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Photographie | Dessins et plans | Gravure | Géographie | Peinture | Biologie animale | Eau | Chutes d'eau | Manuscrits à enluminures | Forêts | Art médiéval | Météorologie | Cours d'eau | Vapeur d'eau | Très riches heures du duc de Berry | Cascades | Tarn (France. - cours d'eau) | Tissage | Oxygène | Alimentation | ...
Accouplement de girafes. Source : http://data.abuledu.org/URI/534db7dc-accouplement-de-girafes-

Accouplement de girafes

Accouplement de deux girafes (Giraffa camelopardalis angolensis), point d'eau de Chudop, Etosha, en Namibie.

Alligator. Source : http://data.abuledu.org/URI/50feb6f3-alligator

Alligator

Les alligators sont caractérisés par un museau plus large que celui des crocodiles. Les deux espèces qui existent ont également tendance à être de couleur plus sombre, souvent presque noire, mais la couleur dépend beaucoup de l'eau. Les eaux chargées en algues produisent des alligators verts ; les alligators venant d'eaux contenant beaucoup d'acide tannique en provenance des arbres qui les surplombent sont souvent plus sombres (mais l'alligator chinois présente un dessin assez clair). De plus, chez les alligators, seules les dents supérieures sont visibles quand ils ferment les mâchoires, au contraire des crocodiles, dont on peut voir les dents supérieures et inférieures. Toutefois, de nombreux individus présentent des difformités dans les mâchoires, ce qui complique ce moyen d'identification.

Ancienne pompe aspirante. Source : http://data.abuledu.org/URI/52fdcb23-ancienne-pompe-aspirante

Ancienne pompe aspirante

Égreville (Seine-et-Marne, France) ; pompe ancienne à bras. Dans la pompe aspirante, c'est la pression atmosphérique qui définitivement fait monter l'eau dans la colonne. L'égalisation de pression est atteinte pour une hauteur de colonne d'eau de 10,33 mètres, comme l'a établi Evangelista Torricelli en 1644 sur base du problème que lui avaient posé les fontainiers de Florence qui s'acharnaient depuis plusieurs années sans résultat à aspirer l'eau de l'Arno à plus de trente-deux pieds de hauteur (10,33 mètres). Pratiquement il était difficile d'élever les eaux de plus de 7 mètres. Les pompes à bras ne permettaient pas de vaincre la pression atmosphérique, ce qui sera réalisé par des pompes plus performantes. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Pompe_%C3%A0_bras.

Angélique à Coulon. Source : http://data.abuledu.org/URI/544ea7a8-angelique-a-coulon-

Angélique à Coulon

Angélique (Angelica Archangelica) à Coulon (Deux-Sèvres) au bord de la Sèvre niortaise dans le Marais poitevin : cultivée comme plante condimentaire et médicinale pour ses pétioles, tiges et graines très aromatiques et stimulantes et pour sa racine utilisée en phytothérapie. Source : https://fr.wikipedia.org/wiki/Ang%C3%A9lique_officinale

Aqueduc de Roquefavour. Source : http://data.abuledu.org/URI/524dc255-aqueduc-de-roquefavour

Aqueduc de Roquefavour

Le tour de la France par deux enfants, par George Bruno, pseudonyme d'Augustine Fouillée (née Tuillerie), 1877, p.180 ; manuel scolaire, édition de 1904 : AQUEDUC DE ROQUEFAVOUR AMENANT A MARSEILLE LES EAUX DE LA DURANCE. - Depuis longtemps la grande ville de Marseille manquait d'eau, ce qui la rendait malsaine. On a eu l'idée d'y amener les eaux de la Durance à l'aide d'un grand canal long de 120 kilomètres et qui a coûté 40 millions de francs. Cette eau fraîche vivifie la ville et la banlieue. Le canal passe sur les arches d'un aqueduc près de Roquefavour.

Babiroussa mâle d'Indonésie. Source : http://data.abuledu.org/URI/53b98e5a-babiroussa-male-d-indonesie

Babiroussa mâle d'Indonésie

Le nom provient du malais, babi (porc) et rusa (cerf). Le babiroussa dispose de deux paires de défenses situées sur le museau. Chez le mâle, la paire supérieure est plus développée (jusqu'à 30 cm) et recourbée vers l'arrière jusqu'à pénétrer dans la peau. Les mâles sont assez solitaires tandis que les femelles vivent en petits troupeaux dans la forêt. Il est surtout actif en matinée et reste à proximité des points d'eau. Très bon nageur, il peut passer d'île en île. En petits groupes familiaux, ils parcourent les marécages des quelques îles où ils vivent à la recherche de fruits, de jeunes pousses ou de feuilles. Ils n'hésitent pas à nager lorsqu'un bras de mer se présente. Les babiroussas sont des animaux discrets et timides. En permanence sur le qui-vive, ils se dissimulent à la moindre alerte sous la végétation. Il occupe un terrier composé de boue et de paille. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Babiroussa Son alimentation est composée de fruits, de feuilles, de champignons et de larves d'insectes.

Bols de Jal tarang. Source : http://data.abuledu.org/URI/530714f6-bols-de-jal-tarang

Bols de Jal tarang

Jal tarang (collection d'Emil Richards, C6-F7). Le jal tarang ou jaltarang est un instrument de musique indien très rare. Il s'agit d'un ensemble de quinze ou vingt bols de cuisine en porcelaine de taille croissante. Ils sont remplis d'eau afin d'émettre chacun une note particulière, et il suffit donc d'augmenter le volume d'eau ou de le diminuer pour changer la note. Les bols sont placés à terre en arc de cercle devant le musicien assis. celui-ci les frappe successivement à l'aide de deux baguettes en bois. C'est un instrument de percussion mélodique simple à construire et à jouer, mais le jeu peut en être très virtuose. Le son est crystallin, proche du glassharmonica européen. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Jal_tarang.

