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Nuage de mots clés

Photographie | Musique | Instruments à cordes | Instruments à cordes pincées | Instruments de musique | Instruments à cordes frottées | Luth | Cordes (musique) | Cithare | Violon | Cordes (instruments de musique) | Instruments à cordes frappées | Guitare | Cordes pincées (instruments de musique) | Archets | Dessins et plans | Peinture | Instruments à percussion | Mandoline | Instruments à cordes frottées -- Archet | ...
Anoushka Shankar en concert. Source : http://data.abuledu.org/URI/530291fc-anoushka-shankar-en-concert

Anoushka Shankar en concert

Anoushka Shankar en concert en 2007 : née le 9 juin 1981 à Londres, c'est une joueuse de sitar et une compositrice indienne.

Archet. Source : http://data.abuledu.org/URI/50eed0ae-archet

Archet

Utilisé pour jouer de certains instruments de musique à cordes frottées, un archet est une baguette de bois sur laquelle est fixée une mèche de crins. Nommé ainsi pour sa ressemblance avec un arc, le plus souvent en pernambouc, mais parfois en fibre de carbone, c'est le mouvement de l'archet sur des cordes tendues qui crée une vibration, un son amplifié par le corps d'instruments comme le violon, l'alto, le violoncelle, la contrebasse ou la viole de gambe.

Atelier de réparateur de violons. Source : http://data.abuledu.org/URI/595163c0-atelier-de-reparateur-de-violons

Atelier de réparateur de violons

{{en|Violin repair shop, Salzburg

Baglama de Grèce. Source : http://data.abuledu.org/URI/532afafc-baglama-de-grece

Baglama de Grèce

Le baglama est un instrument de musique grec à cordes pincées, de la même famille que la tamburitsa slave. Dans les Balkans, Grecs et Slaves utilisaient le mot "tamboura" pour désigner cette famille d'instruments depuis l'époque byzantine. Mais à partir de 1922, en Grèce, les Grecs d'Asie mineure qui utilisaient le terme "baglama" (qui désigne en turc divers types d'instruments à trois cordes) imposèrent cette nouvelle terminologie. Ici, toutefois, il désigne une sorte de bouzouki trichordo miniature. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Baglama_%28grec%29.

Banjo. Source : http://data.abuledu.org/URI/50eea220-banjo

Banjo

Le banjo est un instrument de musique à cordes pincées nord-américain. Avec sa table d'harmonie à membrane, on le distingue facilement de la guitare. Cet instrument serait un dérivé du luth ouest-africain ekonting apporté par les esclaves noirs et qui aurait suscité la création des premiers gourd-banjos (« banjo en gourde »). Le banjo représente désormais toute une famille d'instruments.

Banjoline. Source : http://data.abuledu.org/URI/532c5c28-banjoline

Banjoline

Une banjoline ou mandolin-banjo est un instrument de musique dont la caisse de résonance est comme celle d'un banjo : cerclée métalliquement sur laquelle est tendue une peau. L'accordage des cordes est similaire à celui d'une mandoline : sol (note la plus grave) - ré - la - mi. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Banjoline.

Bouzouki à quatre cordes. Source : http://data.abuledu.org/URI/5321dd0b-bouzouki-

Bouzouki à quatre cordes

Le bouzouki est un instrument de musique répandu en Grèce, dont il est souvent considéré comme l'instrument « national » depuis le milieu du XXe siècle. Le bouzouki grec a été introduit au début des années 1960 en Irlande à la suite d’une erreur. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Bouzouki

Bouzouki irlandais. Source : http://data.abuledu.org/URI/532afe4c-bouzouki-irlandais

Bouzouki irlandais

Le bouzouki grec a été introduit au début des années 1960 en Irlande à la suite d’une erreur. Alec Finn demanda à un ami qui allait en Grèce de lui rapporter un luth, mais il lui rapporta un bouzouki à trois chœurs. Dónal Lunny demanda au luthier Peter Abnett de lui fabriquer un instrument comportant les caractéristiques suivantes : forme de larme et fond plat, quatre chœurs, cordes et accord différents. Ainsi naquit le « bouzouki irlandais ».

Chanteur éthiopien jouant du Krar. Source : http://data.abuledu.org/URI/52d312d0-chanteur-ethiopien-jouant-du-krar

Chanteur éthiopien jouant du Krar

Chanteur éthiopien jouant du Krar (kora en Afrique occidentale) : lyre à six cordes.

Cimbalom hongrois. Source : http://data.abuledu.org/URI/532c4ac0-cimbalom-hongrois

Cimbalom hongrois

Le cymbalum, czimbalum, cimbal (Slovaquie), cimbalom (Hongrie), țambal (Roumanie et Moldavie), ou tsymbaly (Biélorussie, Pologne et Ukraine), cimbole (Lettonie), cimbolai (Lituanie) est un instrument à cordes frappées faisant partie de la famille des cithares sur table. On l'appelle aussi le piano tsigane. Formé d'une caisse de résonance en bois en forme de trapèze, sur laquelle reposent des séries de chevalets (soudés généralement), il est serti d'une centaine de cordes métalliques, frappées à l'aide de petits marteaux ou mailloches tenus entre les doigts. L'accord est le plus souvent, chromatique. Il se rencontre en deux variétés : portable et de concert. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Cymbalum.

Cimboa du Cap-Vert. Source : http://data.abuledu.org/URI/532c4e8f-cimboa

Cimboa du Cap-Vert

La cimboa /sĩˈboɐ/ (ou cimbó /sĩˈbɔ/) est un instrument de musique originaire du Cap-Vert. Il s’agit d’un cordophone frotté, qui était traditionnellement utilisé pour accompagner les danses de batuque. Sur l’origine exacte de l’instrument, on ne sait presque rien, sauf qu'il vient de l’Afrique continentale. Certains auteurs notent cependant la ressemblance de la cimboa avec des instruments africains situés à des milliers de kilomètres de distance, comme le kiki des Tédas et Dazagadas du Tibesti et de Borkou, le nini des Zaghawa, le fini des Kanembou, ou encore le kiki des Maba de la région de Ouaddaï. La hauteur des notes est obtenue en pressant la corde en divers endroits du manche et en arquant le manche flexible.

