Transfert en cours..., vous êtes sur le "nouveau" serveur data.abuledu.org dont l'hébergement est financé par l'association abuledu-fr.org grâce à vos dons et adhésions !
Vous pouvez continuer à soutenir l'association des utilisateurs d'AbulÉdu (abuledu-fr.org) ou l'association ABUL.
Suivez la progression de nos travaux et participez à la communauté via la liste de diffusion.

Votre recherche ...

Nuage de mots clés

Photographie | Dessins et plans | Fortifications -- France | Fortifications | Architecture militaire | Architecture -- Dessins et plans | Sébastien Le Prestre de Vauban (1633-1707) | Forts | Histoire | Architecture médiévale | Géographie | Sébastien Le Prestre Vauban (marquis de, 1633-1707) | Gravure | Treizième siècle | Belfort (Territoire-de-Belfort) | Poliorcétique | Guerre de siège | Plans-reliefs | Phares -- France | Murs de villes | ...
Carte des sites majeurs de Vauban. Source : http://data.abuledu.org/URI/50787995-carte-des-sites-majeurs-de-vauban

Carte des sites majeurs de Vauban

Carte des sites majeurs de Vauban.

Fortifications de Loches. Source : http://data.abuledu.org/URI/55e40e18-fortifications-de-loches

Fortifications de Loches

Fortifications de Loches.

Île et fort de Brescou du Cap d'Agde. Source : http://data.abuledu.org/URI/53ac2ef8-ile-de-brescou

Île et fort de Brescou du Cap d'Agde

L'île de Brescou se trouve dans le territoire de la commune d'Agde (Hérault), à environ un demi mille marin de l'entrée de port Richelieu (Le Cap d'Agde) et à un peu moins de trois milles de l'embouchure de l'Hérault. C'est l'unique île de la région Languedoc-Roussillon. Sur cette île se trouve un fort désaffecté, qui comprend un vieux fanal, toujours visible, et le phare moderne. Le fort que l'on voit aujourd'hui semble dater du dernier quart du XVIIe siècle. Il est généralement attribué à Vauban, ou du moins à ses ingénieurs. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Fort_de_Brescou

Le village de Polignac. Source : http://data.abuledu.org/URI/5436afb0-le-village-de-polignac

Le village de Polignac

Le village de Polignac, Haute-Loire, mai 2009 : Les maisons du centre-bourg de la commune sont disposées en cercle autour d’un relief rocheux basaltique portant à son sommet, à une centaine de mètres en contrehaut du village, une vaste forteresse datant principalement des XIIe et XVe siècles.

Plan de la citadelle de Lille de Vauban. Source : http://data.abuledu.org/URI/5309b718-plan-de-la-citadelle-de-lille-de-vauban

Plan de la citadelle de Lille de Vauban

Plan de la citadelle de Lille. ''Louis Le Grand la voulut, Vauban la dessina, Simon Vollant l'édifia''.

Saint Valery sur somme. Source : http://data.abuledu.org/URI/50709496-saint-valery-sur-somme

Saint Valery sur somme

Saint-Valery-sur-Somme en Picardie : c'est de ce port que Guillaume le Conquérant partit, en septembre 1066, à la conquête de l'Angleterre. Saint-Valery pouvait être approvisionnée en bois par l'ancienne forêt de Crécy, bien plus étendue qu'aujourd'hui. Il existe également d'importants vestiges, témoignant notamment du passage de Jeanne d'Arc dans cette cité.

Système de fortification de Vauban 1. Source : http://data.abuledu.org/URI/5309b866-systeme-de-fortification-de-vauban-1

Système de fortification de Vauban 1

Modèle de citadelle construit par Vauban à ses débuts, connu sous le nom de premier système. Au début de sa carrière d'ingénieur aux fortifications, son travail était très proche de ce qui avait été fait par les architectes italiens et français de l'époque. Lui-même reconnaissait qu'il « paganisait » (allusion au comte de Pagan). Travail personnel librement inspiré de Serge François, in "Places Fortes, Bastion du Pouvoir". Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Fortifications_et_constructions_de_Vauban.

