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Photographie | Dessins et plans | Peinture | Gravure | Physique | Dix-neuvième siècle | Europe | Drapeaux | Électrostatique | Philosophes grecs | Oiseaux | Géographie | Quatorzième siècle | Seizième siècle | Biologie animale | Cartographes | Fillettes | Méridien de Greenwich | Heure avancée | Heure d'hiver et heure d'été | ...
Adalbéron de Laon. Source : http://data.abuledu.org/URI/47f3f7ef-adalb-ron-de-laon

Adalbéron de Laon

Si Adalbéron n'avait fait qu'écrire la courte satire dont nous publions ici la traduction, sa vie nous serait probablement aussi obscure que son ouvrage; mais il fut intrigant, brouillon, de mœurs peu réglées, et son activité mondaine a donné à son nom une place que ne lui auraient point value ses vers. Né en Lorraine, d'une famille qui possédait de grandes richesses, il étudia à Reims

Affiche publicitaire des Biscuits de Beukelaer. Source : http://data.abuledu.org/URI/52a08d76-affiche-publicitaire-des-biscuits-de-beukelaer

Affiche publicitaire des Biscuits de Beukelaer

Affiche publicitaire des Biscuits de Beukelaer, par Henri Privat-Livemont (1861-1936). Eduard Jacobus De Beuckelaer (1843-1919) est un industriel belge, fondateur et dirigeant de la biscuiterie/chocolaterie du même nom. Vers 1869, De Beukelaer démarra la production de biscuits sur des terrains achetés au zoo d'Anvers, près de la gare centrale. Il apprit des anglais comment fabriquer des biscuits gardant leur fraicheur. Il développa le fameux Prince Fourré en l'honneur du futur roi Léopold II, le Petit-Beurre et le Cent Wafer entre autres. Il commença aussi à fabriquer des barres de chocolat, des caramels, des toffees, du spéculoos.

Alice et la mare de larmes. Source : http://data.abuledu.org/URI/532d71d8-alice-et-la-mare-de-larmes

Alice et la mare de larmes

Alice et la mare de larmes, illustration d'Arthur Rackham (1867-1939) : "Il était grand temps de s’en aller, car la mare se couvrait d’oiseaux et de toutes sortes d’animaux qui y étaient tombés. Il y avait un canard, un dodo, un lory, un aiglon, et d’autres bêtes extraordinaires. Alice prit les devants, et toute la troupe nagea vers la rive."

Alice sort un dé de sa poche. Source : http://data.abuledu.org/URI/50cf8bfb-alice-sort-un-de-de-sa-poche

Alice sort un dé de sa poche

Alice sort un dé de sa poche, illustration d'origine (1865), par John Tenniel (28 février 1820 – 25 février 1914), du roman de Lewis Carroll, Alice au pays des merveilles : « Mais il faut aussi qu’elle ait un prix, elle, » dit la Souris. « Comme de raison, » reprit le Dodo gravement. « Avez-vous encore quelque chose dans votre poche ? » continua-t-il en se tournant vers Alice. « Un dé ; pas autre chose, » dit Alice d’un ton chagrin. « Faites passer, » dit le Dodo. Tous se groupèrent de nouveau autour d’Alice, tandis que le Dodo lui présentait solennellement le dé en disant : « Nous vous prions d’accepter ce superbe dé. » Lorsqu’il eut fini ce petit discours, tout le monde cria « Hourra ! » Alice trouvait tout cela bien ridicule, mais les autres avaient l’air si grave, qu’elle n’osait pas rire ; aucune réponse ne lui venant à l’esprit, elle se contenta de faire la révérence, et prit le dé de son air le plus sérieux.

Ambre brut. Source : http://data.abuledu.org/URI/505ec9b2-ambre-brut

Ambre brut

Photographie d'un morceau d'ambre brut de Colombie (Staatliches Museum für Naturkunde Karlsruhe, en Allemagne). Surtout connu pour son théorème, Thalès a également réalisé des constatations physiques ; il est même considéré comme le premier « physicien ». On lui doit notamment la première connaissance de l'électricité, grâce à deux expériences. Il remarqua d'abord que l'ambre avait la propriété d'attirer les matériaux légers comme le tissu (le mot « électricité » (ἤλεκτρον, elektron en grec ancien) est par ailleurs donné en référence à l'ambre jaune). Une autre expérience réalisée en Magnésie, vers -600, lui permet de mettre en évidence les propriétés d'aimantation de l'oxyde de fer.

Assiette de mûres. Source : http://data.abuledu.org/URI/506e880f-assiette-de-mures

Assiette de mûres

Assiette de mûres bonnes pour la dégustation. Le mûrier noir (Morus nigra) porte toujours des fruits violets foncés ou noirs. Il donne des fruits comestibles d'environ 25 mm de long, très tachants et fragiles qui arrivent à maturité vers la mi-août. Ils doivent être consommés rapidement car ils sont rapidement périssables.

Astrolabe de 1569. Source : http://data.abuledu.org/URI/53ecddde-astrolabe-de-1569

Astrolabe de 1569

Grand astrolabe de Gualterus Arsenius (1530-1580), 1569, au Musée des Arts et Métiers (Paris). L'astrolabe, utilisé en voyage, permet d'ajuster la représentation du ciel local en fonction de la latitude du lieu. L'utilisation de l'instrument, en conjonction avec la boussole, permet de grands progrès dans la capacité des navigateurs à se repérer en mer. L'astrolabe a probablement été inventé vers le IIe siècle av. J.-C. par Hipparque et amélioré dans le monde islamique, avant d'atteindre l'Europe vers 970, par l'intermédiaire du moine Gerbert d'Aurillac, qui le ramène d'Espagne, d'où il rapporte nombre de connaissances scientifiques transmises par les Arabes. L'auteur anglais Geoffrey Chaucer (v.1343–1400) écrit un traité sur l'astrolabe pour son fils. Au XVe siècle, le fabricant français d'instruments Jean Fusoris (v.1365–1436) commence à les vendre. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Histoire_des_bateaux

Babiroussa mâle d'Indonésie. Source : http://data.abuledu.org/URI/53b98e5a-babiroussa-male-d-indonesie

Babiroussa mâle d'Indonésie

Le nom provient du malais, babi (porc) et rusa (cerf). Le babiroussa dispose de deux paires de défenses situées sur le museau. Chez le mâle, la paire supérieure est plus développée (jusqu'à 30 cm) et recourbée vers l'arrière jusqu'à pénétrer dans la peau. Les mâles sont assez solitaires tandis que les femelles vivent en petits troupeaux dans la forêt. Il est surtout actif en matinée et reste à proximité des points d'eau. Très bon nageur, il peut passer d'île en île. En petits groupes familiaux, ils parcourent les marécages des quelques îles où ils vivent à la recherche de fruits, de jeunes pousses ou de feuilles. Ils n'hésitent pas à nager lorsqu'un bras de mer se présente. Les babiroussas sont des animaux discrets et timides. En permanence sur le qui-vive, ils se dissimulent à la moindre alerte sous la végétation. Il occupe un terrier composé de boue et de paille. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Babiroussa Son alimentation est composée de fruits, de feuilles, de champignons et de larves d'insectes.

