Transfert en cours..., vous êtes sur le "nouveau" serveur data.abuledu.org dont l'hébergement est financé par l'association abuledu-fr.org grâce à vos dons et adhésions !
Vous pouvez continuer à soutenir l'association des utilisateurs d'AbulÉdu (abuledu-fr.org) ou l'association ABUL.
Suivez la progression de nos travaux et participez à la communauté via la liste de diffusion.

Votre recherche ...

Nuage de mots clés

Photographie | Dessins et plans | Gravure | Géants | Géographie | Balises | Signalisation maritime | Aides à la navigation | Phares -- France | Cartographes | Monuments historiques | La Réunion | Textes | Phares | Phare du Nord | Dunkerque (Nord) | Calais (Nord), Phare de | Calais (Pas-de-Calais) -- Phare | Calais (Pas-de-Calais) | Mer du Nord | ...
Babe Tisje et Zoon Tisje d'Hazebrouck. Source : http://data.abuledu.org/URI/51dc4ce0-babe-tisje-et-zoon-tisje-d-hazebrouck

Babe Tisje et Zoon Tisje d'Hazebrouck

Babe Tisje fut créée en tant que géant en 1980 par Stéphane Deleurence. D'une hauteur de 3,35 m et d'un poids de 50 kg, elle nécessite un porteur. Zoon Tisje (à l'arrière plan), de son vrai nom Jacques Louis Napoléon Vangrevelinghe, c'est le fils de Tisje Tasje et également le frère de Babe Tisje. Il fut érigé en géant en 1998 par Stéphane Deleurence pour représenter la ville d'Hazebrouck. Il a dans la main droite une gaufre: "wafel" et dans la main gauche, un moulinet d'enfant rappelant l'importance du vent en Flandre. Dimensions : hauteur : 3,20 m, poids : 47 kg, porté par un seul homme.

Balance de changeur. Source : http://data.abuledu.org/URI/52120973-balance-de-changeur

Balance de changeur

Balance de changeur dans sa boite et ses masses.Cette balance est une petite balance à fléau qui était utilisée au XVIIIe siècle par les changeurs pour peser les pièces de monnaie : "CHEMIN, successeur de M. BARBIN, Balancier, Ajusteur des Poids et Balances pour les Monnoyes de l'Hôtel-de-Ville, des Fermes du Roi, et ses Bâtiments de l'Hôtel Royal des Invalides, et des Hôpitaux, demeure rue de la Ferronnerie, vis à vis le Caffé de la Paix, au Q couronné. A PARIS."

Bassin central à Neak Pean. Source : http://data.abuledu.org/URI/51d0a1c0-bassin-central-a-neak-pean

Bassin central à Neak Pean

Bassin central de Neak Pean à Angkor au Cambodge. Autrefois, l’eau s’écoulait du bassin central dans les bassins périphériques par quatre gargouilles ornementales, en forme de têtes d’éléphant au Nord, de cheval à l'Ouest, de lion au Sud et d’homme à l'Est, toujours visibles dans les pavillons portés à chaque axe du grand réservoir. Ce dernier servait aux rites de purification. L’ensemble du site était lui-même au centre de l'immense baray de Preah Khan de 3 km sur 900 m, aujourd’hui asséché et envahi par la végétation. Le site est supposé représenter l'univers dans la cosmogonie khmère, avec le mont Meru au centre des quatre océans, à moins qu'il ne s'agisse d'une réplique d'un lac mythique et sacré de l'Himalaya, source des quatre grands fleuves d'Asie.

Effets de pollutions sur la santé humaine. Source : http://data.abuledu.org/URI/5200cb1a-effets-de-pollutions-sur-la-sante-humaine

Effets de pollutions sur la santé humaine

Effets de pollutions (eau, air, sol) sur la santé humaine. Traduction en français Christophe Catarina.

Élévation du Pont d'Aquitaine à Bordeaux. Source : http://data.abuledu.org/URI/5148c97f-elevation-du-pont-d-aquitaine-a-bordeaux

Élévation du Pont d'Aquitaine à Bordeaux

Élévation du pont d'Aquitaine, pont suspendu sur la Garonne dans la ville de Bordeaux (France). Si l'on ne considère que la portée de sa travée centrale, 393,75 m, le pont d'Aquitaine, bien que le deuxième plus grand pont suspendu français derrière le pont de Tancarville reste un ouvrage modeste. Il se situe en effet en 2008 au-delà du 80e rang mondial dans le classement des ponts suspendus. Toutefois il est prolongé, sur la rive gauche, par un viaduc de 1 014 m, ce qui le porte au 8e rang français en termes de longueur de ponts, toutes catégories confondues.

