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Dessins et plans | Photographie | Gravure | Physique | Bisons | Peinture | Géométrie | Temps (météorologie) | Dix-neuvième siècle | Conservation des aliments | Radars météorologiques | Plantes | Géologie | Littérature de jeunesse | Amérindiens | Dinosaures | Blason (héraldique) | Lumière | Éponges | Fillettes | ...
Absorption de la chlorophylle. Source : http://data.abuledu.org/URI/50e41760-absorption-de-la-chlorophylle

Absorption de la chlorophylle

Grahique du spectre d'absorption de la chlorophylle : en vert le spectre d'absorption de la chlorophylle a et en rouge le spectre d'absorption de la chlorophylle b. Le spectre visible se situe approximativement entre 380 nm à 780 nm bien qu'une gamme de 400 nm à 700 nm soit plus commune. La lumière perçue comme « verte » par l’œil et le cerveau humain a une longueur d'onde, selon les notions de la couleur « verte », approximativement entre 490 et 570 nanomètres. On remarque sur le graphique que l’absorbance de la chlorophylle est moindre pour cette plage du spectre électromagnétique. La chlorophylle absorbe donc la majeure partie du spectre visible sauf la lumière verte. La lumière rouge a une longueur d'onde de 620-750nm et une fréquence de 400-484THz. La région du rouge atteint un maximum de 660-670 nm pour la Chlorophylle A et aux alentours de 635-645 nm pour la Chlorophylle B. Les plantes ont un grande besoin des ondes rouges sauf celles beaucoup plus longues que 670 nm. La lumière bleue a une longueur d'onde de 450-495nm et une fréquence de 606-668THz. La photosynthèse fonctionne le mieux grâce aux ondes de la couleur rouge, et à moindre degré à celles de la couleur bleue. Mais certaines plantes ont un plus grand besoin de bleu que d'autres pour une croissance saine - notamment pour que les fleurs éclosent et pour que les fruits poussent.

Acanthostomatops vorax. Source : http://data.abuledu.org/URI/563b2c0c-acanthostomatops-vorax

Acanthostomatops vorax

Reconstitution d'un Acanthostomatops vorax. Les Zatrachydidae ou zatrachydidés sont une famille de temnospondyles ayant vécu à la fin du Carbonifère et au début du Permien en Amérique du Nord et en Europe. Ils se reconnaissent par les protubérances osseuses latérales du quadratojugal et une grande ouverture dans le palais. Le crâne est aplati, avec de petites orbites placées loin en arrière. L'ouverture dans le palais peut avoir servi à loger une glande produisant une substance collante pour engluer la proie sur la langue. Si cela était, cela montrerait que ces animaux passaient une grande partie de leur temps sur terre. Source : https://fr.wikipedia.org/wiki/Zatrachydidae

Alice assise au thé de fous. Source : http://data.abuledu.org/URI/532d97f3-alice-assise-au-the-de-fous

Alice assise au thé de fous

Alice assise à la table du thé de fous (chapitre 7), 1909, illustré par Arthur Rackham (1867–1939) : Il y avait une table servie sous un arbre devant la maison, et le Lièvre y prenait le thé avec le Chapelier. Un Loir profondément endormi était assis entre les deux autres qui s’en servaient comme d’un coussin, le coude appuyé sur lui et causant par-dessus sa tête. Bien gênant pour le Loir, pensa Alice. Mais comme il est endormi je suppose que cela lui est égal. Bien que la table fût très-grande, ils étaient tous trois serrés l’un contre l’autre à un des coins. "Il n’y a pas de place ! Il n’y a pas de place !" crièrent-ils en voyant Alice.

Alice et la petite clef. Source : http://data.abuledu.org/URI/50cf7e7f-alice-et-la-petite-clef

Alice et la petite clef

Alice et la petite clef, illustration d'origine (1865), par John Tenniel (1820 – 1914), du roman de Lewis Carroll, Alice au pays des merveilles : Tout à coup elle rencontra sur son passage une petite table à trois pieds, en verre massif, et rien dessus qu’une toute petite clef d’or. Alice pensa aussitôt que ce pouvait être celle d’une des portes ; mais hélas ! soit que les serrures fussent trop grandes, soit que la clef fût trop petite, elle ne put toujours en ouvrir aucune. Cependant, ayant fait un second tour, elle aperçut un rideau placé très-bas et qu’elle n’avait pas vu d’abord ; par derrière se trouvait encore une petite porte à peu près quinze pouces de haut...

Anticyclone des Açores. Source : http://data.abuledu.org/URI/5236de9b-anticyclone-des-acores

Anticyclone des Açores

Position habituelle de l'anticyclone des Açores : près de l'équateur, où la force de Coriolis est assez faible, une circulation directe de l'air s'établit. Dans les bas niveaux de l'atmosphère, la différence de température entre l'équateur et les régions plus au nord moins réchauffées donne lieu à la zone de convergence intertropicale où l'air plus chaud se soulève à cause de la convergence et de la poussée d'Archimède. Ceci donne climatologiquement un climat sec à ces latitudes sous une circulation anticyclonique. On retrouve dans cette zone la plupart des grands déserts terrestres. Ces zones plus ou moins permanentes de haute pression ont acquis des noms régionaux. On parle ainsi de l'anticyclone des Bermudes, aussi connu comme celui des Açores, dans l'Atlantique ainsi que de l'anticyclone du Pacifique à l'ouest de la côte californienne. Ceci ne veut pas dire que la position et l'intensité de ces anticyclones soient permanentes, juste qu'en moyenne on retrouve des anticyclones autour de ces régions. Leur influence ne s'arrête pas là. Par exemple, l’anticyclone des Bermudes/Açores apporte du temps beau et chaud de la côte est de l’Amérique du Nord à l’Europe en été et des vagues de chaleurs car il transporte de l'air tropical sec sur son flanc nord. Sur son flanc sud, où les vents sont d'est, les ondes tropicales sortant d'Afrique peuvent générer des cyclones tropicaux qui frapperont les Antilles ainsi que l’Amérique centrale et celle du Nord.

Armoiries de la Bolivie. Source : http://data.abuledu.org/URI/5379056e-armoiries-de-la-bolivie