Système de fortification de Vauban 2. Source : http://data.abuledu.org/URI/5309bb26-systeme-de-fortification-de-vauban-2

Système de fortification de Vauban 2

Tirant expérience de la poliorcétique (guerre de siège), Vauban développa un deuxième système. S'étant rendu compte que la prise d'un bastion entrainait invariablement la prise rapide de la ville, il décida de séparer ces derniers de l'ouvrage. Cette modification avait pour avantage de mieux protéger l'artillerie et de créer une deuxième ceinture de protection. Travail personnel librement inspiré de Serge François, in "Places Fortes, Bastion du Pouvoir".

Système de fortification de Vauban 3. Source : http://data.abuledu.org/URI/5309bbff-systeme-de-fortification-de-vauban-3

Système de fortification de Vauban 3

Ce dernier système est l'aboutissement de plusieurs décennies d'expérience militaire. Ce type d'ouvrage ne fut construit qu'une fois, ce fut Neuf-Brisach, en Alsace, destiné à remplacer la place de Vieux-Brisach (Alt-Breisach en rive droite du Rhin, perdue par la France). Il reprend les évolutions du deuxième système qui augmentait encore la défense en profondeur notamment par l'implantation de « tours-bastions » renforçant les bastions. Travail personnel librement inspiré de Serge François, in "Places Fortes, Bastion du Pouvoir". Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Fortifications_et_constructions_de_Vauban.

Vestiges de l'observatoire de Thiaumont près de Verdun. Source : http://data.abuledu.org/URI/5468baa7-vestiges-de-l-observatoire-de-thiaumont-pres-de-verdun

Vestiges de l'observatoire de Thiaumont près de Verdun

Restes déchiquetés de l'observatoire cuirassé de l'Ouvrage de Thiaumont, près de Verdun dans la Meuse. L'ouvrage de Thiaumont est une fortification du système Séré de Rivières dans la région de Verdun. Il est situé sur la rive droite de la Meuse, entre l'ouvrage de Froideterre et le fort de Douaumont. Il a été entièrement détruit par les bombardements lors de la bataille de Verdun en 1916. Le système Séré de Rivières est un ensemble de fortifications bâti à partir de 1874 le long des frontières et des côtes françaises, en métropole ainsi que dans quelques colonies. Ce système défensif remplace les fortifications bastionnées mises en place notamment par Vauban. Il doit son nom (non officiel) à son concepteur et promoteur, le général Raymond Adolphe Séré de Rivières. Source : https://fr.wikipedia.org/wiki/Ouvrage_de_Thiaumont

Blockhaus sur la plage de Labenne. Source : http://data.abuledu.org/URI/5453486a-blockhaus-sur-la-plage-de-labenne

Blockhaus sur la plage de Labenne

Blockhaus avec tags sur la plage de Labenne dans les Landes.

Descriptif du château de Saumur. Source : http://data.abuledu.org/URI/50f1999b-descriptif-du-chateau-de-saumur

Descriptif du château de Saumur

Descriptif bilingue du château de Saumur : "Forteresse édifiée sur un promotoire surplombant la Loire par les ducs d'Anjou, le château de Saumur devint propriété royale sous Philippe-Auguste. Henry III en fait don à son beau-frère Henry de Navarre, appartenant à la religion réformée. Le gouverneur de la ville, Duplessis-Mornay, dote la ville de puissantes fortifications. La ville devient un centre culturel pour les Huguenots. La révocation de l'Édit de Nantes en 1685 par Louis XIV et les persécutions chassent les Protestants et provoquent le déclin de la ville. Le château devient un prison, le marquis de Sade et l'amiral Kerguelen y furent incarcérés."

Double caponnière du fort de France à Colmars. Source : http://data.abuledu.org/URI/5468d81b-double-caponniere-du-fort-de-france-a-colmars

Double caponnière du fort de France à Colmars

Double caponnière allant de la place au fort de France à Colmars en Alpes-de-Haute-Provence. C'est un passage de trois mètres de largeur en moyenne, semi-enterré mais non recouvert, situé au fond du fossé et permettant, à partir d'une poterne débouchant au pied de la courtine, de joindre le corps de place à un ouvrage extérieur, une demi-lune ou une lunette par exemple. Sur toute sa longueur, la caponnière est bordée à droite et à gauche, d'un parapet (en terre ou en maçonnerie) permettant de fournir des feux d'infanterie de part et d'autre de ce passage et, partant, d'interdire à l'assiégeant de circuler librement au fond du fossé dans le cas où celui-ci serait parvenu à y descendre. Par extension, le terme caponnière fut attribué à tout passage protégé assurant une liaison entre deux ouvrages, fut-il semi-enterré en fond de fossé ou pas. Source : https://fr.wikipedia.org/wiki/Caponni%C3%A8re