Géants de Douai. Source : http://data.abuledu.org/URI/51dc1545-geants-de-douai

Géants de Douai

Gayant (en picard chti) et Marie Cagenon, les géants de Douai. Les fêtes de Gayant se déroulent traditionnellement à Douai le premier week-end suivant le 5 juillet, du samedi au lundi. Les fêtes de Gayant correspondent à la sortie annuelle des géants de la ville : Monsieur Gayant, Madame G ayant (aussi connue sous le nom de Marie Cagenon) ainsi que leurs trois enfants Jacquot, Fillon et Binbin. Monsieur Gayant mesure 8,50 m et pèse 370 kg, il est porté par 6 hommes. Marie Cagenon mesure 6,25 m et pèse 250 kg, elle est, elle aussi, portée par 6 hommes. Jacquot mesure dans les 3 mètres et est porté par un homme, Fillon 2,80 m et Binbin 2,20 m. La procession de la famille Gayant est accompagnée d'une fête populaire où se produisent régulièrement des groupes de musique, des fanfares et des artistes de rue. Pour cette occasion, une fête foraine a lieu depuis une centaine d'année sur la Place du Barlet. Dans de nombreuses entreprises du Douaisis le lundi, dit «lundi de Gayant», est chômé. Gayant est un des plus anciens géants puisque son existence remonte à 1530. Les enfants apparaissent au début du XVIIIe siècle. Mais, interdite par l'Église en 1770, la famille ne réapparaîtra qu'en 1801.

Hilaire patate. Source : http://data.abuledu.org/URI/51dc336a-hilaire-patate

Hilaire patate

Hilaire Patate lors de l'avant-bande de Malo-les-Bains : Le géant de Rosendaël a été créé en 2006. Il rend hommage au jardinier Hilaire Duquenne qui s'est illustré dans la ville au cours du XXe siècle. Le mari de Violette, est habillé d'une chemise à carreau bleue, d'une veste bleue foncée, d'un tablier où figure son nom. Il porte un chapeau et une bêche. Le géant mesure 3,46 m pour 47 kg.

Hirondelle rustique. Source : http://data.abuledu.org/URI/50ee08ae-hirondelle-rustique

Hirondelle rustique

L'Hirondelle rustique (Hirundo rustica) est une petite espèce de passereau migrateur vivant en Europe, en Asie, en Afrique et en Amérique. Elle est également connue sous le nom d'Hirondelle de cheminée ou d'Hirondelle des granges. Elle se distingue par sa longue queue fourchue et sa gorge couleur rouge brique. Elle niche dans un nid fait de terre séchée et de salive pour coller les bouts de terre, accroché sous un toit, une poutre, aussi bien à l'extérieur qu'à l'intérieur, en ville ou à la campagne, souvent dans des granges ouvertes, et parfois dans les maisons ouvertes. Elle se nourrit essentiellement d'insectes attrapés en vol.

Ile de la Réunion en 1854. Source : http://data.abuledu.org/URI/52193ad5-ile-de-la-reunion-en-1854

Ile de la Réunion en 1854

Carte et descriptif de l'Ile de la Réunion (Océan indien) (hémisphère austral), 1854 - Fonds Ancely. Titre complet du recueil : Atlas national illustré des 86 Départements et des Possessions de la France divisés par Arrondissements, Cantons et Communes avec le tracé de toutes les routes, chemins de fer et canaux. Dressé d'après les Travaux du Cadastre du Dépôt de la Guerre et des Ponts et Chaussées par V. Levasseur, Ingénieur Géographe attaché au Génie du Cadastre et de la Ville de Paris. Gravé sur acier par les meilleurs artistes. Imprimerie de Lemercier à Paris ou imprimerie Dupuich à Paris. Fonds René Ancely (1876 - 1966), B. M. Toulouse.

La chaudière des sept villes. Source : http://data.abuledu.org/URI/50f46961-la-chaudiere-des-sept-villes

La chaudière des sept villes

L'île de Sao Miguel (Açores), La chaudière des sept villes, LAS DAS SETE CIDADES (Élisée Reclus, 1887 ed.), Dessin de Taylor, d'après une photographie de Raposo. Source : "Nouvelle géographie universelle ; la terre et les hommes" (1876), livre XII. Table des matières : I. L'Europe méridionale.--II. La France.--III. L'Europe centrale.--IV. L'Europe du nod-ouest.--V. L'Europe scandinave et russe.--VI. L'Asie russe.--VII. L'Asie orientale.--VIII. L'Inde et l'Indo-Chine.--IX. L'Asie antérieure.--X. L'Afrique septentrionale-1 --XI. L'Afrique septentrionale-2 --XII. L'Afrique occidentale.--XIII. L'Afrique méridionale.--XIV. Océan et terres océaniques.--XV. Amérique boréale.--XVI. Les Etats-Unis.--XVII. Indes occidentales.--XVIII. Amérique du Sud: les régions andines.--XIX. Amérique du Sud : L'Amazonie et La Plata.

