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Accordéon schwyzois suisse. Source : http://data.abuledu.org/URI/533c2c11-schwyzerorgeli

Accordéon schwyzois suisse

Le Schwyzerörgeli est un instrument de musique suisse (canton de Schwytz) de la famille de l'accordéon. C'est un petit accordéon diatonique datant du XIXe siècle. Ce fut probablement Johann Samuel Herrmann qui, en 1836, fabriqua le premier petit accordéon schwyzois. En tant qu’instrument de musique populaire et de danse, le schwyzois et l’accordéon ont supplanté en large mesure le violon ; seul l’intérêt porté à une instrumentation traditionnelle a remis ces deux instruments sur pied d’égalité. De nos jours, le schwyzerörgeli est l'un des instruments de musique folklorique suisse le plus commun tant en Suisse Alémanique, qu'en Suisse Romande. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Schwyzer%C3%B6rgeli

Bayan russe. Source : http://data.abuledu.org/URI/53397737-bayan

Bayan russe

Le bayan ou accordéon à basses chromatiques, est l'accordéon chromatique de concert russe, apparu vers 1850 et dont l’usage s’est développé au début du XXe siècle. Il doit son nom au légendaire vieux chanteur et narrateur russe (ou slave) Bayan (ou Boyan) qui se produisit devant plusieurs princes au XIe siècle. Le bayan est doté d’un clavier de 105 boutons disposés sur 5 rangées (pour la main droite), et d’un clavier de 120 boutons disposés sur 6 rangées (pour la main gauche). Le système main gauche est caractérisé par un "déclencheur" permettant de convertir le clavier traditionnel à basses composées (un bouton correspond à un accord) en un clavier chromatique à basses libres (un bouton correspond à une note). Le bayan donne toutes les notes de la gamme chromatique tempérée, et la disposition des touches permet de jouer dans n’importe quelle tonalité sans changer de doigté. Grâce à l’étendue qu’offre l’instrument et la qualité de son timbre, ce modèle complet d'instrument permet d'aborder tous types de musiques de l'époque baroque à nos jours ; il est souvent utilisé par des virtuoses qui interprètent aussi bien de la musique classique que de la musique contemporaine. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Bayan_%28instrument%29

Concertina automatique. Source : http://data.abuledu.org/URI/533ad30f-concertina-automatique

Concertina automatique

Concertina automarique, Musée de la musique de Barcelone. Un concertina est un instrument de musique de la famille des instruments à vent à anches libres et à clavier, comme l'accordéon. Il a été inventé en 1829 par Sir Charles Wheatstone, qui en a breveté une version améliorée en 1844. Les concertinas ont des boutons disposés aux deux bouts du soufflet et se distinguent des accordéons par la direction de pression des boutons : identique à celle du soufflet pour les concertinas, perpendiculaire pour les accordéons. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Concertina

Coupe d'un piano à queue. Source : http://data.abuledu.org/URI/510293f9-coupe-d-un-piano-a-queue

Coupe d'un piano à queue

Coupe d'un piano à queue : 1 et 14) Cadre métallique, 2) Abattant du couvercle, 3) Capo d'astro ou barre harmonique, 4) Tête d'étouffoir, 5) Couvercle, 6) Chevalet d'étouffoir (ou pivot des étouffoirs ?), 7) Rail des chevalets d'étouffoir (ou barre de forte ?), 8) Barre de transmission de la pédale forte, 9) Levier de la transmission du forte, 10) Tige de Lyre, 11) Pédale, droite (forte), gauche (piano), 12) Chevalet, 13) Cheville d'accord (pointe d'accroche), 15) Table d'harmonie, 16) Corde. Le piano à queue est constitué : d'un clavier, généralement à 88 touches (7 octaves 1/4), muni d'un couvercle ; d'un barrage, structure en poutres ; d'une table d'harmonie, mise en vibration par les cordes par l'intermédiaire de chevalets ; de cordes : une par note dans les graves, deux dans les notes intermédiaires, trois dans les aiguës. Les cordes d'aigus sont nues, les cordes de graves sont filées ; d'un cadre métallique au-dessus de la table d'harmonie (sur les pianos modernes) ; d'une ceinture, coffrage entourant la table d'harmonie ; d'un couvercle s'ouvrant à 45° ; d'une mécanique de percussion ; d'un pédalier (lyre) ; d'un pupitre.

