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Photographie | Musique | Instruments de musique | Instruments de musique mécaniques | Dessins et plans | Instruments à cordes frappées | Instruments à clavier | Orgue de Barbarie | Pianos (musique) | Instruments à vent | Automatophones | Automates sonores | Cordes d'instruments de musique | Instruments à cordes pincées | Instruments à percussion | Automates (jouets) | Boîtes à musique | Musique des rues | Instrumentistes | Dix-neuvième siècle | ...
Joueur d'orgue de barbarie. Source : http://data.abuledu.org/URI/52ffcbb1-joueur-d-orgue-de-barbarie

Joueur d'orgue de barbarie

Joueur d'orgue de Barbarie à Dinant en Belgique. L'orgue de Barbarie est un instrument de musique mécanique à vent classé dans les orgues. Il fait partie des « automatophones », terme qui englobe tous les instruments destinés à produire de la musique par des procédés mécaniques.

Joueur d'orgue de Barbarie. Source : http://data.abuledu.org/URI/52ffcc52-joueur-d-orgue-de-barbarie

Joueur d'orgue de Barbarie

Joueur d'orgue de Barbarie à Vienne.

Joueur d'orgue de Barbarie. Source : http://data.abuledu.org/URI/52ffcd94-joueur-d-orgue-de-barbarie

Joueur d'orgue de Barbarie

Joueur d'orgue de Barbarie à Paris.

Le rossignol. Source : http://data.abuledu.org/URI/51116d8f-le-rossignol

Le rossignol

Conte d'Andersen, "Le Rossignol", traduit par David Soldi, 1876 (Hachette, wikisource). 3818 mots.

Piano du musée des automates de Baud. Source : http://data.abuledu.org/URI/53b557db-piano-du-musee-des-automates-de-baud

Piano du musée des automates de Baud

Piano du musée des automates de Baud en Suisse.

Serinette. Source : http://data.abuledu.org/URI/52fff60d-serinette-

Serinette

Serinette fabriquée par Bennard à Mirecourt, dans les Vosges, en 1757 exposée au Musée Historique de Lausanne : une serinette est un instrument de musique mécanique primitif assimilable à un orgue destiné à apprendre des mélodies courtes à des oiseaux siffleurs. Elle est à l'origine du verbe "seriner" (répéter de nombreuses fois). Ces instruments sont relativement simples. Ils sont composées d'un cylindre de bois comportant des pontets en métal. Ceux-ci commandent l'ouverture de petits clapets qui admettent de l'air dans des tubes d'orgue (généralement en étain) accordés au notes de l'instrument. L'air est brassé par deux soufflets en peau eux-mêmes actionnés par une manivelle. C'est également cette manivelle qui fait tourner le cylindre avec la mélodie au moyen d'une vis sans fin. Le morceau « enregistré » sur le cylindre dure de 10 à 20 secondes, dépendant beaucoup de la personne qui joue de l'instrument. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Serinette.

Cistre allemand. Source : http://data.abuledu.org/URI/532b01bd-cistre-allemande

Cistre allemand

Le cistre est un instrument à cordes pincées qui semble avoir fait son apparition vers le XVe siècle et qui est encore répandu en Europe. Héritier de la citole, le cistre connut deux périodes d'intense prédilection : 1) la plus longue dura du début du XVIe à la moitié du XVIIe siècle. Il y acquiert les caractéristiques qui sont encore les siennes de nos jours. À cette époque, la pratique du cistre est proche de celle du luth mais d'un statut inférieur, plus populaire et plus simple. Les amateurs le pratiquent assidûment, et les recueils mis à leur disposition sont nombreux. Mais, vers le milieu du XVIIe siècle, sans raison apparente, il tombe dans l'oubli. 2) vers 1770 il refait surface. Là, c'est un véritable engouement du public et pour répondre à la demande, les compositeurs vont rivaliser d'imagination, au point que la production en perd sa qualité. Un facteur imagine même d'y adapter une petite table mécanique de pianoforte et de petits marteaux actionnés par l'intermédiaire d'un clavier. Les cordes sont pincées au plectre en bec de plume, au médiator comme pour la guitare folk, ou plus rarement avec des onglets en métal comme pour la guitare dobro. Certains comme Chris Thompson utilisent un bottleneck pour jouer du blues. Le cistre est encore pratiqué en Suisse, en Autriche et en Allemagne : il fait partie de la musique folklorique ou populaire depuis des siècles, dans des versions spécifiques (waldzither, halszither).

Coupe d'un piano à queue. Source : http://data.abuledu.org/URI/510293f9-coupe-d-un-piano-a-queue

Coupe d'un piano à queue

Coupe d'un piano à queue : 1 et 14) Cadre métallique, 2) Abattant du couvercle, 3) Capo d'astro ou barre harmonique, 4) Tête d'étouffoir, 5) Couvercle, 6) Chevalet d'étouffoir (ou pivot des étouffoirs ?), 7) Rail des chevalets d'étouffoir (ou barre de forte ?), 8) Barre de transmission de la pédale forte, 9) Levier de la transmission du forte, 10) Tige de Lyre, 11) Pédale, droite (forte), gauche (piano), 12) Chevalet, 13) Cheville d'accord (pointe d'accroche), 15) Table d'harmonie, 16) Corde. Le piano à queue est constitué : d'un clavier, généralement à 88 touches (7 octaves 1/4), muni d'un couvercle ; d'un barrage, structure en poutres ; d'une table d'harmonie, mise en vibration par les cordes par l'intermédiaire de chevalets ; de cordes : une par note dans les graves, deux dans les notes intermédiaires, trois dans les aiguës. Les cordes d'aigus sont nues, les cordes de graves sont filées ; d'un cadre métallique au-dessus de la table d'harmonie (sur les pianos modernes) ; d'une ceinture, coffrage entourant la table d'harmonie ; d'un couvercle s'ouvrant à 45° ; d'une mécanique de percussion ; d'un pédalier (lyre) ; d'un pupitre.