Cistre allemand. Source : http://data.abuledu.org/URI/532b01bd-cistre-allemande

Cistre allemand

Le cistre est un instrument à cordes pincées qui semble avoir fait son apparition vers le XVe siècle et qui est encore répandu en Europe. Héritier de la citole, le cistre connut deux périodes d'intense prédilection : 1) la plus longue dura du début du XVIe à la moitié du XVIIe siècle. Il y acquiert les caractéristiques qui sont encore les siennes de nos jours. À cette époque, la pratique du cistre est proche de celle du luth mais d'un statut inférieur, plus populaire et plus simple. Les amateurs le pratiquent assidûment, et les recueils mis à leur disposition sont nombreux. Mais, vers le milieu du XVIIe siècle, sans raison apparente, il tombe dans l'oubli. 2) vers 1770 il refait surface. Là, c'est un véritable engouement du public et pour répondre à la demande, les compositeurs vont rivaliser d'imagination, au point que la production en perd sa qualité. Un facteur imagine même d'y adapter une petite table mécanique de pianoforte et de petits marteaux actionnés par l'intermédiaire d'un clavier. Les cordes sont pincées au plectre en bec de plume, au médiator comme pour la guitare folk, ou plus rarement avec des onglets en métal comme pour la guitare dobro. Certains comme Chris Thompson utilisent un bottleneck pour jouer du blues. Le cistre est encore pratiqué en Suisse, en Autriche et en Allemagne : il fait partie de la musique folklorique ou populaire depuis des siècles, dans des versions spécifiques (waldzither, halszither).

Cithare. Source : http://data.abuledu.org/URI/53232de1-cithare

Cithare

Si son origine remonte à la Grèce antique, de nos jours, la cithare (en allemand, Zither) est un instrument de musique à cordes pincées faisant partie du folklore autrichien ou germanique, répandu aussi en Suisse, en Slovénie et en France. La caisse de résonance a une forme trapézoïdale, relativement plate. La table d'harmonie a une grosse ouïe centrale et des décorations y sont souvent appliquées. La cithare possède autant de cordes que de notes jouables (par la main droite) pour la mélodie, et quelques chœurs, ensembles de quatre cordes assurant les accords de l'accompagnement (qui sont joués de la main gauche). Les cordes mélodiques sont fines et décroissent en longueur de la gauche vers la droite, c’est-à-dire des sons graves vers les sons aigus. Les chœurs consistent en groupes de quatre cordes approximativement de même longueur mais de grosseurs très différentes pour produire des accords montants lorsqu'elles sont grattées de la droite vers la gauche. Des chevilles en métal assurent fixation et accord. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Cithare.

Citole Anglaise. Source : http://data.abuledu.org/URI/532c6797-citole-anglaise

Citole Anglaise

Citole (British Museum). La citole est un instrument à cordes pincées en usage jusqu'au XIVe siècle, ancêtre du cistre. De formes variées, la citole possède généralement quatre cordes en métal ou en boyaux, attachées sur un manche très court. Un rare exemplaire de cet instrument, trouvé au château de Warwick , est exposé au British Museum. Cette citole, construite autour des années 1300, a été transformée en violon au XVIe siècle par l'ajout d'une touche, d'un chevalet avec sa table d'harmonie et d'ouïes remplaçant son trou central : elle n'est donc pas représentative de l'instrument d'origine. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Citole.

Cobza de Roumanie. Source : http://data.abuledu.org/URI/53287697-cobza

Cobza de Roumanie

Le cobza, cobsa, kobuza, kobuz ou coboz est un instrument de musique à cordes de Roumanie. Il s'agit d'une version locale du oud apporté par les Ottomans qu'on peut retrouver en Moldavie ou en Hongrie et dont le nom dérive du kopuz d'Asie Centrale. Il ne faut pas le confondre avec la kobza ukrainienne, qui est plus proche d'une cithare à manche ou de la bandura. Le cobza est joué avec un plectre en plume par les tziganes de Roumanie, mais est devenu de plus en plus rare aujourd'hui.

Contrebasse. Source : http://data.abuledu.org/URI/50eecc86-contrebasse

Contrebasse

La contrebasse est un instrument grave de la famille des instruments à cordes. Elle peut se jouer en frottant les cordes avec l'archet (arco) ou en les pinçant avec les doigts (pizzicato). La contrebasse est très utilisée en musique classique au sein des orchestres symphoniques, et en jazz où elle fait partie de la section rythmique. La contrebasse est également utilisée dans les autres styles comme le blues, le bluegrass, le rock and roll, le rockabilly, le jazz rap ou encore le tango.

Crwth celtique. Source : http://data.abuledu.org/URI/533a9a25-crwth

Crwth celtique

Le crwth ou crouth (prononcé kruːθ ou krʊθ en gallois) est un instrument d'origine galloise ou irlandaise, probablement du Xe – XIe siècle, date à laquelle l'emploi de l'archet est devenu commun en Europe occidentale. Il s'agit de l'un des derniers instruments dont aient joué les bardes historiques de la fin du Moyen Âge et de la Renaissance. Le mot gallois crwth et le mot gaélique cruit étaient des termes génériques renvoyant aux instruments à cordes pincées en général, y compris les premières harpes, et les lyres à six cordes communes à toute l'Europe "barbare" du Haut Moyen Âge. Il se joue comme le fiddle qui l'a supplanté. Il connaît un regain d'intérêt depuis quelques années. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Crwth

Deux singes dans un bureau. Source : http://data.abuledu.org/URI/51503e91-deux-singes-dans-un-bureau

Deux singes dans un bureau

Deux singes assis devant un livre dans un bureau, avec des instruments de musique, 1860, par Charles Monginot (1825-1900). Fils de boulanger, Charles Monginot est né à Brienne-le-Château (Aube). Remarqué pour ses dons en dessin et peinture, il est envoyé à l'atelier de Thomas Couture. Il se lie d'amitié avec Édouard Manet, et il figure dans le célèbre tableau de Manet, "La Musique aux Tuileries". Il mène une carrière de peintre reconnu à Paris, réalisant principalement des portraits, des natures mortes ou des scènes de genre. Installé à Paris, il conserve des liens avec sa région d'origine, où il mourra, à Dienville en 1900.

