source : https://fr.wikisource.org/wiki/Les_Plantes_potag%C3%A8res/Haricot

Héron cendré. Source : http://data.abuledu.org/URI/5276ea00-heron-cendre

Héron cendré

Le Héron cendré se caractérise par un long cou, un bec long et pointu et de hautes pattes. Il possède une excellente vue panoramique latérale et une très bonne vision binoculaire frontale. Son ouïe, également très développée, le fait réagir aux moindres bruits suspects. Il atteint en général 95 cm de hauteur et une envergure de 1,85 m pour un poids de 1,5 à 2 kg. Le Héron cendré présente un plumage à dominante grise. Les jeunes ont un plumage plus terne : leur dos est gris-brunâtre, leur cou est gris et leur ventre est blanc rayé noir. Ils n'ont pas de "huppe". Les jeunes hérons acquièrent leur plumage d'adulte à l'âge de deux ans. Le Héron cendré peut vivre 25 ans mais des individus n'atteignent même pas un an. Chez le héron cendré, il est très difficile de distinguer les sexes : la femelle a simplement un plumet un peu plus court.

Jeune coccinelle. Source : http://data.abuledu.org/URI/534d6275-jeune-coccinelle

Jeune coccinelle

Jeune coccinelle asiatique (Harmonia axyridis). Lieu : Parc urbain de la Citadelle, Lille (03 juin 2007), sur le flanc d'une branche de charme, environ 1,50 m au dessus du niveau du sol. Les ailes se déplient et se forment. La coccinelle doit les sécher durant plusieurs heures. Leur couleur jaune signale aux prédateurs une toxicité ou un mauvais goût. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Coccinelle_asiatique.

L'homme de Calder. Source : http://data.abuledu.org/URI/541db3a7-l-homme-de-calder

L'homme de Calder

L'Homme, sculpture d'Alexander Calder (1967), Parc Jean Drapeau, Montréal, Québec, Canada. Il fait fabriquer la majeure partie de ses stabiles et mobiles aux entreprises Biemont à Tours, dont "L'Homme", tout en acier inoxydable de 24 mètres de haut, commandé par l'International Nickel du Canada (Inco) pour l'Exposition Universelle de Montréal en 1967. Toutes les fabrications sont faites d'après une maquette réalisée par Calder, par le bureau d'étude (dirigé par M. Porcheron, avec Alain Roy, François Lopez et Michel Juigner) pour concevoir à l'échelle réelle, puis par des ouvriers chaudronniers qualifiés pour la fabrication, Calder supervisant toutes les opérations, et modifiant si nécessaire l'œuvre. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Alexander_Calder

La cour impériale d'Amarapura en Birmanie. Source : http://data.abuledu.org/URI/52b6d0f0-la-cour-imperiale-d-amarapura-en-birmanie

La cour impériale d'Amarapura en Birmanie

La cour impériale à Ummerapoura. Illustration par Yan Dargent (1824-1899), in Jean Rambosson, Histoire des météores et des grands phénomènes de la nature, p.369, Firmin-Didot, 1883 (wikisource) : Il y a quelques années, M. Babinet, de l’Institut, a présenté à l’Académie des sciences, de la part de M. Marchal, de Lunéville, la figure d’un des appareils qui, en Chine, accompagnent toujours les flèches aiguës qui couronnent les tours nombreuses de ce pays, où chaque ville a la sienne. Suivant l’auteur, les chaînes qui accompagnent la flèche, et qui, partant de son pied, vont rejoindre les angles saillants de la tour, sont de vrais conducteurs de l’agent électrique, dont l’expérience peut avoir fait reconnaître l’efficacité à un peuple bien plus observateur que théoricien. Il a remarqué que dans la construction des tours chinoises il n’entre point de substances métalliques, pas plus que dans leurs maisons et leurs palais. L’appareil des chaînes offre donc une sorte d’enveloppe conductrice qui préserve la tour de l’introduction de l’électricité. Ces tours, d’ailleurs, n’ont jamais été frappées de la foudre. La fameuse tour de porcelaine de Nankin a quinze siècles d’existence. M. Marchal rapproche la construction chinoise de la méthode italienne, qui consiste à consolider les flèches par des haubans métalliques allant se fixer aux angles du bâtiment ; il ajoute que la flèche de l’appareil chinois se termine en flamme dorée, et, par suite, conductrice.

