Transfert en cours..., vous êtes sur le "nouveau" serveur data.abuledu.org dont l'hébergement est financé par l'association abuledu-fr.org grâce à vos dons et adhésions !
Vous pouvez continuer à soutenir l'association des utilisateurs d'AbulÉdu (abuledu-fr.org) ou l'association ABUL.
Suivez la progression de nos travaux et participez à la communauté via la liste de diffusion.

Votre recherche ...

Nuage de mots clés

Photographie | Ornithologie | Dessins et plans | Poussins | Archibald Thorburn (1860-1935) | Lagopèdes | Illustrateurs écossais | Biologie animale | Nidification | Animaux -- Alimentation -- Besoins | Peinture | Jeunes adultes | Années 1920 | Alpes | Deux (le nombre) | Étangs -- Écologie | Grèbes | Tachybaptus | Oiseaux rapaces | Oiseaux migrateurs | ...
Bancs à Vienne. Source : http://data.abuledu.org/URI/53a7e0a1-bancs-a-vienne

Bancs à Vienne

Jeunes gens assis sur des bancs à Vienne.

Degrés des âges. Source : http://data.abuledu.org/URI/5029766d-degres-des-ages

Degrés des âges

"Degrés des âges", bois gravé de François Georgin, imagerie d'Epinal, 1826. L'Atelier des icônes.

Antilope cervicapre. Source : http://data.abuledu.org/URI/516d6243-antilope-cervicapre

Antilope cervicapre

Antilope cervicapre, ou antilope indienne ou "Blackbuck" en anglais (fait référence à la coloration qu'arbore les mâles vers l'âge de la maturité). Vive, petite et légère, l'antilope cervicapre à une musculature sèche, ainsi que de longues pattes fines et des sabots frêles, serrés et très pointus, sa morphologie est donc idéale pour la course. Cette antilope vit dans les grandes plaines herbeuses, bois clairs, et les semi-déserts, en hardes dirigé par un mâle adulte avec des femelles (6 à 50) et leurs jeunes, les autres mâles sont maintenus à l'écart de la harde, les évincés forment des clubs de mâles. Le mâle dominant délimite son territoire par ses excréments et ses sécrétions du larmier (glande près de l'œil). Ruminant, herbivore, elle se nourrit d'herbes, de fleurs, de feuilles. Les prédateurs sont hommes et guépards indiens, (plus rarement loups, tigres et panthères), toutefois, elles sont extrêmement rapides : elles peuvent courir jusqu'à 80 / 90 km/h en moyenne sur 1,5 kilomètres de distance et atteindre 110 km/h en pointe sur une courte distance. Elles sont aussi rapides que le guépard mais plus endurantes, et font partie des mammifères terrestres les plus rapides du monde. Aussi marathoniennes, elles peuvent courir à 40 km/h sur une distance longue de 24 kilomètres au maximum. Très agiles, ces antilopes peuvent bondir dans les airs, jusqu'à 2 mètres de haut et 6 mètres en longueur. Elle est très craintive et fuit au moindre dérangement. Le jeu de saute-mouton fait partie de ses activités ludiques. Ses sens ne sont que moyennement développés, en effet, elle à une ouïe et un odorat plutôt faibles, elle se sert donc surtout de sa vue et de ses capacités sportives pour fuir le danger.

Autruchon. Source : http://data.abuledu.org/URI/538797d5-autruchon

Autruchon

Poussin s'autruche (Struthio camelus). À quatre semaines, le jeune présente un duvet épineux chamois à pinceaux blancs et arbore des taches noires au cou. Les adultes prennent grand soin de leurs jeunes, parfois pendant une année entière. Si la nourriture est abondante, les autruchons seront abandonnés beaucoup plus tôt par leurs parents. Les petits seront alors pris en charge par un groupe de femelles, accompagnées ou non de petits. Ce phénomène d'adoption est très important dans les populations vivant en groupe, car il contribue à limiter les problèmes de consanguinité dans le troupeau. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Autruche_d%27Afrique

Cinq perdrix grises. Source : http://data.abuledu.org/URI/51348c3f-cinq-perdrix-grises

