Transfert en cours..., vous êtes sur le "nouveau" serveur data.abuledu.org dont l'hébergement est financé par l'association abuledu-fr.org grâce à vos dons et adhésions !
Vous pouvez continuer à soutenir l'association des utilisateurs d'AbulÉdu (abuledu-fr.org) ou l'association ABUL.
Suivez la progression de nos travaux et participez à la communauté via la liste de diffusion.

Votre recherche ...

Nuage de mots clés

La Rochelle (Charente-Maritime) | Dessins et plans | Automates (jouets) | Photographie | Jacques de Vaucanson (1709-1782) | Jacques Vaucanson (1709-1782) | Dix-huitième siècle | Savants français | Musées | Histoire | Chaînes | Canards | Automates | Modèles mécaniques | Inventions |
L'automate du canard de Vaucanson. Source : http://data.abuledu.org/URI/50ec98d4-l-automate-du-canard-de-vaucanson

L'automate du canard de Vaucanson

L'automate du canard mécanique de Jaques de Vaucanson (1738, France). Il commence par réparer les horloges et les montres de son quartier à Grenoble. Il tente de reproduire mécaniquement les principales fonctions de l’organisme humain, encouragé par les chirurgiens Claude-Nicolas Le Cat et François Quesnay qui souhaitent de cette façon mieux comprendre ces fonctions. À partir de 1733 ou 1735 et jusqu’en 1737 ou 1738, il construit son premier automate, le flûteur automate, qui joue de la flûte traversière. Il semblait être grandeur nature, habillé en sauvage et jouant assis sur un rocher. Son deuxième automate est lui aussi un joueur de flûte et de tambourin, de taille humaine, habillé en berger provençal. Mais son instrument, un galoubet, est plus complexe à utiliser. Il construit ensuite son automate le plus sophistiqué : un canard digérateur, exposé en 1744 au Palais-Royal, qui peut manger et digérer, cancaner et simuler la nage.

La chaîne sans fin de Vaucanson. Source : http://data.abuledu.org/URI/50ec96ce-la-chaine-sans-fin-de-vaucanson

La chaîne sans fin de Vaucanson

Une chaîne sans fin de Vaucanson (1709-1782). Le cardinal de Fleury lui confie le poste d’inspecteur général des manufactures de soie en 1741, le roi souhaitant réorganiser cette industrie, ce qui entraînera l’arrêt de ses travaux sur les automates. De mai à octobre 1742, Jacques Vaucanson, accompagné d’un spécialiste lyonnais de la soie, le sieur Montessuy, inspecte les manufactures de France, mais aussi d’Italie. S’ensuivent des perfectionnements sur les diverses machines, dont le moulin à organiser, qui fonctionne à l’aide d’une chaîne sans fin appelée « chaîne Vaucanson », pour laquelle il invente une machine de fabrication. Il meurt le 21 novembre 1782, à Paris, en léguant ses machines au roi, legs qui sera une des bases de la collection du Conservatoire national des arts et métiers.

Le canard de Vaucanson au musée des automates. Source : http://data.abuledu.org/URI/582212c5-le-canard-de-vaucanson-au-musee-des-automates

Le canard de Vaucanson au musée des automates

Le canard de Vaucanson, au musée des automates de La Rochelle-17.

Vaucanson au musée des automates. Source : http://data.abuledu.org/URI/5822128f-vaucanson-au-musee-des-automates

Vaucanson au musée des automates

Informations sur Vaucanson, au musée des automates de La Rochelle-17.