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Peinture | Louis-Léopold Boilly (1761-1845) | Dix-neuvième siècle | Satiristes français | Histoire | Trompe-l'oeil (peinture) | Familles | Rêves | Musique baroque | Diable | Études sur les femmes | Grimaces | Sonates (violon et basse) | Giuseppe Tartini (1692–1770) | Lithographies | Portraits | Péages urbains | Studios d'artiste | Ateliers d'artiste | Pluie | ...
Arrivée de la diligence. Source : http://data.abuledu.org/URI/51d96a9b-arrivee-de-la-diligence

Arrivée de la diligence

Arrivée de la diligence dans la cour des Messageries, 1803, par Louis-Léopold Boilly (1761-1845). Au début du XIXème siècle, les diligences deviennent de plus en plus importantes, elles manquent alors de stabilité à cause de leur hauteur. Les bagages sont placés au-dessus, sous une bâche, et des places sont réservées pour les amateurs de plein air, ou les fumeurs, sur l’impériale, banquette placée au-dessus du coupé, protégée du froid et de la pluie par une capote de cuir et de bois.

Cinq femmes prisant. Source : http://data.abuledu.org/URI/51d93025-cinq-femmes-prisant

Cinq femmes prisant

"Ah, qu'il est bon!" commentaire satirique du portrait de cinq femmes prisant, de la série des "Grimaces" 1824. Lithographie peinte à la main par Louis-Léopold Boilly (1761-1845), Lithographie de Delpech.

Départ de conscrits en 1807. Source : http://data.abuledu.org/URI/51d93d0d-depart-de-conscrits-en-1807

Départ de conscrits en 1807

Départ de conscrits en 1807, par Louis-Léopold Boilly (1761-1845).

Distribution de vin aux Champs-Élysées. Source : http://data.abuledu.org/URI/51d96e15-distribution-de-vin-aux-champs-elysees

Distribution de vin aux Champs-Élysées

Distribution de vin et de comestibles aux Champs-Elysées, 1822, par Louis-Léopold Boilly (1761-1845).

Entrée au théâtre. Source : http://data.abuledu.org/URI/51d886bd-entree-au-theatre

Entrée au théâtre

Entrée du théâtre de l'Ambigu-Comique à Paris à une représentation gratis, 1819, par Louis-Léopold Boilly (1761-1845).

Groupe d'artistes romantiques. Source : http://data.abuledu.org/URI/51d9088b-groupe-d-artistes-romantiques

Groupe d'artistes romantiques

Groupe d'artistes romantiques, dessin de Pauquet, d'après Louis-Léopold Boilly (1761-1845).

Intérieur de café à la Galerie du Palais-Royal. Source : http://data.abuledu.org/URI/51d96d5c-interieur-de-cafe-a-la-galerie-du-palais-royal

Intérieur de café à la Galerie du Palais-Royal

Interieur d'un café, Galerie du Palais Royal 1786-1808, par Louis-Léopold Boilly (1761-1845). Le Café Lamblin est un café parisien, fondé en 1805, l'année de la bataille d'Austerlitz, par un ancien garçon de café de La Rotonde nommé Lemblin. À cette époque, il était situé au no 103 de la galerie de Chartres (de nos jours galerie Beaujolais) du Palais-Royal. Le nom du café a été orthographié par la suite tantôt Lamblin, tantôt Lemblin. Rendez-vous des femmes galantes et des bonapartistes dans la première moitié du XIXe siècle, il fut à partir de 1815 un foyer d'opposition pour les bonapartistes. Les demi-soldes de l'armée de l'Empereur venaient y raconter leurs souvenirs de la Guerre d'indépendance espagnole et de la campagne de Russie.

Jeu de dames en famille en 1803. Source : http://data.abuledu.org/URI/51d88544-jeu-de-dames-en-famille-en-1803

Jeu de dames en famille en 1803

Jeu de dames en famille en 1803, par Louis-Léopold Boilly (1761-1845).

