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Gravure, Dix-neuvième siècle, Humour par l'image, Artistes français, Grandville (1803-1847), Illustration des périodiques, Illustrations humoristiques, Transports publics par omnibus
Le trajet en omnibus en 1828, par Jean Ignace Isidore Gérard, mieux connu sous son pseudonyme de J. J. Grandville (1803-1847), célèbre pour ses illustrations de journaux comme "La Silhouette," "L'Artiste," "La Caricature," et "Le Charivari." Ce dessin illustre une pièce de musique de "Une Course d'Omnibus" de Charles Henri Plantade (1764-1839). Un omnibus (du latin omnibus, signifiant « pour tous ») est un véhicule à traction hippomobile inspiré des diligences et assurant un service de transport public. Un omnibus circule à des horaires déterminés sur des lignes fixes, ce qui le distingue des fiacres, ancêtres des taxis, qui, loués par une personne ou une famille, se rend à la destination choisie par ses clients. Par ailleurs, il circule sur la chaussée, sans être guidés par des rails, ce qui les distingue des tramways. Il n'a pas nécessairement de points d'arrêts fixes. Le mot « omnibus », d'où viennent « autobus » et « bus », est apparu en relation avec la ligne créée à Nantes en 1826, la première en France, au XIXe siècle. L'âge d'or des omnibus est cependant le XIXe siècle, lorsque les villes commencent à s'étendre sous la pression d'une forte croissance démographique et industrielle, l'amélioration de la voirie, et à une époque où la petite bourgeoisie, qui pouvait économiquement payer des places, se développe. Lorsque Stanislas Baudry (1777-1830) décide de créer le même service à Paris, il crée une nouvelle entreprise à qui il donne le nom d'Entreprise générale des omnibus (EGO) ; il y est associé avec d'autres hommes d'affaires (Boitard et Saint-Céran). Le 30 janvier 1828, l'EGO obtient du préfet de police de Paris, Louis-Maurice Debelleyme, l'autorisation d'exploiter une entreprise de « voitures destinées à transporter à bas prix les habitants de certains points de la ville à d'autres points également fixés et en suivant des itinéraires fixés par la ville », avec au plus cent voitures. Les omnibus de l'EGO, tractés par trois chevaux, comptent 14 places assises réparties en trois classes. Après une phase de succès, l'EGO subit une crise dès l'hiver 1830 et est mise en faillite.
Peinture, Maïs, Art aztèque, Calendrier aztèque, Calendriers solaires, Manuscrits, Aztèques -- Calendrier, Aztèques -- Mythologie, Dieux aztèques
Le codex Tovar, attribué à Jean de Tovar, jésuite mexicain du XVIe siècle, contient des informations détaillées sur les rites et les cérémonies des Aztèques (également connus sous le nom de Mexicas). Il est illustré de 51 aquarelles de la taille d'une page. Fortement influencées par les manuscrits pictographiques de la période précontact, ces peintures sont d'une qualité artistique exceptionnelle. Le manuscrit est divisé en trois sections. La première section contient une histoire des voyages des Aztèques avant l'arrivée des Espagnols. La deuxième section est une histoire illustrée des Aztèques. Dans la troisième section, le calendrier de Tovar transcrit un calendrier aztèque continu avec les mois, les semaines, les jours, les lettres dominicales et les fêtes liturgiques d'une année chrétienne de 365 jours. Cette illustration, extraite de la troisième section, représente un dieu, probablement Tlaloc (ou un prêtre l'incarnant), tenant une tige de maïs et un récipient rempli d'eau. Vêtu d'une cape, ses yeux et sa bouche sont encerclés de vert. Un crabe est dessiné au-dessus de sa tête. Le texte décrit ce mois comme étant celui des travailleurs et des classes inférieures, lorsqu'ils portent la robe représentée ici pour rappeler à chacun qui fournit la nourriture. Ce mois, appelé Etzalcualiztli (repas de maïs et de haricots), est assimilé au début du mois de juin avec le signe astrologique du Cancer. Son dieu protecteur était Tlaloc, dieu de la pluie. Les attributs de Tlaloc incluent une jarre à eau avec une anse, les cercles autour des yeux et de la bouche, et une tige de maïs.
Illustration de la période Edo (1603-1868) du conte floklorique japonais, Le crabe et le singe (1).
Illustration de la période Edo (1603-1868) du conte floklorique japonais, Le crabe et le singe (2) : Les enfants du crabe préparent leur vengeance avec l'aide d'un usu, d'un serpent, d'une abeille, du varech (arame) et d'un couteau de cuisine.
Gravure, Commune de Paris. 1871, Paris (France. - Commune) -- Art et Commune de Paris (1871), Guerre franco-allemande (1870-1871), L' Illustration (périodique), Paris (France. - Commune) -- Littérature et Commune de Paris (1871), Paris (France. - Siège) (1870-1871)
"Les hommes de la Commune." Source : L'Illustration, journal universel, 15 juillet 1871. Le conseil de la Commune : Toutes les tendances politiques républicaines et socialistes y sont représentées, jusqu'aux anarchistes. Parmi la vingtaine de « jacobins », admirateurs de la Révolution de 1789 et plutôt centralisateurs, on trouve Charles Delescluze, Félix Pyat, Charles Ferdinand Gambon ou Paschal Grousset. À peine plus nombreux sont les « radicaux », partisans de l'autonomie municipale et d'une république démocratique et sociale, tels Arthur Arnould, Charles Amouroux, Victor Clément et Jules Bergeret. On compte une dizaine de « blanquistes », adeptes de l'insurrection et avant-gardistes, comme Jean-Baptiste Chardon, Émile Eudes, Théophile Ferré, Raoul Rigault ou Gabriel Ranvier. Quelques « proudhoniens », partisans de réformes sociales, siègent : Léo Fränkel, Benoît Malon, Eugène Varlin... Enfin, des « indépendants » ont été élus, tels Jules Vallès et Gustave Courbet.
Gravure, Caricatures et dessins humoristiques, Entretien -- Appareils et matériel, Humour anglais, Poussière, Suppression de la poussière, Charles Keene (1823–1891), Douglas William Jerrold (1803-1857), Habitations -- Entretien journalier, Ménages, Punch (périodique)
Ménage avec un balai, illustration de "Home! Sweet home!—Mrs. Caudle's return" 193 par Charles Keene (1823–1891). Source : "Mrs Caudle's curtain lectures" par Douglas William Jerrold (1803-1857), contributeur de Punch.
Volcans de Santorin. Illustration par Yan Dargent (1824-1899), in Jean Rambosson, Histoire des météores et des grands phénomènes de la nature, Firmin-Didot, 1883 (wikisource) : Une note de M. Gorceix, à l’Académie des sciences, résume les phénomènes dont le volcan de Santorin a été le siège. Après cinq ans d’activité, ce volcan est de nouveau rentré dans une période de repos, dont, depuis un siècle et demi, il venait de sortir en 1866 pour la première fois.