Armoiries de la Bolivie

Armoiries de la Bolivie : c'est durant la présidence de Manuel Isidoro Belzu Humerez que le congrès détermine la dernière modification par le décret de loi du 5 novembre 1851. La forme et les couleurs sont réglementées par décret suprême du 14 juillet 1888. Le condor des Andes est l'oiseau national de la Bolivie. Situé sur le dessus du blason, il symbolise l'horizon sans limite de la Bolivie. la couronne de laurier et d'olivier est donc composée de deux arbres différents qui sont le laurier et l'olivier. Elle est située derrière le condor. Le laurier symbolise le triomphe et la gloire après la guerre. L'olivier est symbole de la paix et de la gloire des peuples. Les pavillons sont placés sur chacune des lances, il y en a donc six au total. Ces pavillons ont les mêmes couleurs que le drapeau, c'est-à-dire trois bandes de couleur, rouge, jaune et verte. Ils symbolisent donc la Bolivie. La hache représente l'autorité et le commandement de la Bolivie. Elle est située au-dessus à droite, derrière le canon. Les canons du XVIIIe et XIXe siècle ainsi que les fusils et les lances symbolisent les armes de la Bolivie. Il y a deux canons disposés en croix, quatre fusils avec baïonnette disposés également en croix par paire et alors 6 lances, deux fois trois lances, disposées en croix également. La casquette de la liberté est de couleur rouge et située sur l'extrémité de l'un des deux canons. Elle est le symbole de liberté. L'ovale est une ellipse de couleur bleu-ciel. Dans sa partie inférieure se trouvent 10 étoiles dorées et dans sa partie supérieurs on peut lire l'inscription "BOLIVIA" en lettres dorées et majuscules. À l'intérieur de cet ovale se trouve une ligne dorée. La couleur bleu-ciel représente le littoral perdu durant la guerre du Pacifique (1879-1884). La ligne dorée est utilisée comme décoration. Le Cerro Rico : au centre de l'image sont dessinées deux montagnes, une petite devant une grande. Celle-ci est appelée le Cerro Rico, une montagne située à Potosí. Elle est appelée la montagne riche car elle contient une énorme quantité de minerai d'argent. Elle fut découverte par Diego Huallpa et est encore exploitée de nos jours. La représentation de cette montagne symbolise donc la richesse des ressources naturelles de Bolivie. Le Cerro Menor constitue en quelque sorte un autel pour le Cerro Rico. La chapelle située sur le Cerro Menor, juste devant le Cerro Rico est une chapelle avec l'image du sacré-cœur de Jésus avec les bras ouverts. C'est une construction faite en granite et l'image du sacré-cœur de Jésus est en bronze. La botte de blé : céréale appelée kutmu en quechua. Il fut introduit en Amérique du Sud par les Espagnols et a atteint très vite la Bolivie. Il symbolise l'abondance des ressources alimentaires en Bolivie. Le palmier que l'on peut voir au premier plan de l'image du centre dont le nom scientifique est Parajubæa représente la richesse végétale de la Bolivie. Le soleil situé sur la gauche, derrière le Cerro Rico, c'est un soleil qui se lève. Il symbolise la naissance et la splendeur de la Bolivie. Le ciel possède les couleurs du lever du jour. Il symbolise la naissance et la splendeur de la République. Le lama situé au premier plan symbolise la richesse de la faune de la Bolivie. Les étoiles au nombre de 10 sont situées dans la partie inférieure de l'ovale bleu. Elles sont considérées comme un symbole de chance, de destin, de conquête. Ce sont des étoiles à 5 points et chacune d'elles représente un département de la Bolivie. Les voici dans l'ordre de gauche vers la droite : Chuquisaca, La Paz, Potosí, Cochabamba, Santa Cruz, Oruro, Littoral (perdu durant la guerre du Pacifique de 1879-1884), Tarija, Beni, Pando. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Armes_de_la_Bolivie

Babouin. Source : http://data.abuledu.org/URI/5102ac43-babouin

Babouin

Comme beaucoup de primates, les babouins vivent en bandes organisées. Le babouin ne se sent en sécurité qu'à l'intérieur de cette bande, dominée par quelques mâles puissants qui en assurent la défense ; ils sont aussi chargés de faire la paix à l'occasion de querelles intestines. Ils parcourent les savanes arides et les endroits rocailleux en Arabie, en Afrique subsaharienne ainsi que dans les hautes futaies de l'ouest de l'Afrique. Ils se nourrissent de végétaux, de petits animaux, d'oiseaux et d'œufs. Leur marche est celle des quadrupèdes avec leur queue ramenée à la manière d'un arc. Les formes de communication sont variées : transmission de signaux au moyen de la queue, la posture, les cris et les jappements. Selon les espèces, les babouins pèsent de 14 à 40 kg et mesurent entre 50 et 115 cm. Les femelles sont deux fois plus petites que les mâles.

Bande brillante sur radar météorologique. Source : http://data.abuledu.org/URI/5232e922-bande-brillante-sur-radar-meteorologique

Bande brillante sur radar météorologique

En haut, CAPPI de 1,5km d'altitude montrent de forts échos radar, en jaune, parmi des échos plus faibles en vert. Dans la partie du bas, la coupe verticale à travers les données radar montre que ces intensités sont dues à la présence d'une zone de réflectivité plus intense se situant entre 1,5 km à 2,5 km d'altitude. Cette bande brillante est causée par de la neige fondante. Source: Meteorological Service of Canada (Environment Canada). Le retour de réflectivité est proportionnel au diamètre, au nombre et à la constante diélectrique de la cible. Entre un flocon de neige et une goutte de pluie de même masse, il y a une différence importante de ces trois variables. Ainsi le diamètre d'un flocon est beaucoup plus grand que celui de la goutte mais la constante diélectrique est beaucoup plus petite. Les flocons tombant plus lentement, ils ont une plus grande concentration que les gouttes mais celles-ci se combinent souvent par collisions pour donner de plus grosses cibles. Lorsque l'on tient compte de tous ces facteurs et que l'on calcule la réflectivité de chacune de ces deux cibles, on se rend compte que la différence est d'environ 1,5 dBZ en faveur de la goutte. Lorsque de la neige, en altitude, descend vers le sol et rencontre de l'air au-dessus du point de congélation, elle se transforme en pluie. Donc on s'attend à ce que la réflectivité augmente d'environ 1,5 dBZ entre une donnée radar prise dans la neige et une autre prise dans la pluie. À l'altitude où la neige commence à fondre, il y a cependant un rehaussement des réflectivités jusqu'à 6,5 dBZ. Qu'arrive-t-il? À ce niveau, nous avons affaire à des flocons mouillés. Ils ont encore un diamètre important, se rapprochant de celui des flocons de neige, mais leur constante diélectrique s'approche de celle de la pluie et ils tombent lentement. Nous avons alors les trois facteurs favorisant une plus grande réflectivité. Il en résulte une zone qu'on appelle la bande brillante. Dans les données radar, sur PPI ou CAPPI, qui croisent ce niveau, l'on verra alors un rehaussement des intensités des précipitations qui n'est pas réel. Utiliser les taux de précipitations contaminés par la bande brillante conduira donc à une surestimation des quantités de pluie au sol. Plusieurs techniques ont été développées pour filtrer cet artéfact par plusieurs services météorologiques. Le principe général est de repérer le niveau de la bande brillante et d'essayer d'utiliser les données dans la pluie sous celle-ci, si possible, ou sinon dans la neige au-dessus, mais avec correction.

Barils de viande salée. Source : http://data.abuledu.org/URI/51dbec56-barils-de-viande-salee

Barils de viande salée

Barils de boeuf salé, reconstitution d'un entrepôt de rations alimentaires de la guerre civile américaine à Fort Macon State Park, North Carolina. Dès l’époque des Grandes découvertes, la viande salée a été l’un des aliments de base pour les marins au long cours tant dans la Marine marchande que dans celle de guerre : derrière une grille de métal, des barils sont couchés, empilés en trois étages et cette pyramide se termine par des tonneaux de bœuf salé. Au XVIIIe siècle, le bœuf salé irlandais, transporté en barils, est considéré comme le meilleur.

Beagle. Source : http://data.abuledu.org/URI/5160c036-beagle

Beagle

Le "beagle" est une race de chien originaire d’Angleterre, de taille petite à moyenne. Son apparence est similaire à celle du "beagle-harrier" bien qu'il soit plus petit, avec des pattes plus courtes et des oreilles plus longues. Le beagle est un chien courant, souvent utilisé en vénerie, et sélectionné pour la chasse au lapin, la chasse au chevreuil, au lièvre et plus généralement au gibier à poils. Il a un odorat très fin qui lui permet de servir en tant que chien de détection. Populaire comme chien de compagnie en raison de sa taille, de son tempérament et de son absence de problème de santé héréditaire. Bien que de petits chiens courants aient existé il y a 2 000 ans, la race moderne a été développée en Grande-Bretagne dans les années 1830 à partir de différentes races, dont le talbot, le chien courant du Nord et le chien courant du Sud, races aujourd’hui disparues, et probablement le beagle-harrier. Le beagle est dépeint depuis l’ère élisabéthaine en littérature, et plus récemment au cinéma, à la télévision et dans la bande dessinée (notamment avec le personnage de Snoopy).