Bouclettes de tissu éponge. Source : http://data.abuledu.org/URI/534244b6-bouclettes-de-tissu-eponge

Bouclettes de tissu éponge

Schéma de formation des bouclettes : simple et double. Les tissus éponges sont appelés ainsi pour leur capacité à absorber une grande quantité d’eau ou de liquides quelconques. Il se fabrique en utilisant deux fils de chaîne et un fil de trame : le premier fil de chaîne, dit fond constitue l'ossature du textile, le second appelé effet ou de bouclette forme une superficie bouclée. La chaîne de fond est travaillée avec une plus grande tension que celle de bouclette, qui avec l’utilisation de fils (généralement de coton) à torsion douce donne au tissu le pouvoir de retenir beaucoup d’eau. Le tissu peut être de type simple ou double selon si les bouclettes sont présentes sur une ou deux faces du tissu. Le plus utilisé est le type double pour sa qualité d’absorption maximale d’eau. Dans le cas des chiffons utilisés pour le nettoyage, les fibres sont normalement synthétiques. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/%C3%89ponge_%28textile%29

Canal de Montech. Source : http://data.abuledu.org/URI/51bad4cf-canal-de-montech

Canal de Montech

Canal de Montech - Double écluse de Montauban - La porte d'écluse séparant les deux écluses.

Carpes. Source : http://data.abuledu.org/URI/50869536-carpes-jpg

Carpes

Deux types de carpes communes

Cascade dans les Vosges. Source : http://data.abuledu.org/URI/524d5763-cascade-dans-les-vosges

Cascade dans les Vosges

Le tour de la France par deux enfants, par George Bruno, pseudonyme d'Augustine Fouillée (née Tuillerie), p.35 : manuel scolaire, édition de 1904. UN DÉFILÉ DES VOSGES. - Un défilé est une vallée très étroite resserrée entre des rochers ou des montagnes abruptes. Le plus souvent, des torrents ou des ruisseaux coulent au fond des défilés.

Cascade de Gavarnie. Source : http://data.abuledu.org/URI/524dd04b-cascade-de-gavarnie

Cascade de Gavarnie

Le tour de la France par deux enfants, par George Bruno, pseudonyme d'Augustine Fouillée (née Tuillerie), 1877, p.209 ; manuel scolaire, édition de 1904 : LA CASCADE DE GAVARNIE DANS LES PYRÉNÉES. - Le village de Gavarnie, dans les Hautes-Pyrénées, possède un des plus beaux sites du monde. C'est un cirque immense fermé par des montagnes, couvertes de neiges, qui se dressent tout d'un coup à pic devant le voyageur. Du haut d'une de ces murailles gigantesques se précipite une cascade haute de 420 mètres. Tout auprès se trouve le pont de neige.

Chasse d'eau. Source : http://data.abuledu.org/URI/52fdd7d7-chasse-d-eau

Chasse d'eau

Schéma de fonctionnement d'une chasse d'eau avec deux circuits, eau potable et eau de pluie : le remplacement du flotteur horizontal par deux flotteurs verticaux permet d'alimenter la chasse d'eau par l'un ou l'autre des deux circuits sans nécessité de déconnexion.

Commanderie des Vieux-joncs. Source : http://data.abuledu.org/URI/506e8e24-commanderie-des-vieux-joncs

Commanderie des Vieux-joncs

Commanderie des vieux-Joncs à Oude Biesen (Belgique). Source : Bibliotheca regia Monacensis. Une description précise accompagne cette gravure : Entre les villes de Tongres, Bilsen et Maestricht on trouve un terrain inégal et varié, qui ne tient ni de l'aridité de la Campine, ni de l'uniformité de la Hesbaye. Dans cet agréable lieu, les bois n'ont rien de sauvage, et les collines, loin de ressembler aux rochers de la Meuse, ne sont composées que d'une terre douce et fertile, qui, sans attendre les soins de l'habitant, se couvre partout d'une riante verdure dont ce paysage tire son plus grand agrément. Le sommet d'une de ces collines, creusé par les mains de la nature, forme un vaste bassin, au fond duquel est bâti un grand et magnifique château, environné d'un parc fermé de murailles, qui sert de retraite à plusieurs espèces de bêtes fauves. Une longue avenue de haute futaie le traverse de part en part, et mène à une porte d'une belle architecture par où on entre dans une vaste cour, plantée de sapins d'une hauteur étonnante. On y voit à gauche une galerie en portiques, qui communique à une grande chapelle d'une architecture noble et bien entendue; le côté gauche est borné par divers bâtiments qui lui sont communs avec une seconde cour très-vaste, destinée aux usages rustiques. En face on trouve l'accès d'une troisième cour, qui borde un large fossé revêtu de maçonnerie et plein d'eau. Un semblable fossé fait l'enceinte du donjon, qui est carré et flanqué de quatre grosses tours rondes. Ce grand édifice renferme une quatrième cour carrée, belle et spacieuse, où l'on entre par deux ponts-levis, dont l'un regarde les cours et l'autre un parterre et d'autres jardins très agréables situés à l'occident. Les appartements y sont en grand nombre et remarquables, tant par la grandeur et l'élégance qui y brille, que par la richesse des meubles et la commodité des dégagements.

