Transfert en cours..., vous êtes sur le "nouveau" serveur data.abuledu.org dont l'hébergement est financé par l'association abuledu-fr.org grâce à vos dons et adhésions !
Vous pouvez continuer à soutenir l'association des utilisateurs d'AbulÉdu (abuledu-fr.org) ou l'association ABUL.
Suivez la progression de nos travaux et participez à la communauté via la liste de diffusion.

Votre recherche ...

Nuage de mots clés

Photographie | Dix-neuvième siècle | Phares -- France | Militaires -- Logement | Mer du Nord | Aides à la navigation | Phares | Logement insalubre | Droit au logement | Mumbaī (Inde) | Habitat insalubre | Balises | Géographie | Signalisation maritime | Lits | Dunkerque (Nord) | Quartiers pauvres | Phare du Nord | Phare du XIXe siècle en France | Mulhouse (Haut-Rhin. - Annexion à la France) (1798) | ...
L'abbé Pierre en 1999. Source : http://data.abuledu.org/URI/51fc1d67-l-abbe-pierre-en-1999

L'abbé Pierre en 1999

L'abbé Pierre photographié par le Studio Harcourt à Paris en 1999. La Fondation Abbé-Pierre rend chaque année, le 1er février, un rapport sur l’état du mal-logement en France, diffusé le jour de l'anniversaire de l’appel lancé par l’abbé Pierre en hiver 1954.

Carrelet. Source : http://data.abuledu.org/URI/55d6deef-carrelet

Carrelet

La pêche au carrelet est très pratiquée sur les côtes de Charente-Maritime et dans les estuaires de la Charente et de la Gironde. Elle est aussi pratiquée sur les côtes escarpées de la Vendée et jusqu'à l'embouchure de la Loire mais dans ces régions cette tradition a tendance à s'estomper. Le carrelet est un filet carré d'une superficie de quelques mètres carrés tendu sur une armature plane et descendu horizontalement au moyen d’un treuil depuis un ponton qui avance en mer et sur lequel est généralement construit un abri, voire un petit logement. Après quelques minutes d'attente, pour dissipation du trouble causé par la descente, le filet est remonté assez rapidement, emprisonnant en principe les poissons qui se trouvaient entre lui et la surface (un appât "boît" peut être placé en son centre). C'est une pêche très réglementée en raison de la construction d'un ponton sur le domaine maritime.

Carte de rationnement de 1947. Source : http://data.abuledu.org/URI/50727489-carte-de-rationnement-de-1947

Carte de rationnement de 1947

Carte de rationnement pour de la nourriture telle qu'en vigueur en France en 1947 : Pendant la période de reconstruction, la population française va devoir accepter un certain nombre de sacrifices pour en payer le prix : maintien du rationnement jusqu’en 1949, habitation en baraquements provisoires pour les 5 millions de Français qui ont vu leur logement détruit, baisse du pouvoir d’achat, dévaluation du franc.

Fort de Bois l'Abbé en Lorraine. Source : http://data.abuledu.org/URI/535ebf16-fort-de-bois-l-abbe-en-lorraine

Fort de Bois l'Abbé en Lorraine

Fort de Bois l'Abbé en Lorraine, à Uxegney (Vosges) : Une chambrée du fort reconstituée.

Le droit au logement en 1912. Source : http://data.abuledu.org/URI/51fc1c50-le-droit-au-logement-en-1912

Le droit au logement en 1912

Couverture du supplément illustré du Petit Journal le 11 février 1912 : le syndicat des locataires manifeste et tente d'installer en plein jardin des Tuileries une famille de dix personnes explusée de son logement.

Logement militaire à la Nouvelle-Orléans. Source : http://data.abuledu.org/URI/535ebd43-logement-militaire-a-la-nouvelle-orleans

Logement militaire à la Nouvelle-Orléans

Logement militaire à la Nouvelle-Orléans, site historique de Fort Pike, Pont des Rigolets. Fort Pike est une ancienne forteresse du XIXe siècle qui auparavant gardait l'entrée du détroit des Rigolets en Louisiane face au golfe du Mexique. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Fort_Pike

Logements sociaux : le modèle mulhousien. Source : http://data.abuledu.org/URI/50cc4f18-logements-sociaux-le-modele-mulhousien