Croquis de panharmonicon. Source : http://data.abuledu.org/URI/52bd7d63-croquis-de-panharmonicon

Croquis de panharmonicon

Croquis de Panharmonicon. Le panharmonicon était un instrument de musique mécanique inventé par Johann Nepomuk Maelzel (1772-1838) en 1804 dont il ne subsiste aujourd'hui aucun exemplaire. De très grande taille, il consistait en une sorte de clavier qui reproduisait les sons d'instruments mécaniques spécialement conçus pour lui, par la mise en jeu d'un soufflet et de rouleaux musicaux mécaniques. Les quarante-deux instruments qui composaient le panharmonicon étaient ceux d'un orchestre militaire : flûte, clarinette, trompette, violon, violoncelle, percussions, triangle. Maelzel commanda à Beethoven en 1813 une œuvre orchestrale pour inaugurer cet instrument singulier : ce fut la Victoire de Wellington (ou Bataille de Vitoria).

Guitare classique. Source : http://data.abuledu.org/URI/53029ab1-guitare-classique

Guitare classique

Tête d'une guitare classique, montrant les mécaniques et l'attache des cordes.

Khol bengali. Source : http://data.abuledu.org/URI/53396581-khol

Khol bengali

C'est une version originale de l'est de l’Inde. Il est long comme un mridangam, mais ses faces sont disproportionnées : l'une à droite, est minuscule (7 cm) et l'autre à gauche, est énorme (30 cm). L'instrument est en terre cuite, et donc très fragile, mais très léger, et très sonore. Si on retrouve la pastille noire à droite, elle n'émet en revanche aucun "buzz" et ne subit pas les frappes claquées si caractéristiques. En revanche, on n'applique aucune pâte à gauche. En effet, il s'y trouve une pastille noire (ou brune) permanente, mais elle peut être aussi placée à l'intérieur de la peau ! De ce fait s'offre une nouvelle possibilité de jeu, similaire à celle du baya (tambour basse) du tablâ : on peut utiliser des glissandos du poignet sur la peau et en variant la pression, obtenir un son plus ou moins long du genre "woop". Le nombre de lanières reliant les deux peaux est beaucoup plus important, afin de protéger la caisse de résonance. On n'accorde pas cet instrument à l'aide d'une action mécanique (coup), mais à l'aide d'une réaction physique : on chauffe l'instrument pour monter l'accord. Le khol accompagne les bhajans et les kirtans, les chants religieux dérivés du dhrupad. Il se joue souvent debout et son apprentissage est plus empirique que scientifique. Il est aussi utilisé par les musiciens errants, les bauls. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Mridang#Le_khol_bengali

Limonaire. Source : http://data.abuledu.org/URI/52ffd331-limonaire

Limonaire

Limonaire au Festival International de Musique Mécanique de Dijon. Un limonaire est un instrument à vent mécanique. La différence fondamentale entre les orgues de foire et les orgues de barbarie tient surtout à leur taille mais aussi à la complexité des dispositifs qui les composent, mais tous deux sont des orgues mécaniques.

Mécanisme d'un piano droit. Source : http://data.abuledu.org/URI/51029608-mecanisme-d-un-piano-droit

Mécanisme d'un piano droit

Mécanisme d'un piano droit (à cordes verticales) : 1) sommier de chevilles ; 2) cheville de sommier ; 3) agrafe ; 4) vis du support de mécanique ; 5) corde ; 6) garniture d'étouffoir ; 7) lame d'étouffoir ; 8) noix de marteau ; 9) rail central ou sommier de mécanique ; 10) levier de soulèvement (pédale forte) ; 11) cuillère d'étouffoir.

Mécanisme du piano à queue. Source : http://data.abuledu.org/URI/51029226-mecanisme-du-piano-a-queue

Mécanisme du piano à queue

Mécanisme d'un piano à queue : 1) touche, 2) pilote de touche, 3) chevalet, 4) pilote d'échappement (bouton-butoir de l'échappement), 5) levier d'échappement, 6) vis de kupa, 7) vis de répétition (ou vis de rechute), 8) manche de marteau, 9) levier de répétition, 10) tête de marteau, 11) attrape-marteau, 12) fourche de lame d'étouffoir, 13) barre de départ collectif des étouffoirs (chevalet d'étouffoir), 14) cuillère d'étouffoir, 15) tête d'étouffoir, 16) corde, 17) cadre métallique (plaque d'accroche), 20) sommier de cheville. Le piano à queue est un piano à cordes horizontales ; c'est le type original du piano, dérivé du tympanon ou du cymbalum, des instruments à cordes frappées. Il s'oppose au piano droit, dont les cordes sont disposées verticalement.

Polyphon. Source : http://data.abuledu.org/URI/52ff88ac-polyphon

Polyphon

Le polyphon est une boîte à musique à disque, dans laquelle le cylindre est remplacé par un disque métallique garni sur une face d'aspérités ou « projections » qui sont de fines lamelles de métal coupées par emboutissage sur la surface du disque et recourbées sur elles-mêmes sur l'autre face. Ces projections ne soulèveront pas directement les lames du clavier, mais accrochant une branche d'une roue étoilée, la feront tourner, et la branche suivante de l'étoile actionnera la lame fixée devant elle. Musée de la Technique et du Textile (Musée de Bielsko-Biała). SCHUTZ-MARKE. TRADE-MARK. Source : http://www.arts-et-metiers.net/pdf/DEFO-Polyphon.pdf