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Dessins et plans | Photographie | Histoire | Gravure | Fortifications -- France | Dix-huitième siècle | Dix-neuvième siècle | Guerre de siège | Villes fortifiées | Poliorcétique | Architecture -- Dessins et plans | Sébastien Le Prestre de Vauban (1633-1707) | Lorient (Morbihan. - Siège) (1746) | Dix-septième siècle | Guitare | Armes de guerre | Meubles | Ernest Board (1877-1934) | Champs de bataille | Blessures de guerre | ...
Système de fortification de Vauban 2. Source : http://data.abuledu.org/URI/5309bb26-systeme-de-fortification-de-vauban-2

Système de fortification de Vauban 2

Tirant expérience de la poliorcétique (guerre de siège), Vauban développa un deuxième système. S'étant rendu compte que la prise d'un bastion entrainait invariablement la prise rapide de la ville, il décida de séparer ces derniers de l'ouvrage. Cette modification avait pour avantage de mieux protéger l'artillerie et de créer une deuxième ceinture de protection. Travail personnel librement inspiré de Serge François, in "Places Fortes, Bastion du Pouvoir".

Système de fortification de Vauban 3. Source : http://data.abuledu.org/URI/5309bbff-systeme-de-fortification-de-vauban-3

Système de fortification de Vauban 3

Ce dernier système est l'aboutissement de plusieurs décennies d'expérience militaire. Ce type d'ouvrage ne fut construit qu'une fois, ce fut Neuf-Brisach, en Alsace, destiné à remplacer la place de Vieux-Brisach (Alt-Breisach en rive droite du Rhin, perdue par la France). Il reprend les évolutions du deuxième système qui augmentait encore la défense en profondeur notamment par l'implantation de « tours-bastions » renforçant les bastions. Travail personnel librement inspiré de Serge François, in "Places Fortes, Bastion du Pouvoir". Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Fortifications_et_constructions_de_Vauban.

Armoiries de Dunkerque. Source : http://data.abuledu.org/URI/51dc1dc9-armoiries-de-dunkerque

Armoiries de Dunkerque

Grandes Armes de la ville de Dunkerque : Coupé, en chef d'or au lion passant de sable, en pointe d'argent à un dauphin couché d'azur crété et oreillé de gueules. La citation "Dunkerque a bien mérité de la Patrie" fut donnée par le Comité de Salut Public après l'héroïque conduite des habitants lors du siège de Dunkerque en 1793. La citation "Ville héroïque, sert d'exemple à toute la Nation" fut attribuée en 1917. Les médailles sont : La Croix de Chevalier de la Légion d'Honneur, 1919 ; Les Croix de Guerre avec Palmes, 1917 et 1945 ; La Distinguished Service Cross, 1919.

Forteresse de Marienbourg. Source : http://data.abuledu.org/URI/51c35551-forteresse-de-marienbourg

Forteresse de Marienbourg

Forteresse teutonique de Marienbourg (Malbork en polonais) en gothique de brique. La ville en elle-même, construite autour de la forteresse de Marienbourg, a été fondée en 1274 sur la rive droite de la rivière Nogat, bras de la Vistule, par les chevaliers teutoniques. Le château fortifié devint le siège de l'ordre des chevaliers teutoniques et la plus grande forteresse gothique d'Europe. La rivière et le terrain plat permettant un accès aisé aux barges à une centaine de kilomètres de la mer, les chevaliers teutoniques l'intégrèrent à leur État, y collectèrent des péages et imposèrent un monopole sur le commerce de l'ambre. La ville devint plus tard membre de la ligue hanséatique et de nombreuses réunions de la Hanse s'y tinrent.

Fortification de Fereirre. Source : http://data.abuledu.org/URI/52a70124-fortification-de-fereirre

Fortification de Fereirre

"Méthode de fortifier les petites villes et les châteaux situez sur les montagnes : Fereirre" par Allain Manesson Mallet, Les Travaux de Mars, ou l'art de la guerre, t. I, Paris, Denys Thierry, 1684, pl. CXXXII. Château de Ferreira, fortifié par Manesson-Mallet après le siège remporté par le comte de Schomberg le 27 avril 1667. Né à Heidelberg en 1615, le comte et futur duc de Schomberg a dirigé successivement des armées de six pays : Suède (1634), France (1635), Portugal, Prusse, Hollande et Angleterre, sans jamais renier sa foi protestante, qui amena en 1685 Louis XIV et son nouveau ministre de la défense Louvois à le chasser des honneurs et des fonctions.

Frise de la guerre de cent ans. Source : http://data.abuledu.org/URI/5060f282-frise-de-la-guerre-de-cent-ans

Frise de la guerre de cent ans

Frise historique des batailles de la guerre de cent ans ; légende en anglais, de gauche à droite : 1337, début de la guerre de 100 ans, 1346 Bataille de Crécy, 1356 Bataille de Poitiers, 1360 Traité de Brétigny, 1376 Mort du Prince Noir, 1415 Bataille d'Azincourt, 1420 Traité de Troyes, 1429 Fin du Siège d'Orléans, 1453 Bataille de Castillon.