Création d'arc volcanique. Source : http://data.abuledu.org/URI/5093ef8a-creation-d-arc-volcanique

Création d'arc volcanique

Dessin en quatre étapes décrivant ce qui arrive à la collision de deux continents : dessin à destination des écoliers suédois (pétrologie de la côté ouest de la Suède, à la collision de Laurentia et Baltica il y 1.8 billion d'années. Lorsque deux plaques océaniques se rencontrent, la plus vieille, et donc la plus dense, passe en subduction sous la plus jeune et poursuit sa descente dans le manteau terrestre selon un plan d'inclinaison dit « plan de Wadati-Benioff ». Lorsque la plaque arrive à une centaine de kilomètres de profondeur, les conditions de température et de pression permettent la fusion des péridotites hydratées situées au-dessus de la plaque plongeante. C'est l'hydratation du coin du manteau sub-arc en contact avec la plaque plongeante qui abaisse son point de fusion. Cette hydratation est permise par la remontée de l'eau contenue dans la plaque plongeante. Cette eau vient d'une part de l'eau de mer relâchée par les sédiments marins présents dans cette plaque, mais aussi et surtout de la sortie d'eau des minéraux de la plaque plongeante au cours du métamorphisme des roches de cette plaque. Un magma est alors formé et remonte par infiltration dans la plaque restée en surface, créant un arc volcanique. Cette chaîne de volcans a la forme d'un arc parallèle à la limite des deux plaques, l'extérieur de l'arc étant situé dans la direction de la plaque entrant en subduction.

Cuisine d'antan. Source : http://data.abuledu.org/URI/524d4f4f-cuisine-d-antan

Cuisine d'antan

Le tour de la France par deux enfants, par George Bruno, pseudonyme d'Augustine Fouillée (née Tuillerie), p.12 : manuel scolaire, édition de 1904 : LE POÊLE. - Le poêle est nécessaire dans les pays froids comme ceux de l'est et du nord ; car il donne plus de chaleur qu'une cheminée, mais cette chaleur est moins saine, elle rend l'air trop sec. Pour y remédier, il est bon de placer sur les poêles en fonte un vase rempli d'eau.

Cuisson à la vapeur avec boîtes de conserves. Source : http://data.abuledu.org/URI/51026c2d-cuisson-a-la-vapeur-avec-boites-de-conserves

Cuisson à la vapeur avec boîtes de conserves

Cuisson à la vapeur avec deux boîtes de conserve de tailles différentes, la plus grande remplie d'eau, l'autre avec les aliments à réchauffer. Source : Peter Darman, "The Survival Handbook" 1996. Schéma manuscrit légendé en anglais : Steamingtechniques.jpg ; KVDP. Derivative work -vectorisation : Can-in-can_steaming.svg ; Beao. Traduction en français : Christophe Catarina.

Cycle de vie d'un moustique. Source : http://data.abuledu.org/URI/52906d5f-cycle-de-vie-d-un-moustique

Cycle de vie d'un moustique

Cycle de vie d'un moustique (culex). Le cycle de développement prend deux semaines. Les œufs sont pondus en groupe (nacelles), dans tous les types d'eaux, souvent riches en matière organique.

Deux bouteilles de genièvre. Source : http://data.abuledu.org/URI/51dc3c27-deux-bouteilles-de-genievre

Deux bouteilles de genièvre

Bouteilles traditionnelles de genièvre français : genièvre Carte Noire de Loos et Claeyssens de Wambrechies. Le genièvre (peket en wallon, jenever en néerlandais) est un alcool fort (aux alentours de 20% s'il est aromatisé aux fruits, 40% s'il est pur) fabriqué à base d'eau-de-vie de grains (orge maltée, blé, seigle, parfois avoine) aromatisée à l'aide de baies de genévrier. Cet alcool est une spécialité de Belgique (notamment à Hasselt et Liège, où il est connu sous le nom de peket), des Pays-Bas (notamment à Schiedam) et du nord de la France.

Deux cascades. Source : http://data.abuledu.org/URI/501f2361-deux-cascades

Deux cascades

Die beiden Wasserfaelle am Ischler Salzberg, Kupferstich nach einer Zeichnung von Marie Lamer, Oktav, 1809.

Deux oisillons de grèbe en quête de nourriture. Source : http://data.abuledu.org/URI/533c0ffb-deux-oisillons-de-grebe-en-quete-de-nourriture

Deux oisillons de grèbe en quête de nourriture

Le Grèbe castagneux (Tachybaptus ruficollis) est une espèce d'oiseaux de la famille des Podicipedidae. Cet oiseau est le plus petit des membres de la famille des grèbes, et aussi le seul grèbe d’Europe à pondre régulièrement deux fois par an. Oiseaux discrets, ils s’installent sur n’importe quel lac, étang, mare ou marais possédant une végétation assez dense sur ses rives. Les poussins sont couverts de duvet gris, leur bec est jaune et ils ont la tête, le cou et le dos présentant des rayures jaunâtres à rousses. Les jeunes ressemblent aux adultes en plumage internuptial mais les joues et les côtés du cou brun foncé sont rayés irrégulièrement de blanc. Leur mue partielle se déroule de juillet à décembre. Leur régime alimentaire (insectes et petits crustacés) leur permet de s’établir sur des plans d’eau trop petits pour contenir de gros poissons. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Gr%C3%A8be_castagneux

Évaporation d'eau salée. Source : http://data.abuledu.org/URI/524d82a3-evaporation-d-eau-salee

Évaporation d'eau salée

Le tour de la France par deux enfants, par George Bruno, pseudonyme d'Augustine Fouillée (née Tuillerie), 1877, p.76 ; manuel scolaire, édition de 1904 : ÉVAPORATION DES EAUX SALÉES. - On trouve dans la terre de grandes masses de sel, tantôt ces masses de sel sont dures comme le roc, et on se sert pour les briser du pic et de la pioche ; tantôt elles sont fondues dans des sources souterraines. Alors on puise l'eau salée avec des pompes et on la fait évaporer dans de larges chaudières ou dans des réservoirs : quand l'eau est évaporée, on retrouve le sel au fond des réservoirs.