Bernardin de Saint-Pierre. Source : http://data.abuledu.org/URI/5103e9c0-bernardin-de-saint-pierre

Bernardin de Saint-Pierre

Statue de Bernardin de St-Pierre en haut (1737-1814) avec Paul et Virginie (en bas), Muséum National d'Histoire Naturelle. Après la publication des Études (3 vol., 1784), l’auteur, inconnu, rebuté et indigent la veille, passe en quelques jours à l’état de grand homme et de favori de l’opinion. Tout ce qui sort de sa plume est assuré du succès ; des pages comme celles de Paul et Virginie (1787) ne rencontrent pas, à leurs débuts, l’accueil espéré et, sans l’intervention du peintre Vernet, il les aurait certainement détruites. Il demeure à cette époque au n° 21 du Quai des Grands-Augustins. En 1792, à l’âge de cinquante-cinq ans, il épouse Félicité Didot, qui n’en a que vingt-deux. La même année, il est nommé intendant du Jardin des Plantes de Paris en remplacement de Auguste Charles César de Flahaut de La Billarderie, successeur de Buffon, place supprimée en 1793. En 1792, à l’âge de cinquante-cinq ans, il épouse Félicité Didot, qui n’en a que vingt-deux. De son premier mariage, il a deux enfants : Paul, mort jeune, et Virginie, mariée au général de Gazan.

Bilby de Pâques en Australie. Source : http://data.abuledu.org/URI/50e2b2b3-bilby-de-paques-en-australie

Bilby de Pâques en Australie

Bilby (Macrotis lagotis), aussi appelé bandicoot lapin est une espèce de marsupial du désert. En langage aborigène : le Yuwaalaraay signifie « rat à long nez ». Il a la taille d'un chat ou d'un lapin. La longueur du corps est de 55 cm, celle de la queue de 29 cm. Sa fourrure gris-bleu, très douce, possède des taches brun clair. La queue est blanche et noire. Il a un museau pointu, de grandes oreilles dépourvues de poils, une ouïe fine, un odorat perçant mais une vue basse. Ses pattes avant, très puissantes, munies de griffes lui servent à déterrer ses aliments ou creuser son terrier. Il se nourrit de plantes (fruits, bulbes ou graines) et d'insectes ou d'araignées, accessoirement de souris, d'oiseaux ou de lézards.

Bison. Source : http://data.abuledu.org/URI/5048c4c0-bison

Bison

Les bisons forment un genre de grands bovidés ruminants dont il existe deux espèces vivantes : celle d'Amérique du Nord (Bison bison) et celle d'Europe (Bison bonasus). La première vit essentiellement dans les steppes nord-américaines tandis que la seconde est forestière.

Bison Americain. Source : http://data.abuledu.org/URI/5062cd70-bison-americain

Bison Americain

Les bisons forment un genre de grands bovidés ruminants dont il existe deux espèces vivantes : celle d'Amérique du Nord (Bison bison) et celle d'Europe (Bison bonasus). La première vit essentiellement dans les steppes nord-américaines tandis que la seconde est forestière.

Bison américain. Source : http://data.abuledu.org/URI/516ae45a-bison-americain

Bison américain

Bison américain. Image prise par Jack Dykinga pour l'USDA. Légende originale de l'USDA : "Les scientifiques aident les utilisateurs des pâturages américains à relever le défi de la gestion multiusage durable." Les bisons forment un genre de grands bovidés ruminants dont il existe deux espèces vivantes : celle d'Amérique du Nord (Bison bison) et celle d'Europe (Bison bonasus). La première vit essentiellement dans les steppes nord-américaines tandis que la seconde est forestière. Le bison a été un animal caractéristique de l'Amérique du Nord et un symbole pour de nombreuses cultures amérindiennes. Les Amérindiens des grandes plaines de l'Amérique du Nord avaient une économie largement basée sur le bison. Les bisons d'Amérique du Nord étaient encore 50 à 70 millions avant l'arrivée des Européens en Amérique, vivant et migrant sur les plaines herbeuses d'Amérique du Nord, du Mexique au Canada. Ils ont frisé l'extinction avec la conquête de l'Ouest, l'introduction des chevaux et la construction du chemin de fer (vers 1870-1880), où le massacre des bisons fut une entreprise économique à très grande échelle, mais aussi une stratégie pour affecter les Amérindiens. Buffalo Bill (William Frederick Cody 1846-1917) fut un des plus grands chasseurs de bisons.

Bouclettes de tissu éponge. Source : http://data.abuledu.org/URI/534244b6-bouclettes-de-tissu-eponge

Bouclettes de tissu éponge

Schéma de formation des bouclettes : simple et double. Les tissus éponges sont appelés ainsi pour leur capacité à absorber une grande quantité d’eau ou de liquides quelconques. Il se fabrique en utilisant deux fils de chaîne et un fil de trame : le premier fil de chaîne, dit fond constitue l'ossature du textile, le second appelé effet ou de bouclette forme une superficie bouclée. La chaîne de fond est travaillée avec une plus grande tension que celle de bouclette, qui avec l’utilisation de fils (généralement de coton) à torsion douce donne au tissu le pouvoir de retenir beaucoup d’eau. Le tissu peut être de type simple ou double selon si les bouclettes sont présentes sur une ou deux faces du tissu. Le plus utilisé est le type double pour sa qualité d’absorption maximale d’eau. Dans le cas des chiffons utilisés pour le nettoyage, les fibres sont normalement synthétiques. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/%C3%89ponge_%28textile%29

Boule de démolition. Source : http://data.abuledu.org/URI/50cb1d31-boule-de-demolition

Boule de démolition

Boule de démolition : diagramme pour le calcul de l'énergie potentielle de gravité. L'énergie potentielle gravitationnelle est, comme toutes les formes d'énergies potentielles, définie à une constante additive arbitraire près. Néanmoins, il est d'usage de fixer la valeur de la constante en prenant la valeur de l'énergie potentielle nulle lorsque la masse est infiniment éloignée du centre de gravité du champ auquel elle est soumise. Dans ce cas-là, l'énergie potentielle gravitationnelle est négative. Cela signifie qu'il faut fournir un travail positif (c'est-à-dire dépenser de l'énergie) pour extraire une masse d'un champ gravitationnel. Ceci est une conséquence directe du fait que, dans la nature, les masses sont des quantités positives, qui s'attirent toujours. Ainsi, éloigner une masse d'une distribution arbitraire de masses nécessite de dépenser de l'énergie pour s'opposer à la force attractive entre les différentes masses. Source : Bac pro Bâtiment-métal-alu-verre-matériaux de synthèse en 2006, épreuve Mathématiques et sciences physiques. Copié d'un sujet d'examen national français, considéré dans le domaine public par la jurisprudence (Tribunal de grande instance de Paris, 9 novembre 1988, et Cour d’appel de Paris, 13 juin 1991).

Chaise à sel. Source : http://data.abuledu.org/URI/520fdc79-chaise-a-sel

Chaise à sel

Ancienne chaise à sel (région entre Doubs et Jura Suisse), destinée à cacher le sel aux yeux des controleurs d'impôts. Le sel alimentaire, indispensable à tout être humain, est l’élément principal utilisé pour la conservation des aliments. La taxe temporaire sur le sel établie en 1246, devint permanente puis monopole d’État en 1343 et ne fut supprimée définitivement qu’en 1946. Cette taxe était variable en fonction des régions et des droits que celles-ci avaient conservés à leur rattachement à l’État français. D’en d’autres cas, était fonction du voisinage avec des pays étrangers ou des régions productrices de sel. Cet impôt prélevé par la ferme générale suscita au cours des sept siècles une solide vocation dédiée à la contrebande et pratiquée par des faux sauniers toujours plus ingénieux et créatifs. Pour la conservation à l’abri de l’humidité, le coffre en bois, mis à proximité de la cheminée, est le plus indiqué des récipients. De là à créer un coffre qui fera office de chaise, il n’y avait qu’un pas à faire. De plus, cette chaise était constamment assignée à la grand-mère qui, de par sa longue robe de l’époque, cachait entièrement la partie coffre. Le gabelou, ou douanier de l’époque, par galanterie sans doute, ne dérangeait point l’aïeule, négligeant de ce fait le contrôle de ce mobilier. La matière utilisée pour la fabrication du meuble est variable selon les régions et la fortune du client, néanmoins pour une bonne conservation et une bonne tenue du meuble à l’usure et à la déformation, on utilisait de préférence le bois de sapin pour la partie coffre.

