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France (Révolution) (1789-1799) | Gravure | France. Convention nationale | Montagnards (Histoire de France) | France (1793) | Histoire | Dessins et plans | France (Convention nationale) (1792-1795) | France (1795) | Photographie | Louis-Antoine-Léon Saint-Just (1767-1794) | Thomas Paine | Dix-huitième siècle | Blérancourt (Aisne) | France (1793) -- Constitution | Conventions (économie politique) | Déclarations des droits | Pouvoir législatif | Institut géographique national. France | Méridien de Greenwich | ...
Assassinat à la Convention en 1795. Source : http://data.abuledu.org/URI/50afb35d-assassinat-a-la-convention-en-1795

Assassinat à la Convention en 1795

Assassinat du député Jean Féraud (1764-1795) à la Convention, le Ier Prairial, an III (20 mai 1795), dans la salle des Machines.

Député à la Convention nationale. Source : http://data.abuledu.org/URI/50afb76c-depute-a-la-convention-nationale

Député à la Convention nationale

"Député à la Convention Nationale" : "Quoniam iniquitatem meam ego cognosco, Et peccatum meum contrà me est Semper. Je reconnais ma faute, et mon crime odieux, à chaque instant du jour, est présent à mes yeux."

La tribune de la Convention. Source : http://data.abuledu.org/URI/50afb467-la-tribune-de-la-convention

La tribune de la Convention

Le député Lanjuinais agressé à la tribune de la Convention. Malgré les critiques acerbes de Charles Baudelaire aux salons de 1845 et 1846, Muller (1815-1892) acquiert la célébrité en 1850 avec la toile "L’appel des dernières victimes de la Terreur à la prison Saint-Lazare les 7 et 9 Thermidor", sur laquelle est représenté le poète André Chénier. Au musée du Louvre il décore les plafonds de la Galerie d’Apollon, l’escalier Mollien, la salle Denon. Nommé Directeur de la Manufacture des Gobelins, il laisse de nombreux tableaux de grand format décrivant des scènes violentes sous la Révolution, ainsi que de remarquables portraits (Portrait de Madame la Supérieure des Filles de la Compassion) et esquisses. Jean Denis, comte de Lanjuinais (1753-1827), député d’Ille-et-Vilaine, prit position sous la Convention contre la Commune insurrectionnelle et contre La Montagne. Molesté lors de la chute des Girondins durant les journées du 31 mai au 2 juin 1793, il fut fait comte en 1808 malgré son opposition à l’Empire. Il fut membre de la Chambre des Pairs sous la Restauration. Le tableau décrit l’agression de Lanjuinais le 2 juin 1793 par les Montagnards Chabot, Legendre, Drouet, Robespierre (jeune) et Turreau, et défendu par les Girondins Barbaroux, Penières et Lidon.

Séance de la Convention. Source : http://data.abuledu.org/URI/50afb2a5-seance-de-la-convention

Séance de la Convention

Séance de la Convention, 1897, extrait de "La France illustrée", géographie, histoire, administration, statistique, etc., tome I, par V.-A. Malte-Brun. La Convention a fondé plusieurs institutions aujourd'hui célèbres : l’École polytechnique, le Conservatoire national des arts et métiers, l’École normale supérieure, le système métrique, le Conservatoire de musique, le Muséum d’histoire naturelle, l’École spéciale des Langues orientales (30 mars 1795). La Convention nationale a supprimé toutes les universités le 15 septembre 1793. Elle groupa sous le nom d’Institut les anciennes Académies (qu’elle avait préalablement dissoutes au cours de l’été 1793 sous l’influence de Marat, qui les accusait d’être des repaires d’aristocrates) et celles qu’elle fonda elle-même.

Attaque de la Convention nationale en 1795. Source : http://data.abuledu.org/URI/50afaff0-attaque-de-la-convention-nationale-en-1795

Attaque de la Convention nationale en 1795

Attaque de la Convention nationale. Insurrection royaliste du 13 vendémiaire an IV (5 octobre 1795), fusillade devant l'église Saint-Roch. Imprimé par Abraham Girardet (1764-1823). Gravure de Pierre Gabriel Berthault (1748-1819).

