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Photographie | Biologie animale | Animaux -- Habitat | Lapins | Habitat animal | Terriers (abris) | Mammifères | Entomologie | Insectes | Fourmis des bois | Forêts | Écorces | Hélicidés | Dessins et plans | Escargots | Keremma (Finistère) | Mollusques | Nids -- Construction | Copeaux de bois | Colobus | ...
Entrée de fourmilière. Source : http://data.abuledu.org/URI/534b829c-entree-de-fourmiliere

Entrée de fourmilière

Entrée de fourmilière.

Entrée de terrier. Source : http://data.abuledu.org/URI/53052130-entree-de-terrier

Entrée de terrier

Entrée de terrier.

Entrée de terrier dans les dunes. Source : http://data.abuledu.org/URI/53597b69-entree-de-terrier-dans-les-dunes

Entrée de terrier dans les dunes

Entrée de terrier dans les dunes de Keremma, Nord Finistère.

Habitat de castors dans les Ardennes. Source : http://data.abuledu.org/URI/53ac654a-habitat-de-castors-dans-les-ardennes

Habitat de castors dans les Ardennes

Habitat de castors dans les Ardennes.

Lapin creusant son terrier. Source : http://data.abuledu.org/URI/53597bec-lapin-creusant-son-terrier

Lapin creusant son terrier

Lapin creusant son terrier.

Carte du Crau. Source : http://data.abuledu.org/URI/51ca1f47-carte-du-crau

Carte du Crau

Carte du biome du Crau. Un biome (du grec bio = vie) est un ensemble d'écosystèmes caractéristique d'une aire biogéographique et nommé à partir de la végétation et des espèces animales qui y prédominent et y sont adaptées. Il est l'expression des conditions écologiques du lieu à l'échelle régionale ou continentale : le climat qui induit le sol, les deux induisant eux-mêmes les conditions écologiques auxquelles vont répondre les communautés des plantes et des animaux du biome en question. Les biomes terrestres sont décrits par la science de la biogéographie. La classification écologique des terres définit le vocabulaire utilisé pour évaluer la taille de ces zones du micro-habitat à la biosphère. Leur concept embrasse les notions de communauté, d'interaction entre sols, plantes et animaux.

Dessin de chouette. Source : http://data.abuledu.org/URI/5072a8b9-dessin-de-chouette

Dessin de chouette

Dessin de chouette de Gessner (1555) : Son ouvrage le plus célèbre est son Historia animalium, qu'il commence à publier en 1551. Le dernier volume, posthume, paraîtra 22 ans après sa mort. Il s'agit certainement du plus important ouvrage de zoologie qui fut jamais publié, c'est pour cette raison qu'il fut surnommé le « Pline suisse ». Dans cette Histoire des animaux, œuvre immense de 3 500 pages, chaque espèce est décrite suivant huit chapitres. Gessner donne son nom dans différentes langues (vivantes ou mortes), son habitat et son origine ainsi que sa description anatomique, sa physiologie, les qualités de son âme, les divers usages que l'on peut en tirer, son intérêt alimentaire et médicale, ainsi que son utilisation par les poètes et les philosophes...

Deux escargots des bois. Source : http://data.abuledu.org/URI/5342ff72-deux-escargots-des-bois

Deux escargots des bois

Deux escargots des bois (Cepaea nemoralis). Son habitat est très varié et on peut le rencontrer dans le bois, les haies, les friches, les dunes et les prairies. Il se rencontre jusqu'à 1 200 m dans les Alpes et 2 200 m dans les Pyrénées. Il se rencontre partout dans l'ouest de l'Europe. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Cepaea_nemoralis

Dome de fourmilière. Source : http://data.abuledu.org/URI/534b89ff-dome-de-fourmiliere

Dome de fourmilière

Gros plan sur le dome d'une fourmilière construite en forêt par la fourmi rousse des bois, forêt de St Amand dans le Nord de la France en 2002.