Cheval en train de brouter une haie. Source : http://data.abuledu.org/URI/514780b8-cheval-en-train-de-brouter-une-haie

Cheval en train de brouter une haie

Cheval en train de brouter une haie. Les chevaux préfèrent manger de petites quantités de nourriture de façon régulière tout au long de la journée. Cela n'est pas toujours compatible avec la vie dans les écuries, ni avec les plannings des humains, qui favorisent le nourrissage deux fois par jour. Le système digestif du cheval est délicat. Il est incapable de régurgiter sa nourriture, sauf depuis l’œsophage. Aussi, en cas d’excès de nourriture ou d’empoisonnement, vomir n’est pas possible pour lui. En outre, son côlon est particulièrement long et complexe, l'équilibre de la flore intestinale dans le cæcum peut être facilement bouleversé par des changements rapides d’alimentation. Ces facteurs le rendent sujet à des coliques, qui s’avèrent être la première cause de mortalité chevaline80. Ils requièrent une nourriture propre et de grande qualité, fournie à intervalles réguliers, et peuvent tomber malades lorsqu’ils subissent un brusque changement de régime alimentaire. Les chevaux sont également sensibles aux moisissures et aux toxines. Pour cette raison, ils ne doivent jamais être nourris par des matières fermentables contaminées, comme la tonte de gazon.

Communication linéaire. Source : http://data.abuledu.org/URI/51ee657f-communication-lineaire

Communication linéaire

Le modèle de Claude Shannon et Weaver désigne un modèle linéaire simple de la communication : cette dernière y est réduite à sa plus simple expression, la transmission d'un message. On peut résumer ce modèle en : Un émetteur, grâce à un codage, envoie un message à un récepteur qui effectue le décodage dans un contexte perturbé de bruit. Apparu dans "Théorie mathématique de la communication" (1948), ce schéma sert à deux mathématiciens Claude Shannon (père entre autres de nombreux concepts informatiques modernes) et Warren Weaver (scientifique versé tant dans la vulgarisation que la direction de grands instituts), à illustrer le travail de mesure de l'information entrepris pendant la Seconde Guerre mondiale par Claude Shannon (ce dernier a été embauché par Weaver à l'Office of Scientific Research and Development pour découvrir, dans le code ennemi, les parties chiffrées du signal au milieu du brouillage). À l'origine, les recherches de Shannon ne concernent pas la communication, mais bien le renseignement militaire. C'est Weaver qui a "traduit" la notion de brouillage par celle de "bruit", la notion de signal par "message", la notion de codeur par "émetteur", la notion de décodeur par "récepteur". Jusqu'à la fin de sa vie, Claude Shannon se défendra contre la reprise du soi-disant modèle pour autre chose que des considérations mathématiques. Le modèle dit de Shannon et Weaver n'a en effet de prétention qu'illustrative. Mais il a souvent été pris au pied de la lettre, révélant alors la forte influence béhavioriste du modèle de Pavlov (stimulus-réponse).

Comparaison de la taille humaine et d'un dinosaure. Source : http://data.abuledu.org/URI/5339408d-comparaison-de-la-taille-humaine-et-d-un-dinosaure

Comparaison de la taille humaine et d'un dinosaure

Comparaison dans un quadrillage de la taille humaine et de celle d'un dinosaure Alamosaurus, grand herbivore mesurant 20 mètres de long, 7 mètres de haut et pesant 26 tonnes. Alamosaurus, comme les autres sauropodes, avait un long cou et une longue queue qui pouvait être en forme de fouet. Ce dinosaure avait une constitution relativement mince. Ses dents n'étaient pas appropriées à la mastication. Au lieu de cela, l'alimentation végétale était avalée et ensuite décomposée dans l'estomac. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Alamosaurus

Cristaux et glaces. Source : http://data.abuledu.org/URI/524d786a-cristaux-et-glaces

Cristaux et glaces

Le tour de la France par deux enfants, par George Bruno, pseudonyme d'Augustine Fouillée (née Tuillerie), 1877, p.51 : manuel scolaire, édition de 1904. CRISTAUX ET GLACES. - Le cristal est une sorte de verre très transparent, dur et résonnant sous le doigt, fabriqué avec du sable blanc, de la potasse et du plomb. La première fabrique de cristaux de France se trouve à Baccarat, en Lorraine. - Nous avons aussi en France, à Saint-Gobain (Aisne), la manufacture de glaces la plus célèbre d'Europe : on y coule des glaces de plus de 3 mètres de haut. A cette manufacture se rattache celle de Cirey, dans la Meurthe. Citons encore les grandes glaceries de Jeumont et d'Aniche (Nord).

Diffusion de Raleigh et de Mie. Source : http://data.abuledu.org/URI/50dd7afc-diffusion-de-raleigh-et-de-mie

Diffusion de Raleigh et de Mie

Illustration de la diffusion de Raleigh et de Mie sur une particule sphérique. De gauche à droite : intensité de la diffusion Rayleigh, de la diffusion Mie pour de petites particules et de la diffusion Mie pour de grosses particules, en fonction de la direction. L'onde incidente arrive par la gauche. La diffusion par des très petites particules, telles que des molécules, de dimensions inférieures au dixième de la longueur d'onde considérée, est un cas limite appelé diffusion Rayleigh. Pour les particules plus grosses que cette longueur d'onde, on doit prendre en compte la diffusion de Mie dans son intégralité : elle explique dans quelles directions la diffusion est la plus intense, on obtient ainsi un « patron de réémission » qui ressemble à celui des lobes d'émission d'une antenne, avec, dans le cas de grosses particules, un lobe plus intense dans la direction opposée à celle d'où provient l'onde incidente. La diffusion de Mie n'est pas fortement dépendante de la longueur d'onde utilisée comme c'est le cas dans celle de Rayleigh. Elle produit donc une lumière presque blanche lorsque le Soleil illumine de grosses particules dans l'air : c'est cette dispersion qui donne la couleur blanc laiteux à la brume et au brouillard. La couleur du ciel, pendant toute la durée du jour, est provoquée par diffusions Rayleigh et Mie de la lumière solaire dans l'atmosphère. La diffusion Rayleigh provoque les teintes bleues, violettes et vertes du ciel. Les couleurs caractéristiques du lever de soleil sont causées par diffusion de Mie de sa lumière par les particules de poussière, suie, fumée et cendre en suspension dans l'atmosphère : lorsque le Soleil est près de l'horizon, sa lumière traverse une plus grande épaisseur d'atmosphère, elle est donc plus susceptible d'être diffusée.

Dispersion de la lumière à travers un prisme. Source : http://data.abuledu.org/URI/52c86487-dispersion-de-la-lumiere-a-travers-un-prisme

Dispersion de la lumière à travers un prisme

Dispersion de la lumière d'une lampe à vapeur de mercure par un prisme de verre flint. Le verre flint, ou flint glass en anglais, de « flint » qui signifie silex en anglais, est un type de verre avec un haut indice de réfraction et un nombre d'Abbe faible. L'indice de réfraction des flints varie entre 1,5 et 2,0 selon leur composition et on les distingue des autres verres d'oxydes par leur nombre d'Abbe inférieur à 50, ce sont donc des verres très dispersifs c'est-à-dire qu'ils dévient très différemment la lumière selon la longueur d'onde de celle-ci. Le verre flint contient dans sa formule d'origine, une partie d'oxyde de plomb (II), depuis les travaux de recherche sur les formules de verre opérées par Otto Schott et Ernst Abbe, on peut adjoindre à la pâte d'un verre flint du lanthane, du titane, du baryum, etc. Le verre flint est très utilisé en cristallerie d'art pour sa brillance, l'indice de réfraction fort provoquant une plus grande proportion de réflexions internes. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Verre_flint.

Djembe. Source : http://data.abuledu.org/URI/50f03f5f-djembe

Djembe

Le djembé est un instrument de percussion africain composé d'un fût de bois en forme de calice sur lequel est montée une peau de chèvre ou d'antilope tendue à l'aide d'un système de tension (originellement des chevilles en bois ou des cordes en peaux, maintenant le plus souvent des cordes synthétiques et des anneaux en fer à béton), que l'on joue à mains nues et dont le spectre sonore très large génère une grande richesse de timbre. La forme évasée du fût viendrait de celle du mortier à piler le grain.

