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Nuage de mots clés

Musique | Photographie | Instruments à cordes | Instruments à cordes pincées | Instruments de musique | Instruments à cordes frottées | Violon | Cordes (musique) | Archets | Luth | Dessins et plans | Instrument à cordes, Musique d' | Instruments à cordes frottées -- Archet | Peinture | Lyre | Contrebasse | Violoncelle | Musique folklorique | Cithare | Gravure | ...
Accord standard de la guitare. Source : http://data.abuledu.org/URI/5302385f-accord-standard-de-la-guitare

Accord standard de la guitare

L'accordage standard d'une guitare à six cordes, de la plus grave à la plus aiguë (de 6 à 1), est : Mi La Ré Sol Si Mi (E A D G B E). Les cordes consécutives d'une guitare sont donc accordées à la quarte juste (deux tons et un demi-ton diatonique) à l'exception de l'écart entre la 3e et la 2e corde où c'est une tierce majeure (deux tons).

Alfaia brésilien. Source : http://data.abuledu.org/URI/5335a620-alfaia

Alfaia brésilien

Alfaia décoré aux couleurs du Brésil et du Pernambouc. L'alfaia est une sorte de grosse caisse à peau animale assez fine, portée à l'épaule par une corde et jouée à l'aide de deux battes en bois. Il est utilisé dans le maracatu, genre musical d'influence africaine du Pernambouc, dans le Nordeste brésilien. Son fût est en bois. Chaque peau (une de frappe, une de résonance) est pincée entre le fût et un cerclage de bois. La tension des deux peaux est obtenue par le serrage d'un cordage reliant les deux cerclages.

Archet. Source : http://data.abuledu.org/URI/50eed0ae-archet

Archet

Utilisé pour jouer de certains instruments de musique à cordes frottées, un archet est une baguette de bois sur laquelle est fixée une mèche de crins. Nommé ainsi pour sa ressemblance avec un arc, le plus souvent en pernambouc, mais parfois en fibre de carbone, c'est le mouvement de l'archet sur des cordes tendues qui crée une vibration, un son amplifié par le corps d'instruments comme le violon, l'alto, le violoncelle, la contrebasse ou la viole de gambe.

Atelier de réparateur de violons. Source : http://data.abuledu.org/URI/595163c0-atelier-de-reparateur-de-violons

Atelier de réparateur de violons

{{en|Violin repair shop, Salzburg

Autoharpe américaine. Source : http://data.abuledu.org/URI/53ebad73-autoharpe-americaine

Autoharpe américaine

Autoharpe, cithare américaine. L'autoharpe a une forme trapézoidale, une ouïe centrale circulaire et généralement 36 cordes (certaines auto harpes en ayant jusqu'à 48) y sont tendues dans le sens de la longueur de l'instrument. Les cordes sont fixées à la base par des pointes et accordées en haut par des chevilles en métal qui permettent de régler la hauteur du son de chaque corde à l'aide d'une clé en métal. La caractéristique de cet instrument qui le différencie des autres cithares est un boîtier posé au-dessus des cordes dans le sens de la largeur de l'instrument. Ce boîtier contient un jeu de barres (dont le nombre varie en fonction de l'instrument) équipées d'étouffoirs qui neutralisent la vibration de cordes choisies à l'avance et permet ainsi d'obtenir des accords avec les autres cordes libres. On les met en action en appuyant sur des boutons et elles reviennent à leur emplacement initial grâce à un système de ressorts. Les noms des accords obtenus par ces barres sont inscrits avec la notation anglo-saxonne A B C D E F G (respectivement la si do ré mi fa sol) sur le boîtier. Les accords disponibles sont des accords mineurs, majeurs et de septième. Les modèles les plus courants possèdent un jeu de 12 accords et un nombre plus important pour les instruments plus élaborés. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Autoharpe

Baglama de Grèce. Source : http://data.abuledu.org/URI/532afafc-baglama-de-grece

Baglama de Grèce

Le baglama est un instrument de musique grec à cordes pincées, de la même famille que la tamburitsa slave. Dans les Balkans, Grecs et Slaves utilisaient le mot "tamboura" pour désigner cette famille d'instruments depuis l'époque byzantine. Mais à partir de 1922, en Grèce, les Grecs d'Asie mineure qui utilisaient le terme "baglama" (qui désigne en turc divers types d'instruments à trois cordes) imposèrent cette nouvelle terminologie. Ici, toutefois, il désigne une sorte de bouzouki trichordo miniature. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Baglama_%28grec%29.