Évolution de l'atmosphère terrestre. Source : http://data.abuledu.org/URI/50be1ccd-evolution-de-l-atmosphere-terrestre

Évolution de l'atmosphère terrestre

Évolution des teneurs connues de CO2 de l'atmosphère terrestre. (Pour rendre ces variations plus visibles, l'échelle temporelle n'est pas linéaire) : Variations dans le temps de la vapeur d'eau, du CO2 (deux gaz à effet de serre) et de l'oxygène, produit par les algues, bactéries photosynthétiques et plantes(qui ont permis d'importants puits de carbone et la production de la couche d'Ozone protectrice). D'après les données réunies par le "Journal pour la Science" pour un dossier sur l'atmosphère publié en 1996.

Fabrication de tissu éponge. Source : http://data.abuledu.org/URI/50cc55c4-fabrication-de-tissu-eponge

Fabrication de tissu éponge

Schéma de formation des bouclettes du tissu éponge : simple et double. Il se fabrique en utilisant deux fils de chaîne et un fil de trame : le premier fil de chaîne, dit fond constitue l'ossature du textile, le second appelé effet ou de bouclette forme une superficie bouclée. La chaîne de fond est travaillée avec une plus grande tension que celle de bouclette, qui avec l’utilisation de fils (généralement de coton) à torsion douce donne au tissu le pouvoir de retenir beaucoup d’eau. Le tissu peut être de type simple ou double selon si les bouclettes sont présentes sur une ou deux faces du tissu. Le plus utilisé est le type double pour sa qualité d’absorption maximale d’eau. Dans le cas des chiffons utilisés pour le nettoyage, les fibres sont normalement synthétiques.

Forêt de bouleaux. Source : http://data.abuledu.org/URI/5138dc3a-foret-de-bouleaux

Forêt de bouleaux

Forêt de bouleaux, 1883, par le peintre aquarelliste russe Ivan Shishkin (1831–1898). C'est pour ses œuvres de paysages, frappants de réalisme et de technique irréprochable, qu'il est le plus connu. La technique de peinture de Chichkine est fondée sur une étude analytique de la nature et il faisait des recherches approfondies sur tous ses sujets. Ici, deux paysannes chargées d'eau longent un ruisseau.

Forêt galerie. Source : http://data.abuledu.org/URI/513a313f-foret-galerie

Forêt galerie

Forêt galerie (Comté de Putnam, Ohio, Lac Erié) : Les ripisylves de deux cours d'eau se rejoignent ici pour former une forêt-galerie. On parle de forêt-galerie lorsque la canopée est jointive au-dessus d'une rivière ou d'un petit fleuve, ou d'une zone humide (la présence de l'eau pouvant éventuellement être temporaire). Du point de vue de l'écologie du paysage, la forêt-galerie constitue un type particulier de corridor biologique ; à la fois forestier et aquatique ou palustre). Elle contribue par sa canopée jointive à faciliter la traversée de cours d'eau à un certain nombre d'espèces, soit par la canopée (écureuils, petits mammifères, insectes), soit via les nombreux troncs d'arbres morts ou vivants qui font "pont" au-dessus de la rivière. La forêt galerie entretient un microclimat plus tempéré au-dessus de la rivière.

Forge de serrurier. Source : http://data.abuledu.org/URI/524d74cb-forge-de-serrurier

Forge de serrurier

Le tour de la France par deux enfants, par George Bruno, pseudonyme d'Augustine Fouillée (née Tuillerie), 1877 : manuel scolaire, édition de 1904 : FORGE DE SERRURIER. - On voit derrière l'âtre un petit trou noir ; c'est par ce trou qu'arrive le vent du soufflet, qui sert à exciter le feu de charbon de terre. Au-dessous du foyer se trouve un baquet rempli d'eau ; on s'en sert pour mouiller le charbon.

Fuligule de Madagascar. Source : http://data.abuledu.org/URI/529b602c-fuligule-de-madagascar

Fuligule de Madagascar

Fuligule mâle de Madagascar (Aythya innotata). C'est un canard de plongée extrêmement rare du genre Aythya, qu'on a cru éteint. Avant sa redécouverte en 2006, la dernière observation confirmée de l'espèce a été faite au bord du lac Alaotra sur le plateau central de Madagascar en 1991. Ce canard plongeur est confiné aux lacs et marais d'eau douce peu profonds qui combinent des eaux libres et des secteurs de végétation dense. Il se nourrit d'invertébrés et de graines de plantes aquatiques en plongeant fréquemment dans les eaux peu profondes. Il est vu généralement seul, parfois en couple. La taille de la couvée est de deux en moyenne et la couvaison a été observée en mars-avril.