La grenouille rieuse en France en 2003. Source : http://data.abuledu.org/URI/5351a5a1-la-grenouille-rieuse-en-france-en-2003

La grenouille rieuse en France en 2003

Carte de répartition et d'abondance de la grenouille rieuse (Pelophylax ridibundus) d'après Duguet et al "Les Amphibiens", Parthénope, 2003 : en vert, commun ; en orange, rare ; en violet, très rare ; en bleu, absent. Cette espèce se rencontre principalement en plaine et en moyenne montagne jusqu'à 800 m d'altitude. Elle apprécie les grandes rivières aux rives bien ensoleillées ainsi que les plans d'eau de superficie importante et d'au moins 50 cm de profondeur, comme les étangs et tourbières, dans leurs parties très ensoleillées. C'est souvent le seul amphibien présent dans les plans d'eau riches en poissons. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Grenouille_rieuse Cet animal a un mode de vie très aquatique, contrairement à la Grenouille rousse qui ne s'éloigne que peu de l'eau.

Le 100 mètres homme. Source : http://data.abuledu.org/URI/50d4c419-le-100-metres-homme

Le 100 mètres homme

L'évolution du record du monde du 100 mètres homme en athlétisme. Usain St. Leo Bolt (né le 21 août 1986 dans la paroisse de Trelawny) est un athlète jamaïcain, spécialiste du sprint, sextuple champion olympique et quintuple champion du monde, détenteur de trois records du monde : 100 m (9 s 58), 200 m (19 s 19) et 4 × 100 m (36 s 84). Il est le premier athlète à avoir réussi à conserver ses titres olympiques du 100 m, du 200 m et du relais 4 × 100 m, de Pékin les 16, 20 et 22 août 2008, à Londres les 5, 9 et 11 août 2012, et le premier olympien à avoir remporté quatre médailles d'or individuelles et six en tout dans les épreuves de sprint en athlétisme. Il devient à ce titre l'un des plus grand sprinteurs de tous les temps, se qualifiant lui-même de « légende ». À Pékin, il est devenu le premier athlète masculin à gagner ces trois épreuves aux cours des mêmes Jeux olympiques depuis Carl Lewis en 1984, et le premier coureur de l'histoire à établir les records du monde dans ces trois disciplines lors des mêmes Jeux. Il a répété le même triplé à Londres. Son nom et ses performances en sprint lui ont valu le surnom de « Lightning Bolt » (« l'Éclair », ou « la Foudre »). C'est le premier sprinter à améliorer trois fois de suite le record du monde du 100 m et à obtenir la plus nette amélioration du record depuis le passage au chronométrage électronique, en 1968.

Le ballon captif de l'avenue de Suffren en 1868. Source : http://data.abuledu.org/URI/5870307d-le-ballon-captif-de-l-avenue-de-suffren-en-1868

Le ballon captif de l'avenue de Suffren en 1868

Ballon captif à hydrogène établi par Henry Giffard en 1867 dans la vaste enceinte de l'établissement de construction mécanique de M. Flaud, qui occupait le triangle formé par les rues de la Fédération et Desaix et l'Avenue de Suffren, en bordure du Champ-de-Mars et aux portes de l'Exposition. Les ateliers de Monsieur Henri-Pierre Flaud ont disparu, mais la maison de contremaîtres (1866) et son hôtel particulier (1866) construits à côté de son usine subsistent respectivement aux numérs 28b et 40 avenue de Suffren.