Don Quichotte pour enfants - 16. Source : http://data.abuledu.org/URI/555cef84-don-quichotte-pour-enfants-16

Don Quichotte pour enfants - 16

Illustration réalisée par Armand-Louis-Henri Telory, lithographe, pour l'adaptation pour enfants de Don Quichotte parue au XIXe siècle et rééditée au XXe siècle par Mango - collection Au Temps Jadis, scannée par Cyrille Largillier. Don Quichotte y est accueilli par les catalans comme un héros. Le soir, un festin lui est offert suivi d'un bal auquel plusieurs dames le font danser jusqu'à ce qu'il ne puisse plus tenir debout et finisse par les repousser en criant « Fugite, partes adversœ ; laissez-moi dans mon repos, pensées mal venues ; arrangez-vous, mesdames, avec vos désirs, car celle qui règne sur les miens, la sans pareille Dulcinée du Toboso, ne permet pas à d’autres que les siens de me vaincre et de me subjuguer. » Quelques jours plus tard, ils reprennent le chemin de leur village, Don Quichotte ayant réussi à convaincre son écuyer de recevoir les coups de fouet convenus, que Sancho fait semblant de se donner, de nuit, en fouettant... des troncs d'arbres. Mais un nuit où ils couchent dans un champ, un grand troupeau de porcs leur passe sur le corps et c'est leur dernière aventure.

Écran tactile. Source : http://data.abuledu.org/URI/50cdeb76-ecran-tactile-

Écran tactile

Écran tactile capacitif : Dans les systèmes capacitifs, une couche qui accumule les charges, à base d'indium, métal de plus en plus rare, est placée sur la plaque de verre du moniteur. Lorsque l’utilisateur touche la plaque avec son doigt, certaines de ces charges lui sont transférées. Les charges qui quittent la plaque capacitive créent un déficit quantifiable. Avec un capteur dans chacun des coins de la plaque, il est possible en tout temps de mesurer et de déterminer les coordonnées du point de contact. Le traitement de cette information demeure le même que pour les circuits résistifs. Un avantage majeur des systèmes capacitifs, par rapport aux résistifs, est leur capacité à laisser passer la lumière avec un meilleur rendement. En effet, jusqu’à 90 % de la lumière traversera une surface capacitive par rapport à un maximum de 75 % pour les systèmes résistifs, ce qui donne une clarté d’image supérieure pour les systèmes capacitifs. Malheureusement ces systèmes ne sont pas facilement extensibles aux écrans plus grands qu'une vingtaine de pouces. Ils sont par contre très compétitifs aux petites tailles et on les retrouve ainsi dans de nombreux smartphones et tablettes de milieu et haut de gamme. Un écran tactile est un périphérique informatique qui combine les fonctionnalités d'affichage d'un écran (moniteur) et celles d'un dispositif de pointage, comme la souris ou le pavé tactile.

Effet "lifté" au tennis. Source : http://data.abuledu.org/URI/50b15ec9-effet-lifte-au-tennis

Effet "lifté" au tennis

Effet "lifté" au tennis : Le lift est un effet très utilisé chez les joueurs de tous niveaux, car il est relativement simple à exécuter et procure plusieurs avantages. Son principal attrait tient à la sécurité qu'il procure par rapport au filet, car une balle liftée et tournoyante suivra une trajectoire bombée par rapport à une balle à plat. En outre, cette même rotation imprimée à la balle lui permet de retomber plus rapidement qu'une balle frappée avec un autre effet, et de perdre moins de vitesse après le rebond (la vitesse de la balle diminuera seulement de 25 %). Une autre application efficace du lift est le lob (balle de défense qui vise à passer l'adversaire au filet) car un lob lifté va s'élever très rapidement, et retomber assez vite dans le court. Bien exécuté, il permet donc de passer un joueur au filet. Le lift est un effet utilisé en attaque comme en contre-attaque. Sur une balle courte, il permet d'accélérer avec une marge de sécurité importante, mais peut aussi permettre de changer de rythme. Chez les joueurs professionnels, le lift est utilisé quasiment en permanence, même si cela ne semble pas perceptible : les balles totalement à plat ne sont en effet utilisées que pour terminer le point. En outre, certaines surfaces prennent mieux le lift que d'autres ; la terre battue permet par exemple aux grands lifteurs de prendre l'avantage dans de longs échanges, alors que sur gazon, où le rebond est beaucoup plus bas, le lift est moins employé, ou en tout cas moins efficace.

Éléphant d'Afrique. Source : http://data.abuledu.org/URI/504f2a13-elephant-d-afrique

Éléphant d'Afrique

Le terme d'Éléphant d’Afrique est utilisé pour regrouper les deux espèces d'éléphants d'Afrique appartenant au genre Loxodonta : l'éléphant de savane et l'éléphant de forêt. L'Éléphant de savane d'Afrique — Loxodonta africana (Blumenbach, 1797) —, l'espèce africaine la plus connue, a des oreilles plus longues et plus grandes que celles de son cousin, l'Éléphant d'Asie (Elephas maximus). Il présente également une taille moyenne plus importante et un dos concave. Les mâles et les femelles ont des défenses externes, et sont d'habitude moins poilus que leurs cousins asiatiques. L'Éléphant de forêt d'Afrique — Loxodonta cyclotis (Matschie, 1900) — possède des oreilles généralement plus petites et plus circulaires que l'espèce de savane et des défenses plus minces et plus droites. Il peut peser jusqu'à cinq tonnes, et mesurer 3,5 mètres. Cette espèce, moins connue en raison des obstacles écologiques et politiques, est plus difficile à étudier et à protéger. Elle se rencontrent généralement en forêt dense d'Afrique centrale et d'Afrique de l'Ouest, mais se trouve aussi parfois en lisière de territoire forestier, comme les éléphants de savane.

Éruption explosive de Mont St Helens en 1980. Source : http://data.abuledu.org/URI/5093ca5b-eruption-explosive-de-mont-st-helens-en-1980

Éruption explosive de Mont St Helens en 1980

Après le 18 mai 1980, cinq éruptions explosives eurent lieu, dont celle du 22 juillet, la plus spectaculaire. Des cendres furent projetées jusqu'à 18 kilomètres dans l'atmosphère, et furent visibles à Seattle, Washington, à 160 kilomètres au nord. Le volcan, bien connu pour ses explosions relâchant des cendres volcaniques et des nuées ardentes, fait partie de la chaîne des Cascades et de l'arc volcanique des Cascades qui est un tronçon de la ceinture de feu du Pacifique comportant environ 160 volcans actifs. le Saint Helens est un cône éruptif constitué de laves durcies mélangées avec des cendres volcaniques et de la pierre ponce. La montagne comporte des couches de basalte et d'andésite au travers desquelles passent plusieurs dômes de lave constitués de dacite. Le plus grand de ces dômes du nom de "Goat Rocks dome" formait le sommet d'avant 1980 avant d'être en partie détruit et remplacé par un plus petit.