Deux violonistes de rue. Source : http://data.abuledu.org/URI/59516459-deux-violonistes-de-rue

Deux violonistes de rue

Deux violonistes de rue dans les années 1930.

Ektara du Bengale. Source : http://data.abuledu.org/URI/532c528d-ektara-

Ektara du Bengale

L'ektara des bauls du Bengale, est un instrument unique en son genre. C'est une petite caisse de résonance cylindrique en bois ou gourde, sur laquelle une peau de chèvre est fixée ; une corde est nouée à celle-ci et tendue grâce à deux languettes d'un bambou fendu fixées elles au bord de la caisse. Une cheville y est placée pour accorder la corde. On en joue debout ou assis, et uniquement de la musique folklorique ou des bhajans dévotionnels. On obtient une mélodie sur l'instrument baul en pressant sur le bambou fendu en deux : plus on presse le bambou, plus la note devient grave, et plus on le relâche, plus la note devient aiguë. Pour l'autre, il suffit de pincer la corde avec le doigt, et il n'y a pas de variation mélodique : c'est un bourdon. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Ektara.

Groupe de musiciens nubiens. Source : http://data.abuledu.org/URI/5302472d-groupe-de-musiciens-nubiens

Groupe de musiciens nubiens

Les instrumentistes des Percussions nubiennes (Nubian Drummers) devant le centre culturel d'Egypte Boulevard Saint Michel, Paris Fête de la musique 2012 : de gauche à droite, joueurs de Rebab, de ney (?) (flûte oblique), de mizmar (hautbois), et de djembé.

Guitare électrique. Source : http://data.abuledu.org/URI/50eea320-guitare-electrique

Guitare électrique

La guitare électrique est un type de guitare qui produit des sons grâce à des capteurs souvent appelés micros, transformant les vibrations des cordes en un signal électrique qui peut être modifié par divers accessoires comme des pédales d'effets avant d'être converti en un son puissant par un ampli (un amplificateur électronique spécialement destiné à la guitare et un haut-parleur).

Guitariste sur scène. Source : http://data.abuledu.org/URI/5395dfa6-guitariste-sur-scene

Guitariste sur scène

La guitariste Anaïs sur scène au Festival des Artefacts (Strasbourg) en 2009.

Gusle albanaise. Source : http://data.abuledu.org/URI/53393cf4-gusle

Gusle albanaise

La gusle ou guzla est un instrument monocorde à corde frottée des Alpes dinariques.

Harpe. Source : http://data.abuledu.org/URI/50ee9a19-harpe

Harpe

La harpe à pédales, ou harpe classique, est celle que l'on utilise dans les orchestres symphoniques et dans les formations de musique de chambre. Elle est la plus sophistiquée des harpes. Elle possède de 40 à 46 cordes (pour les harpes d'étude) et 47 cordes (pour les harpes de concert). Ces cordes sont principalement en boyau, à l'exception des cordes les plus graves (les deux dernières octaves) qui sont en métal, elles sont appelées cordes filées (filetage cuivre sur âme acier), les cordes les plus aigües sont en nylon.

Instrument de musique en Casamance. Source : http://data.abuledu.org/URI/549346b0-instrument-de-musique-en-casamance

Instrument de musique en Casamance

Guide du musée en plein air consacré à la culture des Diolas à Boucotte en Casamance (Sénégal) jouant de l’écontine, instrument de musique traditionnel.

Instruments de musique en trompe-l'oeil. Source : http://data.abuledu.org/URI/53024af6-instruments-de-musique-en-trompe-l-oeil

Instruments de musique en trompe-l'oeil

Trompe-l'oeil de Sebastiano Lazzari (Vérone, fin du XVIIIème siècle) représentant trois intruments de musiques à cordes et un archet ainsi que des partitions.

Instruments de musique occidentaux. Source : http://data.abuledu.org/URI/524d79e1-instruments-de-musique-occidentaux

Instruments de musique occidentaux

Le tour de la France par deux enfants, par George Bruno, pseudonyme d'Augustine Fouillée (née Tuillerie), 1877, p.53 ; manuel scolaire, édition de 1904 : LES PRINCIPAUX INSTRUMENTS DE MUSIQUE : Piano. Violon. Basson. Trombone. Cor. Cornet à piston. Clarinette. Flûte. Harpe.

Joueur de bandoura. Source : http://data.abuledu.org/URI/53728883-joueur-de-bandoura

Joueur de bandoura

Ostap Kindraczuk jouant de la bandoura dans une rue du vieux marché de Poznan en Pologne.

Joueur de rabab à Palmyre. Source : http://data.abuledu.org/URI/530294a0-joueur-de-rabab-a-palmyre

Joueur de rabab à Palmyre

Joueur de rabab à Palmyre en Syrie.