Galettes de cassave. Source : http://data.abuledu.org/URI/52d99f32-galettes-de-cassave

Galettes de cassave

Galettes de manioc sêchant sur des tiges de manioc. La cassave est à base de couac, une farine obtenue par le râpage ou grageage (grajé en créole) de la racine de manioc. Sa pulpe est délayée dans un mélange d'eau et de chaux, tamisée, ensuite, elle est placée soit dans un long boyau de vannerie appelé couleuvre et parfois étirée, ce qui permet d'en extraire le jus, qui est un poison, soit écrasée sur une meule à bras appelée metate, jusqu'à la formation d'une pâte dite masa. Cette pâte est mise alors dans une platine chauffée au bois. Cette technique permet de sécher le produit sans le cuire. Ce travail demande beaucoup d'attention, il faut sans cesse remuer la farine avec une palette de bois, pour l'empêcher de coller au fond de la platine et de se colorer, pour qu'elle puisse rester toujours blanche. Lors de la dernière phase de cuisson, la semoule est amalgamée en une grande galette. Une fois cette pâte séchée, elle est pétrie puis aplatie et étalée sur une plaque appelée comal et posée sur un feu pour la cuire. La cassave est cuite sur les deux faces, la cuisson est rapide et pas trop forte afin que les galettes restent moelleuses. Leur forte teneur en amidon fait qu'en quelques minutes elles deviennent solides. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Cassave.

Géologie d'une carrière parisienne. Source : http://data.abuledu.org/URI/514395af-geologie-d-une-carriere-parisienne

Géologie d'une carrière parisienne

Schéma en coupe (simplifié) des carrières de calcaire parisiennes. Vue simplifiée des bancs de roche qui composent la géologie des carrières de la rive gauche de Paris. En jaune, les bancs exploitables pour la construction. De bas en haut : Juste au-dessus des sables yprésiens, on trouve le lutétien inférieur. Celui-ci se reconnaît par un grand nombre de nummulites visibles à l'œil nu dans la roche, et se divise en deux bancs : 1) La base verdâtre, dont la couleur révèle la présence de glauconie et de quartz ; 2) Les forgets, petits bancs alternant calcaires durs (également glauconieux) et lits de sable. En raison de sa profondeur et du peu de pierre utilisable pour la construction, cette couche n'a pas été exploitée par les carriers. Encore au-dessus, le lutétien moyen constitue une strate de six mètres d'épaisseur. Il se divise en trois bancs : 1) Le banc à vérin des carriers, reconnaissable par les cérithes géants qui s'y trouvent et par une couleur jaune-rougeâtre. D'un grain serré, il n'a été exploité que dans sa partie supérieure et de façon épisodique. 2) Les lambourdes ou vergelets, banc gris, peu épais et tendre. Il ne contient pas d'eau, ce qui le rend « non gélif » (il ne peut pas geler) et utilisable pour la construction, bien que les traces de coquilles et de fossiles y soient très visibles. 3) Le banc royal, non gélif et homogène, qui fournit des pierres de grande qualité pour la construction. Le lutétien supérieur contient quant à lui les bancs les plus variés et les plus exploitables. Il se constitue de deux strates : le banc vert et les bancs francs. Le premier sépare les niveaux inférieurs et supérieurs en carrière, le second constitue le calcaire le plus souvent exploité, avec plusieurs bancs exploitables souvent séparés par des couches de sables plus ou moins marneuses appelées bousins. Ces bancs sont en partie composés d'argile et contiennent de l'eau, ce qui les rend gélifs, mais leur dureté et leur solidité les rend tout à fait aptes à la construction. Le banc vert, premier étage du lutétien supérieur, se divise en trois bancs : 1) le liais du bas, 2) le banc vert proprement dit (qui donne son nom générique aux deux couches qui l'entourent), composé d'un lit marneux, d'argile verte et de fossiles qui témoignent de son origine lacustre, et 3) le liais du haut, identique à celui du bas. Ce liais est appelé liais franc lorsqu'il est exploité, et banc de marche lorsqu'il constitue le sol de la carrière (et donc que les visiteurs marchent dessus). Les bancs francs, qui représentent les bancs les plus souvent visibles dans les galeries de carrière, se subdivisent en six sortes : 1) Le banc de laine, ou cliquart, ou banc des galets. D'une faible épaisseur, il contient peu de fossiles. Sa consistance varie selon les cas et ressemble à celle des lambourdes lorsqu'elle est tendre, du liais lorsqu'elle est dure ; 2) Le grignard, ou coquiller. Très riche en fossiles, ce banc est peu exploitable, car il est trop constellé de coquillages pour donner des blocs réellement solides. 3) Le souchet. Très tendre, peu compact, il va donner son nom au souchevage, une technique d'extraction de la pierre. En effet, pour commencer à exploiter les bancs situés juste au-dessus, les carriers extraient le souchet de manière à créer un espace vide horizontal, puis creusent des fentes sur le côté du bloc à extraire (ce que l'on appelle le défermage). Contenant quelquefois des galets et des fossiles, le souchet se délite facilement. 4) Le banc blanc, ou banc royal, ou liais franc, ou remise. D'un grain fin et serré, il donne des blocs de bonne qualité, qui se vendront à prix d'or pendant les chantiers du XVIIIe et du XIXe siècle. 5) Le banc franc, ou haut banc, ou banc royal, ou rustique. Il ressemble au banc blanc, et donne lui aussi des blocs de qualité, mais on l'en distingue par le fait qu'il contienne beaucoup moins de fossiles. 6) La roche, ou ciel de carrière. Cette couche, très dure et très coquillière, est souvent laissée en place pour servir de toit à la carrière (que l'on appelle ciel de carrière).

