Transfert en cours..., vous êtes sur le "nouveau" serveur data.abuledu.org dont l'hébergement est financé par l'association abuledu-fr.org grâce à vos dons et adhésions !
Vous pouvez continuer à soutenir l'association des utilisateurs d'AbulÉdu (abuledu-fr.org) ou l'association ABUL.
Suivez la progression de nos travaux et participez à la communauté via la liste de diffusion.

Votre recherche ...

Nuage de mots clés

France (Révolution) (1789-1799) | Influence de la Révolution française | France (Révolution) -- Influence (1789-1799) | Photographie | Histoire | Rhin (cours d'eau) | France (Révolution) -- Art et révolution (1789-1799) | Commerces | Dix-huitième siècle | Thomas Paine | Déclarations des droits | Conventions (économie politique) | Gravure | Georg Wilhelm Böhmer (1761-1839) | Signatures | Horlogerie | Heures (temps) | Temps, Mesure du | Horloges et montres | Système décimal | ...
Horloge décimale. Source : http://data.abuledu.org/URI/50dd99ac-horloge-decimale

Horloge décimale

Horloge décimale de l'époque révolutionnaire. Durant la Première République, le temps décimal fut officiellement introduit en France par le décret du 4 frimaire de l'An II (24 novembre 1793) : " XI. Le jour, de minuit à minuit, est divisé en dix parties ou heures, chaque partie en dix autres, ainsi de suite jusqu’à la plus petite portion commensurable de la durée. La centième partie de l'heure est appelée minute décimale ; la centième partie de la minute est appelée seconde décimale." La journée commençant à minuit, à midi il était donc 5 heures. À fin de la journée, à minuit, il était 10 heures. De nombreuses montres décimales furent construites à l'époque, devenues aujourd'hui des pièces de musée, car déjà en 1795, le temps décimal fut aboli en France, dix ans avant l'abolition du calendrier révolutionnaire.

Mandat d'arrêt de Danton. Source : http://data.abuledu.org/URI/50afa850-mandat-d-arret-de-danton

Mandat d'arrêt de Danton

Mandat d'arrêt de Danton et de ses amis par le Comité de Salut public, 30 mars 1794. Archives Nationales, Paris.

La rive gauche du Rhin en 1796. Source : http://data.abuledu.org/URI/573d692e-la-rive-gauche-du-rhin-en-1796

La rive gauche du Rhin en 1796

Georg Wilhelm Böhmer (1761-1839), "La rive gauche du Rhin, limite de la République française" ou Recueil de plusieurs dissertations, jugées dignes des prix proposés par un négociant de la rive gauche du Rhin : second cahier, avec une gravure / publ. par le citoyen Georges-Guillaume Boehmer, ex-député à la Convention nationale rhéno-germanique. À Paris : Desenne et Louvet. An IVe de la République française (1796-1797).

Plaque de Thomas Paine à Paris. Source : http://data.abuledu.org/URI/507287c6-plaque-de-thomas-paine-a-paris

Plaque de Thomas Paine à Paris

Plaque apposée au n° 10 de la rue de l'Odéon, Paris Thomas Paine (1737-1809) : Anglais de naissance, Américain d'adoption, Français par décret, a vécu dans cet immeuble de 1797 à 1802. Il mit sa passion de la liberté au service de la Révolution française, fut député à la Convention et écrivit ''Les Droits de l'Homme'' : « Lorsque les opinions sont libres, la force de la vérité finit toujours par l'emporter. » Ses écrits, parmi lesquels figure "Les Droits de l'Homme" (Rights of Man 1791), ont exercé une grande influence sur les acteurs de la Révolution française : il est élu député à l’assemblée nationale en 1792. Considéré par les Montagnards comme un allié des Girondins, il est progressivement mis à l’écart, notamment par Robespierre, puis emprisonné en décembre 1793. Après la Terreur, il est relâché et connaît un certain succès grâce à son livre "Le Siècle de la raison" (The Age of Reason, 1793-1794) qui analyse le christianisme et milite en faveur du déisme. Dans "La justice agraire" (Agrarian Justice, 1795), il analyse les origines du droit de propriété et introduit le concept de Revenu de base, proche du revenu minimum. Thomas Paine resta en France jusqu’en 1802, période pendant laquelle il critique l’ascension de Napoléon Bonaparte, qualifiant le Premier Consul de « charlatan le plus parfait qui eût jamais existé ». Sur l’invitation du président Thomas Jefferson, il revient aux États-Unis où il meurt à 72 ans.