Jouhikko finlandais. Source : http://data.abuledu.org/URI/532c4ff2-jouhikko-finlandais

Jouhikko finlandais

Le jouhikko ou jouhikannel est un instrument arrivé en Finlande après avoir traversé la Norvège. Il est proche du "crwth" gallois. L'instrument fait partie de la famille des lyres à archet. C'est un instrument constitué généralement de 3 cordes de crin (parfois 2) se jouant à l'archet ; sa caisse présente un dos évidé fortement bombé et une table plate. Une ouverture à gauche permet à l'instrumentiste de passer le bout des doigts pour raccourcir l'une des cordes en la touchant au côté et non en y appuyant, et ainsi changer la hauteur de la note. La deuxième corde joue le rôle de bourdon. Un instrument à deux cordes permet de jouer 5 notes, soit la tessiture d'une quinte. Si une troisième corde est présente sur l'instrument, elle permet de jouer une note plus grave d'un ton, étendant la tessiture totale de l'instrument à une sixte majeure. L'instrument est joué en le positionnant sur la jambe gauche, son extrémité inférieure s'appuyant sur le genou droit. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Jouhikko.

Kacapi indonésien. Source : http://data.abuledu.org/URI/53342e73-kacapi

Kacapi indonésien

Le kacapi est un instrument de musique à cordes pincées du pays Sunda en Indonésie et existe aussi à java centre sous le nom de siter. C'est une petite cithare de 75 cm de long, en forme de bateau, taillé dans du bois monoxyle, avec une cavité dans le dos. Il a deux chevilles à friction. Le manche a cinq ou six frettes excavées et ciselées du bois massif. Le chevalet consiste en un reste du bois de la caisse de résonance, laissé sur la table d'harmonie qui possède plusieurs ouïes. Il est souvent très décoré et poli, rendant parfois impossible son jeu, n'étant alors qu'une pièce décorative. C'est un instrument joué avec un grand plectre, mais dont peu de musiciens subsistent. On en joue soit en solo soit en accompagnement.

Kantele Finlandais. Source : http://data.abuledu.org/URI/5331a7c5-kantele-finlandais

Kantele Finlandais

Le kantele (prononcé [ˈkɑntele] en finnois) est le principal instrument de musique traditionnel finlandais. Instrument à cordes pincées, il est également appelé cithare finlandaise, ou parfois psaltérion finlandais. Il est en bois et comporte traditionnellement 5 cordes. Les modèles plus récents (du XXe siècle principalement) peuvent comporter un nombre variable de cordes, de 5 à 40. Le joueur de kantele pose son instrument à plat sur ses genoux ou sur une table. Pour les petits kantele de 5 à 15 cordes, on positionne l'instrument de façon à ce que les cordes graves soit les plus éloignées de soi, à l'inverse des kantele de concert à plus de 30 cordes. Les cordes sont pincées avec les doigts pour jouer des arpèges ou des mélodies, ou bien grattées à l'aide d'un plectre pour jouer des accords, les doigts de la main libre bloquant les cordes ne faisant pas partie de l'accord désiré.

Kayagum coréen. Source : http://data.abuledu.org/URI/53393797-kayagum-coreen

Kayagum coréen

Le kayagum est un instrument de musique traditionnel de Corée de la famille des cithares, avec douze cordes de soie. Il remonte au VIe siècle et est probablement le plus connu des instruments de musique coréen. Son usage a été développé par Ureuk, musicien à la cour de Gaya. C'est un proche cousin du koto japonais et du guzhen chinois. La caisse de résonance en paulownia mesure 160cm de long, 30cm de large et 10cm de hauteur. Les éclisses sont parfois en noyer. Il dispose de 12 cordes de soie, mais les instruments récents peuvent avoir jusqu'à 25 cordes en nylon, passant sur des hauts chevalets amovibles. Il se joue assis par terre, l'instrument posé sur soi ; on pince les cordes avec les doigts d'une main et avec les doigts de l'autre, on appuie sur les cordes afin d'obtenir la hauteur de son voulue (ou on déplace le chevalet). On en joue en solo, duo ou trio. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Kayagum

Komuz du Kirghizistan. Source : http://data.abuledu.org/URI/5329a7df-komuz

Komuz du Kirghizistan

Le komuz (kirghiz : комуз) est un luth à manche long d'Asie centrale, principalement utilisé dans la musique kirghize. C'est le seul luth de cette région à avoir trois cordes et non deux. La caisse de résonance de 90 cm est taillée dans un seul bloc de bois, parfois avec le manche, qui ne comporte pas de frettes. Une ouverture est pratiquée à l'arrière. Les 3 cordes en boyaux (non métalliques) sont accordées de différentes façons, la plus aigüe étant généralement celle du milieu. On en joue plutôt assis, l'instrument tenu horizontalement, mais les virtuoses peuvent en jouer dans toutes les positions. Il peut être un instrument soit d'accompagnement, soit soliste. On peut pincer ou gratter les cordes.

Koto japonais. Source : http://data.abuledu.org/URI/532c617d-koto-japonais

Koto japonais

Le koto (箏 en japonais, ou 琴 en japonais classique) est un instrument de musique à cordes pincées utilisé en musique japonaise traditionnelle, notamment dans le kabuki et le bunraku. Originaire de Chine (gŭzhēng), il fut introduit au Japon entre le VIIe siècle et le VIIIe siècle et était joué principalement à la Cour impériale ; l'usage s'en est ensuite démocratisé. Le koto est une longue cithare (en forme de dragon tapi), mesurant environ 1,80 m de long et comptant 13 cordes. La caisse est traditionnellement fabriquée en bois de paulownia évidé, et les hauts chevalets amovibles, en ivoire. Ses cordes sont en fil de soie que l'on pince avec des grattoirs en ivoire. Le koto produit un son lyrique, comparable à celui d'une harpe, ce qui peut expliquer le terme souvent rencontré de « harpe japonaise ». Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Koto.