Entrée de terrier de lapin. Source : http://data.abuledu.org/URI/535a567a-entree-de-terrier-de-lapin

Entrée de terrier de lapin

Entrée de terrier de lapin.

Entrée de terriers souterrains de lapins. Source : http://data.abuledu.org/URI/535ae3a3-entree-de-terriers-souterrains-de-lapins

Entrée de terriers souterrains de lapins

Entrée de terriers souterrains de lapins dans les dunes de Keremma, dans le Nord-Finistère.

Escargot des jardins. Source : http://data.abuledu.org/URI/5342f114-escargot-des-jardins

Escargot des jardins

Escargot des jardins (Cepaea hortensis) sur une feuille. Son habitat est très varié, on le trouve dans les bois et les prairies, les haies et les dunes. Il apprécie les feuilles d'arbres fruitiers tels que le pommier. Il possède comme prédateur la grive musicienne. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Escargot_des_jardins.

Fourmilière en forêt. Source : http://data.abuledu.org/URI/534b890f-fourmiliere-en-foret

Fourmilière en forêt

Fourmilière construite en forêt par la fourmi rousse des bois, forêt de Saint-Amand dans le Nord de la France.

Gorgone pourpre et mérou brun. Source : http://data.abuledu.org/URI/548d6d28-gorgone-pourpre-et-merou-brun

Gorgone pourpre et mérou brun

Gorgone pourpre (paramuricea clavata) à côté d'un mérou brun (Epinephelus marginatus). La colonie est en forme d'éventail, souvent de couleurs vives (rouge, jaune, violet). Le squelette est formé d'une substance souple et dure, la gorgonine. Comme les coraux, les gorgones sont généralement fixées à des substrats durs. Chaque polype possède 8 tentacules qui filtrent le plancton et le consomment. Ces coraux ne cultivent pas de zooxanthelles symbiotiques dans leurs tissus et n'ont donc pas besoin de lumière pour se développer, ce qui approfondit considérablement leur habitat potentiel. Pour la même raison, ils ne poussent pas en direction du soleil mais perpendiculairement au courant, de manière à filtrer un maximum de flux d'eau pour augmenter les chances d'attraper le plancton. Source : https://fr.wikipedia.org/wiki/Gorgonacea

Guéréza du Kilimandjaro. Source : http://data.abuledu.org/URI/54cffe48-guereza-du-kilimandjaro

Guéréza du Kilimandjaro

Guéréza noir et blanc (Colobus guereza) avec son petit, zoo de Mûnster. Le guéréza est diurne et arboricole, on le trouve à la fois dans les forêts de feuillus et les forêts de conifères. C’est une espèce adaptable qui peut supporter les perturbations de son habitat et préfère la forêt secondaire près des rivières ou des lacs. Même si autrefois on pensait qu’il ne mangeait que des feuilles, il mange aussi des graines, des fruits et des arthropodes. Il est capable de digérer de la matière végétale comportant une teneur élevée en fibres grâce à son estomac spécialisé, mais il ne peut manger à la fois qu’un petit nombre d’espèces de plantes. Il est chassé par des rapaces et certains mammifères comme le chimpanzé commun et le léopard. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Colobus_guereza

Lapereaux dans leur nid de copeaux de bois. Source : http://data.abuledu.org/URI/535a5739-lapereaux-dans-leur-nid-de-copeaux-de-bois

Lapereaux dans leur nid de copeaux de bois

Lapereaux dans leur nid de copeaux de bois.

Lapins préparant leur nid. Source : http://data.abuledu.org/URI/535ae44d-lapins-preparant-leur-nid

Lapins préparant leur nid

Lapins collectant des écorces pour tapisser leur nid.