Dulcitone. Source : http://data.abuledu.org/URI/5347fef8-dulcitone

Dulcitone

Un dulcitone (à l'origine forks piano, où fork = diapason) est un instrument de musique dont le son est produit par une rangée de diapasons métalliques, qui vibrent sous l'action de marteaux similaires à ceux du piano, activés par un clavier à échappement simple (2 modèles : 3 octaves, ou 5 octaves 1/2). Sa fabrication date de la fin du XIXe siècle, début du XXe siècle, par la firme écossaise Thomas Machell & Sons (Glasgow). Sa sonorité fait penser à celle d'un marimba dans les notes graves, atteignant progressivement celle d'un célesta dans les aiguës. Une forme plus ancienne apparaît sous le nom de typophone dans Le Chant de la cloche (Op. 18, création 1886) de Vincent d'Indy. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Dulcitone

Harmonium. Source : http://data.abuledu.org/URI/50ed8a42-harmonium

Harmonium

L’harmonium est un instrument de musique à vent, à anches libres, à clavier et à soufflerie. Le musicien qui en joue est un harmoniumiste.

Ivoire et ébène. Source : http://data.abuledu.org/URI/52ee8306-ivoire-et-ebene

Ivoire et ébène

Touches du clavier de piano en ivoire et en ébène : touches blanches pour les sept notes de la gamme diatonique, touches noires pour les cinq notes restantes de la gamme chromatique.

Mécanisme d'un piano droit. Source : http://data.abuledu.org/URI/51029608-mecanisme-d-un-piano-droit

Mécanisme d'un piano droit

Mécanisme d'un piano droit (à cordes verticales) : 1) sommier de chevilles ; 2) cheville de sommier ; 3) agrafe ; 4) vis du support de mécanique ; 5) corde ; 6) garniture d'étouffoir ; 7) lame d'étouffoir ; 8) noix de marteau ; 9) rail central ou sommier de mécanique ; 10) levier de soulèvement (pédale forte) ; 11) cuillère d'étouffoir.

Mécanisme du piano à queue. Source : http://data.abuledu.org/URI/51029226-mecanisme-du-piano-a-queue

Mécanisme du piano à queue

Mécanisme d'un piano à queue : 1) touche, 2) pilote de touche, 3) chevalet, 4) pilote d'échappement (bouton-butoir de l'échappement), 5) levier d'échappement, 6) vis de kupa, 7) vis de répétition (ou vis de rechute), 8) manche de marteau, 9) levier de répétition, 10) tête de marteau, 11) attrape-marteau, 12) fourche de lame d'étouffoir, 13) barre de départ collectif des étouffoirs (chevalet d'étouffoir), 14) cuillère d'étouffoir, 15) tête d'étouffoir, 16) corde, 17) cadre métallique (plaque d'accroche), 20) sommier de cheville. Le piano à queue est un piano à cordes horizontales ; c'est le type original du piano, dérivé du tympanon ou du cymbalum, des instruments à cordes frappées. Il s'oppose au piano droit, dont les cordes sont disposées verticalement.

Piano à queue. Source : http://data.abuledu.org/URI/50ee92e1-piano-a-queue

Piano à queue

Le piano à queue est un piano à cordes horizontales.

Piano droit. Source : http://data.abuledu.org/URI/50ee91a7-piano-droit

Piano droit

Le piano est un instrument de musique polyphonique à clavier de la famille des instruments à cordes frappées. Un piano droit (ou piano vertical) est un piano dont les cordes sont disposées verticalement.

Polyphons. Source : http://data.abuledu.org/URI/52ff84c0-mecanisme-manuel-de-boite-a-musique

Polyphons

Polyphons exposés à Northleach en Angleterre.

