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Photographie | Hommes politiques | Gravure | Textes | Féminisme | Poupées gigognes | Satire russe | Matriochkas | Quinzième siècle | Christine de Pizan (1363?-1431?) | Peinture | Régimes politiques | Anne-Robert-Jacques Turgot (1727-1781) | Féminisme et histoire | Chambres des députés | Architecture | La cité des dames - Christine de Pisan (1363?-1431?) | L' Illustration (périodique) | Paris (France. - Commune) -- Littérature et Commune de Paris (1871) | Paris (France. - Siège) (1870-1871) | ...
Dix chefs d'état russes en matriochkas. Source : http://data.abuledu.org/URI/52951efb-dix-chefs-d-etat-russes-en-matriochkas

Dix chefs d'état russes en matriochkas

Dix chefs d'état russes en matriochkas : Eltsine, Gorbatchev, Brejnev, Khrouchtchev, Staline, Lénine, Nicholas II, Catherine de Russie, Pierre le Grand et Ivan Le Terrible.

Portrait de Lénine en allumettes. Source : http://data.abuledu.org/URI/5311e036-portrait-de-lenine-en-allumettes

Portrait de Lénine en allumettes

Portrait de Vladimir Ilitch Oulianov dit Lénine (1870-1924), par l'artiste en bâtons d'allumettes Anton Klepke.

Statue de George Washington. Source : http://data.abuledu.org/URI/53130dac-statue-de-george-washington

Statue de George Washington

Statue de George Washington devant l'entrée du Independence Hall à Philadelphie (Pennsylvanie) aux USA, par Joseph Alexis Bailly (1823-1883).

Déclaration des Droits de la Femme et de la Citoyenne. Source : http://data.abuledu.org/URI/50728506-declaration-des-droits-de-la-femme-et-de-la-citoyenne

Déclaration des Droits de la Femme et de la Citoyenne

Déclaration des droits de la femme et de la citoyenne, 1791. Olympe de Gouges écrivit en 1791 la Déclaration des droits de la femme et de la citoyenne, pastiche de la Déclaration de 1789. Elle critiquait par ce texte l'application de la Déclaration aux seuls hommes. Elle tenta, sans succès, de le soumettre à l'approbation de l'Assemblée. Olympes de Gouges fut exécutée pour avoir "oublié les vertus qui conviennent à son sexe".

Fabre d'Eglantine à Turgot. Source : http://data.abuledu.org/URI/50afdd19-fabre-d-eglantine-a-turgot

Fabre d'Eglantine à Turgot

Épître de Fabre d'Églantine à Anne Robert Jacques Turgot, Baron de Laune Turgot. Source : Augustin Challamel, "Histoire-musée de la république Française, depuis l'assemblée des notables", Paris, Delloye, 1842. J'ai vu sur nos chemins l'indigent villageois Accablé sous le faix d'un travail sans salaire, De ses propres secours privé dans sa misère Et mourir de fatigue et de faim à la fois : J'ai vu ce manheureux, honteux d'un esclavage Que par un choix injuste on â fait rdonner Arrosant de ses pleurs un insipide ouvrage, Au sombre désespoir prêt à s'abandonner ; Je l'ai vu frémissant de douleur et de rage À l'aspect des soldats, qui loin de son ménage, À ce travail ingrat accouraient le trainer. Pour punir un instant de désobéissance J'ai vu des hommes durs, dont l'affreuse équité, Au mépris de l'honneur et de l'humanité Vendaient le seul grabât qui fût en sa puissance Et lui ravissaient tout... jusqu'à sa liberté. Oui, tel était le sort de ces hommes utiles, Dont les pénibles soins, dignes d'un meilleur prix, Nourrissent tous les jours, et l'habitant des Villes, Et les Grands...dont peut-être il n'a que les mépris. L'homme sensible et fin, l'homme équitable et sage Gémissaient de ces maux, dans nos champs répandus, Mais contre des conseils, injustes, absolus, Dont le vernis du bien a coloré l'ouvrage, LOUIS de la sagesse a-t'il quelque avantage ? Pour les faire arrêter, pour les voir abbattus, Il fallait de TURGOT, le cœur et le courage Il fallait de LOUIS, les mœurs et les vertus. Par son très humble et très obéissant serviteur, Fabre d'Églantine. Philippe-François-Nazaire Fabre, dit Fabre d’Églantine né et baptisé le 28 juillet 1750 à Carcassonne et guillotiné le 5 avril 1794 à Paris, est un acteur, dramaturge, poète et homme politique français.