Krar éthiopien. Source : http://data.abuledu.org/URI/5331a943-krar

Krar éthiopien

Le krar est un instrument de musique à cordes, proche de la lyre, que l'on trouve en Érythrée et en Éthiopie. Il est généralement décoré de bois, de tissus et de perles. Ses cinq ou six cordes déterminent les hauteurs musicales disponibles. La table d'harmonie est en membrane animale. Le krar est souvent joué par des musiciens que l'on appelle azmaris et il accompagne en principe des chansons d'amour et des chansons populaires de la musique éthiopienne. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Krar

Mandoline Banjo turque. Source : http://data.abuledu.org/URI/532c69cc-mandoline-banjo-turcque

Mandoline Banjo turque

Le cümbüş (djumbuch) est un instrument à cordes pincées turc. C'est un luth à manche long similaire au banjo inventé en 1930 par Zeynel Abidin Cümbüş et présenté à Atatürk par son inventeur, ancien forgeron reconverti dans la lutherie. Il est conçu pour pouvoir permettre en théorie d'adapter différents manches à une même caisse. Cümbüş : à douze cordes, manche court, sans frette, accordé comme le oud. On en joue avec un mediator ou mezrab. Il est essentiellement utilisé dans la musique turque populaire ou folklorique et surtout par les Tziganes, mais le banjo lui fait concurrence.

Mandoline du XVIème siècle. Source : http://data.abuledu.org/URI/5395c46a-mandoline-du-xvieme-siecle

Mandoline du XVIème siècle

Mandoline s'apparentant à un Laouto datant de 1595, par V. Venere à Padoue. Collections du Museo Nazionale degli Strumenti Musicali di Roma.

Mandoluth du Maghreb. Source : http://data.abuledu.org/URI/53343731-mandoluth

Mandoluth du Maghreb

Un mandoluth est un instrument à cordes du Maghreb. Il est un peu plus grand que la mandole. Le mot mandolute était utilisé aussi par un fabricant américain pour ses mandolines. Dérivé du oud, il a dix cordes, mais est fretté et poossède une caisse de résonance à fond plat de forme mandoline. Il se joue au plectre. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Mandoluth.

Moonlander de Lee Ranaldo de 2007. Source : http://data.abuledu.org/URI/53343c58-moonlander

Moonlander de Lee Ranaldo de 2007

La guitare Moonlander est un instrument de musique fabriqué par Yuri Landman pour Lee Ranaldo du groupe Sonic Youth en 2007. Il s'agit d'une guitare électrique comportant 12 cordes sympathiques. Le modèle de Ranaldo possède 6 cordes de jeu, l'autre modèle deux chœurs de trois cordes chacun. Il n'existe que deux exemplaires de la Moonlander, celui de Lee Ranaldo et celui de Landman. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Moonlander

Morin khuur mongol. Source : http://data.abuledu.org/URI/5330416d-morin-khuur

Morin khuur mongol

Le morin khuur est un instrument à cordes mongol. Le nom du morin khuur en mongol ancien est mongol et signifie « viole à tête de cheval ». Il produit un son qui est poétiquement décrit comme chaleureux et sans contrainte, tout comme le cheval mongol sauvage qui hennit, ou comme une brise dans les prairies. Il est l’instrument musical le plus important du peuple mongol, et est considéré comme un symbole de la nation mongole. Une légende sur l’origine du morin khuur est qu’un berger nommé Kuku Namjil reçu le don d’un poney magique ailé, qu’il montait la nuit pour voler et rejoindre sa bien-aimée. Une femme jalouse fit couper les ailes du cheval, de sorte qu’il tomba du ciel et mourut. Le berger, dans son deuil, utilisa les os de son défunt cheval pour faire un violon orné d’une tète de cheval, qu’il utilisa pour jouer des chansons émouvantes sur la vie de son cheval.

Muse accordant deux cithares. Source : http://data.abuledu.org/URI/54b45d5d-muse-accordant-deux-cithares

Muse accordant deux cithares

Muse accordant deux cithares. Détail de l'intérieur d'une coupe attique à fond blanc, vers 470-460 av. J.-C. Provenance : Érétrie ; diamètre 15cm ; Musée du Louvre.

Musicien dans un campement dalmatien. Source : http://data.abuledu.org/URI/52108c41-musicien-dans-un-campement-dalmatien

Musicien dans un campement dalmatien

Musicien dans un campement en Dalmtie, 1870, par Eugen Adam (1817–1880), peintre allemand de scènes historiques, de genre et de batailles.

Nyckelharpa verticale suédoise. Source : http://data.abuledu.org/URI/53345232-nyckelharpa-vertical

Nyckelharpa verticale suédoise

La nyckelharpa est un instrument de musique traditionnel à cordes frottées d'origine suédoise, plus précisément de la région d'Uppland, au nord de Stockholm. Il appartient à la même famille que la vielle à roue et la vièle. Il existe depuis le Moyen Âge (les premières représentations de l'instrument datent du XVIe siècle) sous différentes formes et connaît aujourd'hui un regain d'intérêt depuis les années 1970 en Suède et ailleurs. La nyckelharpa moderne date des années 1940 et est le fruit des travaux d'Eric Sahlström, musicien et luthier novateur, qui a ainsi remis au goût du jour l'instrument tombant peu à peu dans l'oubli. Traditionnellement, l'instrument se tient horizontalement, soutenu par une bandoulière, posé sur la cuisse droite. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Nyckelharpa

Piano droit. Source : http://data.abuledu.org/URI/50ee91a7-piano-droit

Piano droit

Le piano est un instrument de musique polyphonique à clavier de la famille des instruments à cordes frappées. Un piano droit (ou piano vertical) est un piano dont les cordes sont disposées verticalement.

Plectre en noix de coco fait à la main. Source : http://data.abuledu.org/URI/53344e16-plectre

Plectre en noix de coco fait à la main

Plectre traditionnel fabriqué à la main à partir d'une coquille de noix de coco. Un plectre est un dispositif permettant de pincer ou gratter les cordes d'un instrument. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Plectre.