Jeu du pied-de-boeuf. Source : http://data.abuledu.org/URI/51d92589-jeu-du-pied-de-boeuf

Jeu du pied-de-boeuf

"Mon pied de bœuf" 1824, par Louis-Léopold Boilly (1761-1845). (Désuet) Jeu d’enfants, où les uns mettent les mains sur celles des autres, puis, en commençant par le dessous, les retirent en comptant jusqu’à neuf ; et celui qui compte ce nombre dit, en saisissant la main de quelqu’un des autres : « Je tiens mon pied-de-bœuf ».

La Dame à la guitare. Source : http://data.abuledu.org/URI/51d93b77-la-dame-a-la-guitare

La Dame à la guitare

La dame à la guitare, assise à son bureau, par Louis-Léopold Boilly (1761-1845).

La laitière. Source : http://data.abuledu.org/URI/51d964f6-la-laitiere

La laitière

La Queue au lait, par Louis-Léopold Boilly (1761-1845). Source : Petits théâtres de l'intime, entre la révolution française et la restauration, exposition au musée des Augustins de Toulouse (Oct. 2011 - Jan. 2012).

La leçon de géographie. Source : http://data.abuledu.org/URI/51d88926-la-lecon-de-geographie

La leçon de géographie

La leçon de géographie, portrait de Monsieur Gaudry et de sa fille, 1812, par Louis-Léopold Boilly (1761-1845).

La lecture du testament. Source : http://data.abuledu.org/URI/51d90d3d-la-lecture-du-testament

La lecture du testament

La lecture du testament, lithographie de Louis-Léopold Boilly (1761-1845).

La sonate des trilles du diable. Source : http://data.abuledu.org/URI/51d91248-la-sonate-des-trilles-du-diable

La sonate des trilles du diable

Anecdote devenue légendaire où le violoniste Guiseppe Tartini (1692-1770) a raconté à l'astronome Jérôme Lalande la genèse de cette sonate pour violon et basse continue qui demande beaucoup de virtuosité à l'interprète. Le satiriste Louis-Léopold Boilly (1761-1845) l'a illustrée en 1824. Texte court (187 mots) mais littéraire : fin de cycle 3. Source : Arthur Pougin, Violon, les violonistes et la musique de violon du XVIe au XVIIIe siècle, Paris : Fischbacher, 1924, p. 106-107.

Le jardin turc à Paris. Source : http://data.abuledu.org/URI/51d92e8a-le-jardin-turc-a-paris

Le jardin turc à Paris

L'entrée au jardin turc, 1812, par Louis-Léopold Boilly (1761-1845) ; au J. Paul Getty Museum de Los Angeles. Le jardin turc était un lieu de rendez-vous bourgeois dans le quartier du Marais au XIXème siècle.

Le jeu de billard. Source : http://data.abuledu.org/URI/51d94cc1-le-jeu-de-billard

Le jeu de billard

Le jeu de billard, 1807, par Louis-Léopold Boilly (1761-1845). Le billard est un jeu de table à un ou plusieurs joueurs qui se pratique sur une buche, appelée billard, bordée de bandes, sur laquelle on fait rouler des jetons de billard (appelées aussi billes ou boules) que l’on frappe à l’aide d’une queue. Le billard met en jeu des billes de 5 à 7 cm de diamètre, celui-ci variant avec le type du billard, sur une table. Cette table, autrefois en chêne ou en granite, est aujourd'hui constituée de plaques d'ardoises recouvertes d'un drap de laine tendu. Les bords internes de la table sont capitonnés avec des bandes de caoutchouc recouvertes du même drap : les bandes. La table peut avoir des trous, ou poches. Les billes sont empochées lorsqu’elles y tombent.

Le sculpteur Houdon. Source : http://data.abuledu.org/URI/51d90b32-le-sculpteur-houdon

Le sculpteur Houdon

Le sculpteur Jean-Antoine Houdon modelant le buste de Bonaparte premier consul, 1802, par Louis Léopold Boilly (1761-1845).