Bioconcentration de mercure en chaîne alimentaire. Source : http://data.abuledu.org/URI/50f9b580-bioconcentration-de-mercure-en-chaine-alimentaire

Bioconcentration de mercure en chaîne alimentaire

Ce schéma présente (de manière très simplifiée) la cinétique environnementale du mercure émis par quelques sources communes de ce métal, et sa ''bioconversion'' en méthylmercure toxique. Il traduit aussi les grandes lignes des recommandations de l'EPA pour certains types de poissons qui bioaccumulent le plus le mercure. Le mercure émis par les centrales électriques au charbon et d'autres sources se déplace via l'atmosphère vers l'eau ; une partie se transforme (dans les sédiments surtout) en méthylmercure (plus toxique et qui entre facilement dans la chaîne alimentaire où il se concentre à chaque étape de cette chaîne ou pyramide). Ceci explique que les grands prédateurs comme les cachalots, orques, requins, espadons, thons ou les vieux brochets, ou des charognards comme le flétan contiennent les taux de mercure les plus élevés. Le mercure est particulièrement problématique pour le développement ; c'est pourquoi les limites ici présentées ont été conçues pour protéger les femmes qui pourraient devenir enceintes et les enfants de 12 ans ou moins. Les cétacés, des dauphins, bélugas et marsouins aux cachalots en passant par les orques peuvent bioconcentrer de grandes quantité de mercure méthylé, mais hors quelques exceptions (Japon, norvège...), ils ne sont habituellement pas consommés. Sources de mercure : volcans, geysers, industrie, incinérations, crématoriums, mines, décharges, munitions anciennes.

Blanche Neige dans son cercueil de verre. Source : http://data.abuledu.org/URI/52bb5921-blanche-neige-dans-son-cercueil-de-verre

Blanche Neige dans son cercueil de verre

Blanche Neige dans son cercueil de verre, vers 1890, par Marianne Stokes (1855-1927). Inscription en anglais : (WE CANNOT LAY HER IN THE DARK EARTH, SAID THE DWARFS AND SO THEY HAD A TRASPARENT GLASS COFFIN MADE SO THAT SHE COULD BE SEEN FROM EVERY SIDE, LAID HER IN IT AND WROTE ON IT HER NAME AND THAT SHE WAS A KING'S DAUGHTER ; THEN THEY CARRIED THE COFFIN INTO THE WOOD AND SOME OF THEM ALWAYS WATCHED HER AND THE BIRDS ALSO CAME AND BEWAILED SNOWDROP. FIRST AN OWL THEN A RAVEN AND LASTLY A DOVE. SO SNOWDROP LAY A LONG TIME IN HER COFFIN LOOKING AS THOUGH SHE WERE ASLEEP). « Il ne faut pas l'enterrer sous-terre dans le noir ! » se dirent les nains. Alors ils fabriquèrent un cercueil trnsparent en verre pour qu'on puisse la voir de tout côté, ils l'allongèrent à l'intérieur avec une inscription portant son nom et précisant qu'elle était fille de roi. Puis ils transportèrent le cercueil dans le bois et firent la garde à tour de rôle. Et les oiseaux se joignirent à eux pour veiller sur Blanche-Neige : une chouette, un corbeau puis une tourterelle. C'est ainsi que Blanche-Neige reposa longtemps dans son cercueil, comme si elle y dormait.

Bouquetins en position de combat. Source : http://data.abuledu.org/URI/516d5c0e-bouquetins-en-position-de-combat

Bouquetins en position de combat

Bouquetins des Alpes dressés sur leurs pattes arrières, en position de combat, dans un troupeau. Le bouquetin est un animal polygame. La période de rut commence début décembre pour se terminer mi-janvier. Les bouquetins mâles et femelles se regroupent. Au sein de ces troupeaux se crée une hiérarchie. Il y a généralement un mâle dominant par groupe – souvent parmi les plus vieux-, qui s'impose après un combat de cornes, combats rarement violents qui s'échelonnent tout au long de l'année et dont on peut entendre le choc très caractéristique jusqu'à un kilomètre de distance. Le dominant se réserve le droit de saillir la femelle de son choix, de sorte que les mâles plus jeunes ont moins de chance de se reproduire, alors qu'ils se montrent beaucoup plus excités... La maturité sexuelle des mâles est atteinte vers 18 mois, 2 ans pour les étagnes. Pour les femelles, la meilleure productivité se situe entre 3 et 13 ans avec un maximum aux alentours de 8 ou 9 ans. Les mâles peuvent eux se reproduire jusqu'à l'âge de 16-17 ans et les femelles jusque vers 14-15 ans.

Brighella le valet bouffon vers 1570. Source : http://data.abuledu.org/URI/51c14fe5-brighella-le-valet-bouffon-vers-1570

Brighella le valet bouffon vers 1570

Brighella ou Briguelle en français est un des types les plus anciens et les plus constants du valet bouffon de la comédie italienne. Son nom vient de briga, querelle. Il est, comme Arlequin, originaire de Bergame en Lombardie, mais il est plus astucieux puisqu’il habite la ville « haute ». Il se définit lui-même ainsi : « Je suis un homme fameux pour les fourberies et les plus belles, c’est moi qui les ai inventées. » Toujours habillé de vert et blanc avec un masque noir ou olive sur le visage, il porte une bourse et un poignard à sa ceinture ; ce type de valet revient souvent chez Molière : par exemple, Scapin, personnage principal des "Fourberies de Scapin", qui lui aussi était un fourbe.