Le Cirque d'été aux Champs-Élysées. Source : http://data.abuledu.org/URI/514eb38f-le-cirque-d-ete-aux-champs-elysees

Le Cirque d'été aux Champs-Élysées

Le cirque d'été (Jacques Hittorff, 1841), sur un détail d'une carte de Paris de 1869, "Plan géométral de Paris et de ses agrandissements à l'échelle d'un millimètre pour 10 m". Sous le second empire, Jacques Hittorff collabore aux grands travaux du baron Haussmann. Il est à l'origine de plusieurs réalisations à Paris : le réaménagement du bois de Boulogne, l'actuel théâtre du Rond-point des Champs-Élysées, le Cirque d'hiver, des immeubles rue de Rivoli, la mairie du 1er arrondissement de Paris. En outre, il est l'architecte de la gare du Nord.

Le poisson-ogre. Source : http://data.abuledu.org/URI/50c7c044-le-poisson-ogre

Le poisson-ogre

Le poisson-ogre (Anoplogaster cornuta) est une espèce de poisson abyssal de la famille des Anoplogastridae. Il a une distribution circumglobale dans les eaux tropicales et tempérées froides. Là où il vit, entre 500 et 5 000 m de profondeur, la nourriture est tellement rare qu'il doit pouvoir manger à peu près tout ce qu'il rencontre. Proportionnellement parlant, c'est l'animal qui possède les plus grandes dents au monde, il ne peut même pas fermer complètement sa mâchoire. Contrairement aux autres espèces qui vivent dans les profondeurs, il est puissant et robuste, c'est un vrai prédateur.

Mante religieuse et abeille. Source : http://data.abuledu.org/URI/50f5a09e-mante-religieuse-et-abeille

Mante religieuse et abeille

Mante religieuse mangeant une abeille à Saitama au Japan. La mante religieuse est un insecte diurne de 5 à 8 centimètres de long. Ses yeux protubérants et très écartés lui donnent une excellente vision en relief (ce qui donne une vision humaine mais jusqu'à 20 m). Contrairement aux autres insectes, la mante peut faire pivoter sa tête à 180 °, ce qui lui permet de suivre les déplacements de ses proies sans bouger le corps. Elle possède deux yeux composés (ou à facettes) et trois ocelles (yeux simples) entre les antennes.

Marie aux sabots de bois se gage - 10. Source : http://data.abuledu.org/URI/52bcca20-marie-aux-sabots-de-bois-se-gage-10

Marie aux sabots de bois se gage - 10

Marie aux Sabots de bois se gage - 10 Jordic (1876 - 1915) : ... mise à la porte et si elle fut giflée d'importance par Maman Mariannick. On lui trouve tout de même une autre place chez Mme Sabreur, la veuve du colonel, qui commande de suite : -- Petite, tu vas faire le ménage : d'abord ma chambre. Ouste ! Dépêche-toi ! La jeune bonne prend le tapis, une splendide peau de tigre que le colonel a rapportée jadis d'Algérie. Elle la prend par les deux pattes de derrière et va à la fenêtre pour bien secouer la poussière. Vlan !... Mais notre étourdie n'a pas songé que la tête de tigre est très lourde ; son poids entraîne Marie, et les bonnes des voisins entendant des cris, aperçoivent la fillette, qui semble voler, à la suite du tapis. Or, au rez-de-chaussée, se trouve l'épicerie de M. Poivre. On y vend de tout : sucre, café, riz, pruneaux, même des légumes et des lapins, qu'on...

Marie aux sabots de bois se gage - 12. Source : http://data.abuledu.org/URI/52bccccd-marie-aux-sabots-de-bois-se-gage-12

Marie aux sabots de bois se gage - 12

Marie aux Sabots de bois se gage - 12, Jordic (1876 - 1915) : ... aperçoit pendus et accrochés par leurs grandes oreilles. Ce matin, des acheteurs sont là. M. Poivre, tout en servant ses clientes, cause : -- Le haricot, mesdames, sera rare cette année, mais la pomme de terre abonde. -- Vraiment ! M. Poivre, dit la grosse bonne. L'épicier ficèle un paquet de biscuits et continue : Je recommande à Madame la Comtesse mon cacao, premier choix. Monsieur le marquis de Carabas a daigné en acheter un kilo... Mais... mais... ciel ! M. Poivre devient blanc, puis vert. C'est qu'il vient d'apercevoir, à la porte de sa boutique, une effrayante tête de tigre aux yeux luisants, à la mâ-...