Île aux Oiseaux dans le Bassin d'Arcachon. Source : http://data.abuledu.org/URI/5358ea99-ile-aux-oiseaux-

Île aux Oiseaux dans le Bassin d'Arcachon

L'île aux Oiseaux est une petite île située sur la commune française de La Teste-de-Buch au centre du bassin d'Arcachon. Sa superficie varie en fonction de la marée : elle est en moyenne d'environ 300 hectares à marée haute, et de plus de 3 000 à marée basse. L'île était autrefois utilisée par les habitants du bassin comme lieu de pacage pour les troupeaux de vaches puis de chevaux qui s'y rendaient en nageant depuis les villages les plus proches, ce qui donna le nom à la pointe située entre Petit Piquey et Grand Piquey : la Pointe aux Chevaux. Lors de tempêtes notamment celles de 1714 et de 1882, l'île fut submergée et les animaux décimés. L'île est alors devenue un terrain de chasse et de pêche (activités aujourd'hui très strictement réglementées) aménagé avec des tonnes (cabanes de chasse), des lacs, un puits artésien d'eau douce, puis des cabanes (52) dont les deux cabanes tchanquées (du mot chanca (tchanque), qui signifie échasse en gascon, devenues les symboles de l'île et du bassin). Elle est entourée de parcs ostréicoles et reste un refuge d'oiseaux migrateurs et de loups de mer. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/%C3%8Ele_aux_Oiseaux_%28Gironde%29

Installations du Chanois. Source : http://data.abuledu.org/URI/53d3f1a7-installations-du-chanois

Installations du Chanois

Carte postale de l'entre-deux-guerres du Chanois. De gauche à droite : le grand bâtiment du lavoir avec son château d'eau, la cokerie, les deux trémies et le bâtiment des sous-produits.

Jeu de bulles. Source : http://data.abuledu.org/URI/51c179c4-jeu-de-bulles

Jeu de bulles

Deux jeunes garçons faisant des bulles, 1670, par Caspar Netscher (1639-1684).

La fenêtre aux trois lièvres. Source : http://data.abuledu.org/URI/535b4de0-la-fenetre-aux-trois-lievres

La fenêtre aux trois lièvres

La "fenêtre aux trois lièvres" dans la cour intérieure du cloître de la cathédrale de Paderborn : "Der Hasen und der Löffel drei, und doch hat jeder Hase zwei" (Les lièvres et les cuillères, trois, et pourtant chaque lièvre en a deux). Ce vers court et concis décrit ce motif. L'œuvre créée au début du XVIe siècle du grès de Weser rouge montre trois lièvres bondissants disposés en rond. Elle se trouve sur le côté nord de la cour intérieure du cloître de la cathédrale et ne se remarque pas au premier regard. La fenêtre est l'une des curiosités les plus connues de Paderborn et un vieux symbole de la ville. Dans des temps plus anciens, c'était un porte-bonheur que chaque artisan passant par Paderborn devait avoir vu. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Cath%C3%A9drale_Saint-Liboire_de_Paderborn

La Grande-Rivière des Vieux-Habitants en Guadeloupe. Source : http://data.abuledu.org/URI/5276a532-la-grande-riviere-des-vieux-habitants-en-guadeloupe

La Grande-Rivière des Vieux-Habitants en Guadeloupe

Vue de la Grande Rivière des Vieux-Habitants en aval du lieu-dit de Schœlcher, en Guadeloupe. Elle prend naissance dans le Petit Sans Toucher, traverse la commune de Vieux-Habitants sur Basse-Terre et se jette dans la mer des Caraïbes en se séparant en deux bras dans le bourg principal de Vieux-Habitants.

La mer d'Aral. Source : http://data.abuledu.org/URI/51018d81-la-mer-d-aral

La mer d'Aral

Mer d'Aral, 2001, NASA. La mer d'Aral est un lac d'eau salée d'Asie centrale situé entre 43° et 46° de latitude nord et entre 58° et 62° de longitude est. Occupant la partie basse de la dépression touranienne ou aralo-caspienne au milieu d'espaces désertiques, elle est partagée entre le Kazakhstan au nord et l'Ouzbékistan au sud. Dans les années 1960, la mer d'Aral, encore alimentée par les puissants fleuves Amou-Daria et Syr-Daria, était la 4e étendue lacustre du monde avec une superficie de 66 458 km². En 2000, cette superficie était divisée par deux. Cet assèchement, dû au détournement des deux fleuves pour produire du coton en masse, est une des plus importantes catastrophes environnementales du XXe siècle.

La rosée. Source : http://data.abuledu.org/URI/55b66c38-la-rosee

La rosée

La rosée, in J. Jamin, La Météorologie, ses Moyens d’observation et ses derniers Progrès, Revue des Deux Mondes, 2e période, tome 4, 1856 (pp. 387-411). 475 mots.

La vapeur d'eau. Source : http://data.abuledu.org/URI/55b66938-la-vapeur-d-eau

La vapeur d'eau

La vapeur d'eau, in J. Jamin, La Météorologie, ses Moyens d’observation et ses derniers Progrès, Revue des Deux Mondes, 2e période, tome 4, 1856 (pp. 387-411). 296 mots.

Le mois d'août des Très Riches Heures du Duc de Berry. Source : http://data.abuledu.org/URI/531c570e-le-mois-d-aout-des-tres-riches-heures-du-duc-de-berry

Le mois d'août des Très Riches Heures du Duc de Berry

Le mois d'août des Très Riches Heures du Duc de Berry. Au premier plan, figure une scène de fauconnerie : le cortège à cheval part pour la chasse, précédé d'un fauconnier. Celui-ci tient dans la main droite le long bâton qui lui permettra de battre arbres et buissons pour faire s'envoler le gibier. Il porte deux oiseaux au poing et, à la ceinture, un leurre en forme d'oiseau que l'on garnissait de viande pour inciter les faucons à revenir. Le cortège est accompagné de chiens destinés à lever le gibier ou à rapporter celui qui aura été abattu. Sur leur cheval, trois personnages portent un oiseau, sans doute un épervier ou un faucon émerillon. Au second plan sont représentés les travaux agricoles du mois d'août. Un paysan fauche le champ, un deuxième réunit les épis en gerbes alors qu'un troisième les charge sur une charrette tirée par deux chevaux. À proximité, d'autres personnages se baignent dans une rivière — peut-être la Juine — ou se sèchent au soleil. À l'arrière-plan se dresse le château d'Étampes, que le duc de Berry avait acquis en 1400, à la mort de Louis d'Évreux, comte d'Étampes. Derrière les remparts, on distingue le donjon quadrangulaire et la tour Guinette, qui existe toujours.