Enceinte fortifiée du château de Noüe à Villers-Cotterêts . Source : http://data.abuledu.org/URI/53ac4180-chateau-de-noue-a-villers-cotterets-

Enceinte fortifiée du château de Noüe à Villers-Cotterêts

Le château de Noüe est situé sur la commune de Villers-Cotterêts dans le département de l'Aisne en Picardie.

Fort de Penco au Chili. Source : http://data.abuledu.org/URI/598067c9-fort-de-penco-au-chili

Fort de Penco au Chili

Vieux fort de Penco , église de Penco (en 1838). Atlas pittoresque, planche 31 - Monumento Nacional de Chile|653 - Voyage au Pôle Sud et dans l'Océanie sur les corvettes L'Astrolabe et La Zélée, Jules Dumont d'Urville, Gide Paris, 1846. Exemplaire de la bibliothèque patrimoniale de Gray.70100 France.

Fort des Basses-Perches. Source : http://data.abuledu.org/URI/5468d5d9-fort-des-basses-perches

Fort des Basses-Perches

Plan du fort des Basses Perches. Légende en français : Caserne A) corps de garde, salle de discipline, télégraphe, salle d'artifice ; Caserne B) latrines des officiers en temps de guerre, latrines de troupes, 5-8 casemates de troupe, casemates de sous-officiers, magasin aux vivres, cuisine de la troupe, magasin des ordinaires ; Autres : A abris-traverses, A1 plates-formes de tir, C urinoirs, D latrines de troupe en temps de paix, E latrines des officiers, M-N magasins à poudre, O salle d'artifice, P cartoucherie, F Forge, S-T coffres de contrescarpe, U rue du rempart. Le Fort des Basses Perches, de son vrai nom fort Valmy (François-Christophe Kellermann, duc de Valmy, maréchal, 1735-1820), a été construit entre 1874 et 1877. C'est un ouvrage faisant partie des fortifications de l'Est de la France du type Séré de Rivières. Il fait partie intégrante de la place forte de Belfort. Il est situé sur les communes de Danjoutin et de Belfort. Ce fort a la particularité d'être équipé de coffres de contrescarpe en lieu et place des caponnières, alors qu'à cette époque, les caponnières furent utilisées massivement. Source : https://fr.wikipedia.org/wiki/Fort_des_Basses_Perches À partir de 1893, ce fort fut relié à un certain nombre d'autres forts autour de Belfort grâce à un chemin de fer stratégique.

Fortification de Fereirre. Source : http://data.abuledu.org/URI/52a70124-fortification-de-fereirre

Fortification de Fereirre

"Méthode de fortifier les petites villes et les châteaux situez sur les montagnes : Fereirre" par Allain Manesson Mallet, Les Travaux de Mars, ou l'art de la guerre, t. I, Paris, Denys Thierry, 1684, pl. CXXXII. Château de Ferreira, fortifié par Manesson-Mallet après le siège remporté par le comte de Schomberg le 27 avril 1667. Né à Heidelberg en 1615, le comte et futur duc de Schomberg a dirigé successivement des armées de six pays : Suède (1634), France (1635), Portugal, Prusse, Hollande et Angleterre, sans jamais renier sa foi protestante, qui amena en 1685 Louis XIV et son nouveau ministre de la défense Louvois à le chasser des honneurs et des fonctions.

Fortifications autour de Maastricht en 1673. Source : http://data.abuledu.org/URI/53f4c019-fortifications-autour-de-maastricht-en-1673

Fortifications autour de Maastricht en 1673

Fortifications autour de Maastricht en 1673.