La cour impériale d'Amarapura en Birmanie. Source : http://data.abuledu.org/URI/52b6d0f0-la-cour-imperiale-d-amarapura-en-birmanie

La cour impériale d'Amarapura en Birmanie

La cour impériale à Ummerapoura. Illustration par Yan Dargent (1824-1899), in Jean Rambosson, Histoire des météores et des grands phénomènes de la nature, p.369, Firmin-Didot, 1883 (wikisource) : Il y a quelques années, M. Babinet, de l’Institut, a présenté à l’Académie des sciences, de la part de M. Marchal, de Lunéville, la figure d’un des appareils qui, en Chine, accompagnent toujours les flèches aiguës qui couronnent les tours nombreuses de ce pays, où chaque ville a la sienne. Suivant l’auteur, les chaînes qui accompagnent la flèche, et qui, partant de son pied, vont rejoindre les angles saillants de la tour, sont de vrais conducteurs de l’agent électrique, dont l’expérience peut avoir fait reconnaître l’efficacité à un peuple bien plus observateur que théoricien. Il a remarqué que dans la construction des tours chinoises il n’entre point de substances métalliques, pas plus que dans leurs maisons et leurs palais. L’appareil des chaînes offre donc une sorte d’enveloppe conductrice qui préserve la tour de l’introduction de l’électricité. Ces tours, d’ailleurs, n’ont jamais été frappées de la foudre. La fameuse tour de porcelaine de Nankin a quinze siècles d’existence. M. Marchal rapproche la construction chinoise de la méthode italienne, qui consiste à consolider les flèches par des haubans métalliques allant se fixer aux angles du bâtiment ; il ajoute que la flèche de l’appareil chinois se termine en flamme dorée, et, par suite, conductrice.

La garde de M. et Mme Goliath en 2008. Source : http://data.abuledu.org/URI/51dc285e-la-garde-de-m-et-mme-goliath-en-2008

La garde de M. et Mme Goliath en 2008

M. et Mme Goliath, géants d'Ath, en 2008 avec leur garde : À Ath, les diables apparaissent dans des processions de l'Ancien Régime. Ils y font la police (ouvrir la voie, tenir les spectateurs à distance) ou, le plus souvent, interviennent dans le tableau de l'Enfer, dans la dramatisation de légendes hagiographiques (St Michel, Ste Gudule, St Antoine, St Médard, etc.), dans un jeu processionnel (combat de St Georges contre le dragon). Ils participent encore au Lumeçon montois. Les hommes sauvages (hommes de feuilles) ont marché dans quelques processions et tenu un rôle dans des jeux de printemps. Figurant toujours dans la procession et le Jeu de St Evermare à Russon, ils restent, à Mons, les alliés du dragon. Après avoir caracolé dans les processions figuratives, animé des fêtes villageoises et des charivaris, les chevaux-jupon jouent encore leur rôle d'auxiliaires à Mons et harcèlent le public dans divers cortèges, carnavalesques ou non. Ces trois types de déguisement qui, dans certaines villes, ont pour mission principale de protéger la marche ou la danse des figures gigantesques, se retrouvent à la ducasse d'Ath.

Le rat de ville et le rat des champs. Source : http://data.abuledu.org/URI/510c3970-le-rat-de-ville-et-le-rat-des-champs

Le rat de ville et le rat des champs

Le rat de ville et le rat des champs, illustration par François Chauveau (1613-1676), pour les « Fables choisies mises en vers par M. de la Fontaine », Claude Barbin et Denys Thierry, Paris, 1668 (premier recueil) 1678-79 (deuxième recueil) 1694 (troisième recueil).

Le Saint Guénolé en rade de Brest. Source : http://data.abuledu.org/URI/546113d0-le-saint-guenole-en-rade-de-brest

Le Saint Guénolé en rade de Brest

Le sloop coquillier "Saint Guénolé" en rade de Brest. Année de construction : 1948 ; Chantier : Victor Belbeoc'h (Le Fret) ; Longueur coque : 11,4 m ; Flottaison : 9,69 m ; Largeur : 4,12 m ; Tirant d'eau : 1,88 m ; Poids : 17 tonnes ; Voilure : 135 m² (grand voile, flèche, trinquette et foc) ; Propriétaire : Ville de Plougastel (Centre Nautique d'Armorique) ; Date de classement au titre des Monuments historiques : 1993.