Caravane de Marco Polo en 1375. Source : http://data.abuledu.org/URI/53b410c8-caravane-de-marco-polo-en-1375

Caravane de Marco Polo en 1375

La caravane de Marco Polo voyageant vers les Indes, "Coureurs des mers", Poivre d'Arvor : l’Atlas catalan est une mappemonde du XIVe siècle, réalisée vers 1375 et traditionnellement attribuée à Abraham Cresques, un cartographe juif majorquin de Palma. Il est offert par le roi d'Aragon au roi Charles V de France et est attesté dans l'inventaire de la bilbiothèque du roi de France en 1380 puis fait partie des collections royales. Considéré comme le chef-d'œuvre de la cartographie du XIVe siècle, il est aujourd'hui conservé à la Bibliothèque nationale de France (cote MSS. ESP. 30). Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Atlas_catalan

Carte de la côte orientale africaine. Source : http://data.abuledu.org/URI/52193340-carte-de-la-cote-orientale-africaine

Carte de la côte orientale africaine

Rigobert Bonne (1727–1795), Partie de la côte orientale d’Afrique avec l’Isle de Madagascar et les cartes particulieres des Isles de France et de Bourbon. Projette et assujetie aux observations astronomiques, Paris 1791. Original: 31 x 42 cm. Source : Atlas moderne ou collection de cartes sur toutes les parties du globe terrestre par plusieurs auteurs. Rigobert Bonne était un géographe, ingénieur hydrographe et cartographe français, maitre de mathématiques du XVIIIe siècle. Il est nommé en 1775 cartographe du Roi de France au Service Hydrographique de la Marine (le Dépôt des cartes et plans de la Marine est créé sur ordre du Roi Louis XV en 1720). Vers 1780, il définit précisément la projection qui portera alors son nom: la Projection de Bonne. Il a entre autres produit des cartes pour les ouvrages de l'abbé Raynal et pour l'Encyclopédie méthodique de Nicolas Desmarest.

Carte du Beatus de Saint Sever. Source : http://data.abuledu.org/URI/506897e1-carte-du-beatus-de-saint-sever

Carte du Beatus de Saint Sever

C'est le seul Beatus connu copié à l'époque romane au nord des Pyrénées. Il a été produit à l'Abbaye de Saint-Sever en Gascogne pendant l'abbatiat de Grégoire de Montaner qui dura 44 ans (de 1028 à 1072), donc vers le milieu du XIe siècle. Nous connaissons le nom d'un scribe, qui était peut-être aussi peintre : Stephanius Garsia. (Bibliothèque nationale de France, cote Ms Lat. 8878)

Cathédrale de Gniezno de nuit en Pologne. Source : http://data.abuledu.org/URI/55102fc6-cathedrale-de-gniezno-de-nuit-en-pologne

Cathédrale de Gniezno de nuit en Pologne

Cathédrale de Gniezno de nuit en Pologne. D’après la légende, trois frères (Lech, Czech et Rus), cherchant un endroit pour s’établir, ont pénétré dans ce territoire sauvage. Tout à coup, ils ont vu une colline avec un vieux chêne et un aigle au sommet. Lech a décidé d’adopter cet aigle blanc comme emblème de son peuple et de bâtir une forteresse autour du vieux chêne. À cause du nid d’aigle (en polonais Gniazdo), il a décidé d’appeler cet endroit Gniezdno (devenu aujourd’hui Gniezno). Ses frères l’ont laissé, Czech est parti vers le sud, Rus vers l’est. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Gniezno

Chancelier sous des parasols au dix-septième siècle. Source : http://data.abuledu.org/URI/539a1888-chancelier-sous-des-parasols-au-dix-septieme-siecle

Chancelier sous des parasols au dix-septième siècle

Portrait équestre de Pierre Séguier, chancelier de France (1655-1661), par Charles Le Brun (1619–1690) et autoportrait comme écuyer. Musée du Louvre, Sully, 2e étage, Salle 31 : Philippe de Champaigne. Le chancelier sur un cheval, est placé au centre de la composition et est entouré de six écuyers et pages à pied, habillés dans des tons bleu. Le fond est composé d'un ciel sombre. Le chapeau à bordure ronde que porte Séguier est le mortier traditionnel des chanceliers de France. Sa présence est un marqueur de son statut. Le cordon de l'Ordre du Saint-Esprit est peut-être une distinction à laquelle il attachait une importance particulière. La richesse des parures et broderies couleur or sont en lien avec les honneurs faits au cavalier. Les deux parasols sont signes de protection. Ce symbole réfère à la personnalité du chancelier, protecteur des arts. Le Brun s'est représenté sous les traits de l'écuyer qui tient le parasol. Ceci est une marque d'allégeance pour la protection de laquelle il a profité. Le regard qu'il jette vers la gauche du tableau réfère à son passé. En 1642, il part pour Rome avec une pension annuelle de 200 écus données par Séguier, auquel il doit de précieuses lettres de créance. Et de retour en France, en 1646, il obtient une place vacante de valet de chambre du roi, qu'il achète ou obtient de Séguier. Séguier est aussi devenu protecteur de l'Académie après la mort de Mazarin. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Le_Chancelier_Seguier

Cirque d'été, aux Champs-Elysées. Source : http://data.abuledu.org/URI/514ead48-cirque-d-ete-aux-champs-elysees

Cirque d'été, aux Champs-Elysées

Gravure représentant un des quatre cirques sédentaires en activité à Paris à la fin du XIXème siècle : le Cirque des Champs-Élysées (1841-1898), connu sous les noms de Cirque de l'Impératrice ou de Cirque d'été, qui pouvait contenir jusqu'à 3 500 places. Source : "Dictionnaire historique et pittoresque du théâtre", d'Arthur Pougin (1885). page 209. Cette salle parisienne fut édifiée en 1841 au carré Marigny par l'architecte Jacques Hittorff, elle est aujourd’hui disparue. Pendant du Cirque d’hiver, construit par Hittorf pour Dejean boulevard du Temple en 1852, il fonctionnait du 1er mai au 1er septembre. L’acoustique y était si bonne qu'Hector Berlioz y donna une série de concerts en 1845. En 1847, les spectateurs payaient 2 francs au pourtour et 1 franc à l’amphithéâtre. Devenu un temps Cirque-National, il connut son apogée sous le Second Empire sous le nom de Cirque de l’Impératrice à partir de 1853 (le Cirque d’hiver devenant quant à lui le Cirque Napoléon). Sa grande attraction fut longtemps le clown Jean-Baptiste Auriol. Caroline Otero et Émilienne d'Alençon y firent leurs débuts. Son succès se prolongea jusque dans les années 1880. Le Tout-Paris s'y précipitait le samedi, jour réputé chic. Petit à petit délaissé par le public après l’exposition universelle de Paris de 1889, il fut démoli vers 1900, laissant son nom à la rue du Cirque.