Stylophone. Source : http://data.abuledu.org/URI/5347fdfb-stylophone

Stylophone

Le Dubreq Stylophone est un instrument de musique électronique miniature, créé en 1967 par Brian Jarvis. Il se compose d'un clavier métallique de 20 notes sur lequel on joue à l'aide d'un stylo relié à un fil électrique, ce qui ferme le circuit et produit la note. Le son produit est pauvre et l'appareil se rapproche davantage du gadget que de l'instrument de musique. Néanmoins, les artistes utilisant le stylophone ajoutent le plus souvent des effets sonores (grâce à des pédales multi-effets) pour enrichir le son et en faire un véritable synthétiseur. Durant sa vie éphémère, le stylophone fut un énorme succès commercial, avec trois millions d'exemplaires vendus, surtout en tant que jouet. On lui connaît quelques rares utilisations musicales, par des artistes comme Pulp, Kraftwerk, Erasure et David Bowie (dans le morceau Space Oddity). On peut noter sa réutilisation grâce à des artistes tels que Little Boots, Spirit of the matter, Dionysos (tournée acoustique 2009) ainsi que Charlie Winston lors de son concert au Point gamma 2009 de l'École polytechnique. Source : http://commons.wikimedia.org/wiki/File:Modern_Stylophone.JPG

Virginal anglais de 1641. Source : http://data.abuledu.org/URI/53343a9a-virginal

Virginal anglais de 1641

Virginal de Gabriel Townsend, Londres 1641 (Bruxelles, Musée des Instruments de Musique). La décoration est très recherchée : des moulures rapportées ou taillées dans la masse structurent le décor de la caisse en y délimitant des panneaux rectangulaires, octogonaux ... La partie frontale, la boîte à clavier et l'alentour de la table d'harmonie sont ornées de papier gaufré et doré ; l'intérieur du couvercle et celui du portillon reçoivent une décoration peinte figurant un parc à l'anglaise (St James' Park). La table d'harmonie est peinte à la façon flamande (avec fleurs et oiseaux) ; les rosaces (de une à quatre) sont en bois ou parchemin doré, avec motifs géométriques, entourées de couronnes florales peintes très travaillées. Le nom du facteur et la date, parfois le lieu, sont inscrits à l'avant du chapiteau. "Virginal" (mot venant peut-être du bas latin Virga, vergette), était employé en Angleterre pour désigner le clavecin. À partir de 1650 les termes harpsichord et spinet ont été préférés. Le virginal est un instrument de musique à « vergettes » (sautereaux), de la famille des instruments à clavier et à cordes pincées qui comprend également le clavecin et l'épinette. L'apparition la plus ancienne du terme se situerait en 1460 dans le "Tractatus de Musica" de Paulus Paulinirus. Sa forme est celle d'un coffre, avec un clavier rentrant dans une niche appelée boîte à clavier. La disposition clavier/plan de cordage du virginal flamand est d'origine italienne. Il n'a qu'un seul clavier. L'unique rang de cordes chromatiques permet de disposer les cordes, en travers de la touche du clavier (angle de 10 degrés) plutôt que dans le prolongement de la touche comme dans le clavecin — c'est également le cas des épinettes à l'italienne, dont les cordes sont en biais. Il y a une corde par note, les cordes consécutives sont rassemblées par deux. Il y a une corde à gauche et une à droite dans la travée recevant deux sautereaux alternés. C'est la travée double. Par exemple Mi bémol à gauche et Mi à droite. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Histoire_du_clavecin

Bandonéon. Source : http://data.abuledu.org/URI/50ed95fe-bandoneon

Bandonéon

Le bandonéon est un instrument de musique à vent et à clavier de la famille des instruments à clapet libres, originaire d'Allemagne.

Cistre allemand. Source : http://data.abuledu.org/URI/532b01bd-cistre-allemande

Cistre allemand

Le cistre est un instrument à cordes pincées qui semble avoir fait son apparition vers le XVe siècle et qui est encore répandu en Europe. Héritier de la citole, le cistre connut deux périodes d'intense prédilection : 1) la plus longue dura du début du XVIe à la moitié du XVIIe siècle. Il y acquiert les caractéristiques qui sont encore les siennes de nos jours. À cette époque, la pratique du cistre est proche de celle du luth mais d'un statut inférieur, plus populaire et plus simple. Les amateurs le pratiquent assidûment, et les recueils mis à leur disposition sont nombreux. Mais, vers le milieu du XVIIe siècle, sans raison apparente, il tombe dans l'oubli. 2) vers 1770 il refait surface. Là, c'est un véritable engouement du public et pour répondre à la demande, les compositeurs vont rivaliser d'imagination, au point que la production en perd sa qualité. Un facteur imagine même d'y adapter une petite table mécanique de pianoforte et de petits marteaux actionnés par l'intermédiaire d'un clavier. Les cordes sont pincées au plectre en bec de plume, au médiator comme pour la guitare folk, ou plus rarement avec des onglets en métal comme pour la guitare dobro. Certains comme Chris Thompson utilisent un bottleneck pour jouer du blues. Le cistre est encore pratiqué en Suisse, en Autriche et en Allemagne : il fait partie de la musique folklorique ou populaire depuis des siècles, dans des versions spécifiques (waldzither, halszither).