Le mois de juillet dans les Très Riches Heures du Duc de Berry. Source : http://data.abuledu.org/URI/531c559c-le-mois-de-juillet-dans-les-tres-riches-heures-du-duc-de-berry

Le mois de juillet dans les Très Riches Heures du Duc de Berry

Le mois de juillet dans les Très Riches Heures du Duc de Berry : les travaux du mois de juillet représentent la moisson et la tonte des moutons. Deux personnages fauchent les blés à l'aide d'un volant et d'une baguette. Un volant est une longue faucille ouverte dont le manche fait angle avec le plat de la lame. À l'aide de la baguette, ils dégagent un paquet de tiges qu'ils coupent en lançant le volant. Les moissonneurs avancent de l'extérieur de la parcelle en se dirigeant vers son centre en tournant. L'un d'entre eux porte une pierre à aiguiser à la ceinture. Deux autres personnages, dont une femme, coupent la laine des moutons à l'aide de forces. Exception faite des montagnes imaginaires, le paysage représente, au premier plan, la rivière Boivre se jetant dans le Clain, à proximité du palais comtal de Poitiers.

Le mois de juin dans les Très Riches Heures du Duc de Berry. Source : http://data.abuledu.org/URI/531c5470-le-mois-de-juin-dans-les-tres-riches-heures-du-duc-de-berry

Le mois de juin dans les Très Riches Heures du Duc de Berry

Le mois de juin dans les Très Riches Heures du Duc de Berry : illustration des travaux paysans avec une scène de fenaison. Tandis qu'au premier plan une femme râtelle du foin et qu'une autre le met en tas à l'aide d'une fourche, trois faucheurs forment des sillons au second plan à droite. D'autres personnages minuscules sont représentés dans une barque sur le fleuve, dans l'escalier menant à la poterne et dans l'escalier couvert à l'intérieur du palais. La scène se déroule en bordure de Seine, dans un champ situé à l'emplacement de l'hôtel de Nesle, résidence parisienne du duc de Berry. De l'autre côté du fleuve s'étend dans toute sa longueur le palais de la Cité, avec successivement les jardins du roi, la Salle sur l'eau, les trois tours Bonbec, d'Argent et César, puis la tour de l'Horloge. Derrière la galerie Saint-Louis au centre, les deux pignons de la Grande Salle, le Logis du roi et la tour Montgomery. À droite, la Sainte-Chapelle.

Le Rocher de Bizeux en Bretagne. Source : http://data.abuledu.org/URI/5357dc0e-le-rocher-de-bizeux

Le Rocher de Bizeux en Bretagne

Le rocher de Bizeux est un rocher situé dans l'estuaire de la Rance, entre Saint-Servan (commune de Saint-Malo) et La Vicomté (commune de Dinard). Il est surtout connu pour la statue de la vierge, "Notre Dame la dominatrice", communément appelée "Notre Dame de Bizeux", qui se trouve à son sommet. Le rocher se trouve à un peu plus d'1km en aval du barrage de la Rance, au milieu de l'estuaire, à 350 mètres de la pointe de la Vicomté à l'ouest (la passe principale pour les navires se trouvant entre les deux) et 550 mètres de la pointe de l'Aiguille à l'est. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Rocher_de_Bizeux

Le ruisseau sous bois en 1927. Source : http://data.abuledu.org/URI/55585049-le-ruisseau-sous-bois-en-1927

Le ruisseau sous bois en 1927

Le ruisseau sous bois en 1927, par Jean-Émile Laboureur, graveur français.

Le Saut de Sabo - Saint-Juéry-Arthès (Tarn). Source : http://data.abuledu.org/URI/51bccb36-le-saut-de-sabo-saint-juery-arthes-tarn-

Le Saut de Sabo - Saint-Juéry-Arthès (Tarn)

À Saint-Juéry (Tarn), à 6 km à l’est d’Albi, la rivière Tarn quitte les durs micaschistes du Massif Central pour rejoindre les terrains argileux tertiaires du Bassin Aquitain. À cet endroit, l’érosion a donné naissance à une chute naturelle de près de 20 m, qui fournit une force hydraulique considérable. Dès le XIIe siècle, une chaussée est construite au Saut de Sabo, répartissant l’eau sur les deux rives, et alimentant les nombreux moulins (à blé, à huile), foulons (à papier, à feutre), et martinets (à cuivre), qui s’y sont installés. Au XIXe siècle, un ensemble sidérurgique longtemps florissant s'y implante : Le Saut du Tarn, spécialisé dès l’origine dans la production d’acier et la fabrication des outils.