Cistre allemand. Source : http://data.abuledu.org/URI/532b01bd-cistre-allemande

Cistre allemand

Le cistre est un instrument à cordes pincées qui semble avoir fait son apparition vers le XVe siècle et qui est encore répandu en Europe. Héritier de la citole, le cistre connut deux périodes d'intense prédilection : 1) la plus longue dura du début du XVIe à la moitié du XVIIe siècle. Il y acquiert les caractéristiques qui sont encore les siennes de nos jours. À cette époque, la pratique du cistre est proche de celle du luth mais d'un statut inférieur, plus populaire et plus simple. Les amateurs le pratiquent assidûment, et les recueils mis à leur disposition sont nombreux. Mais, vers le milieu du XVIIe siècle, sans raison apparente, il tombe dans l'oubli. 2) vers 1770 il refait surface. Là, c'est un véritable engouement du public et pour répondre à la demande, les compositeurs vont rivaliser d'imagination, au point que la production en perd sa qualité. Un facteur imagine même d'y adapter une petite table mécanique de pianoforte et de petits marteaux actionnés par l'intermédiaire d'un clavier. Les cordes sont pincées au plectre en bec de plume, au médiator comme pour la guitare folk, ou plus rarement avec des onglets en métal comme pour la guitare dobro. Certains comme Chris Thompson utilisent un bottleneck pour jouer du blues. Le cistre est encore pratiqué en Suisse, en Autriche et en Allemagne : il fait partie de la musique folklorique ou populaire depuis des siècles, dans des versions spécifiques (waldzither, halszither).

Composantes d'un radar monostatique. Source : http://data.abuledu.org/URI/5232f5e3-composantes-d-un-radar-monostatique

Composantes d'un radar monostatique

Composantes d'un radar monostatique : 1) L'émetteur qui produit l'onde radio. 2) Un guide d'onde qui amène l'onde vers l'antenne sur les radars à hyperfréquences (fréquences supérieures au gigahertz). 3) Le duplexeur, un commutateur électronique, dirige l'onde vers l'antenne lors de l'émission puis le signal de retour depuis l'antenne vers le récepteur lors de la réception quand on utilise un radar monostatique. Il permet donc d'utiliser la même antenne pour les deux fonctions. Il est primordial qu'il soit bien synchronisé, puisque la puissance du signal émis est de l'ordre du mega-watt ce qui est trop important pour le récepteur qui, lui, traite des signaux d'une puissance de l'ordre de quelques nano-watts. Au cas où l'impulsion émise serait dirigée vers le récepteur, celui-ci serait instantanément détruit.

Concorde : transfert de carburant. Source : http://data.abuledu.org/URI/50d5d8f7-concorde-transfert-de-carburant

Concorde : transfert de carburant

Le transfert de carburant : A : décollage, B : croisière, C : retour en subsonique. En plus de l’alimentation des réacteurs, le carburant remplit une autre fonction : il est utilisé pour le centrage. Après le passage du mur du son, l’équilibre aérodynamique est modifié, le centre de poussée recule. Pour compenser cet effet, le centre de gravité de l’appareil est déplacé vers l'arrière. Sur Concorde, la seule masse déplaçable est le carburant. Le transfert du carburant se fait de l’avant vers l’arrière pour le vol supersonique et le contraire pour le retour en subsonique comme sur le Dassault Mirage IV. Trois réservoirs situés dans le fuselage, deux à l’avant et un à l’arrière servaient principalement à cette fonction. Le transfert s’effectue par deux conduits dits « main gallery » entre les trois réservoirs. Pendant ces transferts, le déplacement du carburant est entendu en cabine. À Mach 0,93, transfert vers l’arrière du carburant, aux environs de Mach 1,2, début du transfert vers l’avant. Pendant l'avitaillement, la séquence de chargement du carburant permet de ne pas « poser » l’avion sur la roulette de queue. Une table des volumes des réservoirs permet de connaître la répartition du carburant. Sur cet avion, le carburant est également utilisé pour le refroidissement de l’air de conditionnement de la cabine.

Conte du lion blessé. Source : http://data.abuledu.org/URI/5251c9b1-conte-du-lion-blesse

Conte du lion blessé

Illustration des contes de fées de Joseph Jacobs (1854-1916), par John Dickson Batten (1860-1932), p.107 : le lion blessé. Androclès fut un esclave romain. On raconte qu'ayant été livré aux bêtes dans le Grand cirque de Rome pour s'être enfui de chez son maître, proconsul d'Afrique, il fut reconnu et épargné par un lion dont il avait guéri une blessure dans les déserts de l'Afrique. L'empereur, apprenant cette explication de la bouche d'Androclès, le gracia et lui fit cadeau du lion. Androclès le promena en laisse dans la ville, recevant de l'argent des passants. Cet événement est placé vers le Ier siècle. Il n'a d'autre garant que le récit d'Aulu-Gelle, qui le cite d'après Apion, qui en aurait été le témoin à Rome probablement sous Caligula.

Drapeau de la Croatie. Source : http://data.abuledu.org/URI/537a6679-drapeau-de-la-croatie

Drapeau de la Croatie

Le drapeau de la Croatie est composé de trois bandes horizontales, rouge, blanche et bleue selon les couleurs panslaves, mais avec une inversion du bleu et du rouge. Au milieu est placé le blason de la Croatie. Le blason est échiqueté de gueules et d'argent. Il était échiqueté d'argent et de gueules avant la république socialiste. Il est surmonté, de senestre à dextre (de gauche à droite), de cinq petits écus qui représentent les régions constitutives du pays. 1) d'azur au mullet de six branches d'or en chef et au croissant d'argent en champagne, les pointes vers le chef (Vieille Croatie) ; 2) d'azur à deux faces de gueules (Raguse) ; 3) d'azur aux trois têtes de léopard couronnées et lampassées d'or, disposés deux et un (Dalmatie) ; 4) d'azur au cerf d'or, saboté et lampassé de gueules (Istrie) ; 5) d'azur à la face de gueules bordée d'argent, accompagnée en chef d'une étoile d'or à six branches (Slavonie). Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Drapeau_de_la_Croatie

Drapeau de la République tchèque. Source : http://data.abuledu.org/URI/537a7b58-drapeau-de-la-republique-tcheque