Balalaïka russe. Source : http://data.abuledu.org/URI/53232c44-balalaika

Balalaïka russe

La balalaïka (Russe : Балалайка) est un instrument de musique à cordes pincées russe. C'est un luth à manche long à la caisse typiquement triangulaire. Le mot balalaïka vient du russe balakat, qui signifie bavarder, plaisanter, taquiner. Elle se joue avec un plectre et se décline en plusieurs tailles. La plus courante, la prima, comporte trois cordes, deux accordées en mi et la troisième en la. Elle est souvent associée aux orchestres de balalaïkas. L'ancêtre de la balalaïka s'appelle la domra et date du XVIe siècle. Elle aurait été introduite en Russie par les Tartares. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Balala%C3%AFka.

Banjo. Source : http://data.abuledu.org/URI/50eea220-banjo

Banjo

Le banjo est un instrument de musique à cordes pincées nord-américain. Avec sa table d'harmonie à membrane, on le distingue facilement de la guitare. Cet instrument serait un dérivé du luth ouest-africain ekonting apporté par les esclaves noirs et qui aurait suscité la création des premiers gourd-banjos (« banjo en gourde »). Le banjo représente désormais toute une famille d'instruments.

Banjoline. Source : http://data.abuledu.org/URI/532c5c28-banjoline

Banjoline

Une banjoline ou mandolin-banjo est un instrument de musique dont la caisse de résonance est comme celle d'un banjo : cerclée métalliquement sur laquelle est tendue une peau. L'accordage des cordes est similaire à celui d'une mandoline : sol (note la plus grave) - ré - la - mi. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Banjoline.

Basse de viole en 1759. Source : http://data.abuledu.org/URI/53b1bf1c-basse-de-viole-en-1759

Basse de viole en 1759

Madame Henriette de France (fille de Louis XV) jouant la basse de viole, 1759, par Jean-Marc Nattier (1685-1766). La viole de gambe (dérivant du "rebab", introduit en Espagne par les Maures vers le VIIIe siècle) connaît son heure de gloire en Italie depuis que le noble valencien Roderic de Borja (devenu Rodrigo Borgia en Italie), futur Alexandre VI, amena de nombreux violistes à Rome. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Violoncelle

Bouzouki irlandais. Source : http://data.abuledu.org/URI/532afe4c-bouzouki-irlandais

Bouzouki irlandais

Le bouzouki grec a été introduit au début des années 1960 en Irlande à la suite d’une erreur. Alec Finn demanda à un ami qui allait en Grèce de lui rapporter un luth, mais il lui rapporta un bouzouki à trois chœurs. Dónal Lunny demanda au luthier Peter Abnett de lui fabriquer un instrument comportant les caractéristiques suivantes : forme de larme et fond plat, quatre chœurs, cordes et accord différents. Ainsi naquit le « bouzouki irlandais ».

Caisse de résonance d'un piano. Source : http://data.abuledu.org/URI/53b55dfd-caisse-de-resonance-d-un-piano

Caisse de résonance d'un piano

Caisse de résonance d'un piano à queue Steinway. Le piano à queue est un piano à cordes horizontales. Le piano à queue est le type original du piano, dérivé du tympanon ou du cymbalum, des instruments à cordes frappées (le clavecin étant un instrument à cordes pincées). Il s'oppose au piano droit, dont les cordes sont disposées verticalement. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Piano_%C3%A0_queue

Chanteur éthiopien jouant du Krar. Source : http://data.abuledu.org/URI/52d312d0-chanteur-ethiopien-jouant-du-krar

Chanteur éthiopien jouant du Krar

Chanteur éthiopien jouant du Krar (kora en Afrique occidentale) : lyre à six cordes.