Guerre des mercenaires à Carthage. Source : http://data.abuledu.org/URI/520d0ac4-guerre-des-mercenaires-a-carthage

Guerre des mercenaires à Carthage

Cette carte décrit l'intégralité de la Guerre des Mercenaires, depuis la revolt des mercenaries et finissant à la bataille de Leptis Magna. Elle est principalement fondée sur les travaux de Polybius, qui décrit les évènement-clés de la guerre (révoltes de Sicca, les deux sièges de Tunis, la bataille des rivières Badgrades, la bataille "de la scie" et la mort de Mathô à la bataille de Leptis, marquant la fin de la guerre. Les flèches symbolisent les mouvement de troupes principaux — il y eut de longues périodes de stationnement des troupes durant lesquelles la guerre se transformait en une sorte de guérilla. 1) Révoltes des mercenaires et occupation de Tunis ; 2) Siège d'Utique et de Bizerte (Hippo Dyarrhytus) ; 3) Hannon perce le siège d'Utique ; 4) Bataille d'Utique. Hannon est défait ; 5) Hamilcar quitte Carthage et défait les rebelles à la bataille des rivières Badrades ; 6) Campagne d'Hamilcar ; 7) Bataille "de la scie" (près de Djebel Ressas). Mort de Spendios, Zarzas et Autaritus ; 8) Siège de Tunis. Le capitaine Hannibal meurt ; 9) Les renforts d'Hannon rejoignent Hamilcar ; 10) Bataille près de Leptis Magna. Mathos meurt.

Le blocus de Vicksburg en 1863. Source : http://data.abuledu.org/URI/513858e9-le-blocus-de-vicksburg-en-1863

Le blocus de Vicksburg en 1863

Reproduction d'une lithographie américaine en couleur. Le blocus de Vicksburg sur le Mississippi le 16 avril 1863 : "Liste des navires : Benton, Lafayette et Général Price, Louisville, Mound City, Pittsburg, Carondelet, Silver Wave, Forest Queen, Henry Clay et Tuscumbia. À 22h30, les navires ont levé l'ancre et descendu le fleuve à la suite de l'Amiral Porter commandant le Benton. À l'approche de la rive opposée à la ville de Vicksburg, ils essuyèrent un terrible feu croisé des batteries du centre, d'en haut et d'en bas, depuis le rivage et la falaise en direction du chenal qui se trouve à cent mètres du rivage à cet endroit-là. Au même moment, les rebelles mirent le feu à d'innombrables bûches flottantes de pins résineux et d'autres matériaux combustibles. Malgré tous ces feux, les navires réussirent à franchir le barrage avec peu de pertes : seul le navire de marchandises Henry Clay s'embrasa et coula." (Ships depicted are, from the front to the rear, all USS except as noted : Benton (Flagship) ; Lafayette with General Price alongside ; Louisville ; Mound City ; Pittsburgh ; Carondelet ; transports Silver Wave, Forest Queen & Henry Clay ; and Tuscumbia. Text under the print's title reads: "At half past ten P.M. the boats left their moorings & steamed down the river, the Benton, Admiral Porter, taking the lead -- as they approached the point opposite the town, a terrible concentrated fire of the centre, upper and lower batteries, both water and bluff, was directed upon the channel, which here ran within one hundred yards of the shore. At the same moment innumerable floats of turpentine and other combustible materials were set ablaze. In the face of all this fire, the boats made their way with but little loss except the transport Henry Clay which was set on fire & sunk.)

Les hommes de la Commune, 1871. Source : http://data.abuledu.org/URI/5071fc70-les-hommes-de-la-commune-1871

Les hommes de la Commune, 1871

"Les hommes de la Commune." Source : L'Illustration, journal universel, 15 juillet 1871. Le conseil de la Commune : Toutes les tendances politiques républicaines et socialistes y sont représentées, jusqu'aux anarchistes. Parmi la vingtaine de « jacobins », admirateurs de la Révolution de 1789 et plutôt centralisateurs, on trouve Charles Delescluze, Félix Pyat, Charles Ferdinand Gambon ou Paschal Grousset. À peine plus nombreux sont les « radicaux », partisans de l'autonomie municipale et d'une république démocratique et sociale, tels Arthur Arnould, Charles Amouroux, Victor Clément et Jules Bergeret. On compte une dizaine de « blanquistes », adeptes de l'insurrection et avant-gardistes, comme Jean-Baptiste Chardon, Émile Eudes, Théophile Ferré, Raoul Rigault ou Gabriel Ranvier. Quelques « proudhoniens », partisans de réformes sociales, siègent : Léo Fränkel, Benoît Malon, Eugène Varlin... Enfin, des « indépendants » ont été élus, tels Jules Vallès et Gustave Courbet.