Logements sociaux : le modèle mulhousien

Logements sociaux, le modèle mulhousien (non légendé). Au XIXe siècle, jusqu'à l'annexion allemande de 1870, tous les bourgmestres et maires mulhousiens sont protestants et proches ou issus du patronat. Le modèle mulhousien repose sur trois piliers, un patronat protestant paternaliste, le prédominance du couple innovation/formation dans le développement technique et la recherche d'un équilibre social : les associations philanthropiques « Société industrielle de Mulhouse (SIM) » et « Société Mulhousienne de Cités ouvrières (SOMCO) » sont créées respectivement en 1826 et en 1853, à l'initiative de Jean Dolfus (industriel, économiste et maire de Mulhouse), Émile Muller (ingénieur-constructeur, architecte de la cité ouvrière) et Achille Penot (inspecteur scolaire et enquêteur social). L'objectif est de fixer la main-d'œuvre ouvrière : 1 243 maisons ouvrières sont construites à partir de 1862 jusqu'en 1897. C’est une cité-jardin en ce sens que chaque logement, outre la porte personnelle à chaque famille, a aussi son jardin particulier ; ces logements sont uni-familiaux payables par mensualités, les investisseurs touchent 4 % par an, mais en moins de quinze ans souvent, les logements deviennent la propriété des ouvriers. C'est l'un des exemples les plus anciens et les plus imités en France. L'exemple précurseur de Mulhouse sera rapidement suivi par d'autres tentatives.

Mumbai. Source : http://data.abuledu.org/URI/58cef47a-mumbai

Mumbai

Quartier pauvre près de la gare de Bandra à Mumbai, Inde.

Mumbai en Inde. Source : http://data.abuledu.org/URI/58cef5bb-mumbai-en-inde

Mumbai en Inde

Mumbai en Inde, près de la gare de Bandra.

Panneau de signalisation d'une autoroute. Source : http://data.abuledu.org/URI/50ccd33f-panneau-de-signalisation-d-une-autoroute

Panneau de signalisation d'une autoroute

Panneau de signalisation d'une autoroute. Source : Strßenaverkehrsordnung (Réglementation routière allemande) publié par Bundesministerium für Verkehr, Bau- und Wohnungswesen (Ministère fédéral allemand de la circulation, de la construction et du logement).

Phare de Cayeux en Mer du Nord. Source : http://data.abuledu.org/URI/535927d6-phare-de-cayeux-sur-mer

Phare de Cayeux en Mer du Nord

Le phare de Cayeux est situé sur la commune de Cayeux-sur-Mer, au sud de la baie de Somme. Le phare est détruit le 31 août 1944 par les troupes allemandes. Un feu provisoire est mis en service le 25 avril 1947 en attendant la construction du phare actuel. En septembre 1951, le nouveau phare est mis en service. C'est une tour cylindrique en maçonnerie lisse, peinte en rouge et blanc. Un pavillon attenant sert de logement pour le gardien. Il est automatisé depuis 1999. Le contrôle s'effectue du bureau de Saint-Valery-sur-Somme où il y a toujours un membre du personnel d'astreinte. Hauteur : 28 m - Elévation : 35 m - Portée : 19 milles. Feux : 1 éclat rouge régulier, 5 secondes. Optique : éclats tournants, 4 lentilles de Fresnel, focale 0.375m. Lanterne : Halogénures métalliques, 250 W. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Phare_de_Cayeux

Phare de Dunkerque. Source : http://data.abuledu.org/URI/53590f4c-phare-de-dunkerque-risban

Phare de Dunkerque

Le phare de Dunkerque ou phare du Risban est un phare côtier portuaire automatisé de premier ordre. C'est le plus haut de France de ce type. Il est encore en service et peut être visité. Le phare de Dunkerque est bâti sur les ruines du fort Risban (ou Gros Risban) aménagé par Vauban à partir de 1681 (d'où le nom de phare de Risban), sur lequel se trouvait initialement le premier phare de la ville, un fanal allumé en 1683, qui fut emporté par une tempête en 1825. Construit en 1842 (la date est gravée à deux endroits) et mis en service l'année suivante, il fait partie des tout premiers phares érigés lors du premier plan de signalisation maritime français organisé par le capitaine de Rossel et Augustin Fresnel en 1825. Les travaux entrepris en 1883 pour l'installation de l'éclairage et du bâtiment annexe pour les machines et le logement des conducteurs sont dus à l'ingénieur Lyriaud des Vergnes. Le feu n'a cessé d'être renforcé. En 1885, le phare de Risban sera l'un des premiers feux électrifiés au moyen d'une lampe à arc actionnée par des magnéto-génératrices. Avant son électrification, les combustibles employés furent successivement de l'huile végétale (1843), puis de l'huile minérale (1875). Le phare fut sérieusement endommagé par les bombardements de 1940 et d’importants travaux de réparation seront programmés dès 1946. Le phare est automatisé depuis 1985. Il a été restauré en 1992. Hauteur : 63 m - Elévation : 66.35 m - Portée : 28 milles (environ 50 km). Feux : 2 éclats blancs 10 secondes. Optique : optique tournante de 2 x 2 éclats blancs groupés en 10 s. à 4 panneaux. Lentilles de renvoi aérien. Focale 0.50 m sur cuve à mercure modèle BBT. Lanterne : Halogénure métallique, 1000 W. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Phare_de_Dunkerque