Cinq perdrix grises

"Perdrix grises avec genêt et chardons" par Archibald Thorburn (1860-1935), illustrateur écossais spécialiste des oiseaux et de leur environnement naturel. La Perdrix grise (Perdix perdix) est une espèce d'oiseau gallinacé, appartenant à la famille des Phasianidae, de l'ordre des Galliformes. Habitat : Milieux ouverts de la montagne (2 500 m) jusqu'aux plaines cultivées (céréales, betterave, pomme de terre), ou zone bocagère et de bosquets. Les adultes sont granivores, mais les jeunes se nourrissent d'insectes, qu'ils ne trouvent plus à manger en raison des pesticides. Quand on les dérange, comme la plupart des oiseaux de ce type, les perdrix se sauvent en courant tout en lançant des regards vers la source de danger et/ou après s'être cachée s'envolent brutalement sur une courte distance avec un cri d'alarme : "rick rick rick". La seule différence constante entre les sexes est ce qu'on appelle "le fer à cheval", tache rouille à deux barres transversales visible sur la poitrine du mâle.

Croissance du tigre. Source : http://data.abuledu.org/URI/50df43aa-croissance-du-tigre

Croissance du tigre

Courbe de croissance du tigre du Bengale. Les jeunes tigres sont nus et incapables de marcher à la naissance ; ils pèsent de 750 à 1 600 g selon les sous-espèces : le tigre nouveau-né est 200 fois plus léger que le tigre adulte. Trois à trente minutes après la naissance, lorsque le premier cri est poussé, la tigresse libère les petits du cordon ombilical et les nettoie. Attirés par la chaleur du corps de leur mère, les nouveau-nés aveugles cherchent alors les mamelles en tâtonnant. L’allaitement commence durant les quatre premières heures, et les trois premiers jours y seront consacrés. Dans un premier temps, l'allaitement dure 70 % des heures du jour, puis le temps consacré à cette activité diminue : il passe à 60 % au bout de dix jours, 30 % après quarante jours et seulement 10 % à 90 jours, lorsque les jeunes tigres ont presque terminé leur sevrage. La tigresse se désintéresse rapidement des jeunes immobiles, considérés comme mort-nés ; de même, elle ne forcera pas ses petits à se nourrir. Le lait de la tigresse est très riche en lipides et en protéines, ce qui leur assure une croissance rapide : le tigre multiplie son poids par cent durant les vingt premiers mois, sa croissance continuant plus doucement jusqu’à ses deux ans. Source : Kailash Sankhala, "Le tigre : ses mœurs - son histoire - son avenir", MLP Editions, 1998, 96 p. (ISBN 2-7434-1070).

Deux oisillons de grèbe en quête de nourriture. Source : http://data.abuledu.org/URI/533c0ffb-deux-oisillons-de-grebe-en-quete-de-nourriture

Deux oisillons de grèbe en quête de nourriture

Le Grèbe castagneux (Tachybaptus ruficollis) est une espèce d'oiseaux de la famille des Podicipedidae. Cet oiseau est le plus petit des membres de la famille des grèbes, et aussi le seul grèbe d’Europe à pondre régulièrement deux fois par an. Oiseaux discrets, ils s’installent sur n’importe quel lac, étang, mare ou marais possédant une végétation assez dense sur ses rives. Les poussins sont couverts de duvet gris, leur bec est jaune et ils ont la tête, le cou et le dos présentant des rayures jaunâtres à rousses. Les jeunes ressemblent aux adultes en plumage internuptial mais les joues et les côtés du cou brun foncé sont rayés irrégulièrement de blanc. Leur mue partielle se déroule de juillet à décembre. Leur régime alimentaire (insectes et petits crustacés) leur permet de s’établir sur des plans d’eau trop petits pour contenir de gros poissons. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Gr%C3%A8be_castagneux