Lecture de conte par la grand-mère. Source : http://data.abuledu.org/URI/51d96b9b-lecture-de-conte-par-la-grand-mere

Lecture de conte par la grand-mère

Lecture de conte par la grand-mère, "Et l'ogre le dévora", 1824, illustration pour contes de fées par Louis-Léopold Boilly (1761-1845).

Lecture du bulletin de la grande armée. Source : http://data.abuledu.org/URI/51d9689a-lecture-du-bulletin-de-la-grande-armee

Lecture du bulletin de la grande armée

Lecture du bulletin de la grande armée, 1807, par Louis-Léopold Boilly (1761-1845).

Les Femmes se battent. Source : http://data.abuledu.org/URI/51d931db-les-femmes-se-battent

Les Femmes se battent

Les femmes se battent, 1818, par Louis-Léopold Boilly (1761-1845).

Les grimaces. Source : http://data.abuledu.org/URI/51d8874d-les-grimaces

Les grimaces

Les grimaces, 1824, lithographie de Louis-Léopold Boilly (1761-1845).

Les Hommes se disputent. Source : http://data.abuledu.org/URI/51d93278-les-hommes-se-disputent

Les Hommes se disputent

Les hommes se disputent, 1818, par Louis-Léopold Boilly (1761-1845).

Les jouets du jour de l'an. Source : http://data.abuledu.org/URI/51d93332-les-jouets-du-jour-de-l-an

Les jouets du jour de l'an

Les jouets du jour de l'an par Louis-Léopold Boilly (1761-1845).

Les mangeurs d'huitres. Source : http://data.abuledu.org/URI/51d889be-les-mangeurs-d-huitres

Les mangeurs d'huitres

Les Mangeurs d'Huitres, 1825, lithographie de Louis-Léopold Boilly (1761-1845).

Les médecins. Source : http://data.abuledu.org/URI/51d887d2-les-medecins

Les médecins

Les médecins, miniature satirique sur ivoire de Louis-Léopold Boilly (1761-1845).

Péage du Passez-payez. Source : http://data.abuledu.org/URI/51d9704a-peage-du-passez-payez

Péage du Passez-payez

Passez-Payez sous la pluie à Paris, 1803, par Louis-Léopold Boilly (1761-1845). « Passez payez » est la devise et le cri des décrotteurs parisiens qui, pendant les années qui suivent la Révolution, chaque fois qu'il pleut, posent une planche à travers la chaussée pour les passants qui souhaitent traverser sans s'enfoncer dans la boue et veulent bien leur verser en contrepartie un droit de passage. Au lendemain de la Révolution et des guerres qui l'ont suivie, la capitale abrite une foule de pauvres et de déracinés à la recherche de moyens de subsister. C'est ainsi que vers les années 1800, certains d'entre eux imaginent, à l'aide d'une simple planche munie à l'une de ses extrémités de deux roues, un nouveau service à offrir aux membres des classes aisées.

Rencontre d'artistes dans le studio du peintre Isabey. Source : http://data.abuledu.org/URI/51d93c7f-rencontre-d-artistes-dans-le-studio-du-peintre-isabey

Rencontre d'artistes dans le studio du peintre Isabey

Rencontre d'artistes dans le studio du peintre Isabey, 1798, par Louis-Léopold Boilly (1761-1845).

Trente-cinq expressions. Source : http://data.abuledu.org/URI/51d92c7d-trente-cinq-expressions

Trente-cinq expressions

Réunion de 35 têtes d'expression par Louis-Léopold Boilly (1761-1845).

Trompe-l'oeil. Source : http://data.abuledu.org/URI/51d923e2-trompe-l-oeil

Trompe-l'oeil

Trompe l'œil aux pièces de monnaie sur le plateau d'un guéridon, par Louis-Léopold Boilly (1761-1845). Au Palais des Beaux-Arts de Lille.