Pluriarc anthropomorphe gabonais. Source : http://data.abuledu.org/URI/54beb76b-pluriarc-anthropomorphe-gabonais

Pluriarc anthropomorphe gabonais

Pluriarc anthropomorphe. Bois. Afrique équatoriale et centrale (Gabon, Congo). Musée barrois. Un pluriarc ou "luth à archet" est un instrument à cordes africain. Évoqué dès le XVIe siècle dans des récits de voyage, il est décrit au XVIIe siècle par Michael Praetorius dans son Syntagma musicum. Source : https://fr.wikipedia.org/wiki/Pluriarc

Pluriarc du Zaïre. Source : http://data.abuledu.org/URI/54beb82b-pluriarc-du-zaire

Pluriarc du Zaïre

Teke (Zaïre) : pluriarc. Musée royal de l'Afrique centrale.

Qanûn. Source : http://data.abuledu.org/URI/53282c1a-kanun-

Qanûn

Le qanûn (en arabe ou persan : قاﻧﻮﻥ ; aussi transcrit kanoun, kanun, kanon, kanonaki, qanoun, quanoun, kalong) est un instrument à cordes pincées de la famille des cithares sur table, très répandu dans les pays du Moyen-Orient ainsi qu'en Grèce, en Iran, en Azerbaïdjan, en Arménie et au Turkestan chinois. Il ne faut pas le confondre avec le santour qui est un instrument à cordes frappées.

Accord standard de la guitare. Source : http://data.abuledu.org/URI/5302385f-accord-standard-de-la-guitare

Accord standard de la guitare

L'accordage standard d'une guitare à six cordes, de la plus grave à la plus aiguë (de 6 à 1), est : Mi La Ré Sol Si Mi (E A D G B E). Les cordes consécutives d'une guitare sont donc accordées à la quarte juste (deux tons et un demi-ton diatonique) à l'exception de l'écart entre la 3e et la 2e corde où c'est une tierce majeure (deux tons).

Alfaia brésilien. Source : http://data.abuledu.org/URI/5335a620-alfaia

Alfaia brésilien

Alfaia décoré aux couleurs du Brésil et du Pernambouc. L'alfaia est une sorte de grosse caisse à peau animale assez fine, portée à l'épaule par une corde et jouée à l'aide de deux battes en bois. Il est utilisé dans le maracatu, genre musical d'influence africaine du Pernambouc, dans le Nordeste brésilien. Son fût est en bois. Chaque peau (une de frappe, une de résonance) est pincée entre le fût et un cerclage de bois. La tension des deux peaux est obtenue par le serrage d'un cordage reliant les deux cerclages.

Autoharpe américaine. Source : http://data.abuledu.org/URI/53ebad73-autoharpe-americaine

Autoharpe américaine

Autoharpe, cithare américaine. L'autoharpe a une forme trapézoidale, une ouïe centrale circulaire et généralement 36 cordes (certaines auto harpes en ayant jusqu'à 48) y sont tendues dans le sens de la longueur de l'instrument. Les cordes sont fixées à la base par des pointes et accordées en haut par des chevilles en métal qui permettent de régler la hauteur du son de chaque corde à l'aide d'une clé en métal. La caractéristique de cet instrument qui le différencie des autres cithares est un boîtier posé au-dessus des cordes dans le sens de la largeur de l'instrument. Ce boîtier contient un jeu de barres (dont le nombre varie en fonction de l'instrument) équipées d'étouffoirs qui neutralisent la vibration de cordes choisies à l'avance et permet ainsi d'obtenir des accords avec les autres cordes libres. On les met en action en appuyant sur des boutons et elles reviennent à leur emplacement initial grâce à un système de ressorts. Les noms des accords obtenus par ces barres sont inscrits avec la notation anglo-saxonne A B C D E F G (respectivement la si do ré mi fa sol) sur le boîtier. Les accords disponibles sont des accords mineurs, majeurs et de septième. Les modèles les plus courants possèdent un jeu de 12 accords et un nombre plus important pour les instruments plus élaborés. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Autoharpe

Balalaïka russe. Source : http://data.abuledu.org/URI/53232c44-balalaika

Balalaïka russe

La balalaïka (Russe : Балалайка) est un instrument de musique à cordes pincées russe. C'est un luth à manche long à la caisse typiquement triangulaire. Le mot balalaïka vient du russe balakat, qui signifie bavarder, plaisanter, taquiner. Elle se joue avec un plectre et se décline en plusieurs tailles. La plus courante, la prima, comporte trois cordes, deux accordées en mi et la troisième en la. Elle est souvent associée aux orchestres de balalaïkas. L'ancêtre de la balalaïka s'appelle la domra et date du XVIe siècle. Elle aurait été introduite en Russie par les Tartares. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Balala%C3%AFka.

Basse de viole en 1759. Source : http://data.abuledu.org/URI/53b1bf1c-basse-de-viole-en-1759

Basse de viole en 1759

Madame Henriette de France (fille de Louis XV) jouant la basse de viole, 1759, par Jean-Marc Nattier (1685-1766). La viole de gambe (dérivant du "rebab", introduit en Espagne par les Maures vers le VIIIe siècle) connaît son heure de gloire en Italie depuis que le noble valencien Roderic de Borja (devenu Rodrigo Borgia en Italie), futur Alexandre VI, amena de nombreux violistes à Rome. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Violoncelle

Caisse de résonance d'un piano. Source : http://data.abuledu.org/URI/53b55dfd-caisse-de-resonance-d-un-piano

Caisse de résonance d'un piano

Caisse de résonance d'un piano à queue Steinway. Le piano à queue est un piano à cordes horizontales. Le piano à queue est le type original du piano, dérivé du tympanon ou du cymbalum, des instruments à cordes frappées (le clavecin étant un instrument à cordes pincées). Il s'oppose au piano droit, dont les cordes sont disposées verticalement. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Piano_%C3%A0_queue