Évolution du vélo, la bicyclette de sécurité. Source : http://data.abuledu.org/URI/50edba5f-evolution-du-velo-la-bicyclette-de-securite

Évolution du vélo, la bicyclette de sécurité

Le Grand-bi est supplanté par les bicylettes de sécurité, ancêtres de la bicyclette contemporaine. En 1884, John K. Starley de la société Société des machines à coudre de Coventry (The Coventry Sewing Machine Company), qui deviendra Rover, invente la bicyclette de sécurité avec des roues de taille raisonnable et une transmission par chaîne. Le cycliste y est installé à l'arrière, ce qui rend presque impossible la chute de type « soleil » où le cycliste est catapulté par-dessus la roue avant (brevet anglais n° 1 341 déposé par John K. Starley le 30 janvier 1885 : "Improvements in roller bearings for velocipedes, carriages, or like light vehicles or light machinery"). Un engrenage plus grand à l'avant (le plateau) qu'à l'arrière (le pignon) fait tourner la roue arrière plus vite que les pédales ne tournent, ce qui permet à ce type d'engin d'aller vite même sans une roue géante. John Boyd Dunlop invente le pneumatique en 1888 (brevet français n° 193 281 déposé par John Boyd Dunlop le 1er octobre 1888 : « Garniture de jante applicable aux roues de véhicules. ») qui contribue à améliorer encore le confort du cycliste. Edouard Michelin perfectionne cette invention en déposant en 1891 un brevet de «pneu démontable» : la chambre à air. Les bicyclettes de sécurité de 1890 ressemblent déjà beaucoup aux bicyclettes actuelles. Elles ont des pneumatiques de taille comparable à celle d'un vélo moderne, des roues à rayons, un cadre en tubes d'acier et une transmission par chaîne. La seule chose qui leur manque est le changement de vitesses. Dans les années 1890 ce nouveau modèle de bicyclette élargit la cible des utilisateurs potentiels. De plus, en lien avec la seconde révolution industrielle, les bicyclettes deviennent un produit industriel (en France les grandes marques sont alors Peugeot, Manufrance, Mercier ...) réduisant leur prix à un point qui les rend abordables aux ouvriers.

Exemples de forces motrices. Source : http://data.abuledu.org/URI/524d7774-exemples-de-forces-motrices

Exemples de forces motrices

Le tour de la France par deux enfants, par George Bruno, pseudonyme d'Augustine Fouillée (née Tuillerie), 1877, p.49 ; manuel scolaire, édition de 1904 : LES FORCES MOTRICES. - Les principales forces motrices que l'homme emploie à son service sont d'abord celle des animaux, comme dans le manège qu'un cheval fait tourner, puis celle de l'eau et du vent, comme dans les moulins, l'électricité, et enfin la grande force de la vapeur qui fait mouvoir tant de machines et de locomotives.

Explosion et implosion. Source : http://data.abuledu.org/URI/52c87436-explosion-et-implosion

Explosion et implosion

Explosion et implosion : L'implosion est l'inverse de l'explosion. Elle se produit lorsque la pression externe à un objet est plus grande que celle à l'intérieur et que cette différence est assez grande pour briser la résistance mécanique de ce dernier. Elle se produit soudainement au point de rupture de la résistance et projette les débris vers l'intérieur de l'objet. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Implosion.

Fabrication de tissu éponge. Source : http://data.abuledu.org/URI/50cc55c4-fabrication-de-tissu-eponge

Fabrication de tissu éponge

Schéma de formation des bouclettes du tissu éponge : simple et double. Il se fabrique en utilisant deux fils de chaîne et un fil de trame : le premier fil de chaîne, dit fond constitue l'ossature du textile, le second appelé effet ou de bouclette forme une superficie bouclée. La chaîne de fond est travaillée avec une plus grande tension que celle de bouclette, qui avec l’utilisation de fils (généralement de coton) à torsion douce donne au tissu le pouvoir de retenir beaucoup d’eau. Le tissu peut être de type simple ou double selon si les bouclettes sont présentes sur une ou deux faces du tissu. Le plus utilisé est le type double pour sa qualité d’absorption maximale d’eau. Dans le cas des chiffons utilisés pour le nettoyage, les fibres sont normalement synthétiques.

Gare de chemin de fer en 1877. Source : http://data.abuledu.org/URI/524dc055-gare-de-chemin-de-fer-en-1877

Gare de chemin de fer en 1877

Le tour de la France par deux enfants, par George Bruno, pseudonyme d'Augustine Fouillée (née Tuillerie), 1877, p.174 ; manuel scolaire, édition de 1904 : GARE DE CHEMIN DE FER. - Les gares sont des abris sous lesquels les trains s'arrêtent : c'est là que descendent et montent les voyageurs, c'est là qu'on charge et décharge les marchandises. Les gares des grandes villes, surtout celles de Paris, sont de véritables monuments.

Géologie d'une carrière parisienne. Source : http://data.abuledu.org/URI/514395af-geologie-d-une-carriere-parisienne

Géologie d'une carrière parisienne

Schéma en coupe (simplifié) des carrières de calcaire parisiennes. Vue simplifiée des bancs de roche qui composent la géologie des carrières de la rive gauche de Paris. En jaune, les bancs exploitables pour la construction. De bas en haut : Juste au-dessus des sables yprésiens, on trouve le lutétien inférieur. Celui-ci se reconnaît par un grand nombre de nummulites visibles à l'œil nu dans la roche, et se divise en deux bancs : 1) La base verdâtre, dont la couleur révèle la présence de glauconie et de quartz ; 2) Les forgets, petits bancs alternant calcaires durs (également glauconieux) et lits de sable. En raison de sa profondeur et du peu de pierre utilisable pour la construction, cette couche n'a pas été exploitée par les carriers. Encore au-dessus, le lutétien moyen constitue une strate de six mètres d'épaisseur. Il se divise en trois bancs : 1) Le banc à vérin des carriers, reconnaissable par les cérithes géants qui s'y trouvent et par une couleur jaune-rougeâtre. D'un grain serré, il n'a été exploité que dans sa partie supérieure et de façon épisodique. 2) Les lambourdes ou vergelets, banc gris, peu épais et tendre. Il ne contient pas d'eau, ce qui le rend « non gélif » (il ne peut pas geler) et utilisable pour la construction, bien que les traces de coquilles et de fossiles y soient très visibles. 3) Le banc royal, non gélif et homogène, qui fournit des pierres de grande qualité pour la construction. Le lutétien supérieur contient quant à lui les bancs les plus variés et les plus exploitables. Il se constitue de deux strates : le banc vert et les bancs francs. Le premier sépare les niveaux inférieurs et supérieurs en carrière, le second constitue le calcaire le plus souvent exploité, avec plusieurs bancs exploitables souvent séparés par des couches de sables plus ou moins marneuses appelées bousins. Ces bancs sont en partie composés d'argile et contiennent de l'eau, ce qui les rend gélifs, mais leur dureté et leur solidité les rend tout à fait aptes à la construction. Le banc vert, premier étage du lutétien supérieur, se divise en trois bancs : 1) le liais du bas, 2) le banc vert proprement dit (qui donne son nom générique aux deux couches qui l'entourent), composé d'un lit marneux, d'argile verte et de fossiles qui témoignent de son origine lacustre, et 3) le liais du haut, identique à celui du bas. Ce liais est appelé liais franc lorsqu'il est exploité, et banc de marche lorsqu'il constitue le sol de la carrière (et donc que les visiteurs marchent dessus). Les bancs francs, qui représentent les bancs les plus souvent visibles dans les galeries de carrière, se subdivisent en six sortes : 1) Le banc de laine, ou cliquart, ou banc des galets. D'une faible épaisseur, il contient peu de fossiles. Sa consistance varie selon les cas et ressemble à celle des lambourdes lorsqu'elle est tendre, du liais lorsqu'elle est dure ; 2) Le grignard, ou coquiller. Très riche en fossiles, ce banc est peu exploitable, car il est trop constellé de coquillages pour donner des blocs réellement solides. 3) Le souchet. Très tendre, peu compact, il va donner son nom au souchevage, une technique d'extraction de la pierre. En effet, pour commencer à exploiter les bancs situés juste au-dessus, les carriers extraient le souchet de manière à créer un espace vide horizontal, puis creusent des fentes sur le côté du bloc à extraire (ce que l'on appelle le défermage). Contenant quelquefois des galets et des fossiles, le souchet se délite facilement. 4) Le banc blanc, ou banc royal, ou liais franc, ou remise. D'un grain fin et serré, il donne des blocs de bonne qualité, qui se vendront à prix d'or pendant les chantiers du XVIIIe et du XIXe siècle. 5) Le banc franc, ou haut banc, ou banc royal, ou rustique. Il ressemble au banc blanc, et donne lui aussi des blocs de qualité, mais on l'en distingue par le fait qu'il contienne beaucoup moins de fossiles. 6) La roche, ou ciel de carrière. Cette couche, très dure et très coquillière, est souvent laissée en place pour servir de toit à la carrière (que l'on appelle ciel de carrière).

