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Grandville (1803-1847) | Hommes célèbres | Photographie | Dix-neuvième siècle | Célébrités | Gravure | Histoire | Guerres napoléoniennes (1800-1815) -- Campagnes et batailles -- Russie | Joos van Wassenhove (1430–1480) | Peinture de portraits | Art médiéval -- Europe | Dessins et plans | Charles Minard (1781-1870) | Illustration des périodiques | Illustrations humoristiques | Transports publics par omnibus | Artistes français | Humour par l'image | Peinture | Représentations graphiques | ...
Fronton du Panthéon. Source : http://data.abuledu.org/URI/53e27eb9-fronton-du-pantheon

Fronton du Panthéon

Les chapiteaux du portique, le fronton, le dôme et le lanterneau du Panthéon à Paris. La sculpture du fronton s'intitule : La Patrie couronnant les hommes illustres. Au centre, la Patrie reçoit des couronnes des mains de la Liberté, et les donne aux hommes illustres, de gauche à droite on peut reconnaitre : Bichat, Rousseau et Voltaire assis (et se tournant le dos...), puis le peintre David, avec Cuvier et La Fayette, devant eux Carnot, Berthollet, Laplace, et enfin Malesherbes, Mirabeau, Monge et Fénelon. L'Histoire note les noms sur ses tables, et à droite on remarque les soldats anonymes de toutes les armes, avec à leur tête Bonaparte, accompagné du Tambour d'Arcole, et des étudiants de l'Ecole Polytechnique que l'on voit aussi à gauche : "Aux grand hommes la patrie reconnaissante".

L'ombre de Napoléon. Source : http://data.abuledu.org/URI/534fbc09-l-ombre-de-napoleon

L'ombre de Napoléon

Grandville (1803-1847), "Cent Proverbes", 1845, "Un petit homme projette parfois une grande ombre."

Canotier en paille avec ruban. Source : http://data.abuledu.org/URI/50fc8de8-canotier-en-paille-avec-ruban

Canotier en paille avec ruban

À Paris, les canots à voile font leur apparition sur la Seine dès le début du XIXe. La préfecture de Police en autorise la circulation sous certaines conditions en 1840. De nombreux individus se mettent à ramer (des « canotiers »), ils conduisent eux-mêmes leur embarcation. Le canot devient un divertissement. Ramer est un plaisir, tout comme s’encanailler dans les différentes guinguettes et autres lieux de plaisance de cette époque. Le canotage suscite de nombreuses réactions. Par des chansons, et évidemment en peinture. Les premiers canotiers parisiens de la fin du XIXe et du début du XXe siècle ne veulent pas rester en bourgeois pour conduire leur bateau et adoptent un costume qui s’inspire volontiers de ceux des matelots ou des mariniers, notamment à travers le chapeau rond orné d’un ruban qui faisait alors partie de la tenue de sortie réglementaire des hommes d’équipage. Dans la Marine, deux versions du chapeau rond coexistaient : une version en paille naturelle pour le service dans les pays chauds et une version imperméabilisée avec du goudron ou de la toile cirée noire pour le service dans les pays pluvieux. Le canotier est le chapeau emblématique de Gabrielle Chanel. Elle le porta très tôt en réaction aux couvre-chefs si garnis des femmes à son époque. Il devient particulièrement célèbre au XXe siècle quand les vedettes de music-hall comme Maurice Chevalier ou Fred Astaire s’en emparent. Maurice Chevalier s'illustra, en 1962, dans une chanson : le Twist du canotier, enregistrée avec le groupe rock français les Chaussettes noires.

Euclide de Mégare. Source : http://data.abuledu.org/URI/56f98fca-euclide-de-megare

Euclide de Mégare

"Euclide de Mégare" (en latin, Evklidi Megaren), Panneau de la série des hommes célèbres par Justus de Ghent, 1474. Ce tableau était censé représenter le célèbre mathématicien grec Euclide d'Alexandrie, disciple de Socrate.

Pertes de l'armée française dans la campagne de Russie. Source : http://data.abuledu.org/URI/51bf7a78-pertes-de-l-armee-francaise-dans-la-campagne-de-russie

Pertes de l'armée française dans la campagne de Russie

Carte figurative, 1869, des pertes successives en hommes de l'armée française dans la campagne de Russie 1812-1813 par Charles Minard suivant les mouvements de l'armée et la température sur le chemin du retour. Une représentation graphique de données statistiques ou visualisation de données statistiques est un résumé visuel des données chiffrées. Elle permet en un seul coup d'œil d'en saisir la tendance générale. Une des pionniers de l'usage moderne de la représentation graphique, semble avoir été Charles Joseph Minard, professeur puis super-intendant de l'école des Ponts et Chaussées, célèbre pour ses cartes figuratives et tableaux graphiques illustrant la campagne napoléonienne de Russie.

Trajet en omnibus en 1828. Source : http://data.abuledu.org/URI/514edebd-trajet-en-omnibus-en-1828

Trajet en omnibus en 1828

Le trajet en omnibus en 1828, par Jean Ignace Isidore Gérard, mieux connu sous son pseudonyme de J. J. Grandville (1803-1847), célèbre pour ses illustrations de journaux comme "La Silhouette," "L'Artiste," "La Caricature," et "Le Charivari." Ce dessin illustre une pièce de musique de "Une Course d'Omnibus" de Charles Henri Plantade (1764-1839). Un omnibus (du latin omnibus, signifiant « pour tous ») est un véhicule à traction hippomobile inspiré des diligences et assurant un service de transport public. Un omnibus circule à des horaires déterminés sur des lignes fixes, ce qui le distingue des fiacres, ancêtres des taxis, qui, loués par une personne ou une famille, se rend à la destination choisie par ses clients. Par ailleurs, il circule sur la chaussée, sans être guidés par des rails, ce qui les distingue des tramways. Il n'a pas nécessairement de points d'arrêts fixes. Le mot « omnibus », d'où viennent « autobus » et « bus », est apparu en relation avec la ligne créée à Nantes en 1826, la première en France, au XIXe siècle. L'âge d'or des omnibus est cependant le XIXe siècle, lorsque les villes commencent à s'étendre sous la pression d'une forte croissance démographique et industrielle, l'amélioration de la voirie, et à une époque où la petite bourgeoisie, qui pouvait économiquement payer des places, se développe. Lorsque Stanislas Baudry (1777-1830) décide de créer le même service à Paris, il crée une nouvelle entreprise à qui il donne le nom d'Entreprise générale des omnibus (EGO) ; il y est associé avec d'autres hommes d'affaires (Boitard et Saint-Céran). Le 30 janvier 1828, l'EGO obtient du préfet de police de Paris, Louis-Maurice Debelleyme, l'autorisation d'exploiter une entreprise de « voitures destinées à transporter à bas prix les habitants de certains points de la ville à d'autres points également fixés et en suivant des itinéraires fixés par la ville », avec au plus cent voitures. Les omnibus de l'EGO, tractés par trois chevaux, comptent 14 places assises réparties en trois classes. Après une phase de succès, l'EGO subit une crise dès l'hiver 1830 et est mise en faillite.