Marie aux sabots de bois se gage - 15. Source : http://data.abuledu.org/URI/52bccfb7-marie-aux-sabots-de-bois-se-gage-15

Marie aux sabots de bois se gage - 15

Marie aux Sabots de bois se gage - 15, Jordic (1876 - 1915) : ...choire entr'ouverte, laissant voir des dents aigües. L'épicier chancelle, la comtesse s'évanouit sur un sac de lentilles, les bonnes poussent des cris de terreur. Patatras ! la tête tombe et ploc ! la peau de tigre s'abat sur le sol. M. Poivre reconnaît le tapis de Mme Sabreur. -- Ah ! ah ! Et il gourmande les bonnes : -- Sottes ! Ai-je eu peur, moi ? Quelques gouttes de vinaigre raniment la comtesse de Pimbèche. Mais, pioc ! Nouveau choc étrange ; on aperçoit une petite bretonne, tête en bas, pieds...

Marie aux sabots de bois se gage - 16. Source : http://data.abuledu.org/URI/52bcd314-marie-aux-sabots-de-bois-se-gage-16

Marie aux sabots de bois se gage - 16

Marie aux Sabots de bois se gage - 16, Jordic (1876 - 1915) : ... en l'air, qui plonge soudain dans un grand tonneau de raisiné. On ne voit plus que deux pieds qui s'agitent en l'air désespérément. M. Poivre saisit les deux jambes et tire. Ohé ! hisse !! Marie est si enfoncée dans le raisiné qu'on n'arrive pas à la dégager de suite. "Ohé ! hisse !" M. Poivre, tout rouge, arrive enfin à retirer la petite bonne, mais dans quel état ! Le raisiné s'est collé à ses cheveux, son visage est enduit d'un masque gluant, elle a une robe de confiture. M. Poivre va chercher un seau d'eau, une des bonnes, obligeante, prend le grand balai de paille ; on frotte, on gratte, enfin on débarbouille Marie qui grelotte sous l'eau froide. Heureusement que la mère Mariannick la réchauffera bien vite avec quelques gifles qui lui éviteront un rhume. FIN

Marie aux sabots de bois se gage - 2. Source : http://data.abuledu.org/URI/52bcb90d-marie-aux-sabots-de-bois-se-gage-2

Marie aux sabots de bois se gage - 2

Marie aux Sabots de bois se gage - 2, Jordic (1876-1915) : Marie a posé par terre le paquet qui contient son trousseau complet : une chemise, deux mouchoirs et une paire de bas. Sa patronne l'interroge : -- Savez-vous balayer, laver, repasser ? -- Oui, Madame. Marie a été très bien élevée : pain de seigle et galette de blé noir à tous les repas, gifles à discrétion. Et maintenant, à l'ouvrage. Madame arrive, majestueuse, dans sa robe de soie et dit : -- Vous allez vous occuper des enfants. Elle présente un beau chat angora au poil roux, et un magnifique caniche noir, au poil frisé. -- Voici M. Minet et M. Bob. Vous irez les conduire chez le père Bénéadek, le tondeur, rue...

Marie aux sabots de bois se gage - 6. Source : http://data.abuledu.org/URI/52bcbf5a-marie-aux-sabots-de-bois-se-gage-6

Marie aux sabots de bois se gage - 6

Marie aux Sabots de bois se gage - 6, Jordic (1876 - 1915) : (... se met à) jurer, le malhonnête ! Pff... pff... Le coq aperçoit enfin son poulailler et vole par-dessus la barrière. "Cocorico !" Il nargue M. Bob, essoufflé et penaud. Marie, boitillant, un pie chaussé du sabot, l'autre avec un simple bas, pense à sa commission : "Tondre le chat, couper la queue du chien." La voici enfin arrivée chez le père Bénéadek, un vieux à l'air jovial. -- Qu'y a-t-il pour ton service gamine ? La fillette récite tout d'une haleine : Madame a dit comme ça qu'il fallait couper la queue du chien et tondre le chat en lion. -- Bon ! Bon ! Cela va être fait. Le tondeur va chercher ses grands ciseaux et une tête de sardine pour apprivoiser Minet qui, docile, s'installe sur l'escabeau : "Arranger un chat en lion, c'est...