Décret de la convention sur le Droit d'auteur. Source : http://data.abuledu.org/URI/51150780-decret-de-la-convention-sur-le-droit-d-auteur-

Décret de la convention sur le Droit d'auteur

Décret de la convention sur le droit d'auteur : page de garde d'un ouvrage de la bibliothèque patrimoniale de Gray (France). Décret concernant les contrefacteurs, rendu le 19 juillet 1793, l'an II de la République. Décret concernant les Contrefacteurs, rendu le 19 Juillet 1793, l'An 2 de la République. La Convention nationale, après avoir entendu le rapport de son Comité d'instruction publique, décrète ce qui suit : Art. 1) Les Auteurs d'écrits en tout genre, les Compositeurs de Musique, les Peintres et Dessinateurs qui feront graver des Tableaux ou Dessins, jouiront durant leur vie entière du droit exclusif de vendre, faire vendre, distribuer leurs Ouvrages dans le territoire de la République, et d'en céder la propriété en tout ou en partie. Art. 2) Leurs héritiers ou Cessionnaires jouiront du même droit durant l'espace de dix ans après la mort des auteurs. Art. 3) Les officiers de paix, Juges de Paix ou Commissaires de Police seront tenus de faire confisquer, à la réquisition et au profit des Auteurs, Compositeurs, Peintres ou Dessinateurs et autres, leurs Héritiers ou Cessionnaires, tous les Exemplaires des Éditions imprimées ou gravées sans la permission formelle et par écrit des Auteurs. Art. 4) Tout Contrefacteur sera tenu de payer au véritable Propriétaire une somme équivalente au prix de trois mille exemplaires de l'Édition originale. Art. 5) Tout Débitant d'Édition contrefaite, s'il n'est pas reconnu Contrefacteur, sera tenu de payer au véritable Propriétaire une somme équivalente au prix de cinq cents exemplaires de l'Édition originale. Art. 6) Tout Citoyen qui mettra au jour un Ouvrage, soit de Littérature ou de Gravure dans quelque genre que ce soit, sera obligé d'en déposer deux exemplaires à la Bibliothèque nationale ou au Cabinet des Estampes de la République, dont il recevra un reçu signé par le Bibliothécaire ; faute de quoi il ne pourra être admis en justice pour la poursuite des Contrefacteurs. Art. 7) Les héritiers de l'Auteur d'un Ouvrage de Littérature ou de Gravure, ou de toute autre production de l'esprit ou du génie qui appartiennent aux beaux-arts, en auront la propriété exclusive pendant dix années. Nota : Tous les exemplaires de cet ouvrage seront signés par le libraire. Desson ?

École polytechnique. Source : http://data.abuledu.org/URI/524d9012-ecole-polytechnique

École polytechnique

Le tour de la France par deux enfants, par George Bruno, pseudonyme d'Augustine Fouillée (née Tuillerie), 1877, p.108 ; manuel scolaire, édition de 1904 : L'ECOLE POLYTECHNIQUE. - Cette grande école située à Paris, et dont le nom signifie école où l'on apprend beaucoup d'arts et de techniques, fut fondée par la Convention nationale sur la proposition de Gaspard Monge (1746-1818) . Elle est destinée à former des élèves pour l'artillerie et le génie militaire, les mines, la marine, etc

Interrogatoire de "Louis le dernier". Source : http://data.abuledu.org/URI/50afaf1c-interrogatoire-de-louis-le-dernier-

Interrogatoire de "Louis le dernier"

Interrogatoire de "Louis le dernier", Jugement de Louis XVI par la Convention Nationale dans la Salle du Manège. Source : Augustin Challamel, "Histoire-musée de la république Française, depuis l'assemblée des notables", Paris, Delloye, 1842.

La rive gauche du Rhin en 1796. Source : http://data.abuledu.org/URI/573d692e-la-rive-gauche-du-rhin-en-1796

La rive gauche du Rhin en 1796

Georg Wilhelm Böhmer (1761-1839), "La rive gauche du Rhin, limite de la République française" ou Recueil de plusieurs dissertations, jugées dignes des prix proposés par un négociant de la rive gauche du Rhin : second cahier, avec une gravure / publ. par le citoyen Georges-Guillaume Boehmer, ex-député à la Convention nationale rhéno-germanique. À Paris : Desenne et Louvet. An IVe de la République française (1796-1797).

Maison de Saint-Just. Source : http://data.abuledu.org/URI/50af9962-maison-de-saint-just

Maison de Saint-Just

Blérancourt - Maison Saint-Just : "Dans cette maison demeura Louis-Antoine de Saint-Just, célèbre tribun révolutionnaire, député de l'Aisne, président de la Convention Nationale, né le 25 août 1767, mort guillotiné le 10 thermidor an II."