Drapeau de la République tchèque

Drapeau de la République tchèque : il est identique au drapeau de l'ancienne Tchécoslovaquie : au premier janvier 1993, lors de la séparation des deux États, la Tchéquie a choisi de garder le drapeau de l'ancienne fédération tandis que la Slovaquie a repris son drapeau historique. Il est composé de trois couleurs : bleu, blanc et rouge, couleurs panslaves adoptées à la convention panslave de Prague en 1848. Le blasonnement pourrait être "parti d'argent et de gueules enté en pointe d'azur". Le coin bleu est toujours fixé au mat. En position verticale, la bande blanche doit être à la gauche de l'observateur et le coin bleu dirigé vers le sol. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Drapeau_de_la_R%C3%A9publique_tch%C3%A8que

Effet "Coupé" au tennis. Source : http://data.abuledu.org/URI/50b15f22-effet-coupe-au-tennis

Effet "Coupé" au tennis

Effet coupé au tennis. Une balle coupée est une balle qui va être frappée, avec un mouvement de rotation de l'avant vers l'arrière. Une balle coupée aura ainsi tendance à être ralentie avant et après le rebond (où la vitesse de la balle diminue de 75 %), et à s'écraser (rebond le plus haut dans des conditions similaires). Un coup coupé confère cependant une certaine sécurité, car la balle est bien contrôlée. Le coup le plus facile à couper reste le revers, car le mouvement de raquette du haut vers le bas se fait de façon assez naturelle de ce côté. Utilisé le plus souvent en défense, le coup coupé permet de se sortir de situations difficiles, ou de casser le rythme après un échange dominé par le lift ou les coups à plat. Il est également possible de couper en coup droit, surtout en bout de course, mais le coup droit coupé reste souvent un coup défensif (ou une amortie), alors qu'en revers, il peut être utilisé pour monter au filet, ou réaliser un "passing shot".

Effet Doppler-Fizeau. Source : http://data.abuledu.org/URI/5232fb97-effet-doppler-fizeau

Effet Doppler-Fizeau

Effet Doppler-Fizeau : ondes émises par une source se déplaçant de la droite vers la gauche. La fréquence est plus élevée à gauche (à l'avant de la source) qu'à droite. Méthode pour mesurer la vitesse de déplacement d'une cible : on peut noter la variation de fréquence de l'onde émise par rapport à celle reçue lorsqu'on émet continuellement à une fréquence fixe. Il s'agit là de l'utilisation de l'Effet Doppler-Fizeau. Comme on ne fait pas varier la fréquence émise, on ne peut cependant pas définir la position de la cible de cette manière. En plus, on n'a que la composante radiale au radar de la vitesse. Par exemple, une cible se déplaçant perpendiculaire au faisceau radar ne causera pas de changement de fréquence alors que la même cible se déplaçant vers le radar à la même vitesse provoquera un changement maximal. La plus courante des méthodes est d'utiliser une variante de l'effet Doppler avec un radar à impulsions. Dans ce cas, on note la différence de phase entre les impulsions successives revenant de la cible. Cette méthode permet de déterminer la vitesse radiale ET la position de la cible.

Électrophore de Volta. Source : http://data.abuledu.org/URI/50c27c61-electrophore-de-volta

Électrophore de Volta

Illustration d'un électrophore de Volta : manche isolant, disque, résine, moule ; peau de chat. Source : Leçons de Physique ; Éditions Vuibert et Nony, 1904. L'électrophore de Volta (Alessandro Volta, vers 1775) : Il se compose d'un gâteau de résine coulé dans un moule et d'un disque de laiton muni d'un manche isolant. C'est une source d'électricité créée par influence. On frappe le gâteau de résine avec une peau de chat, puis on dispose le disque conducteur au-dessus, sans qu'il y ait contact : l'électricité négative de la résine développe par influence de l'électricité positive sur la face inférieure du disque et de l'électricité négative sur la face supérieure. On touche alors le disque avec le doigt, l'électricité négative s'écoule vers le sol par l'intermédiaire du corps humain. On cesse alors le contact avec le doigt : le disque qu'on éloigne, en le tenant par le manche isolant, est alors chargé d'électricité positive. Le disque ainsi chargé permet de faire jaillir une étincelle entre lui et tout corps conducteur. Les machines à influence peuvent être considérées comme des électrophores momentanément perpétuels par addition de charges. L'énergie mécanique est transformée en énergie électrique par l'apport additionnel de charges à une petite charge initiale.

Empire du Mali. Source : http://data.abuledu.org/URI/52d044d1-empire-du-mali-

Empire du Mali

Empire du Mali au début du XIVème siècle : le long du Niger, Djenné, Toumbouctou et Gao. L’empire du Mali est un empire africain du Moyen Âge. Fondé au XIIIe siècle par Soundiata Keita, il connut son apogée au XIVe siècle. Il est le berceau de la charte du Manden. Il était un carrefour important entre les peuples nomades du Sahara et les peuples de l'Afrique noire équatoriale. Son économie reposait sur l'agriculture, l'artisanat, l'exploitation des mines d'or, et le commerce de l'ivoire vers le bassin méditerranéen.

Faucon gerfaut. Source : http://data.abuledu.org/URI/51339b82-faucon-gerfaut

Faucon gerfaut

Faucon gerfaut, aquarelle de Archibald Thorburn (1860-1935), illustrateur écossais spécialiste des oiseaux et de leur environnement naturel. Le gerfaut ou faucon gerfaut (Falco rusticolus) est une espèce de rapace qui vit dans les régions les plus septentrionales de l'hémisphère nord en Europe et en Amérique. Il fréquente très souvent les régions rocheuses à la limite des arbres et parfois les côtes marines et les toundras. Son envergure atteint 1,35 m pour une longueur de 51 à 56 cm et son poids varie généralement entre 1 et 1,6 kg. C'est le plus grand faucon du monde. Il se nourrit d'oiseaux marins (mouettes...), de lagopèdes et de petits mammifères (campagnols, lemmings...), son régime alimentaire varie selon les endroits où il vit. "Comme un vol de gerfauts hors du charnier natal" est le premier vers du Poème "Les conquérants" (env. 1868) de José-Maria de Heredia.