Île de Tatihou. Source : http://data.abuledu.org/URI/5357c988-ile-de-tatihou

Île de Tatihou

Île de Tatihou (Saint-Vaast-la-Hougue/Manche) vue de la pernelle. Tatihou est une île côtière française au nord-est du Cotentin. D'une superficie de 29 hectares, elle est accessible à pied à certaines marées basses. L'île appartient au Conservatoire du littoral et n'est pas habitée de manière permanente. Son patrimoine se compose : 1) du fort Vauban construit en 1694, après la bataille de la Hougue dont la Tour Vauban (XVIIIe siècle), classée au patrimoine mondial par l'Unesco depuis 2008. À l'intérieur des fortifications (XIXe siècle) se trouvent aussi une chapelle (fin du XVIIIe siècle), un magasin à poudre (XIXe siècle) et une caserne devenue un restaurant ; 2) de l'ancien lazaret (construit en 1720, pour éviter la propagation de la peste) qui abrite le musée maritime, un jardin botanique, un atelier de charpente navale et des bâtiments d'hébergement ; 3) d'une réserve ornithologique, implantée dans la plaine derrière la tour Vauban et gérée par le Groupe ornithologique normand. 4) d'une maison des douaniers (1805), au-dessus de l'embarcadère. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Tatihou

Maquette de Nantes au Moyen Âge. Source : http://data.abuledu.org/URI/541c9b7d-maquette-de-nantes-au-moyen-age

Maquette de Nantes au Moyen Âge

Maquette de Nantes à la fin du Moyen Âge. La ville est protégée par des fortifications, le château renforce la défense près de la Loire. Au fond, sur le mur, la Tapisserie dite “des Etats de Bretagne” par Robert Paigné (1585) avec lys de France et hermines de Bretagne.

Phare de Boulogne-sur-mer. Source : http://data.abuledu.org/URI/53591809-phare-carnot-boulogne-sur-mer

Phare de Boulogne-sur-mer

Le phare de Boulogne-sur-Mer, dans le Pas-de-Calais, est un phare classé "phare en mer" (le seul de la région) se trouvant en bout de la jetée Carnot sur des anciennes fortifications. La tour cylindrique est en maçonnerie lisse blanche, et verte en son sommet. Il existait un phare antique, la Turris Ardens. Cette tour fut érigée sur ordre de l'empereur romain Caligula en l'an 39 ap. J.-C., après qu'il eut renoncé à envahir l'Angleterre. Ses feux devaient briller toutes les nuits comme à Alexandrie. À partir de 39 ap. J.-C., la côte de Boulogne-sur-Mer est donc éclairée par l'un des premiers phares au monde avec la Tour de Pharos à Alexandrie. La tour ne se trouvait pas à la place du phare actuel, mais sur la falaise, à l'emplacement de l'actuel Calvaire des Marins. Haute de 60 mètres, hauteur remarquable pour l'époque, elle était de forme pyramidale sur plan octogonal et comportait 13 niveaux. Elle était faite de rangs alternés de pierres et de briques. Le phare actuel est construit en 1968. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Phare_de_Boulogne

Plan du fort Brescou à Agde en 1790. Source : http://data.abuledu.org/URI/51ca28b7-plan-du-fort-brescou-a-agde-en-1790

Plan du fort Brescou à Agde en 1790

Plan du fort de Brescou à Agde, Hérault, en 1790 d'après un plan ancien : Le fort que l'on voit aujourd'hui semble dater du dernier quart du XVIIe siècle. Il est généralement attribué à Vauban, ou du moins à ses ingénieurs, mais de nombreux aménagements y ont été faits par la suite à diverses époques.

Plan du Fort de Roppe à Belfort. Source : http://data.abuledu.org/URI/538b18ec-plan-du-fort-de-roppe-a-belfort

Plan du Fort de Roppe à Belfort

Plan du fort de Roppe légendé en français, dessiné à partir de plans d'archives et de relevés topographiques réalisés par Thomas Bresson. Le Fort de Roppe, de son vrai nom Fort Ney, a été construit entre 1875 et 1877. C'est un ouvrage faisant partie des fortifications de l'Est de la France du type Séré de Rivières. Il fait partie intégrante de la place forte de Belfort. Ce fort possède un pont-levis à son entrée principale. Il est situé au sommet d'une colline proche du village de Roppe (mais situé sur cette commune). En 1889, un abri-caverne est construit à proximité (pour 220 hommes). Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Fort_de_Roppe