Chenda indien. Source : http://data.abuledu.org/URI/53397fd5-chenda

Chenda indien

Le chenda ou chende est un instrument de musique de l’Inde. C'est un instrument de percussion membranophone. C'est un tambour en tonneau à deux peaux utilisé dans la musique kéralaise. Seuls des membres de la communauté Mârâr ou Pothuvâl sont habilités à en jouer. D'un diamètre de 22 cm, avec 55 cm de long, il est en un bois épais de jacquier. Deux cercles de 32 cm de diamètre en bois ou en bambou assurent la fixation des cordes de tensions réglables à l'aide d'un anneau le long du fût. Les membranes sont en peau de vache ou de veau (l'une d'elles a six couches distinctes de peaux). C'est l'un des rares tambours, maintenu à l'aide d'une sangle passée sur les épaules, à être joué debout. L'instrument est tenu à la verticale, comme un tambour européen. On le frappe sur la face supérieure (valantâla) à l'aide d'une ou deux baguettes courbes ou avec la main gauche nue. À de rares occasions, la face inférieure (etântâla) est aussi frappée. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Chenda

Chevalet de violon. Source : http://data.abuledu.org/URI/53b1ba4a-chevalet-de-violon

Chevalet de violon

Un chevalet de violon, taillé un peu plus aplati que la moyenne afin de faciliter les doubles cordes.

Cimbalom hongrois. Source : http://data.abuledu.org/URI/532c4ac0-cimbalom-hongrois

Cimbalom hongrois

Le cymbalum, czimbalum, cimbal (Slovaquie), cimbalom (Hongrie), țambal (Roumanie et Moldavie), ou tsymbaly (Biélorussie, Pologne et Ukraine), cimbole (Lettonie), cimbolai (Lituanie) est un instrument à cordes frappées faisant partie de la famille des cithares sur table. On l'appelle aussi le piano tsigane. Formé d'une caisse de résonance en bois en forme de trapèze, sur laquelle reposent des séries de chevalets (soudés généralement), il est serti d'une centaine de cordes métalliques, frappées à l'aide de petits marteaux ou mailloches tenus entre les doigts. L'accord est le plus souvent, chromatique. Il se rencontre en deux variétés : portable et de concert. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Cymbalum.

Cimboa du Cap-Vert. Source : http://data.abuledu.org/URI/532c4e8f-cimboa

Cimboa du Cap-Vert

La cimboa /sĩˈboɐ/ (ou cimbó /sĩˈbɔ/) est un instrument de musique originaire du Cap-Vert. Il s’agit d’un cordophone frotté, qui était traditionnellement utilisé pour accompagner les danses de batuque. Sur l’origine exacte de l’instrument, on ne sait presque rien, sauf qu'il vient de l’Afrique continentale. Certains auteurs notent cependant la ressemblance de la cimboa avec des instruments africains situés à des milliers de kilomètres de distance, comme le kiki des Tédas et Dazagadas du Tibesti et de Borkou, le nini des Zaghawa, le fini des Kanembou, ou encore le kiki des Maba de la région de Ouaddaï. La hauteur des notes est obtenue en pressant la corde en divers endroits du manche et en arquant le manche flexible.