La chambre des députés au XIXème siècle. Source : http://data.abuledu.org/URI/524f1965-la-chambre-des-deputes-au-xixeme-siecle

La chambre des députés au XIXème siècle

Le tour de la France par deux enfants, par George Bruno, pseudonyme d'Augustine Fouillée (née Tuillerie), 1877, p.295 : manuel scolaire, édition de 1904. LA CHAMBRE DES DÉPUTÉS. - Les députés sont des hommes élus par tous les Français âgés d'au moins 21 ans pour fixer les impôts et faire les lois. Ils se réunissent à Paris. A gauche se trouvent le président et les vice-présidents ; au-dessous est la tribune où parle l'orateur. Les députés sont sur les gradins.

La Cité des dames. Source : http://data.abuledu.org/URI/513fda93-la-cite-des-dames

La Cité des dames

La Cité des dames est un récit allégorique de Christine de Pizan (1363-1431) paru à Paris en 1405. Christine de Pizan est une philosophe et poétesse française de naissance italienne considérée comme la première femme de lettres française ayant vécu de sa plume. Son érudition la distingue des écrivains de son époque, hommes ou femmes. Veuve et démunie, elle dut gagner sa vie en écrivant. Elle composa des traités de politique et de philosophie, et des recueils de poésie. On lui doit, entre autres, "Cent ballades d'amant et de dame" et "la Cité des dames". Son travail majeur a été accompli entre 1400 et 1418. Christine est d'abord une poétesse. Et pour cause : c'est le premier moyen de se faire remarquer en bien par les princes mécènes, car leur cour se plaît particulièrement aux jeux poétiques de la littérature courtoise. Elle chante des amours plutôt malheureux en fin d'histoire, mais n'en abuse pas car elle sait que ses lecteurs préfèrent le chant amoureux comblé. C'est par la poésie qu'elle a fondé son autorité d'écrivaine, la manière la plus efficace de se faire admettre dans le monde littéraire pour une femme de la haute société. "La cité des dames" est un des premiers ouvrages féministes de la littérature, en ce sens qu'il ne reprend pas les tropes usés du débat rhétorique utilisés par les auteurs masculins pour attaquer ou défendre la femme, mais se place délibérément dans une perspective nouvelle, la narratrice prenant conscience de ce que sa vision d'elle-même est en fait déterminée par les clichés qui circulent sur les femmes et leur infériorité "naturelle". Christine de Pizan décrit une société allégorique, où la dame est une femme dont la noblesse est celle de l'esprit plutôt que de la naissance. L'ouvrage cite une série de figures féminines du passé que Christine de Pizan donne comme exemple de la façon dont les femmes peuvent mener une existence pleine de noblesse tout en apportant leur contribution à la société. Le Maître de la Cité des dames est un nom de convention désignant un enlumineur actif à Paris entre 1400 et 1415. Collaborateur de Christine de Pisan dans la réalisation de ses manuscrits, il doit son nom de convention des manuscrits de La Cité des dames qu'il a enluminés.

Les hommes de la Commune, 1871. Source : http://data.abuledu.org/URI/5071fc70-les-hommes-de-la-commune-1871

Les hommes de la Commune, 1871

"Les hommes de la Commune." Source : L'Illustration, journal universel, 15 juillet 1871. Le conseil de la Commune : Toutes les tendances politiques républicaines et socialistes y sont représentées, jusqu'aux anarchistes. Parmi la vingtaine de « jacobins », admirateurs de la Révolution de 1789 et plutôt centralisateurs, on trouve Charles Delescluze, Félix Pyat, Charles Ferdinand Gambon ou Paschal Grousset. À peine plus nombreux sont les « radicaux », partisans de l'autonomie municipale et d'une république démocratique et sociale, tels Arthur Arnould, Charles Amouroux, Victor Clément et Jules Bergeret. On compte une dizaine de « blanquistes », adeptes de l'insurrection et avant-gardistes, comme Jean-Baptiste Chardon, Émile Eudes, Théophile Ferré, Raoul Rigault ou Gabriel Ranvier. Quelques « proudhoniens », partisans de réformes sociales, siègent : Léo Fränkel, Benoît Malon, Eugène Varlin... Enfin, des « indépendants » ont été élus, tels Jules Vallès et Gustave Courbet.

Matriochkas d'hommes politiques russes. Source : http://data.abuledu.org/URI/52951dc1-matriochkas-d-hommes-politiques-russes

Matriochkas d'hommes politiques russes

Dix politiciens russes, décrits comme poupées russes (matriochkas) : Vladimir Poutine, Boris Eltsine, Mikhaïl Gorbatchev, Léonid Brejnev, Nikita Khrouchtchev, Joseph Staline, Vladimir Lénine, Nicolas II de Russie, Catherine la Grande, Pierre le Grand.