Marie aux sabots de bois se gage - 16. Source : http://data.abuledu.org/URI/52bcd314-marie-aux-sabots-de-bois-se-gage-16

Marie aux sabots de bois se gage - 16

Marie aux Sabots de bois se gage - 16, Jordic (1876 - 1915) : ... en l'air, qui plonge soudain dans un grand tonneau de raisiné. On ne voit plus que deux pieds qui s'agitent en l'air désespérément. M. Poivre saisit les deux jambes et tire. Ohé ! hisse !! Marie est si enfoncée dans le raisiné qu'on n'arrive pas à la dégager de suite. "Ohé ! hisse !" M. Poivre, tout rouge, arrive enfin à retirer la petite bonne, mais dans quel état ! Le raisiné s'est collé à ses cheveux, son visage est enduit d'un masque gluant, elle a une robe de confiture. M. Poivre va chercher un seau d'eau, une des bonnes, obligeante, prend le grand balai de paille ; on frotte, on gratte, enfin on débarbouille Marie qui grelotte sous l'eau froide. Heureusement que la mère Mariannick la réchauffera bien vite avec quelques gifles qui lui éviteront un rhume. FIN

Molécule d'eau en 3D. Source : http://data.abuledu.org/URI/52756797-molecule-d-eau-en-3d

Molécule d'eau en 3D

Molécule d'eau en 3D : Représentation schématique d'une molécule d'eau avec en rouge l'atome d'oxygène et en blanc les deux atomes d'hydrogène.

Nuages en montagne. Source : http://data.abuledu.org/URI/524eaf7d-nuages-en-montagne

Nuages en montagne

Le tour de la France par deux enfants, par George Bruno, pseudonyme d'Augustine Fouillée (née Tuillerie), 1877 : manuel scolaire, édition de 1904, p.20 : LE NUAGE SUR LA MONTAGNE : Les nuages sont formés de la vapeur d'eau qui s'échappe de la mer, des fleuves et de la terre : ils ne sont pas toujours très élevés en l'air ; fréquemment ils se traînent sur les montagnes et on les voit flotter sur leurs flancs. Les voyageurs qui gravissent une montagne entrent souvent dans les nuages ; ils se trouvent alors au milieu d'un épais brouillard et courent le danger de se perdre.

Panier de fraises vers 1760. Source : http://data.abuledu.org/URI/534bb353-panier-de-fraises-vers-1760

Panier de fraises vers 1760

Panier de fraises vers 1760, par Jean-Baptiste Siméon Chardin (1699-1779) : sur une table, une pyramide de fraises dans un panier en osier, un verre d'eau plein à gauche, deux oeillets blancs au premier blanc et sur la droite deux cerises et un abricot.

Planche d'ascidies en 1904. Source : http://data.abuledu.org/URI/535cff18-planche-d-ascidies

Planche d'ascidies en 1904

Planche d'ascidies, Ernst Haeckel (1834-1919), "Kunstformen der Natur" (1904), planche 85 : Cynthia melocactus, Molgula tubulosa, Fragarium elegans, Polyclinum constellatum, Polyclinum constellatum, Synoecum turgens, Botryllus polycyclus, Botryllus rubigo, Botryllus Marionis, Botryllus helleborus, Polycyclus cyaneus, Botrylloides purpureus. Fait rare dans le règne animal, ces animaux sont partiellement constitués de tunicine, une molécule proche de la cellulose, qui est caractéristique des végétaux. À l’état adulte, les ascidies ressemblent à des sacs à deux ouvertures : Le siphon buccal où le courant d’eau entre, entraîné par des battements de cils ; Le siphon cloacal ou expirateur où l’eau est rejetée. Le système nerveux de l’adulte se limite à un ganglion cérébral. Un cœur en forme de tube est l’organe propulseur de l’appareil circulatoire. Il envoie le sang dans des sinus creusés dans le tissu conjonctif. Le flux change de sens toutes les deux à trois minutes. Les ascidies sont hermaphrodites. Testicules et ovaires libèrent leurs gamètes dans la chambre péripharyngienne où a lieu l’incubation. La larve ressemble extérieurement à un minuscule têtard de grenouille. Elle nage peu de temps, se fixe à un support et subit une profonde métamorphose. La reproduction asexuée et la régénération ont un rôle important, surtout chez les formes coloniales. Les particules alimentaires (micro-organismes planctoniques) se trouvant dans l’eau sont filtrées par un mucus secrété par la face ventrale interne de la cavité pharyngienne, puis acheminées par des cils dans l’estomac puis l’intestin. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Ascidiacea

Plateau de safous mûrs. Source : http://data.abuledu.org/URI/5380ee8b-plateau-de-safous-murs

Plateau de safous mûrs

Plateau de 22 safous très mûrs (Dacryodes edulis). Le safou est le fruit du safoutier. Le safou s’appelle prune en français courant, ceci est une appellation erronée. Il est aussi appelé atanga, en réalité il s'agit d'un emprunt de l’appellation indigène Atanga, au Gabon plus spécifiquement. Ainsi, en français on a créé le terme Atangatier pour désigner l'arbre qui produit les atangas. Il existe plusieurs variétés, le safou se distingue par la variété de ses couleurs d'un fruit à un autre, du rose clair au bleu marine en passant par le bleu ciel et le violet. Il renferme un noyau. La chair du safou est souvent grasse. Le safou contient 59 % d’humidité soit (53,3 g/100 g) d'eau, 4 % soit 11,2 g de protéines, 5 % de glucides, 8,7 % de fibres, 1,4 % de minéraux et fournit 234 cal pour 100 g. Sa teneur en acide gras (22,1 %) est équivalente à celle de l’avocat. On compte aussi le cuivre (0,93 mg/100 g), les lipides (29,4 mg/100 g). La pulpe fraîche contient des quantités considérables d'acides palmitique et linoléique. On trouve aussi dans le safou de la provitamine A (72 mg/100 g), de la vitamine C 11 mg (acide ascorbique), de la vitamine E (1,3 mg/100 g) et des minéraux, dont les plus présents sont le calcium (65 mg/100 g), le potassium (443 mg/100 g) et le phosphore (68 mg/100 g). Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Safou