Lagopèdes alpins. Source : http://data.abuledu.org/URI/5134876c-lagopedes-alpins

Lagopèdes alpins

Lagopèdes alpins, "Attention, danger en vue" (Danger aloft), 1927 par Archibald Thorburn (1860-1935), illustrateur écossais spécialiste des oiseaux et de leur environnement naturel. Le lagopède alpin (Lagopus muta) a 34 cm - 36 cm de longueur, il est totalement blanc en hiver (à l'exception des rectrices sous-caudales qui restent sombres), puis se recouvre de brun en été. En automne, il devient grisâtre avec le dessous blanc. Le mâle a une livrée nuptiale où domine le gris-brun, la femelle est d'un rouge-brun. Son cri est bas et rauque. Cri d'alarme et d'envol râpeux à sonorités creuses : keurr-keurr-keurr-kè-kè-kè et aussi ker-r-r-rk. En haute montagne, il vit en zone nivale à la limite des neiges éternelles, sur les terrains pierreux, broussailleux ou dénudés, parfois plus bas par mauvais temps. Dans le Grand Nord, il habite les toundras. Il niche à l'abri d'un rocher ou sous la basse végétation. De mai à juin, le lagopède construit son nid à même le sol, souvent derrière un buisson où la femelle pond 8 à 12 œufs qu'elle couve seule pendant 22 à 26 jours. En octobre, les jeunes sont devenus adultes. Plusieurs familles se rassemblent en groupes de 15 à 20 individus.

Le goéland argenté en Europe. Source : http://data.abuledu.org/URI/50f72ae5-le-goeland-argente-en-europe

Le goéland argenté en Europe

Aire de répartition du goéland argenté (Larus argentatus) européen. En vert, Zone de nidification ; en bleu, Zone d'hivernage après dispersion ; en jaune : Zone d'hivernage après migration. Bon voilier et bon marcheur, le goéland est un omnivore opportuniste à tendance carnivore, qui n'hésite pas à devenir charognard, ou à pratiquer le cleptoparasitisme, voire le cannibalisme. Oiseau sociable, il niche en colonie et produit chaque année deux ou trois oisillons qui, s'ils parviennent à l'âge adulte, auront une probabilité de survie particulièrement élevée. Comme chez la plupart des oiseaux de mer, la saison de reproduction s'étale sur une longue période. La reproduction proprement dite, c'est-à-dire la ponte et l'élevage de la nichée, se déroule d'avril à juillet ; mais elle est précédée par une longue phase d'appropriation des territoires et de formation des couples. Les dates d'arrivée aux sites de nidification varient avec la latitude : elles sont plus précoces au sud. Ainsi, les goélands argentés sont observés sur leurs territoires au plus tard dès décembre dans le Finistère et au cap Blanc-Nez, début janvier en mer d'Irlande et début mars dans le sud de la Baltique. Les retours sont même signalés dès novembre au pays de Galles. Schématiquement, les mois précédant la ponte proprement dite, c'est-à-dire approximativement de janvier à avril, sont consacrés à l'appropriation et à la délimitation des territoires, à la formation des couples et à l'accouplement, enfin à la construction du nid. Mai est le mois des pontes et de l'incubation pour la majorité des couples, juin et juillet ceux de l'élevage des jeunes. Les oiseaux quittent progressivement les sites de reproduction dans le courant du mois d'août, les colonies étant pratiquement désertes à la fin de ce mois.

Nid de pinsons. Source : http://data.abuledu.org/URI/51fc01f7-nid-de-pinsons

Nid de pinsons

Nid de pinsons (Fringilla coelebs) : Lorsque les jeunes éclosent, les adultes les nourrissent pendant les deux semaines qu'ils passent au nid, car ils sont nidicoles, leur apportant principalement des insectes et des araignées. Une fois les jeunes partis du nid, leurs parents continuent à les nourrir quelque temps après.

Poussin de lagopède alpin. Source : http://data.abuledu.org/URI/51348941-poussin-de-lagopede-alpin

Poussin de lagopède alpin

Poussin de lagopède alpin dans le parc national de norvégien Rohkunborri en Juillet 2011, (en norvégien Rohkunborri nasjonalpark). En octobre, les jeunes sont devenus adultes. Son alimentation change selon les saisons : en été, il se nourrit de baies, d'insectes, de larves et autres invertébrés ; en automne, sa nourriture est essentiellement composée de baies ; en hiver, graines et restes de végétaux ; et au printemps, il mange chataignes ou bourgeons.

Serviteur conduisant deux enfants. Source : http://data.abuledu.org/URI/47f5348c-serviteur-conduisant-deux-enfants

Serviteur conduisant deux enfants

Deux enfants donnant la main à un adulte dans la ville de Nuremberg, au XVIème siècle