Plaque de Thomas Paine à Paris. Source : http://data.abuledu.org/URI/507287c6-plaque-de-thomas-paine-a-paris

Plaque de Thomas Paine à Paris

Plaque apposée au n° 10 de la rue de l'Odéon, Paris Thomas Paine (1737-1809) : Anglais de naissance, Américain d'adoption, Français par décret, a vécu dans cet immeuble de 1797 à 1802. Il mit sa passion de la liberté au service de la Révolution française, fut député à la Convention et écrivit ''Les Droits de l'Homme'' : « Lorsque les opinions sont libres, la force de la vérité finit toujours par l'emporter. » Ses écrits, parmi lesquels figure "Les Droits de l'Homme" (Rights of Man 1791), ont exercé une grande influence sur les acteurs de la Révolution française : il est élu député à l’assemblée nationale en 1792. Considéré par les Montagnards comme un allié des Girondins, il est progressivement mis à l’écart, notamment par Robespierre, puis emprisonné en décembre 1793. Après la Terreur, il est relâché et connaît un certain succès grâce à son livre "Le Siècle de la raison" (The Age of Reason, 1793-1794) qui analyse le christianisme et milite en faveur du déisme. Dans "La justice agraire" (Agrarian Justice, 1795), il analyse les origines du droit de propriété et introduit le concept de Revenu de base, proche du revenu minimum. Thomas Paine resta en France jusqu’en 1802, période pendant laquelle il critique l’ascension de Napoléon Bonaparte, qualifiant le Premier Consul de « charlatan le plus parfait qui eût jamais existé ». Sur l’invitation du président Thomas Jefferson, il revient aux États-Unis où il meurt à 72 ans.

Portrait de Saint-Just. Source : http://data.abuledu.org/URI/50af9a7d-portrait-de-saint-just

Portrait de Saint-Just

Louis Antoine Léon de Saint-Just, né le 25 août 1767 à Decize, mort guillotiné le 10 thermidor an II (28 juillet 1794) à Paris, est un homme politique français de la Révolution française, un des plus jeunes élus à la Convention nationale, membre du groupe des Montagnards, soutien indéfectible de Robespierre avec qui il est emporté dans sa chute du 9 thermidor. D'une éloquence remarquée, il se distingue par la rigidité de ses principes prônant l'égalité et la vertu ainsi que par l'efficacité de ses missions au cours desquelles il redresse la situation de l'armée du Rhin et participe à la victoire des armées républicaines à Fleurus. Combattant politiquement les Girondins, les Hébertistes puis les Indulgents, il fait voter la confiscation des biens des ennemis de la République au profit des patriotes pauvres. Il est notamment l'inspirateur de la Déclaration des droits de l'homme et du citoyen de 1793.

Projet de Constitution de Condorcet. Source : http://data.abuledu.org/URI/50acb664-projet-de-constitution-de-condorcet

Projet de Constitution de Condorcet

Schéma du projet de la constitution de Condorcet, 1793. Source : Condorcet, Gensonné, B. Barrère, Barbaroux, Thomas Payne, Pétion, Vergniaud, Emmanuel Sieyes. « Plan de Constitution présenté à la Convention nationale les 15 et 16 février 1793, l'an II de la République (Constitution girondine) », dans le site Digithèque de matériaux juridiques et politiques et « Exposition des principes et des motifs du plan de constitution », dans Oeuvres de Condorcet, Tome XII, Arago, pages 335-415. Le pouvoir exécutif (rouge), législatif (bleu) et judiciaire (orange).

Système de référence fondamental CTS. Source : http://data.abuledu.org/URI/50969ca9-systeme-de-reference-fondamental-cts

Système de référence fondamental CTS

Système de référence fondamental figé dans la Terre classique (CTS). Comme système fondamental de coordonnées terrestres on utilise désormais volontiers un système de coordonnées spatiales cartésiennes X, Y, Z dont l'origine O est au centre des masses de la Terre, et tournant avec celle-ci. L'axe OZ coïncide avec l' axe de rotation moyen de la Terre. Le plan de l'équateur moyen est perpendiculaire à cet axe OZ, et donc contenu dans le plan OXY. Historiquement, une ancienne convention fixait que le plan OXZ contenait le plan méridien moyen de Greenwich, correspondant à la longitude « moyenne » de l'Observatoire de Greenwich, dans la banlieue de Londres. Ce n'est désormais plus le cas, le méridien de référence étant calculé sous forme d'un système de référence mondial, l'"International Terrestrial Reference System". Ce calcul est mené au Laboratoire LAREG de l'IGN et celui-ci, intégrant au mieux les vitesses des plaques tectoniques, a conduit à un méridien de référence désormais significativement différent de celui de Greenwich. L'introduction de l'axe de rotation moyen s'avère nécessaire, car la rotation terrestre est variable dans le temps.