Géométrie du vélo horizontal à traction directe. Source : http://data.abuledu.org/URI/51fb5847-geometrie-du-velo-horizontal-a-traction-directe

Géométrie du vélo horizontal à traction directe

Géométrie du vélo horizontal à traction directe : Un vélo couché à traction directe se différencie du vélo couché traditionnel par son pédalier, solidaire de la direction. La plupart des vélos couché sont dits "à propulsion". Leur géométrie est calquée sur celles des vélos droits, ou bicyclettes. La chaîne transmet la force du pédalier à la roue arrière, passant par toute la longueur du cadre. Si celui-ci n'est pas extrêmement rigide, une bonne partie de l'énergie fournie au pédalier est perdue. La géométrie du vélo à traction directe permet de minimiser cette perte en transmettant l'énergie à la roue avant. La conséquence est que le pédalier tourne avec la direction, nécessitant un apprentissage. L'appui sur les pédales influence la direction. On parle d'interaction pédalage/direction. Ce modèle fourni les paramètres recommandés afin d'obtenir un vélo qui soit le plus stable possible et dont l'interaction pédalage/direction soit des plus faibles. Les pourcentages indiquent l'importance de certains paramètres par rapport aux autres afin d'assurer une stabilité maximale. Plus le pourcentage est bas, moins une variation du paramètre a d'influence sur la conductabilité du vélo. La maîtrise du pilote est l'élément primordial. Une grande interaction pédalage-direction devient inexistante après plusieurs centaines de km. Respecter ces paramètres aide à avoir un vélo le plus stable possible. L'apprentissage fait le reste. En basse vitesse, c'est l'utilisateur/trice qui crée l'équilibre. A haute vitesse, les forces auto-stabilisantes sont prépondérantes. Un appui naturel de la jambe part du fémur du même côté. Pour que la force passe par l'axe D et ainsi annuler l'interaction PD, il faut inverser cet appui. Lorsque la jambe droite appuie, c'est la hanche côté gauche qui reçoit l'appui.

Grande maison amérindienne et ses totems. Source : http://data.abuledu.org/URI/51153f15-grande-maison-amerindienne-et-ses-totems

Grande maison amérindienne et ses totems

Wawadit'la, ou la maison de Mungo Martin, une "Grande maison" des Kwakwaka'wakw, avec ses totems. Monuments construits par le chef sculpteur Mungo Martin assisté de David Martin et Mildred Hunt en 1953 à Thunderbierd park, Victoria, en Colombie Britannique. Les Kwakwaka'wakw (ou Kwakiutl) sont un peuple amérindien de la province de Colombie-Britannique au Canada. Ils vivent principalement au nord de l'île de Vancouver et sur le continent. On estime leur nombre à 5 500 personnes. La langue traditionnelle des indiens Kwakwaka'wakw s'appelle le kwakiutl ou le kwak'wala. Lors du 60e anniversaire de l'UNESCO, le 16 novembre 2005, Claude Lévi-Strauss témoigne : « Or je devais recevoir l’an dernier du chef des nations Kakwaka’wakw un appel à l’aide. Sa langue, le kwakwala, m’écrivait-il, n’était plus parlée que par 200 personnes à peine. Par d’autres exemples, nombreux hélas, l’Unesco a pu se convaincre que les langues sont un trésor, d’abord en elles-mêmes, et parce que leur disparition entraîne celle de croyances, savoirs, usages, arts et traditions qui sont autant de pièces irremplaçables du patrimoine de l’humanité. »

Grandes armoiries du royaume de Belgique. Source : http://data.abuledu.org/URI/5378fa29-grandes-armoiries-du-royaume-de-belgique

Grandes armoiries du royaume de Belgique

Les armoiries des dix provinces de la Belgique se composent d'un lion d'or, armé et lampassé de gueules, sur champ de sable. Elles sont issues des armes des ducs de Brabant. Elles sont soutenues par deux "lions léopardés au naturel", tenant une lance terminée par le drapeau national. L'écu, entouré par le grand collier de l'ordre de Léopold Ier et timbré d'un heaume d'or couronné, est posé sur une main de justice et un sceptre au lion croisés. Le tout est accompagné de la devise nationale et placé sur un manteau de gueules doublé d'hermine et timbré d'une couronne royale. Au-dessus du manteau, se trouve un panonceau (gonfalon) aux couleurs du royaume et chargé d'un écu aux armes de la province de Brabant ; de part et d'autres, se trouvent huit bannières aux armes des huit autres provinces originelles. Bien que la chose ne soit mentionnée dans aucun texte règlementaire, on trouve parfois deux bannières supplémentaires aux armes des deux nouvelles provinces issues, en 1995, du démembrement de celle de Brabant. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Armoiries_de_la_Belgique

Grandes mauves en fleurs en bordure d'un chenal. Source : http://data.abuledu.org/URI/552ae2e3-grandes-mauves-en-fleurs-en-bordure-d-un-chenal

Grandes mauves en fleurs en bordure d'un chenal

Grandes mauves en fleurs (Malva sylvestris) en bordure d'un chenal, le 4 juin 2011, sur les bords du Bassin d'Arcachon (Gironde). C'est une plante poilue, aux tiges souvent étalées, de 30 à 60 cm, aux feuilles crénelées, ressemblant un peu à celles du lierre, aux fleurs rose-pourpre avec des nervures plus foncées sur les pétales. Cette mauve était appelée autrefois, en latin, Omnimorbia soit toutes les maladies, en raison de ses propriétés adoucissantes pour les voies respiratoires utiles pour le traitement de nombre de symptômes. La substance active recherchée dans cette plante est le mucilage. Les principaux effets de la mauve sont émollients et désinfectants. On l'utilise pour apaiser toux, maux de gorge, aphtes, bronchites, enrouements et laryngites. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Grande_mauve

Gueule-de-loup. Source : http://data.abuledu.org/URI/505e034a-gueule-de-loup

Gueule-de-loup

Planche botanique de Gueule-de-loup, ou Gueule-de-lion, Muflier à grandes fleurs (Anthirrhinum majus). Sa forme singulière est à l'origine du nom Gueule-de-loup de la plante puisque, lorsque l'on pince les côtés de la fleur, celle-ci s'ouvre comme une gueule. Le Muflier atteint une hauteur de 15 à 150 cm. Il fleurit durant l'été et l'automne. Ses fleurs sont blanches, rouges, roses ou jaunes. Ses feuilles sont étroites et ont une longueur de 2 à 8 cm.

Habitation de Champlain à Quebec. Source : http://data.abuledu.org/URI/511530ec-habitation-de-champlain-a-quebec

Habitation de Champlain à Quebec

Habitation de Québec : A) Le magazin. B) Colombier. C) Corps de logis où sont nos armes, & pour loger les ouvriers. D) Autre corps de logis pour les ouvriers. E) Cadran. F) Autre corps de logis où est la forge, & artisans logés. G) Galeries tout au tour des logemens. H) Logis de sieur de Champlain. I) La porte de l'habitation, où il y a pont-levis. L) Promenoir autour de l'habitation concernant 10 pieds de large jusques sur le bort du fossé. M) Fossés tout autour de l'habitation. N) Plattes formes, en façon de tenaille pour mettre le canon. O) Jardin du sieur de Champlain. Q) Place devant l'habitation sur le bort de la rivière. R) La grande rivière de sainct Lorens. vers 1608. Source : "The works of Samuel de Champlain in six volumes", Toronto, The Champlain Society, 1925, reprinted 1971 by University of Toronto press, volume II, p. 39. Samuel Champlain fonde Québec en 1608, mandaté par Pierre Dugua de Mons, « là où le fleuve se rétrécit », selon l'appellation algonquienne, et il en fait la capitale de la Nouvelle-France aussi dite le « Canada ». Québec sera, jusqu'aujourd'hui, le premier lieu habité à l'année de façon continue par des Français et leurs descendants, en Amérique du Nord. Champlain remonte aussi le fleuve en 1615 jusqu'au-delà du Sault Saint-Louis (rapides de Lachine), à la baie Georgienne (partie ouest du lac Huron) et navigue sur les eaux de la rivière Richelieu jusqu'à ce qui est aujourd'hui le lac Champlain. Tout au long de son périple en Nouvelle-France, il établit notamment avec les Innus-Montagnais, les Algonquins et les Hurons-Wendats, d'excellentes relations diplomatiques et commerciales, et agit, d'office (non en titre), comme premier gouverneur de la Nouvelle-France. Cependant, les colons européens apportent de nombreuses maladies qui, par les routes commerciales, se propagent rapidement au sein des populations autochtones, faisant des ravages parmi celles-ci. Les colons français, arrivant souvent très malades dans des bateaux qui ne sont pas très sains, sont sauvés par les remèdes amérindiens. Ainsi, pour soigner le scorbut, les Iroquoiens du Saint-Laurent proposent à Cartier des décoctions d'écorce de cèdre blanc, appelé annedda.