Foudre descendante nuage-sol. Source : http://data.abuledu.org/URI/533c7992-foudre-descendante-nuage-sol

Foudre descendante nuage-sol

Coup de foudre (éclair nuage-sol), juillet 2006 près d'Issoudun dans l'Indre (36). Il existe deux types de foudre nuage-sol : soit descendant (sommet du nuage vers le sol) ou soit ascendant (sol vers base du nuage). Le type descendant est le plus fréquent. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Foudre

Four solaire. Source : http://data.abuledu.org/URI/50cb3fee-four-solaire

Four solaire

Four solaire d'Odeillo : Le principe utilisé est celui de la concentration des rayons par des miroirs réfléchissants. Les rayons solaires sont captés par une première série de miroirs orientables situés sur la pente, puis envoyés vers une deuxième série de miroirs (les « concentrateurs »), disposés en parabole. De là ils convergent vers une cible circulaire au sommet d'une tour centrale ; cette cible a à peine 40 cm de diamètre. C'est une installation du CNRS qui abrite le laboratoire PROMES, dont les principaux axes de recherches sont les matériaux et conditions extrêmes ainsi que la conversion, le stockage et le transport de l'énergie. Il est possible pour le public de visiter une exposition dans l'établissement, on y apprend quelques principes simples sur les énergies renouvelables et l'environnement, le principe de fonctionnement d'un four solaire, et aussi y visionner un film rendant compte des recherches actuellement conduites au sein du laboratoire PROMES. Des démonstrations de combustion et de fusion de matériaux sont également réalisées à l'extérieur du four, à l'aide de miroirs paraboliques de projecteurs de DCA datant de la seconde guerre mondiale et utilisés "à l'envers".

Funiculaire. Source : http://data.abuledu.org/URI/51b05b72-funiculaire-

Funiculaire

Le Funiculaire de Saint Hilaire du Touvet est le seul Funiculaire touristique des Alpes Françaises. Il a été construit entre 1920 et 1923, pour desservir les Etablissements de Cure du Plateau des Petites Roches, et mis en service le 19 juillet 1924. Il vous conduit de 260 m, en gare basse de Montfort, à 1000 m d'altitude, en gare haute de Saint Hilaire du Touvet, par une voie ferrée unique de 1480 m de long. Cette voie grimpe au milieu des rochers, et son inclinaison tend toujours plus vers la verticale, jusqu'à 83% de pente (record absolu pour un transport de voyageurs) au moment où il s'enfonce dans le tunnel de 130 m de long ; tunnel le plus incliné du monde.

Gnou noir à queue blanche au galop. Source : http://data.abuledu.org/URI/516d41e2-gnou-noir-a-queue-blanche-au-galop

Gnou noir à queue blanche au galop

Le gnou noir (Connochaetes gnou) ou gnou à queue blanche est une espèce de gnou de la famille des bovidés qui semble ne plus exister à l'état sauvage que dans les réserves d'Afrique du Sud où sa population est stable voire croissante. Très grégaire, il vit en troupes importantes de 10 à 50 individus. Les gnous à queue blanche ont un pelage marron chocolat. Il possède une barbe et une crinière touffue, cependant cette dernière est dressée contrairement à celle du gnou bleu. Cette crinière est blanche et noir à l’extrémité. Ils sont reconnaissables également avec la touffe de poils qu’ils portent sur l’arrête du nez. Son pelage est plus épais que celui du gnou bleu, car il peut habiter des régions plus froides, il fait donc une mue au printemps. La queue longue de 80 à 100 cm est toujours blanche. Ses cornes courbés et pointés vers l'avant comme un guidon sont bien développés et peuvent mesurer de 50 à 80 cm. Les gnous à queue blanche sont de taille plus réduite que le gnou bleu, leurs corps mesurent de 170 à 220 cm de longueur, pour 100 cm à 120 cm de hauteur au garrot (1.10 m en moyenne) et un poid allant de 110 à 180 kg maximum, avec une moyenne de 130 kg pour les femelles et de 160 kg pour les mâles. Ruminant, herbivore, le gnou à queue blanche se nourrit principalement d'herbes, de feuilles de buissons et d’arbustes. Il est capable de ne pas boire pendant une semaine. Les gnous à queue blanche peuvent parfois se faire attaquer par les lions, les hyène brunes, les léopards, les lycaons et les crocodiles. Le gnou à queue blanche est une antilope, avec ses membres longs et fins, il peut courir jusqu'à 90 km/h pour échapper à ses prédateurs. De plus, il n'hésite pas à charger s'il se sent menacé.

Goéland à bec cerclé au Québec. Source : http://data.abuledu.org/URI/5356a51d-goeland-a-bec-cercle-au-quebec

Goéland à bec cerclé au Québec

Un goéland à bec cerclé (Larus delawarensis) sur une plage à St-Irénée, Québec. Les adultes mesurent 49 cm de long et ont une envergure de 124 cm. Ils possèdent une tête, un cou et un dessous blancs ainsi qu'un bec jaune relativement petit orné d’un anneau noir. Le dos et les ailes sont gris-argent, les pattes et les yeux sont jaunes. Ce sont des oiseaux migrateurs et la plupart se déplacent au sud vers le golfe du Mexique, les côtes atlantiques et pacifiques de l'Amérique du Nord mais aussi vers les Grands Lacs. Le goéland à bec cerclé se déplace de plus en plus fréquemment vers l'ouest de l'Europe : Irlande, Grande-Bretagne et France où il n'est plus classé comme une rareté, de nombreux oiseaux hivernant dans ces pays. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Go%C3%A9land_%C3%A0_bec_cercl%C3%A9

Histoire du Théâtre Nord de Jerash. Source : http://data.abuledu.org/URI/54b44fd2-histoire-du-theatre-nord-de-jerash

Histoire du Théâtre Nord de Jerash

Histoire du Théâtre Nord de Jerash en jordanie, Panneau informatif, 8 novembre 2014 : Vers 130 après J.C - 749 après J.C. ; Le Théatre Nord de Gerasa est explicitement désigné comme étant un "odeion" dans la grande dédicace courant sur l'architrave de la "scaenae frons" (bâtiment de scène non restauré). Il était donc destiné à accueillir des récitals de musique, des déclamations poétiques etc. Cependant, dans un premier temps, il fut limité à un simple mur de scène percé de trois portes monumentales et à une "cavea" réduite (ensemble de sièges en hémicycle). Il accueillait les réunions de la "boulé" (conseil municipal) et d'une autre assemblée, à la proportionnelle, des représentants des douze tribus civiques de la cité, comme les inscriptions gravées sur les sièges en portent témoignage. C'est actuellement le plus bel exemple connu au monde où de telles informations sur l'organisation de la vie civique d'une ville antique sont conservées. Sa date de construction n'est pas connue mais peut être placée sous le règne de l'empereur Hadrien, peut-être même Trajan. Ce "bouleutérion" fut agrandi et transformé en "odeion" en 165/166 de notre ère. Il fut alors doté de rangées de sièges supplémentaires et d'un "velum", couverture amovible, en toile, sur câbles tendus. Abandonné, il fut réoccupé par des potiers à l'époque omeyyade avant d'être ruiné par le tremblement de terre de 749 après J.C.