Cistre allemand. Source : http://data.abuledu.org/URI/532b01bd-cistre-allemande

Cistre allemand

Le cistre est un instrument à cordes pincées qui semble avoir fait son apparition vers le XVe siècle et qui est encore répandu en Europe. Héritier de la citole, le cistre connut deux périodes d'intense prédilection : 1) la plus longue dura du début du XVIe à la moitié du XVIIe siècle. Il y acquiert les caractéristiques qui sont encore les siennes de nos jours. À cette époque, la pratique du cistre est proche de celle du luth mais d'un statut inférieur, plus populaire et plus simple. Les amateurs le pratiquent assidûment, et les recueils mis à leur disposition sont nombreux. Mais, vers le milieu du XVIIe siècle, sans raison apparente, il tombe dans l'oubli. 2) vers 1770 il refait surface. Là, c'est un véritable engouement du public et pour répondre à la demande, les compositeurs vont rivaliser d'imagination, au point que la production en perd sa qualité. Un facteur imagine même d'y adapter une petite table mécanique de pianoforte et de petits marteaux actionnés par l'intermédiaire d'un clavier. Les cordes sont pincées au plectre en bec de plume, au médiator comme pour la guitare folk, ou plus rarement avec des onglets en métal comme pour la guitare dobro. Certains comme Chris Thompson utilisent un bottleneck pour jouer du blues. Le cistre est encore pratiqué en Suisse, en Autriche et en Allemagne : il fait partie de la musique folklorique ou populaire depuis des siècles, dans des versions spécifiques (waldzither, halszither).

Cithare. Source : http://data.abuledu.org/URI/53232de1-cithare

Cithare

Si son origine remonte à la Grèce antique, de nos jours, la cithare (en allemand, Zither) est un instrument de musique à cordes pincées faisant partie du folklore autrichien ou germanique, répandu aussi en Suisse, en Slovénie et en France. La caisse de résonance a une forme trapézoïdale, relativement plate. La table d'harmonie a une grosse ouïe centrale et des décorations y sont souvent appliquées. La cithare possède autant de cordes que de notes jouables (par la main droite) pour la mélodie, et quelques chœurs, ensembles de quatre cordes assurant les accords de l'accompagnement (qui sont joués de la main gauche). Les cordes mélodiques sont fines et décroissent en longueur de la gauche vers la droite, c’est-à-dire des sons graves vers les sons aigus. Les chœurs consistent en groupes de quatre cordes approximativement de même longueur mais de grosseurs très différentes pour produire des accords montants lorsqu'elles sont grattées de la droite vers la gauche. Des chevilles en métal assurent fixation et accord. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Cithare.

Citole Anglaise. Source : http://data.abuledu.org/URI/532c6797-citole-anglaise

Citole Anglaise

Citole (British Museum). La citole est un instrument à cordes pincées en usage jusqu'au XIVe siècle, ancêtre du cistre. De formes variées, la citole possède généralement quatre cordes en métal ou en boyaux, attachées sur un manche très court. Un rare exemplaire de cet instrument, trouvé au château de Warwick , est exposé au British Museum. Cette citole, construite autour des années 1300, a été transformée en violon au XVIe siècle par l'ajout d'une touche, d'un chevalet avec sa table d'harmonie et d'ouïes remplaçant son trou central : elle n'est donc pas représentative de l'instrument d'origine. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Citole.

Cobla catalane à Barcelone. Source : http://data.abuledu.org/URI/533af13c-cobla-catalane-a-barcelone

Cobla catalane à Barcelone

La "Cobla Baix Llobregat" (Cobla du Bas-Llobregat) jouant sur la Place Saint Jaume (Place Saint Jacques), à Barcelone, devant le Palais de la Généralité. La cobla est un ensemble instrumental catalan qui utilise dans sa formation classique les instruments de musiques suivants : flabiol avec tambourin (tamborí), tible, tenora, trompette (trompeta), trombone (trombó), fiscorn et contrebasse (contrabaix) à trois cordes. La coble moderne est due au musicien catalan Pep Ventura (1817-1875) qui institua un ensemble d'onze musiciens pour douze instruments : un flabiol-tamborí, deux tibles, deux tenores, deux trompettes, un trombone, deux fiscorns et une contrebasse à 3 cordes. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Cobla La cobla est essentiellement destinée à l’interprétation de la sardane mais peut accompagner d'autres danses et peut aussi donner des concerts dans différents styles musicaux, autres que la sardane. Il existe d'ailleurs un répertoire important.