Trompe-l'oeil au chat. Source : http://data.abuledu.org/URI/51d93aa5-trompe-l-oeil-au-chat

Trompe-l'oeil au chat

Trompe-l'oeil avec un chat et une bûche de bois à travers une toile et poissons suspendus de la civière, 1822, par Louis-Léopold Boilly (1761-1845). Autres descriptions : Le Chat gourmand crevant une toile pour manger des harengs ; Trompe-l'oeil, représentant un vieux tableau vu par derrière et crevé. A travers une déchirure passe un chat qui convoite deux harengs saurs suspendus à un clou. Plus bas, d'autres ouvertures du même genre laissent apercervoir la moitié d'une bûche, et une bouteille placée sur un assiette.

Une loge au théâtre. Source : http://data.abuledu.org/URI/51d90c96-une-loge-au-theatre

Une loge au théâtre

Une loge au théâtre un jour de spectacle gratuit, 1830, par Louis-Léopold Boilly (1761-1845).

Vaccination contre la variole. Source : http://data.abuledu.org/URI/51d88624-vaccination-contre-la-variole

Vaccination contre la variole

La vaccination à Paris en 1807, par Louis-Léopold Boilly (1761-1845).

Le Songe de Tartini. Source : http://data.abuledu.org/URI/51d9102a-le-songe-de-tartini

Le Songe de Tartini

Le Songe de Tartini, 1824, par Louis-Léopold Boilly (1761-1845). Illustration de l'anecdote légendaire sur l'origine de la Sonate des trilles du Diable de Giuseppe Tartini (1692–1770) : « Une nuit (en 1713), je rêvais que j'avais fait un pacte, et que le Diable était à mon service. Tout me réussissait au gré de mes désirs, et mes volontés étaient toujours prévenues par mon nouveau domestique. J'imaginai de lui donner mon violon, pour voir s'il parviendrait à me jouer quelques beaux airs ; mais quel fut mon étonnement lorsque j'entendis une sonate si singulièrement belle, exécutée avec tant de supériorité et d'intelligence que je n'avais même rien conçu qui pût entrer en parallèle. J'éprouvai tant de surprise, de ravissement, de plaisir, que j'en perdis la respiration. Je fus réveillé par cette violente sensation. Je pris à l'instant mon violon, dans l'espoir de retrouver une partie de ce que je venais d'entendre ; ce fut en vain. La pièce que je composais alors est, à la vérité, la meilleure que j'aie jamais faite, et je l'appelle encore la Sonate du Diable ; mais elle est tellement au-dessous de celle qui m'avait si fortement ému, que j'eusse brisé mon violon et abandonné pour toujours la musique, s'il m'eût été possible de me priver des jouissances qu'elle me procure. »

Trompe l'oeil aux dessins et aux savoyards. Source : http://data.abuledu.org/URI/51d96ec1-trompe-l-oeil-aux-dessins-et-aux-savoyards

Trompe l'oeil aux dessins et aux savoyards

Trompe l'œil dit aux dessins et aux savoyards, 1804, par Louis-Léopold Boilly (1761-1845).

Un "Sans-culotte". Source : http://data.abuledu.org/URI/50fd3e3b-un-sans-culotte-

Un "Sans-culotte"

Louis-Léopold Boilly (1761–1845) est un artiste-peintre, miniaturiste, et graveur français, connu notamment pour ses scènes de la vie parisienne dans les années qui suivent la Révolution. Les sans-culottes sont des révolutionnaires issus du petit peuple de la ville et défenseurs d'une République égalitaire. Ils sont jugés par les autres révolutionnaires comme « radicaux » car ils prônent une démocratie directe, c'est-à-dire sans intermédiaires comme les députés. Ils se distinguent par leurs modes d'expression, en particulier vestimentaires. Leur tenue comporte un pantalon à rayures bleues et blanches, au lieu de la culotte courte et des bas, portés par les nobles et les bourgeois, ainsi qu'un bonnet phrygien rouge, et une tendance à la simplicité. Ce costume est un signe de protestation.