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Photographie | Dessins et plans | Filets de pêche | Océan austral | Pêche à la crevette | Alimentation humaine | Krill | Antarctique | Pêche | Chiens d'agrément | Alimentation animale | Chihuahua (race canine) | Économie | Transports de marchandises | Wagons de marchandises | Trains express | Années 1950 | Transports ferroviaires | Sciences des matériaux | Pois protéagineux | ...
Résistance des matériaux. Source : http://data.abuledu.org/URI/511e718f-resistance-des-materiaux

Résistance des matériaux

Graphique de choix de matériaux par classe : résistance mécanique/masse (limite élastique spécifique Re/ρ) et prix au kilogramme. Données issues de CES Selector version 4.7.0, Granta Design Ltd. Céramiques naturelles (pierre, brique, béton), métaux ferreux (aciers, fontes), métaux non ferreux, élastomères, mousses polymères, verres, acier inox, polymères naturels (bois, cuir), polymères synthétiques, céramiques synthétiques, composites.

Carrés alimentaires de Krill. Source : http://data.abuledu.org/URI/50e465f1-carres-alimentaires-de-krill

Carrés alimentaires de Krill

Carrés de "viande" de krill dans l'antarctique. Cent mille tonnes de Krills antarctiques sont pêchées chaque année. Cette pêche s’est développée à partir des années 1970, avant de connaître un pic au tout début des années 1980, avant de ralentir légèrement. Le contenu riche en protéines et vitamines du krill, qui le rend utilisable pour l'alimentation humaine comme pour l'industrie d'aliments pour animaux, ainsi que sa grande concentration et son abondance ont tout d’abord intéressé la Russie, une des premières nations à pratiquer cette pêche. Actuellement, les principales nations pêcheuses sont la Corée du Sud, la Norvège, le Japon, la Russie, l’Ukraine et la Pologne. La biologie particulière du krill pose d'autres problèmes pour son utilisation dans l'alimentation. En effet, rapidement après sa sortie de l'eau, les enzymes puissantes contenues dans le krill commencent à dégrader ses protéines, ce qui oblige à un traitement rapide du crustacé fraîchement pêché. La transformation consiste à séparer la partie arrière de la tête et à enlever la carapace de chitine, dans l'optique de produire des produits congelés et des poudres concentrées. Avant sa commercialisation, il est nécessaire d'ôter sa carapace chitineuse riche en fluorures qui sont des composés toxiques pour l'homme. Cette opération est assez délicate à cause de la taille de l'animal et de sa fragilité. Toutes ces difficultés ont fortement augmenté le coût de la pêche du Krill antarctique, et cette activité ne s’est pas autant développée que certains le laissaient présager.

Chihuahua. Source : http://data.abuledu.org/URI/5169bfc3-chihuahua

Chihuahua

Le chihuahua, (en espagnol chihuahueño ou aussi chihuahua) est le chien le plus petit du monde. Son nom vient de l’état mexicain homonyme. Il pèse quelquefois moins d’un kilogramme mais la fourchette idéale est comprise entre 1,5 et 2,5 kg. Il est très résistant malgré son apparente fragilité. Sa longévité moyenne est évaluée aux alentours de quatorze ans et peut atteindre dans quelques cas une vingtaine d'années1. On distingue populairement "le chihuahua des villes" et "le chihuahua des champs". En effet, s'il est souvent présenté comme un chien "manchon" ou "de canapé", c'est un chien tonique, capable d'endurer de longues marches, parfait compagnon pour la randonnée. En liberté dans la nature, il adore courir avec d'autres chiens.

Pois protéagineux dans l'Union européenne 1973-2007. Source : http://data.abuledu.org/URI/50d0be99-pois-proteagineux-dans-l-union-europeenne-1973-2007

Pois protéagineux dans l'Union européenne 1973-2007

Évolution de la production de pois protéagineux dans l'Union européenne de 1973 à 2007. L'Union européenne est le deuxième producteur mondial de pois, derrière le Canada, mais reste importatrice nette. Les pois protéagineux (pois secs) sont très majoritairement destinés à l'alimentation animale. Ainsi au cours de l'exercice 2005/2006, sur une consommation totale de 3,85 millions de tonnes, 3,33 Mt (86,5 %) ont été incorporés dans les aliments composés pour animaux, tandis que l'alimentation humaine, les semences et l'export représentaient respectivement 5,2 %, 4,5 % et 3,7 %. La production communautaire avait fourni pour ce même exercice 2,44 Mt, soit un taux d'autosuffisance de 63,2 %. La France est de loin le premier producteur (avec 48,6 % du total) devant l'Allemagne, l'Espagne et le Royaume-Uni. Le développement de la culture du pois protéagineux en Europe a été lancée après l'embargo américain de 1973 sur les tourteaux de soja qui avait révélé la forte dépendance de l'Europe vis-à-vis des importations de protéines végétales du continent américain et la fragilité de l'approvisionnement de ses élevages hors-sol (porcins, volailles). Cette situation était la conséquence des accords du GATT de 1962, par lesquels la CEE pouvait maintenir des droits de douane élevés sur les céréales en contrepartie du libre accès des graines oléo-protéagineuses importées notamment des États-Unis). En France, la production de pois protéagineux, qui avait atteint son maximum à près de 3,8 millions de tonnes en 1993, a beaucoup baissé, atteignant 1,04 million de tonnes en 2006. Le pois y représente 75 % de la production totale de protéagineux (pois, féverolle, lupin). Le développement du pois (des plantes protéagineuses en général) et de son utilisation en alimentation animale a nécessité un important effort de recherche fondamentale et appliquée, tant sur le plan de la génétique que de ses applications agronomiques et zootechniques, mobilisant de nombreux organismes, comme l'INRA en France ou le John Innes Centre au Royaume-Uni. Ces recherches sont coordonnées au niveau européen par l'association européenne des protéagineux (AEP), dont les activités sont vulgarisées sur Internet par le « Grain Legume Portal».

Wagon couvert. Source : http://data.abuledu.org/URI/5116a8e0-wagon-couvert

Wagon couvert

Wagon couvert de type G de la DB (des années 1950) semblable au type 2 UIC mais avec des portes de seulement 1.80 m de large. Un wagon couvert est un type de wagon ferroviaire constitué d'une caisse, généralement en bois, couverte d'un matériau étanche permettant de transporter des marchandises craignant l'eau ou d'une certaine fragilité. Dans certaines circonstances, ces wagons furent amenés à transporter des hommes. Afin de permettre chargements et déchargements, ce type de wagon comporte une ou deux portes de grande largeur par côté. Certains wagons couverts pouvant être intégrés à des trains dits de messageries, ils disposent d'un châssis roulant et des organes de freinage apte à des vitesses pouvant aller jusqu'à 160 km/h. C'est le cas des wagons qui transportèrent pendant de nombreuses années les fruits et légumes du midi jusqu'aux halles parisiennes en formant le « Provence Express ». De nombreux autres wagons qui ont assuré le service des colis (SERNAM) jusque dans les années 1980 étaient aptes aux 120 km/h.