Cobza de Roumanie. Source : http://data.abuledu.org/URI/53287697-cobza

Cobza de Roumanie

Le cobza, cobsa, kobuza, kobuz ou coboz est un instrument de musique à cordes de Roumanie. Il s'agit d'une version locale du oud apporté par les Ottomans qu'on peut retrouver en Moldavie ou en Hongrie et dont le nom dérive du kopuz d'Asie Centrale. Il ne faut pas le confondre avec la kobza ukrainienne, qui est plus proche d'une cithare à manche ou de la bandura. Le cobza est joué avec un plectre en plume par les tziganes de Roumanie, mais est devenu de plus en plus rare aujourd'hui.

Colophane. Source : http://data.abuledu.org/URI/5131bd4a-colophane

Colophane

Différents types de colophane pour les archets de violon ou de violoncelle. La colophane est le résidu solide obtenu après distillation de la térébenthine, oléorésine (appelée aussi gemme), substance récoltée à partir des arbres résineux et en particulier les pins (le genre Pinus) par une opération que l'on appelle le gemmage. La colophane est utilisée pour les instruments à cordes frottées. On la frotte sur la mèche des archets pour permettre la mise en vibration de la corde, car sans colophane les crins glissent sans frottements sur la corde presque sans en tirer un son. Elle est aussi utilisée sur les archets des scies musicales afin de mieux frotter sur la lame. La colophane se présente sous la forme d'un petit bloc (cubique ou cylindrique) solide et transparent en général de couleur jaune ou noire (mais certaines fois de couleur rouge ou verte). « Cette résine de pin, autrefois produite à Colophon, en Asie Mineure, est indispensable au travail des crins : c'est elle qui leur confère l'aspérité dont ils ont besoin pour frotter les cordes du violon. Si la mèche de l'archet était enduite de savon, elle ne produirait aucun son. Ce sont les grattements de ces milliers de rugosités qui tirent la corde et la laissent repartir. Tout cela est bien évidemment invisible à l'œil nu, mais dans cette combinaison des crins et de la colophane, tout se passe comme si des milliers de petits doigts onglés exécutaient une sorte de pizzicato continu. Ainsi naît la vibration. De cette mécanique microscopique éclot la voix du violon. » Yehudi Menuhin, "La légende du violon".

Contrebasse. Source : http://data.abuledu.org/URI/50eecc86-contrebasse

Contrebasse

La contrebasse est un instrument grave de la famille des instruments à cordes. Elle peut se jouer en frottant les cordes avec l'archet (arco) ou en les pinçant avec les doigts (pizzicato). La contrebasse est très utilisée en musique classique au sein des orchestres symphoniques, et en jazz où elle fait partie de la section rythmique. La contrebasse est également utilisée dans les autres styles comme le blues, le bluegrass, le rock and roll, le rockabilly, le jazz rap ou encore le tango.

Cordes de violoncelle. Source : http://data.abuledu.org/URI/53b1c06f-cordes-de-violoncelle

Cordes de violoncelle

Étude d'un violoncelle taille trois-quarts : on peut deviner la marque et le modèle des cordes en "lisant" les codes de couleur des bouts de corde attachés au cordier.

Coupe d'un piano à queue. Source : http://data.abuledu.org/URI/510293f9-coupe-d-un-piano-a-queue

Coupe d'un piano à queue

Coupe d'un piano à queue : 1 et 14) Cadre métallique, 2) Abattant du couvercle, 3) Capo d'astro ou barre harmonique, 4) Tête d'étouffoir, 5) Couvercle, 6) Chevalet d'étouffoir (ou pivot des étouffoirs ?), 7) Rail des chevalets d'étouffoir (ou barre de forte ?), 8) Barre de transmission de la pédale forte, 9) Levier de la transmission du forte, 10) Tige de Lyre, 11) Pédale, droite (forte), gauche (piano), 12) Chevalet, 13) Cheville d'accord (pointe d'accroche), 15) Table d'harmonie, 16) Corde. Le piano à queue est constitué : d'un clavier, généralement à 88 touches (7 octaves 1/4), muni d'un couvercle ; d'un barrage, structure en poutres ; d'une table d'harmonie, mise en vibration par les cordes par l'intermédiaire de chevalets ; de cordes : une par note dans les graves, deux dans les notes intermédiaires, trois dans les aiguës. Les cordes d'aigus sont nues, les cordes de graves sont filées ; d'un cadre métallique au-dessus de la table d'harmonie (sur les pianos modernes) ; d'une ceinture, coffrage entourant la table d'harmonie ; d'un couvercle s'ouvrant à 45° ; d'une mécanique de percussion ; d'un pédalier (lyre) ; d'un pupitre.