Horaires du lever et coucher du soleil. Source : http://data.abuledu.org/URI/50dab79c-greenwich-gb-daylightchart-png

Horaires du lever et coucher du soleil

Horaires du lever et coucher du soleil à Greenwich (GB) en 2007, tenant compte de l’heure d’été. L’objectif est de réduire les consommations d’électricité en matière d’éclairage en soirée. Par exemple, le 31 mars en région parisienne, le jour se lève (en heure d’hiver), vers 6 h, et la nuit tombe vers 19 h 45. En décalant l’horaire d’une heure en avant, le jour se lève vers 7 h, et la nuit tombe vers 20 h 45. Il y a économie si la consommation d’électricité pour l’éclairage est moindre entre 6 h et 7 h par rapport à ce qu’elle est entre 19 h 45 et 20 h 45.

Il pleut, il pleut, bergère. Source : http://data.abuledu.org/URI/50afdf42-il-pleut-il-pleut-bergere

Il pleut, il pleut, bergère

Illustration de la chanson ''Il pleut, il pleut, bergère'', écrite par Fabre d'Églantine (1750-1794). Source : Théophile Marion Dumersan, "Chansons nationales et populaires de France", vol. I, 1866. Cette chanson est tirée de l'opérette "Laure et Pétrarque" écrite en 1780 par Fabre d'Églantine. La musique est du messin Louis-Victor Simon. La bergère à laquelle la chanson fait référence est en fait la reine Marie-Antoinette d'Autriche. Elle aimait à jouer les bergères au hameau de la Reine dans le parc du château de Versailles. L'orage pourrait être une allusion aux troubles qui conduisirent à la Révolution française. La petite histoire veut qu'elle ait été chantée lors de la création de la garde nationale, au lendemain de la prise de la Bastille, et que son auteur l'ait fredonnée quelques années plus tard en montant à l'échafaud. Elle s'est d'abord fait connaître sous le titre "Le Retour aux champs" avant de s'imposer sous son titre actuel vers 1787. Cependant, elle est encore connue de certains sous le nom de "L'Orage".

Jeu de l'oie. Source : http://data.abuledu.org/URI/50eafb24-jeu-de-l-oie

Jeu de l'oie

Le jeu de l'oie est un jeu de société de parcours où l'on déplace des pions en fonction des résultats de deux dés. Traditionnellement, le jeu de l'oie comprend 63 cases disposées en spirale enroulée vers l'intérieur et comportant un certain nombre de pièges. Le but est d'arriver le premier à la dernière case. Le jeu de l'oie est un jeu de hasard pur. La règle de base est intangible. Le jeu se joue avec 2 dés. Un premier coup décide de celui qui va commencer. L'oie signale les cases fastes disposées de 9 en 9. Nul ne peut s'arrêter sur ces cases bénéfiques et on double alors le jet. Qui fait 9 au premier jet, ira au 26 s'il l'a fait par 6 et 3 ou au 53 s'il l'a fait par 4 et 5. Qui tombe à 6, où il y a un pont, ira à 12. Qui tombe à 19, où il y a un hôtel, se repose quand chacun joue 2 fois. Qui tombe à 31, où il y a un puits attend qu'on le relève. Qui tombe à 42, où il y a un labyrinthe retourne à 30. Qui tombe à 52, où il y a une prison attend qu'on le relève. Qui tombe à 58, où il y a la mort, recommence. Le premier arrivé à 63, dans le jardin de l'oie, gagne la partie. A condition de tomber juste, sinon il retourne en arrière, sur autant de cases qu'il lui reste à parcourir.

Katana japonais de 1673. Source : http://data.abuledu.org/URI/5341a8f7-katana-japonais-de-1673

Katana japonais de 1673

Katana avec son fourreau du 17ème siècle, signé et daté de 1673 "Tsuda echizen omi (no) kami Sukehiro". Ce sabre japonais courbe se porte glissé dans la ceinture (le obi) tranchant vers le haut ; il se manie généralement à deux mains. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Katana

La mer. Source : http://data.abuledu.org/URI/50c4df70-la-mer

La mer

Huile sur toile (1871) de Gustave Courbet (1819–1877), Musée des Beaux-Arts de Caen. En 1841, Courbet découvre la mer, mais il faut attendre son passage à Montpellier pour qu’il en fasse un sujet pictural. Il préfère les termes « paysage de mer » au trop académique « marine ». La ligne d'horizon est clairement une ligne de fuite de la perspective. L'absence de lignes droites fuyant vers l'infini rend difficile d'affirmer si l'horizon est ou non ligne de fuite principale. Si vous partagez le sentiment que la mer y est peinte selon une vue en légère plongée, c'est-à-dire que l'artiste est situé sur un promontoire, alors l'horizon de ce tableau n'est pas pour vous une ligne principale.

Lapin aux aguets. Source : http://data.abuledu.org/URI/535ae7d0-lapin-aux-aguets

Lapin aux aguets

Lapin aux aguets (Oryctolagus cuniculus). On considère généralement que chacun des deux yeux du lapin a un champ de vision de 192°, voire plus. Au total, le champ de vision du lapin est de 360°, et la zone de vision binoculaire est de 24° devant lui et 30 ° au-dessus de la tête. En cas d'alerte, le lapin peut accroître cette vision binoculaire à 30° vers l'avant et 8 à 10° vers l'arrière en modifiant la position de ses yeux dans leurs orbites. C'est en effet uniquement dans la zone de vision binoculaire que l'animal peut évaluer la distance à laquelle se trouvent les éléments. Les oreilles seules peuvent obstruer la vision des lapins. Par ailleurs, il existe un angle mort une dizaine de cm devant le nez. Dans cette zone ce sont les vibrisses de l'animal qui permettent de percevoir les éléments placés devant lui. Les cellules de la rétine sensibles à la lumière sont peu denses chez le lapin, qui perçoit de ce fait une image floue. Il est donc plus sensible au mouvement des choses qu'à leur forme ; il peut percevoir les choses avec une très faible quantité de lumière, il peut donc voir dans l'obscurité. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Oryctolagus_cuniculus

Le botaniste grec Théophraste. Source : http://data.abuledu.org/URI/50983a41-le-botaniste-grec-theophraste

Le botaniste grec Théophraste

Théophraste, botaniste et philosophe grec, Jardin botanique de Palerme. Théophraste (en grec ancien Θεόφραστος / Théophrastos), est un philosophe grec né vers 371 av. J.-C. à Erèse (Lesbos) et mort vers 287 av. J.-C. à Athènes. Élève d'Aristote, il fut le premier scholarque du Lycée, de 322 à 288 av. J.-C. Un grand nombre d’observations personnelles ou vérifiées dans l’Histoire impliquent l’emploi de la même méthode : par exemple, Théophraste distingue les plantes d’après leurs parties, leurs accidents, leurs naissances, leurs manières de vivre, leurs usages. Dans "Recherches sur les plantes et Causes des plantes" il explique les différences d’après les principes d’Aristote ; il y a dans les deux ouvrages l’affirmation, implicite et explicite, que la nature est soumise à des lois régulières. Théophraste, dans le livre VI des Causes des Plantes, fait à peu près la même division des saveurs que Platon : la douce, l'acide, l'aigre, l'austère, la salée, l'acre, et l’amère.