Croquis de panharmonicon. Source : http://data.abuledu.org/URI/52bd7d63-croquis-de-panharmonicon

Croquis de panharmonicon

Croquis de Panharmonicon. Le panharmonicon était un instrument de musique mécanique inventé par Johann Nepomuk Maelzel (1772-1838) en 1804 dont il ne subsiste aujourd'hui aucun exemplaire. De très grande taille, il consistait en une sorte de clavier qui reproduisait les sons d'instruments mécaniques spécialement conçus pour lui, par la mise en jeu d'un soufflet et de rouleaux musicaux mécaniques. Les quarante-deux instruments qui composaient le panharmonicon étaient ceux d'un orchestre militaire : flûte, clarinette, trompette, violon, violoncelle, percussions, triangle. Maelzel commanda à Beethoven en 1813 une œuvre orchestrale pour inaugurer cet instrument singulier : ce fut la Victoire de Wellington (ou Bataille de Vitoria).

Joueur de silimba au Zaïre. Source : http://data.abuledu.org/URI/5301f820-joueur-de-silimba-au-zaire

Joueur de silimba au Zaïre

Silimba, instrument de musique caractéristique de la Zambie : le silimba est un instrument de musique à percussion, de la famille des idiophones, caractéristique de l'ouest de la Zambie. C'est une sorte de xylophone doté de calebasses vides suspendues sous le clavier et faisant office de caisse de résonance. Commun notamment chez les Lozis, il avait déjà été remarqué par l'explorateur David Livingstone qui l'appelait marimba.

La joueuse de Vielle. Source : http://data.abuledu.org/URI/514e1737-la-joueuse-de-vielle

La joueuse de Vielle

La joueuse de vielle, 1907, par Gustave Jacquet (1846–1909). La vielle à roue est un instrument à cordes frottées par une roue en bois au lieu d'un archet. La roue est tournée avec une manivelle, pendant que la main gauche du musicien joue la mélodie sur un clavier. La révolution française va provoquer un changement profond de l'usage de la vielle, qui revient alors dans le domaine des instruments régionaux et populaires. Au XIXe siècle, elle tombe en désuétude avant que le Berry, en quête d’identité, ne s’empare de l’instrument ainsi que de la cornemuse pour en faire ses emblèmes. La société des Gâs du Berry, fondée par Jean Baffier en 1888, solidifie cette réputation. Au XXe siècle, dans les années 1960 et 1970, le mouvement « folk » se l’approprie de nouveau et les groupes dits « folkloriques » se constituent.

Orgue. Source : http://data.abuledu.org/URI/50eea70c-orgue

Orgue

L'orgue est un instrument à vent multiforme dont les caractéristiques communes sont de produire les sons à l’aide d’ensembles de tuyaux sonores alimentés par une soufflerie, et accordés suivant une gamme définie. L'orgue est joué le plus souvent à l’aide d’au moins un clavier et le plus souvent d’un pédalier, mais il peut aussi être muni exclusivement d'un système de reproduction (cylindres, cartons, mémoire électronique), ou être joué conjointement par ces deux systèmes.