Crwth celtique. Source : http://data.abuledu.org/URI/533a9a25-crwth

Crwth celtique

Le crwth ou crouth (prononcé kruːθ ou krʊθ en gallois) est un instrument d'origine galloise ou irlandaise, probablement du Xe – XIe siècle, date à laquelle l'emploi de l'archet est devenu commun en Europe occidentale. Il s'agit de l'un des derniers instruments dont aient joué les bardes historiques de la fin du Moyen Âge et de la Renaissance. Le mot gallois crwth et le mot gaélique cruit étaient des termes génériques renvoyant aux instruments à cordes pincées en général, y compris les premières harpes, et les lyres à six cordes communes à toute l'Europe "barbare" du Haut Moyen Âge. Il se joue comme le fiddle qui l'a supplanté. Il connaît un regain d'intérêt depuis quelques années. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Crwth

Deux violonistes de rue. Source : http://data.abuledu.org/URI/59516459-deux-violonistes-de-rue

Deux violonistes de rue

Deux violonistes de rue dans les années 1930.

Dix instruments de musique chinois au 17ème siècle. Source : http://data.abuledu.org/URI/54bbe3a2-dix-instruments-de-musique-chinois-au-17eme-siecle

Dix instruments de musique chinois au 17ème siècle

Dix instruments de musique chinois : en haut à gauche, guqin (cithare) ; en haut au centre, yunluo à 5 gongs ; en haut à droite : sheng (orgue à bouche) ; centre gauche : sanxian (instrument à cordes pincées) ; centre : dizi (flûte traversière), guan (oboé) ou dongxiao (flûte verticale) ; centre à droite : paiban (claquettes de bois) ; en bas à gauche : konghou (harpe) ; en bas au milieu : guzheng ; en bas à droite : pian gu (tambour). Source : Li Zhuowu Ping Ben Pipa Ji 李卓吾評本琵琶記 (Li Zhuowu Critizes Pipa Ji), 1573-1619.

Djembe. Source : http://data.abuledu.org/URI/50f03f5f-djembe

Djembe

Le djembé est un instrument de percussion africain composé d'un fût de bois en forme de calice sur lequel est montée une peau de chèvre ou d'antilope tendue à l'aide d'un système de tension (originellement des chevilles en bois ou des cordes en peaux, maintenant le plus souvent des cordes synthétiques et des anneaux en fer à béton), que l'on joue à mains nues et dont le spectre sonore très large génère une grande richesse de timbre. La forme évasée du fût viendrait de celle du mortier à piler le grain.

Domra russe. Source : http://data.abuledu.org/URI/53284e02-domra

Domra russe

La domra est un instrument à cordes russe de la famille des luths répandu jusqu'au XVIIe siècle puis disparu, et recréé à la fin du XIXe siècle par Vassili Andreyev, le musicien à l'origine du renouveau de la balalaika et de la musique folklorique russe. En 1905, un luthier y ajouta une quatrième corde. C'est un instrument que l'on retrouve souvent associé à la balalaïka. On en joue avec un plectre en solo, duo ou orchestre. Il est plutôt réservé à l'interprétation des musiques modernes ou classiques.

Ektara du Bengale. Source : http://data.abuledu.org/URI/532c528d-ektara-

Ektara du Bengale

L'ektara des bauls du Bengale, est un instrument unique en son genre. C'est une petite caisse de résonance cylindrique en bois ou gourde, sur laquelle une peau de chèvre est fixée ; une corde est nouée à celle-ci et tendue grâce à deux languettes d'un bambou fendu fixées elles au bord de la caisse. Une cheville y est placée pour accorder la corde. On en joue debout ou assis, et uniquement de la musique folklorique ou des bhajans dévotionnels. On obtient une mélodie sur l'instrument baul en pressant sur le bambou fendu en deux : plus on presse le bambou, plus la note devient grave, et plus on le relâche, plus la note devient aiguë. Pour l'autre, il suffit de pincer la corde avec le doigt, et il n'y a pas de variation mélodique : c'est un bourdon. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Ektara.