Horizon du radar. Source : http://data.abuledu.org/URI/5232fa56-horizon-du-radar

Horizon du radar

Les ondes électromagnétiques suivent les règles de l’optique pour les hautes fréquences (>100 MHz). Même le faisceau d’un radar pointant vers l’horizon va s’éloigner de la surface de la Terre parce que celle-ci a une courbure. Une cible qui se trouve à une distance à l’intérieur de la portée maximale du radar mais sous l’horizon du radar ne pourra donc pas être détectée, elle se trouve dans la «zone d’ombre». Cependant, l’horizon du radar est à une plus grande distance que l'horizon optique en ligne directe parce que la variation de l’indice de réfraction avec l’altitude dans l’atmosphère permet à l’onde radar de courber. Le rayon de courbure de la trajectoire de l’onde est ainsi plus grand que celui de la Terre ce qui permet au faisceau radar de dépasser la ligne de visée directe et donc de réduire la zone d’ombre. Le rayon de courbure de la Terre est de 6,4×106 m alors que celui de l’onde radar est de 8,5×106 m.

Identité remarquable du second degré. Source : http://data.abuledu.org/URI/5299264c-identite-remarquable-du-second-degre

Identité remarquable du second degré

Identité remarquable du second degré : équation (a+b)^2=a^2 + 2ab + b^2. Pour se convaincre de la véracité de la formule, on considère cette figure qui représente un carré. On suppose que la longueur côté du carré jaune est égale à a et celle du carré vert à b. L'aire du grand carré est égale à (a + b)^2. Il existe une autre manière d'exprimer cette aire, elle est la somme des aires jaune, verte et des deux zones bleues. L'aire jaune est égale à a^2 car c'est un carré de côté a, l'aire verte est égale à b^2 et chaque rectangle bleu possède des côtés de longueur a et b, leur aire est égale à ab. Comme il existe deux rectangles bleus, on obtient bien la formule annoncée.

Île aux Oiseaux dans le Bassin d'Arcachon. Source : http://data.abuledu.org/URI/5358ea99-ile-aux-oiseaux-

Île aux Oiseaux dans le Bassin d'Arcachon

L'île aux Oiseaux est une petite île située sur la commune française de La Teste-de-Buch au centre du bassin d'Arcachon. Sa superficie varie en fonction de la marée : elle est en moyenne d'environ 300 hectares à marée haute, et de plus de 3 000 à marée basse. L'île était autrefois utilisée par les habitants du bassin comme lieu de pacage pour les troupeaux de vaches puis de chevaux qui s'y rendaient en nageant depuis les villages les plus proches, ce qui donna le nom à la pointe située entre Petit Piquey et Grand Piquey : la Pointe aux Chevaux. Lors de tempêtes notamment celles de 1714 et de 1882, l'île fut submergée et les animaux décimés. L'île est alors devenue un terrain de chasse et de pêche (activités aujourd'hui très strictement réglementées) aménagé avec des tonnes (cabanes de chasse), des lacs, un puits artésien d'eau douce, puis des cabanes (52) dont les deux cabanes tchanquées (du mot chanca (tchanque), qui signifie échasse en gascon, devenues les symboles de l'île et du bassin). Elle est entourée de parcs ostréicoles et reste un refuge d'oiseaux migrateurs et de loups de mer. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/%C3%8Ele_aux_Oiseaux_%28Gironde%29

Influence de l'Allongement sur une voile. Source : http://data.abuledu.org/URI/50b0d9e4-influence-de-l-allongement-sur-une-voile

Influence de l'Allongement sur une voile

Influence de l'Allongement sur une voile : La traînée induite est en relation directe avec la longueur des extrémités. Plus la corne est longue plus la traînée induite est forte. Inversement une voile peut prendre des ris, c'est-à-dire que la surface de la voile se réduit sans que la longueur de la corne change. Cela signifie que la valeur de la traînée induite sera sensiblement la même. Pour une même longueur de corne, plus la voile est grande, plus le ratio traînée induite sur coefficient aérodynamique est faible. C'est-à-dire plus la voile est allongée, plus la traînée induite modifie faiblement la valeur du coefficient aérodynamique.

Jusquiame noire. Source : http://data.abuledu.org/URI/505deeeb-jusquiame-noire

Jusquiame noire

Planche botanique de la Jusquiame noire (Hyoscyamus niger), Atlas des Plantes de France, 1891. Plante toxique, contenant divers alcaloïdes tels que l'atropine, l'hyoscyamine et la scopolamine, mais moins dangereuse que le datura ou la belladone, qui contiennent les mêmes alcaloïdes mais en plus grandes proportions. La graine de Jusquiame est connue pour apaiser la rage de dents, elle s'appelle herbe de Sainte Apolline. Le terme de "jusquiame" est un emprunt au bas latin jusquiamos, hyoscyamos, et du grec ὑοσκύαμος (uoskuamos) de même sens, morphologiquement « fève de porc ». Il s'agit d'une allusion à l'épisode de l'Odyssée durant lequel la magicienne Circé transforma en pourceaux les compagnons d'Ulysse en leur faisant pour cela boire un philtre contenant de la jusquiame. Mais Ulysse était immunisé grâce à un antidote - végétal - dont Hermès lui avait fait présent. Certains interprètent cet épisode comme une métaphore opposant la bestialité (le pourceau) à la raison. Les solanacées "vireuses", dont fait partie la jusquiame, sont fréquemment évoquées dans les histoires de métamorphoses d'homme en animal : lycanthropie par exemple. Elles peuvent en effet générer des hallucinations particulièrement puissantes, y compris celle d'avoir pris la forme d'un animal, au point d'en adopter le comportement.

L'effet Doppler : le paradoxe des jumeaux. Source : http://data.abuledu.org/URI/50a78dd8-l-effet-doppler-le-paradoxe-des-jumeaux

L'effet Doppler : le paradoxe des jumeaux

Tracés des cônes de lumière issus de la Terre (pointillés rouges) et du mobile (pointillés verts). La fréquence de réception, respectivement par le mobile, et par la Terre, traduit l'effet Doppler pour les phases aller et retour. Le schéma a été réalisé (pour simplifier la présentation - analyse des rapports de fréquence) dans le cas d'une vitesse égale à 0,8c. Des frères jumeaux sont nés sur Terre. L'un fait un voyage aller-retour dans l'espace en fusée à une vitesse proche de celle de la lumière. D'après le phénomène de dilatation du temps de la relativité restreinte, pour celui qui est resté sur Terre la durée du voyage est plus grande que pour celui qui est envoyé dans l'espace. Ce dernier rentre donc plus jeune que son jumeau sur Terre. Mais celui qui voyage est en droit de considérer, les lois de la physique étant identiques par changement de référentiel, qu'il est immobile et que c'est son frère et la Terre qui s'éloignent à grande vitesse de lui. Il pourrait donc conclure que c'est son frère qui est resté sur Terre qui est au final plus jeune. Ainsi chaque jumeau pense, selon les lois de la relativité restreinte, retrouver l'autre plus jeune que lui. Est-on tombé sur un véritable paradoxe ?