Migrations du corbeau freux. Source : http://data.abuledu.org/URI/50fde805-migrations-du-corbeau-freux

Migrations du corbeau freux

Le corbeau freux prospère des îles Britanniques aux steppes du plateau de l’Altaï en passant par la France et le nord de l’Espagne. Il est absent de la Suisse méridionale, d'une grande partie de l’Autriche et de l’Italie. Au nord, les populations atteignent le Danemark et la Suède méridionale ; au sud-est les côtes de la mer Noire et de la mer Caspienne. Pendant les mois d'hiver, l'espèce colonisera en outre le long des côtes norvégiennes jusqu'au tropique du Cancer, dans une grande partie des Balkans et de la Turquie. Le freux a été acclimaté avec succès en Nouvelle-Zélande, où il bénéficie même depuis des décennies du statut d'espèce protégée, bien que les populations continuent d'y être énergiquement décimées. Vert : habitat permanent ou partiellement migratoire ; bleu : zone d’hivernage ; orange : source préférentielle de migration. Flèches en orange : directions connues de migration.

Panneau de passage d'écureuil. Source : http://data.abuledu.org/URI/51c44a32-panneau-de-passage-d-ecureuil

Panneau de passage d'écureuil

Panneau signalant le risque de traversée d'écureuils roux (Sciurus vulgaris), au Royaume-Uni, sur l'A708, environ 4 km avant Moffat. Aujourd'hui la circulation automobile, l'insularisation écologique des forêts, du bocage et des espaces verts et la fragmentation de son habitats par les routes semblent poser problème : "Le domaine vital de l’écureuil roux est de 5 à 30 hectares (selon la richesse du milieu) ; Au delà de 2 km d’infrastructure de transport par km de forêt, cette espèce est confrontée à une rupture de son territoire" Source : NatureParif, "Fragmentation forestière par les infrastructures de transport", Colloque 2011.

Raton laveur sur le toit d'une maison. Source : http://data.abuledu.org/URI/52d824e7-raton-laveur-sur-le-toit-d-une-maison

Raton laveur sur le toit d'une maison

Raton laveur (Procyon lotor) sur le toit en tuiles plates d'une maison.

Yak sauvage. Source : http://data.abuledu.org/URI/516c720b-yak-sauvage

Yak sauvage

Yak sauvage (Bos grunniens) à Letdar (Circuit de l'Annapurna au Népal). Le yak vit dans et autour de la chaine de l'Himalaya ; Népal et au Bhoutan, en Chine (Tibet, Xinjiang, Gansu, Mongolie intérieure), ainsi qu'en Mongolie, Russie, Kirghizstan, Kazakhstan, Pakistan, Tadjikistan, Afghanistan, jusqu'à des altitudes de 5 400 mètres. Les yaks vivent quinze ans en haute altitude au-dessus de 3 000 mètres. Le yak sauvage, uniquement présent au Tibet, est plus grand que le yak domestique, pouvant peser jusqu'à une tonne. Il vit habituellement en groupes de 10 à 30 individus. Son habitat est composé de hauts-plateaux dégarnis, de collines et de montagnes à des altitudes comprises entre 3 200 et 5 400 mètres. Il se nourrit d'herbes, de lichens et d'autres plantes. Durant la saison chaude, il vit dans les régions proches des neiges éternelles ; puis descend vers des terres au climat plus clément lorsque la saison froide approche. Le yak peut affronter le froid jusqu'à - 40 °C aussi bien grâce à son sous-poil très dense que par son long et épais pelage de surface. Par ailleurs, il secrète une substance visqueuse dans sa transpiration qui agit comme un isolant au froid. Cette substance est utilisée en médecine traditionnelle au Népal. Le yak sauvage a la vue très faible mais compense ce handicap par un odorat particulièrement développé et surtout une ouïe incroyable qui lui permet d'entendre à plusieurs kilomètres de distance. Le yak sauvage n'existe plus que dans les chaînes de montagnes du Kunlun, de Thangla et de Nyenchen Thangla, ainsi que sur le plateau du Tibet. L'espèce est menacée : la population totale actuelle est estimée à 15 000 animaux.