Ligature avant amputation sur un champ de bataille en 1552. Source : http://data.abuledu.org/URI/56c7188e-ligature-avant-amputation-sur-un-champ-de-bataille-en-1552

Ligature avant amputation sur un champ de bataille en 1552

Ambroise Paré pratiquant la ligature pour l'amputation d'une jambe lors du siège de Damvillers en 1552. Peinture à l'huile de Ernest Board (1877-1934).

Lorient au XVIIIème siècle. Source : http://data.abuledu.org/URI/51d3c5fa-lorient-au-xviiieme-siecle

Lorient au XVIIIème siècle

Carte de Lorient et de sa rade réalisée en 1750 par Georges-Louis Le Rouge pour le Ministre et Secrétaire d’État de la Guerre.

Mobilier du dix-septième et du dix-huitième siècle. Source : http://data.abuledu.org/URI/5309f24e-mobilier-du-dix-septieme-et-du-dix-huitieme-siecle

Mobilier du dix-septième et du dix-huitième siècle

Planche 92, Mobilier du dix-septième et du dix-huitième siècle, in Costumes of All Nations (Londres, 1882) par Albert Kretschmer, peintre du théâtre de la Cour Royale de Berlin, et Dr. Carl Rohrbach. Objets du dix-septième siècle : 1-4, 9-10, épées ; 5-7, casques ; 8, 11, 15, pointes de lances (pertuisanes) ; 12, hausse-col (gorgerin) ; 13, carabine ; 14, pistolet ; 16, vase ; 17, guitare ; 18-21, meubles et secrétaire ; 22-25, chaises et tabouret ; 26, 28, tables ; 27, commode ; 29, porte-buste ; 30, lit. Objets du dix-huitième siècle : 31, lit ; 32, table de toilette ; 33-34, 40, 43, 45-47, chaises ; 35-37, tables ; 38, sofa ; 39, miroir ; 41-42, 62, réveils ; 44, 45, sofas ; 47, 63, sirènes d'incendie ; 62a, tasse et sous-tasse ; 51, 53, 57-58, tables ; 52, 55, sièges ; 56, piano forte ; 54, chandelier ; 59, commode ; 60, étagères d'angle ; 61, armoire ; 64-72, sofas ; 65, 67-70, chaises ; 66, étagère ; 71, table.

Monument des moissonneurs en Catalogne. Source : http://data.abuledu.org/URI/539cc72c-monument-des-moissonneurs-en-catalogne

Monument des moissonneurs en Catalogne

Muraille et porte de la rue Major à Cambrils, Monument au siège de 1640. Pendant le début de la Guerre des faucheurs (ou de sécession de Catalogne), en décembre 1640, les troupes catalanes ont essayé d'arrêter la progression de l'armée royale espagnole, qui venait de Tortose, d'abord au Col de Balaguer (dans la municipalité de Vandellos) et ensuite à Cambrils. Le 12 décembre 1640, Cambrils a été assiégée par les troupes commandées par le Marquis de Los Vélez. Les défenseurs de la ville, environ 3 000 soldats et des miliciens, avec 2 canons, dirigés par Antoni d'Armengol, Baron de Rocafort de Queralt, ont refusé de rendre la place forte de Cambrils et dû faire face à une armée composée de 23 000 soldats d'infanterie, 3 100 de chevalerie et 24 pièces d'artillerie. La 14 décembre, la ville capitula : près de 1000 défenseurs furent massacrés. Quelques semaines plus tard l'armée royale fut à son tour vaincue sur la montagne de Montjuich, à Barcelone. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Cambrils

Statue de Vercingétorix. Source : http://data.abuledu.org/URI/50eab231-statue-de-vercingetorix

Statue de Vercingétorix

Statue de Vercingétorix sur le site du siège d'Alésia à Alise-Sainte-Reine en Bourgogne

Un volontaire des légions de Garibaldi. Source : http://data.abuledu.org/URI/50f1e4cf-un-volontaire-des-legions-de-garibaldi

Un volontaire des légions de Garibaldi

Un volontaire des légions de Garibaldi lors du siège de Rome en 1849. (in exposition "Napoléon III et l'Italie") par Gerolamo Induno (1825-1890). De 1839 à 1846 il fréquenta l'Académie des beaux-arts de Brera. À partir de1845, il présenta ses premières œuvres aux expositions de Brera, des études de genre, des portraits et une scène extraite des "Promessi Sposi". En 1848, il participa aux émeutes anti-autrichiennes et dut se réfugier avec son frère à Astano en Suisse. Par la suite il se rendit à Florence où il exposa "Interno di cucina" (Intérieur de cuisine). À Florence il s'enrôla comme volontaire sous le commandement du général Giacomo Medici, avec lequel il participa à la défense de Rome, assiégée par l'armée française, et réalisa de nombreux croquis et peintures de genre. En 1855, il s'illustra pendant la guerre de Crimée et obtint une médaille d'honneur. Il accompagna Giuseppe Garibaldi dans sa campagne de 1859 et fut peintre officiel de l'Expédition des Mille.