Gadoulka et archet. Source : http://data.abuledu.org/URI/53023ec9-gadoulka-et-archet

Gadoulka et archet

Gadoulka et archet : La gadoulka, ganilka, kopanka, gjola, tsigulka ou kemene est un instrument à cordes frottées originaire de Bulgarie. Il en existe diverses formes et tailles selon les régions (Thrace, Dobrujan, Gabrovo) mais ce sont des variantes de la famille des vièles lyras et kemençes répandues dans le monde byzantin et ottoman. Elle a un corps piriforme en murier avec un manche intégré terminé par un chevillier complexe. La fine table d'harmonie est percée de deux ouïes en forme de D. Elle comporte trois ou quatre cordes en boyau, plus éventuellement 2 à 10 cordes sympathiques. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Gadoulka.

Guitare classique. Source : http://data.abuledu.org/URI/53029ab1-guitare-classique

Guitare classique

Tête d'une guitare classique, montrant les mécaniques et l'attache des cordes.

Guitare électrique. Source : http://data.abuledu.org/URI/50eea320-guitare-electrique

Guitare électrique

La guitare électrique est un type de guitare qui produit des sons grâce à des capteurs souvent appelés micros, transformant les vibrations des cordes en un signal électrique qui peut être modifié par divers accessoires comme des pédales d'effets avant d'être converti en un son puissant par un ampli (un amplificateur électronique spécialement destiné à la guitare et un haut-parleur).

Guitare-mandoline napolitaine. Source : http://data.abuledu.org/URI/5395b9c9-guitare-mandoline-napolitaine

Guitare-mandoline napolitaine

Instrument double guitare-mandoline, région de Naples, fin XIXe-début XXe siecle, Musée des instruments de musique de Rome.

Gusle albanaise. Source : http://data.abuledu.org/URI/53393cf4-gusle

Gusle albanaise

La gusle ou guzla est un instrument monocorde à corde frottée des Alpes dinariques.

Harpe. Source : http://data.abuledu.org/URI/50ee9a19-harpe

Harpe

La harpe à pédales, ou harpe classique, est celle que l'on utilise dans les orchestres symphoniques et dans les formations de musique de chambre. Elle est la plus sophistiquée des harpes. Elle possède de 40 à 46 cordes (pour les harpes d'étude) et 47 cordes (pour les harpes de concert). Ces cordes sont principalement en boyau, à l'exception des cordes les plus graves (les deux dernières octaves) qui sont en métal, elles sont appelées cordes filées (filetage cuivre sur âme acier), les cordes les plus aigües sont en nylon.

Indienne jouant du Pulluvan pattu. Source : http://data.abuledu.org/URI/53070846-indienne-jouant-du-pulluvan-pattu

Indienne jouant du Pulluvan pattu

Indienne jouant du Pulluvan pattu dans le temple d'Ashtamudi : violon à une corde.

Instruments à cordes. Source : http://data.abuledu.org/URI/53024184-instruments-a-cordes

Instruments à cordes

Instruments à cordes de la famille du violon : viole, violoncelle et contrebasse, in "l mundo físico : gravedad, gravitación, luz, calor, electricidad, magnetismo, etc.", par A. Guillemin. - Barcelona Montaner y Simón, 1882 (Biblioteca de la Facultad de Derecho y Ciencias del Trabajo Universidad de Sevilla).

Instruments de musique en trompe-l'oeil. Source : http://data.abuledu.org/URI/53024af6-instruments-de-musique-en-trompe-l-oeil

Instruments de musique en trompe-l'oeil

Trompe-l'oeil de Sebastiano Lazzari (Vérone, fin du XVIIIème siècle) représentant trois intruments de musiques à cordes et un archet ainsi que des partitions.