Marie aux sabots de bois se gage - 8. Source : http://data.abuledu.org/URI/52bcc381-marie-aux-sabots-de-bois-se-gage-8

Marie aux sabots de bois se gage - 8

Marie aux Sabots de bois se gage - 8, Jordic (1876 - 1915) : applique un pansement fait d'une toile d'araignée, et qu'il entoure d'un chiffon. En route ! Mais Marie se méfie de Bob trop coureur ; elle attache Minet à la chaîne et porte le chien, tout attristé de ne pouvoir comme autrefois, agiter sa belle queue. La petite servante rentre au logis, où elle trouve Madame assoupie dans un grand fauteuil, et détache Minet qui, d'un bond, saute sur les genoux de sa maîtresse. Celle-ci ouvre les yeux et pousse un cri d'horreur. Quel est cet animal ridicule, à pèlerine soyeuse, avec des cuisses nues grelottantes ? C'est Minet, jadis si bel angora, maintenant ressemblant à un jouet de bazar à treize sous. "Oua ! oua !" fait Bob sollicitant une caresse et agitant son bout de queue écourtée. -- Vous êtes une petite sotte ! dit Mme de Bougon, et je ne vous garde pas une minute de plus à mon service ! Marie refait son paquet et, boitillant avec un seul sabot, rentre chez sa mère où une volée de gifles l'accueille. Heureusement le restaurateur, M. Tourne-sauce donne un banquet...

Métamorphisme. Source : http://data.abuledu.org/URI/50a2b533-metamorphisme

Métamorphisme

Phase de métamorphisme des roches sédimentaires et dépôts calcaires. 1 : Phase de dépôt calcaire. 2 : soulèvement des plaques et métamorphisme. Le marbre primitif est issu de terrains calcaires qui se sont formés à une période où il n’existait aucune vie marine. Le dépôt de cette matière calcaire, sur des roches anciennes, ne s’est pas fait de manière égale, car des circonstances particulières des attractions plus ou moins fortes déterminèrent la formation de quelques couches plus épaisses que les autres, et moins mêlées de feuillets schisteux. Au cours du cycle hercynien (-416 à –251 millions d’années), la couche inférieure de roches ancienne (granite) souleva les couches de sédiments primaires les plus épaisses et encore semi-fluides, qui retombèrent sur elles-mêmes et qui formèrent, aux pieds des grandes chaînes, des cordons de collines calcaires mêlées de schistes et de serpentines. Des bouleversements physico-chimiques transformèrent cette roche sédimentaire des collines en roche métamorphique, qui donna naissance aux marbres primitifs, grenus, sensiblement cristallisés et généralement d’une seule couleur, blanc, gris, rouge ou noir.

Multiplication de deux carrés magiques - 1. Source : http://data.abuledu.org/URI/52f5679c-multiplication-de-deux-carres-magiques-1

Multiplication de deux carrés magiques - 1

Multiplication de deux carrés magiques : Soit à effectuer le « produit » de ces deux carrés magiques, un de 3x3 et l'autre de 4x4. Le carré magique final sera de 12x12. Le « produit » de deux carrés magiques crée un carré magique d'ordre supérieur aux deux multiplicandes. Ce produit s'effectue ainsi. Soit les carrés magiques M et N : 1) Le carré final sera d'ordre MxN ; 2) Diviser le damier final en NxN sous-damiers de MxM cases ; 3) Dans le carré N, réduire de 1 la valeur de tous les nombres ; 4) Multiplier ces valeurs réduites par M × M. Les résultats sont reportés dans les cases de chaque sous-damier correspondant du carré final ; 5) Les cases du carré M sont additionnées NxN fois aux cases du damier final. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Carr%C3%A9_magique_%28math%C3%A9matiques%29.