Plan du Fort des Hautes Perches. Source : http://data.abuledu.org/URI/5468c998-plan-du-fort-des-hautes-perches

Plan du Fort des Hautes Perches

Plan du Fort des Hautes Perches près de Belfort. Le Fort des Hautes Perches, construit du 20 avril 1874 au 1er juillet 1877, est un ouvrage faisant partie des fortifications de l'Est de la France du type Séré de Rivières. Il fait partie intégrante de la place forte de Belfort. Il est situé sur la commune de Pérouse. Le fort des Hautes Perches a été baptisé fort Rapp, du nom du général Jean Rapp (1771-1821). À partir de 1893, ce fort fut relié à un certain nombre d'autres forts autour de Belfort grâce à un chemin de fer stratégique. Source : https://fr.wikipedia.org/wiki/Fort_des_Hautes_Perches

Plan du Jardin des vestiges à Marseille. Source : http://data.abuledu.org/URI/547746d5-plan-du-jardin-des-vestiges-a-marseille

Plan du Jardin des vestiges à Marseille

Jardin des vestiges de la bourse à Marseille. Schéma représentant l'ancien rivage de la mer et les remparts grecs : 1a: Corne du port, 1b: Quai de pierres, 1c: Plate-forme de décharge, 2a: Tracé des fortifications grecques de la deuxième moitié du IIe siècle avant J.C., 2b: mur de Crinas, 2c: Tour carrée, 2d: Tour penchée, 2e: Courtine, 2f: Tour sud, 3: avant-mur du Ve siècle, 4: Bassin d'eau douce (début du IIe siècle), 5: Terrasse funéraire à triglyphes bas (IVe siècle avant J.C.), 6a: Puits public (détruit), 6b: Terrasse funéraire (détruite), 7: Voie dallée (IVe siècle), 8: Centre commercial de la bourse.

Porte des anglais à Sore. Source : http://data.abuledu.org/URI/5074afc6-porte-des-anglais-a-sore

Porte des anglais à Sore

Porte de ville dite des anglais à Sore, dans le département français des Landes : remplissages en garluche. Datée de la 2e moitié du XIIIe siècle, elle est inscrite aux monuments historiques par arrêté du 7 octobre 1992. Il existait deux autres portes de ce type à Sore qui ont aujourd'hui disparu, l'une à l'est du plateau, l'autre en face de l'hospice. Celle-ci est en face du moulin à eau. Sur sa clef de voûte est sculpté un chrisme. Notice de la base Mérimée : "Témoin de la ville médiévale qui fut une des forteresses des Seigneurs d'Albret. Vers 1270-1280, Amanieu VII d'Albret semble avoir entrepris une vaste campagne de rénovation de plusieurs forteresses, dont celle de Sore. Cette porte est le dernier vestige encore debout de ces fortifications. L'ouvrage possédait peut-être des éléments défensifs couronnant son sommet. Du côté sud vers le nord, en pénétrant dans la ville, la porte présente un grand arc en anse de panier puis un arc brisé surbaissé, plus étroit et plus bas, en avant duquel subsiste l'emplacement de la herse qui renforçait l'entrée. Sur le côté nord se remarquent les traces d'une tourelle qui renfermait un escalier à vis. Sur le côté sud, deux trous d'assommoir sont percés dans la voûte de l'arc, en avant de la herse. L'enceinte elle-même était en terre, faute de pierres à proximité."

Remparts de la citadelle d'Essaouira au Maroc. Source : http://data.abuledu.org/URI/5309e254-remparts-de-la-citadelle-d-essaouira-au-maroc