Polyphon. Source : http://data.abuledu.org/URI/52ff88ac-polyphon

Polyphon

Le polyphon est une boîte à musique à disque, dans laquelle le cylindre est remplacé par un disque métallique garni sur une face d'aspérités ou « projections » qui sont de fines lamelles de métal coupées par emboutissage sur la surface du disque et recourbées sur elles-mêmes sur l'autre face. Ces projections ne soulèveront pas directement les lames du clavier, mais accrochant une branche d'une roue étoilée, la feront tourner, et la branche suivante de l'étoile actionnera la lame fixée devant elle. Musée de la Technique et du Textile (Musée de Bielsko-Biała). SCHUTZ-MARKE. TRADE-MARK. Source : http://www.arts-et-metiers.net/pdf/DEFO-Polyphon.pdf

Quinte du loup et comma pythagoriciens. Source : http://data.abuledu.org/URI/56f9941f-quinte-du-loup-et-comma-pythagoriciens

Quinte du loup et comma pythagoriciens

Quinte du loup et comma pythagoriciens dans le cercle des quintes justes construit à partir du do. En musique, le loup est une perturbation d'un ordre établi. Traditionnellement la quinte du loup est l'intervalle formé par les notes laflat - miflat dans les instruments à claviers construits à la renaissance et pendant la période baroque (orgue et clavecin).

Vibraphone. Source : http://data.abuledu.org/URI/50f01160-vibraphone

Vibraphone

Le vibraphone est un instrument de musique, de la famille des instruments de percussion et plus précisément de la branche claviers. Il a été inventé en 1916 par Hermannn Winterhoff, s'inspirant du marimba mexicain, autre instrument de percussion à clavier proche du xylophone, du balafon africain et des orchestres de Gamelan de Java (appelé aussi métallophone). Si le premier vibraphoniste de talent fut le jazzman Lionel Hampton, il a vite trouvé sa place dans le jazz, mais aussi dans la musique classique du XXe siècle grâce à des compositeurs comme Edgard Varèse, Pierre Boulez ou Steve Reich. Le vibraphone a, au fil des années, été utilisé dans des styles musicaux très différents, même s'il ne joue véritablement un rôle central que dans certaines formations de jazz.

Vielle à roue dite Hurdy Gurdy. Source : http://data.abuledu.org/URI/532c4c1b-hurdy-gurdy

Vielle à roue dite Hurdy Gurdy

Hurdy Gurdy, 1700 (Germanic National Museum, Nuremberg). La vielle à roue est un instrument à cordes frottées par une roue en bois au lieu d'un archet. La roue est tournée avec une manivelle, pendant que la main gauche du musicien joue la mélodie sur un clavier. Deux cordes, appelées chanterelles, passent par le clavier ; leur longueur de vibration est changée par l'action des touches appelées sautereaux. Le sautereau est un élément du clavier de la vielle à roue qui comprend des tiges coulissantes pour chaque note. Les sautereaux sont fixés sur chaque tige par groupe de deux (deux cordes en chanterelles) et permettent, comme le doigt du violoniste, de déterminer la partie de corde vibrante. Après appui sur la tige du clavier, celle-ci est rejetée par la vibration des cordes, faisant ainsi reculer la paire de sautereaux. Un nombre variable de cordes, passant hors du clavier, émettent chacune un son, formant ainsi un accord continu : ce sont les bourdons (gros bourdon, petit bourdon, mouche et corde de chien ou trompette). Au-dessous des bourdons se trouvent parfois des cordes sympathiques qui donnent au ton un caractère plus doux. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Vielle_%C3%A0_roue. Parmi les bourdons, une corde particulière donne cette caractéristique originale de la vielle qui est de pouvoir rythmer une mélodie. Cette corde ne passe pas sur un chevalet fixe, mais repose sur une petite pièce de bois appelée le « chien », elle-même maintenue sur la table d'harmonie par la pression de la corde. Lorsque cette corde vibre suffisamment, la pièce de bois vibre alors sur la table, et génère un son comparable à un grésillement. L'instrumentiste produit cette vibration par une frappe de la manivelle, que l'on appelle détaché ou « coup de poignet ».

Xylophone. Source : http://data.abuledu.org/URI/50f01496-xylophone

Xylophone

Le xylophone (des racines grecques xylo : bois et phon : son) est un instrument de musique à percussion, de la famille des idiophones (classe des lamellophones). Le xylophone est constitué de lames de bois ou de métal de différentes longueurs extensibles qui sont frappées au moyen de mailloches terminées par une sphère parfois recouverte de caoutchouc ou de feutre. L'accordage des lames se fait différemment suivant les époques et les lieux surtout. La disposition des lames est, le plus fréquemment, semblable à celle du clavier de piano.