Instruments de musique occidentaux. Source : http://data.abuledu.org/URI/524d79e1-instruments-de-musique-occidentaux

Instruments de musique occidentaux

Le tour de la France par deux enfants, par George Bruno, pseudonyme d'Augustine Fouillée (née Tuillerie), 1877, p.53 ; manuel scolaire, édition de 1904 : LES PRINCIPAUX INSTRUMENTS DE MUSIQUE : Piano. Violon. Basson. Trombone. Cor. Cornet à piston. Clarinette. Flûte. Harpe.

Jeune violoniste. Source : http://data.abuledu.org/URI/53b1a993-jeune-violoniste

Jeune violoniste

Francisco Garcia Fullana, violiniste espagnol, gagnant du premier prix national Pablo de Sarasate (1844-1908).

Joueur de Balalaika. Source : http://data.abuledu.org/URI/5102ada3-joueur-de-balalaika

Joueur de Balalaika

Joueur de balalaika à trois cordes. instrument de musique à cordes pincées russe. C'est un luth à manche long à la caisse typiquement triangulaire. Le mot balalaïka vient du russe "balakat", qui signifie bavarder, plaisanter, taquiner. Elle se joue avec un onglet et se décline en plusieurs tailles. La plus courante, la prima, comporte trois cordes, deux accordées en mi et la troisième en la.

Joueur de bandoura. Source : http://data.abuledu.org/URI/53728883-joueur-de-bandoura

Joueur de bandoura

Ostap Kindraczuk jouant de la bandoura dans une rue du vieux marché de Poznan en Pologne.

Joueur de rabab à Palmyre. Source : http://data.abuledu.org/URI/530294a0-joueur-de-rabab-a-palmyre

Joueur de rabab à Palmyre

Joueur de rabab à Palmyre en Syrie.

Joueur éthiopien de begena. Source : http://data.abuledu.org/URI/47f3aee3-joueur-thiopien-de-begena

Joueur éthiopien de begena

Position classique du joueur de begena.

Joueurs de harpe, de luth et de trompette. Source : http://data.abuledu.org/URI/47f57a78-joueurs-de-harpe-de-luth-et-de-trompette

Joueurs de harpe, de luth et de trompette

Gravure extraite du livre des métiers de Jost Amman (Das Ständbuch, 1568), représentant trois musiciens, deux avec des instruments à cordes et un à vent.

Joueurs de luth au XIIIème siècle. Source : http://data.abuledu.org/URI/5302a0a0-joueurs-de-luth-au-xiiieme-siecle

Joueurs de luth au XIIIème siècle

Joueurs de luth, Cantigas de Santa Maria, manuscrits écrits en Galicien-Portugais, avec notations musicales, pendant le règne d'Alfonso X El Sabio (1221-1284).

Jouhikko finlandais. Source : http://data.abuledu.org/URI/532c4ff2-jouhikko-finlandais

Jouhikko finlandais

Le jouhikko ou jouhikannel est un instrument arrivé en Finlande après avoir traversé la Norvège. Il est proche du "crwth" gallois. L'instrument fait partie de la famille des lyres à archet. C'est un instrument constitué généralement de 3 cordes de crin (parfois 2) se jouant à l'archet ; sa caisse présente un dos évidé fortement bombé et une table plate. Une ouverture à gauche permet à l'instrumentiste de passer le bout des doigts pour raccourcir l'une des cordes en la touchant au côté et non en y appuyant, et ainsi changer la hauteur de la note. La deuxième corde joue le rôle de bourdon. Un instrument à deux cordes permet de jouer 5 notes, soit la tessiture d'une quinte. Si une troisième corde est présente sur l'instrument, elle permet de jouer une note plus grave d'un ton, étendant la tessiture totale de l'instrument à une sixte majeure. L'instrument est joué en le positionnant sur la jambe gauche, son extrémité inférieure s'appuyant sur le genou droit. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Jouhikko.