Le bouc de Noël de Gävle en Suède. Source : http://data.abuledu.org/URI/519932f9-le-bouc-de-noel-de-gavle-en-suede

Le bouc de Noël de Gävle en Suède

Le bouc de Gävle est la version géante du traditionnel julbock, bouc de Noël suédois, faite de paille, érigée sur la Slottstorget du centre-ville de Gävle. Il a été érigé pour la première fois en 1966 à l'initiative de Stig Gavlén, qui souhaitait attirer des clients vers les commerces situés dans la partie sud du centre-ville. Construit le 1er décembre, il fut brûlé le 31. Chaque année depuis 1966, le bouc est reconstruit le 1er décembre et, par 21 fois, détruit (en général incendié) avant d'être démonté.

Le Canzoniere de Pétrarque. Source : http://data.abuledu.org/URI/5307767e-le-canzoniere-de-petrarque

Le Canzoniere de Pétrarque

Portrait de Laura Battiferri, vers 1550, tenant le Canzoniere de Pétrarque ouvert, par Bronzino (1503–1572), Palazzio Vecchio de Florence. Partagé entre l'amour profane - il confesse son vil penchant pour les femmes - et la conception médiévale de l'amour - Laure, comme Béatrice, devant lui montrer la voie qui conduit au salut - Pétrarque se réfugie dans le rêve et magnifie dans ses vers ce qui pourrait être la réalité. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/P%C3%A9trarque.

Le fleuve Kourou en Guyane. Source : http://data.abuledu.org/URI/52779e4d-le-fleuve-kourou-en-guyane

Le fleuve Kourou en Guyane

Le fleuve Kourou en Guyane vu depuis le port, avec la forêt amazonienne au fond. La ville de Kourou se situe à son embouchure dans l'océan Atlantique. Son estuaire abrite le port de plaisance. De 143,7 km de longueur, comme partout en Amazonie, la couleur de ses eaux est brune à cause des sédiments apportés de la forêt, et il abrite de nombreuses espèces de poissons souvent utilisées en cuisine. Pourtant, il est pollué par le mercure jeté dans l'eau par les orpailleurs clandestins comme beaucoup d'autres fleuves guyanais. Quatre points remarquables se succèdent sur son cours de l'amont vers l'aval : le saut Léodate, la roche Léodate, la roche Génipa, le saut Gorigo.

Le poète Fortunat. Source : http://data.abuledu.org/URI/50733431-le-poete-fortunat

Le poète Fortunat

Venance Fortunat lisant ses poèmes à Radegonde VI, Lawrence Alma-Tadema (1862). Venantius Honorius Clementianus Fortunat ou Venance Fortunat, né vers 530 à Valdobbiadene près de Trévise, mort en 609 à Poitiers, est un poète chrétien du VIe siècle. À la fin de sa vie Fortunat s’attache à Radegonde, veuve de Clotaire Ier qui l’engage à se fixer à Poitiers où cette princesse a fondé l'Abbaye Sainte-Croix de Poitiers. En 576, le poète y est ordonné prêtre. Vers l’an 600, il est consacré évêque de Poitiers. Il meurt en l’an 609.

Le roi des aulnes. Source : http://data.abuledu.org/URI/505bafb2-le-roi-des-aulnes

Le roi des aulnes

Photographie de la statue du Roi des Aulnes de Goethe (Erlkoening) à Iéna en Allemagne : poème écrit en 1782. La créature évoquée dans le poème est un "Erlkönig", personnage représenté dans un certain nombre de poèmes et ballades allemandes comme une créature maléfique qui hante les forêts et entraîne les voyageurs vers leur mort. Il a été mis en musique (Lied) en 1815 par Franz Schubert.

Le Rossignol-Brigand. Source : http://data.abuledu.org/URI/52bc28f5-le-rossignol-brigand

Le Rossignol-Brigand

La byline qui concerne le Rossignol-Brigand, aussi appelée "Le premier voyage d'Ilya Mouromets", est l'un des textes épiques russes les plus célèbres. Le Rossignol-Brigand est un personnage monstrueux, mi-homme, mi-oiseau ; il est capable de voler, vit dans un nid, a une famille humaine. On dit qu'il vivait dans une forêt près de Briansk : installé dans un chêne imposant au bord de la route de Kiev, il paralysait les voyageurs par son puissant sifflement. Selon une version en vers, lorsqu'il se mettait à siffler et à crier, « toutes les herbes et les prairies s'emmêlent, les fleurs d'azur perdent leurs pétales, les bois sombres sont pliés jusqu'à terre, et quant aux êtres humains, ils gisent tous morts ! » (Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Le_Rossignol-Brigand). Illustration par Ivan Âkovlevič Bilibin (1876-1942).

Le troll des mers. Source : http://data.abuledu.org/URI/52c60ba9-le-troll-des-mers

Le troll des mers

Le troll des mers, 1887, par Theodor Severin Kittelsen (1857-1914). Ce peintre et dessinateur norvégien est particulièrement connu pour ses illustrations de trolls. Il a commencé à illustrer des contes vers 1882, et notamment des ouvrages de Asbjørnsen et Moe (1883-1887), puis le magazine Troldskab (1909-1915). Installé dans le cadre sauvage des îles Lofoten à partir de 1897, il reprend le thème des forces naturelles menaçantes et il s'inspire des formes du paysage pour les formes de ses trolls. Par exemple le gigantesque et effrayant « troll de mer » surgissant des flots.

Maquette de mécanisme de moulin à eau. Source : http://data.abuledu.org/URI/508d6389-maquette-de-mecanisme-de-moulin-a-eau

Maquette de mécanisme de moulin à eau

Maquette du mécanisme de transmission de la roue à aubes vers la meule à grains située à l’étage supérieur. Moulin des Jésuites, Ville de Québec (Québec) Canada. Il abrite aujourd'hui un centre d'interprétation historique.