Nids collectifs de passereaux africains en Namibie. Source : http://data.abuledu.org/URI/52d1c1c4-nids-collectifs-de-passereaux-africains-en-namibie

Nids collectifs de passereaux africains en Namibie

Nids de passereaux africains en Namibie : Républicain social (Philetairus socius). Ces oiseaux construisent des nids collectifs qui peuvent atteindre une taille énorme et servir à des générations successives, ce qui lui ont valu son nom. Ces nids comptent dans les plus grandes structures construites par des oiseaux, et sont utilisés toute l'année. Ils sont très bien structurés, et fournissent une température plus supportable que celle de l'extérieur. La nuit, les chambres centrales, où les oiseaux dorment, maintiennent la chaleur. Les chambres en périphérie du nid sont utilisées de jour et permettent aux oiseaux de rester à l'ombre. Cette immense « botte de paille » pouvant atteindre 4 m de haut pour 7 m de long, peut parfois peser plusieurs tonnes et casser son support (arbre, poteau, etc.). Ces nids sociaux peuvent accueillir jusqu'à 500 oiseaux, et sont aussi habités par plusieurs autres espèces d'oiseaux commensaux, notamment par le Fauconnet d'Afrique, ou d'autres petits passereaux. De plus grands oiseaux peuvent même construire leur propre nid sur le nid des républicains.

Noble rhubarbe. Source : http://data.abuledu.org/URI/50a81b86-noble-rhubarbe

Noble rhubarbe

La noble rhubarbe ou rhubarbe du Sikkim (Rheum nobile) est une plante herbacée géante de la famille des Polygonaceae. Elle est originaire de l'Himalaya, on la trouve dans le nord-est de l'Afghanistan, au nord du Pakistan et de l'Inde, au Népal, au Sikkim (en Inde), au Bhoutan, au Tibet et au Myanmar, localisée dans l'étage alpin entre 4 000 à 4 800 m d'altitude. C'est une espèce extraordinaire de rhubarbe (genre Rheum). De ses 1 à 2 m de hauteur, Rheum nobile culmine au-dessus de tous les buissons et les herbes courtes dans son habitat, et elle est visible à plus d'un kilomètre. Rheum nobile est souvent appelée par les anglophones "glasshouse plant" = plante de serre, à cause de sa rangée externe de bractées translucides qui laisse passer la lumière visible, créant un effet de serre, mais arrêtant les rayons ultraviolets. Ceci constitue une importante défense contre l'augmentation de l'exposition aux UV-B et le froid extrême dû à l'altitude élevée de sa distribution.

Oppidum gaulois de Château-Chinon. Source : http://data.abuledu.org/URI/51d4a259-oppidum-gaulois-de-chateau-chinon

Oppidum gaulois de Château-Chinon

Plan de l'oppidum gallo-romain de Castrum Caninum situé au sommet du Calvaire (609 m) à Château-Chinon dans la Nièvre, en Bourgogne. Compte tenu de sa situation stratégique, son histoire est chargée depuis les époques gauloise et gallo-romaine avec le peuple des Éduens, au Moyen Âge et à l'Ancien Régime comme étant une châtellenie puis un comté appartenant aux plus grandes familles du Royaume de France. D'après les fouilles archéologiques, l’oppidum était constitué d'une enceinte ovale, d'une superficie d'environ 3,5 ha (~130 m x ~250 m). L'accès y était rendu possible par deux poternes : l'une située au nord-est près d'une source, donnant accès aujourd'hui au bois de La Promenade, la seconde située au sud, tournée vers la ville actuelle en contre-bas. L'oppidum était divisé en deux parties inégales, séparées par une langue de terre entourée de deux fossés, encore observables de nos jours. La partie située au sud a ensuite servi d'emplacement au château féodal. Avant cela, l'oppidum gaulois aurait été également un castrum romain occupant une position stratégique de la voie romaine reliant Augustodunum (Autun) à Intaranum (Entrains-sur-Nohain).