Remparts de la citadelle d'Essaouira au Maroc

Essaouira (Maroc), le port, les barques de pêcheurs et les remparts de la citadelle. En tamazight تصورت tassourte "la bien gardée", en arabe : الصويرة, transcription : Al-Suwayra, "la bien dessinée". En 1764, le sultan Mohammed ben Abdellah décide d'installer à Essaouira sa base navale, d'où les corsaires iront punir les habitants d'Agadir en révolte contre son autorité. Il fait appel à Théodore Cornut, un architecte français à la solde des Britanniques de Gibraltar. Le sultan le reçoit avec tous les honneurs dus à un grand artiste et lui confie la réalisation de la nouvelle ville « au milieu du sable et du vent, là où il n'y avait rien ». Cornut l'Avignonnais, disciple de Vauban, et qui avait été employé par Louis XV à la construction des fortifications du Roussillon, travailla trois ans à édifier le port et la kasbah, dont le plan original est conservé à la Bibliothèque nationale de France à Paris. Il semblerait que la seconde ceinture de remparts et la médina aient été dessinées bien après le départ de Cornut. Le sultan n'avait pas souhaité prolonger leur collaboration, reprochant aux Français d'être trop chers et d'avoir travaillé pour l'ennemi britannique. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Essaouira.

Remparts de Montauban. Source : http://data.abuledu.org/URI/51bacd3d-remparts-de-montauban

Remparts de Montauban

Les fortifications à Montauban d'après les recherches du commandant Delaval (1904). Le siège de Montauban opposa, d'août à novembre 1621, les armées royales commandées par le roi de France Louis XIII aux protestants montalbanais, dans le contexte des révoltes huguenotes.

Remparts et tour Névet à Quimper. Source : http://data.abuledu.org/URI/58588c0c-remparts-et-tour-nevet-a-quimper

Remparts et tour Névet à Quimper

Quimper : la tour Névet et le rempart.

Tamaris pionnier dans les dunes de Capbreton. Source : http://data.abuledu.org/URI/582eb62d-tamaris-pionnier-dans-les-dunes-de-capbreton

Tamaris pionnier dans les dunes de Capbreton

Tamarix (Tamarix gallica), plante pionnière sur du sable et des rochers à Capbreton, Landes.

Tour génoise de la Parata, 1550. Source : http://data.abuledu.org/URI/51caa3c2-tour-genoise-de-la-parata-1550

Tour génoise de la Parata, 1550

Description et plan de la tour génoise de la Parata (1550). Joseph de Fréminvile, Tours génoises du littoral corse, 1894. Le littoral corse est constellé de tours (en corse torri), devenues un des symboles de l'île. Bien que toutes ne soient pas d'origine génoise, on les appelle généralement "tours génoises", sans distinction. La construction de ces tours génoises est la conséquence de la prise de Constantinople par les Turcs en 1453 ; les Barbaresques commencent à razzier les côtes et le feront pendant trois siècles. Elle débuta au XVIe siècle à la demande des communautés villageoises pour se protéger des pirates. En 1530, la république de Gênes dépêche deux commissaires extraordinaires, Paolo Battista Calvo et Francesco Doria, pour inspecter les tours et fortifications chargées de défendre l'île des invasions barbaresques. En 1530 la Corse a 23 tours dont 10 au Cap. Dès 1531, l'édification de quatre-vingt-dix tours est décidée sur le littoral corse, dont trente-deux dans le Cap Corse. Les travaux commencent sous la supervision de deux nouveaux commissaires extraordinaires génois : Sebastiano Doria et Pietro Filippo Grimaldi Podio. Il s'agissait d'étendre à la Corse le système de vigilance déjà en vigueur sur le pourtour méditerranéen. Ces vigies placées en avant-poste prévenaient et défendaient des attaques des Barbaresques et de tous les dangers venant de la mer. En 1730 l'île a 120 tours dont 30 au Cap. Aujourd'hui, sur les 85 tours dénombrées au début du XVIIIe siècle, 67 demeurent encore debout.

Tuc de Houns à St Paul en Born. Source : http://data.abuledu.org/URI/506b28e0-tuc-de-houns-a-st-paul-en-born

Tuc de Houns à St Paul en Born

Vestiges de la motte castrale du Tuc de Houns, dans le département français des Landes. Le tuc de Houns est l'une des sept mottes castrales dont on a retrouvé les vestiges dans le pays de Born. Aux XIe et XIIe siècles, il se situait à quelques centaines de mètres de l'ancien village de Saint-Paul (Ségosa?). Son nom vient de tuc, mot gascon pour butte. Une maison forte y fut édifiée sur ordre de Pierre de Homs (Pedro de Hon), en 1255, par concession du roi Henri III d'Angleterre pour défendre le confluent de deux rivières, le ruisseau des Forges et le ruisseau d'Escource, près de l'étang d'Aureilhan.