Chenda indien. Source : http://data.abuledu.org/URI/53397fd5-chenda

Chenda indien

Le chenda ou chende est un instrument de musique de l’Inde. C'est un instrument de percussion membranophone. C'est un tambour en tonneau à deux peaux utilisé dans la musique kéralaise. Seuls des membres de la communauté Mârâr ou Pothuvâl sont habilités à en jouer. D'un diamètre de 22 cm, avec 55 cm de long, il est en un bois épais de jacquier. Deux cercles de 32 cm de diamètre en bois ou en bambou assurent la fixation des cordes de tensions réglables à l'aide d'un anneau le long du fût. Les membranes sont en peau de vache ou de veau (l'une d'elles a six couches distinctes de peaux). C'est l'un des rares tambours, maintenu à l'aide d'une sangle passée sur les épaules, à être joué debout. L'instrument est tenu à la verticale, comme un tambour européen. On le frappe sur la face supérieure (valantâla) à l'aide d'une ou deux baguettes courbes ou avec la main gauche nue. À de rares occasions, la face inférieure (etântâla) est aussi frappée. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Chenda

Chevalet de violon. Source : http://data.abuledu.org/URI/53b1ba4a-chevalet-de-violon

Chevalet de violon

Un chevalet de violon, taillé un peu plus aplati que la moyenne afin de faciliter les doubles cordes.

Cobla catalane à Barcelone. Source : http://data.abuledu.org/URI/533af13c-cobla-catalane-a-barcelone

Cobla catalane à Barcelone

La "Cobla Baix Llobregat" (Cobla du Bas-Llobregat) jouant sur la Place Saint Jaume (Place Saint Jacques), à Barcelone, devant le Palais de la Généralité. La cobla est un ensemble instrumental catalan qui utilise dans sa formation classique les instruments de musiques suivants : flabiol avec tambourin (tamborí), tible, tenora, trompette (trompeta), trombone (trombó), fiscorn et contrebasse (contrabaix) à trois cordes. La coble moderne est due au musicien catalan Pep Ventura (1817-1875) qui institua un ensemble d'onze musiciens pour douze instruments : un flabiol-tamborí, deux tibles, deux tenores, deux trompettes, un trombone, deux fiscorns et une contrebasse à 3 cordes. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Cobla La cobla est essentiellement destinée à l’interprétation de la sardane mais peut accompagner d'autres danses et peut aussi donner des concerts dans différents styles musicaux, autres que la sardane. Il existe d'ailleurs un répertoire important.

Colophane. Source : http://data.abuledu.org/URI/5131bd4a-colophane

Colophane

Différents types de colophane pour les archets de violon ou de violoncelle. La colophane est le résidu solide obtenu après distillation de la térébenthine, oléorésine (appelée aussi gemme), substance récoltée à partir des arbres résineux et en particulier les pins (le genre Pinus) par une opération que l'on appelle le gemmage. La colophane est utilisée pour les instruments à cordes frottées. On la frotte sur la mèche des archets pour permettre la mise en vibration de la corde, car sans colophane les crins glissent sans frottements sur la corde presque sans en tirer un son. Elle est aussi utilisée sur les archets des scies musicales afin de mieux frotter sur la lame. La colophane se présente sous la forme d'un petit bloc (cubique ou cylindrique) solide et transparent en général de couleur jaune ou noire (mais certaines fois de couleur rouge ou verte). « Cette résine de pin, autrefois produite à Colophon, en Asie Mineure, est indispensable au travail des crins : c'est elle qui leur confère l'aspérité dont ils ont besoin pour frotter les cordes du violon. Si la mèche de l'archet était enduite de savon, elle ne produirait aucun son. Ce sont les grattements de ces milliers de rugosités qui tirent la corde et la laissent repartir. Tout cela est bien évidemment invisible à l'œil nu, mais dans cette combinaison des crins et de la colophane, tout se passe comme si des milliers de petits doigts onglés exécutaient une sorte de pizzicato continu. Ainsi naît la vibration. De cette mécanique microscopique éclot la voix du violon. » Yehudi Menuhin, "La légende du violon".

Cordes de violoncelle. Source : http://data.abuledu.org/URI/53b1c06f-cordes-de-violoncelle

Cordes de violoncelle

Étude d'un violoncelle taille trois-quarts : on peut deviner la marque et le modèle des cordes en "lisant" les codes de couleur des bouts de corde attachés au cordier.

Coupe d'un piano à queue. Source : http://data.abuledu.org/URI/510293f9-coupe-d-un-piano-a-queue

Coupe d'un piano à queue

Coupe d'un piano à queue : 1 et 14) Cadre métallique, 2) Abattant du couvercle, 3) Capo d'astro ou barre harmonique, 4) Tête d'étouffoir, 5) Couvercle, 6) Chevalet d'étouffoir (ou pivot des étouffoirs ?), 7) Rail des chevalets d'étouffoir (ou barre de forte ?), 8) Barre de transmission de la pédale forte, 9) Levier de la transmission du forte, 10) Tige de Lyre, 11) Pédale, droite (forte), gauche (piano), 12) Chevalet, 13) Cheville d'accord (pointe d'accroche), 15) Table d'harmonie, 16) Corde. Le piano à queue est constitué : d'un clavier, généralement à 88 touches (7 octaves 1/4), muni d'un couvercle ; d'un barrage, structure en poutres ; d'une table d'harmonie, mise en vibration par les cordes par l'intermédiaire de chevalets ; de cordes : une par note dans les graves, deux dans les notes intermédiaires, trois dans les aiguës. Les cordes d'aigus sont nues, les cordes de graves sont filées ; d'un cadre métallique au-dessus de la table d'harmonie (sur les pianos modernes) ; d'une ceinture, coffrage entourant la table d'harmonie ; d'un couvercle s'ouvrant à 45° ; d'une mécanique de percussion ; d'un pédalier (lyre) ; d'un pupitre.

Dix instruments de musique chinois au 17ème siècle. Source : http://data.abuledu.org/URI/54bbe3a2-dix-instruments-de-musique-chinois-au-17eme-siecle

Dix instruments de musique chinois au 17ème siècle

Dix instruments de musique chinois : en haut à gauche, guqin (cithare) ; en haut au centre, yunluo à 5 gongs ; en haut à droite : sheng (orgue à bouche) ; centre gauche : sanxian (instrument à cordes pincées) ; centre : dizi (flûte traversière), guan (oboé) ou dongxiao (flûte verticale) ; centre à droite : paiban (claquettes de bois) ; en bas à gauche : konghou (harpe) ; en bas au milieu : guzheng ; en bas à droite : pian gu (tambour). Source : Li Zhuowu Ping Ben Pipa Ji 李卓吾評本琵琶記 (Li Zhuowu Critizes Pipa Ji), 1573-1619.

Djembe. Source : http://data.abuledu.org/URI/50f03f5f-djembe

Djembe

Le djembé est un instrument de percussion africain composé d'un fût de bois en forme de calice sur lequel est montée une peau de chèvre ou d'antilope tendue à l'aide d'un système de tension (originellement des chevilles en bois ou des cordes en peaux, maintenant le plus souvent des cordes synthétiques et des anneaux en fer à béton), que l'on joue à mains nues et dont le spectre sonore très large génère une grande richesse de timbre. La forme évasée du fût viendrait de celle du mortier à piler le grain.

Domra russe. Source : http://data.abuledu.org/URI/53284e02-domra

Domra russe

La domra est un instrument à cordes russe de la famille des luths répandu jusqu'au XVIIe siècle puis disparu, et recréé à la fin du XIXe siècle par Vassili Andreyev, le musicien à l'origine du renouveau de la balalaika et de la musique folklorique russe. En 1905, un luthier y ajouta une quatrième corde. C'est un instrument que l'on retrouve souvent associé à la balalaïka. On en joue avec un plectre en solo, duo ou orchestre. Il est plutôt réservé à l'interprétation des musiques modernes ou classiques.

Gadoulka et archet. Source : http://data.abuledu.org/URI/53023ec9-gadoulka-et-archet

Gadoulka et archet

Gadoulka et archet : La gadoulka, ganilka, kopanka, gjola, tsigulka ou kemene est un instrument à cordes frottées originaire de Bulgarie. Il en existe diverses formes et tailles selon les régions (Thrace, Dobrujan, Gabrovo) mais ce sont des variantes de la famille des vièles lyras et kemençes répandues dans le monde byzantin et ottoman. Elle a un corps piriforme en murier avec un manche intégré terminé par un chevillier complexe. La fine table d'harmonie est percée de deux ouïes en forme de D. Elle comporte trois ou quatre cordes en boyau, plus éventuellement 2 à 10 cordes sympathiques. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Gadoulka.

Guitare classique. Source : http://data.abuledu.org/URI/53029ab1-guitare-classique

Guitare classique

Tête d'une guitare classique, montrant les mécaniques et l'attache des cordes.

Guitare-mandoline napolitaine. Source : http://data.abuledu.org/URI/5395b9c9-guitare-mandoline-napolitaine

Guitare-mandoline napolitaine

Instrument double guitare-mandoline, région de Naples, fin XIXe-début XXe siecle, Musée des instruments de musique de Rome.

Indienne jouant du Pulluvan pattu. Source : http://data.abuledu.org/URI/53070846-indienne-jouant-du-pulluvan-pattu

Indienne jouant du Pulluvan pattu

Indienne jouant du Pulluvan pattu dans le temple d'Ashtamudi : violon à une corde.

Instruments à cordes. Source : http://data.abuledu.org/URI/53024184-instruments-a-cordes

Instruments à cordes

Instruments à cordes de la famille du violon : viole, violoncelle et contrebasse, in "l mundo físico : gravedad, gravitación, luz, calor, electricidad, magnetismo, etc.", par A. Guillemin. - Barcelona Montaner y Simón, 1882 (Biblioteca de la Facultad de Derecho y Ciencias del Trabajo Universidad de Sevilla).

Jeune violoniste. Source : http://data.abuledu.org/URI/53b1a993-jeune-violoniste

Jeune violoniste

Francisco Garcia Fullana, violiniste espagnol, gagnant du premier prix national Pablo de Sarasate (1844-1908).

Joueur de Balalaika. Source : http://data.abuledu.org/URI/5102ada3-joueur-de-balalaika

Joueur de Balalaika

Joueur de balalaika à trois cordes. instrument de musique à cordes pincées russe. C'est un luth à manche long à la caisse typiquement triangulaire. Le mot balalaïka vient du russe "balakat", qui signifie bavarder, plaisanter, taquiner. Elle se joue avec un onglet et se décline en plusieurs tailles. La plus courante, la prima, comporte trois cordes, deux accordées en mi et la troisième en la.

Joueurs de harpe, de luth et de trompette. Source : http://data.abuledu.org/URI/47f57a78-joueurs-de-harpe-de-luth-et-de-trompette

Joueurs de harpe, de luth et de trompette

Gravure extraite du livre des métiers de Jost Amman (Das Ständbuch, 1568), représentant trois musiciens, deux avec des instruments à cordes et un à vent.

Joueurs de luth au XIIIème siècle. Source : http://data.abuledu.org/URI/5302a0a0-joueurs-de-luth-au-xiiieme-siecle

Joueurs de luth au XIIIème siècle

Joueurs de luth, Cantigas de Santa Maria, manuscrits écrits en Galicien-Portugais, avec notations musicales, pendant le règne d'Alfonso X El Sabio (1221-1284).