Maison d'Olynthe. Source : http://data.abuledu.org/URI/5291ae75-maison-d-olynthe

Maison d'Olynthe

Plan schématique de la disposition des pièces du rez-de chaussée d'une maison d'Olynthe, d'après les plans d'étude de l'ouvrage de M.-C. HELLMAN. Les maisons de la cité grecque d'Olynthe permettent d'appréhender les bases de l'architecture domestique grecque. À cette période se développe une véritable réflexion sur l'organisation de la ville, sa rationalisation en un ensemble souple et fonctionnel et ceci avant sa fondation. Olynthe est une ville de la Grèce qui fut détruite au Ve siècle av. J.-C. par les Perses. Quand la ville fut reconstruite peu après, c'est dans l'idée d'une "ville nouvelle" totalement créée selon les principes des philosophes en la matière. Il s'agit donc d'un urbanisme modèle respectant tous les besoins d'une ville et le confort des habitants. Les caractéristiques de l'architecture de la maison d'Olynthe nous apportent donc des informations primordiales sur les grandes tendances architecturales, la pensée, l'élaboration technique et artistique d'alors. Le schéma de la maison d'Olynthe va faire école. On retrouvera les éléments présents ici dans toutes les villes de la Grèce.

Méditation sur les ruines de Palmyre. Source : http://data.abuledu.org/URI/50d9aa13-meditation-sur-les-ruines-de-palmyre

Méditation sur les ruines de Palmyre

Anatole France, Méditation sur les ruines de Palmyre, 1859, Extrait du Mercure de France, N° 647, 1er juin 1925. (509 mots, 13 paragraphes). Les ruines de Palmyre servent de prétexte à une méditation philosophique sur les effets du temps.

Mme Bintje à Ham. Source : http://data.abuledu.org/URI/51dc4db0-mme-bintje-a-ham

Mme Bintje à Ham

Mme Bintje à Ham (Somme) - Animation festive au centre-ville, un dimanche de printemps. Madame Bintje est une géante de processions et de cortèges qui représente la commune de Hondschoote (Nord). Inaugurée en 2006 à Hondschoote, elle est née à l'issue d'un concours de dessin qui s'est tenu en 2005, année du centenaire de la variété de pomme de terre 'Bintje', sur l'initiative d'un comité technique représentant les professionnels de la pomme de terre de la région Nord-Pas-de-Calais. La 'Bintje' est en effet la pomme de terre la plus cultivée dans cette région. Cette géante mesure 3,80 m de haut et pèse 60 kg. Elle est portée par un seul porteur. Son diamètre au sol est de 1,50 m. Son chapeau représente une fleur de pomme de terre.

New York en 1763. Source : http://data.abuledu.org/URI/52bef6db-new-york-en-1763

New York en 1763

Jacques-Nicolas Bellin (1703–1772) : Ville de Manathe ou Nouvelle-Yorc, Paris 1763, légendée en français. Ce cartographe-hydrographe fut un contributeur important de l’Encyclopédie de Diderot et D’Alembert. Le fonds d'archives est conservé au centre d'archives de Montréal de Bibliothèque et Archives nationales du Québec. A) Le port des barques ; B) Pont pour décharger les barques ; C) Fontaines ou puits (puids) ; D) Maison du gouverneur ; E) Le temple ; F) Place d'armes ; G) Boucherie à (a) débiter ; H) Boucherie à (a) tuer. J) La basse-ville : K) Maison de ville ; L) Douane et magasins ; M) Magasins à (a) poudre. Échelle de cent toises.

Oppidum gaulois de Château-Chinon. Source : http://data.abuledu.org/URI/51d4a259-oppidum-gaulois-de-chateau-chinon

Oppidum gaulois de Château-Chinon

Plan de l'oppidum gallo-romain de Castrum Caninum situé au sommet du Calvaire (609 m) à Château-Chinon dans la Nièvre, en Bourgogne. Compte tenu de sa situation stratégique, son histoire est chargée depuis les époques gauloise et gallo-romaine avec le peuple des Éduens, au Moyen Âge et à l'Ancien Régime comme étant une châtellenie puis un comté appartenant aux plus grandes familles du Royaume de France. D'après les fouilles archéologiques, l’oppidum était constitué d'une enceinte ovale, d'une superficie d'environ 3,5 ha (~130 m x ~250 m). L'accès y était rendu possible par deux poternes : l'une située au nord-est près d'une source, donnant accès aujourd'hui au bois de La Promenade, la seconde située au sud, tournée vers la ville actuelle en contre-bas. L'oppidum était divisé en deux parties inégales, séparées par une langue de terre entourée de deux fossés, encore observables de nos jours. La partie située au sud a ensuite servi d'emplacement au château féodal. Avant cela, l'oppidum gaulois aurait été également un castrum romain occupant une position stratégique de la voie romaine reliant Augustodunum (Autun) à Intaranum (Entrains-sur-Nohain).

Phare de Calais. Source : http://data.abuledu.org/URI/5359081e-phare-de-calais

Phare de Calais

Le phare de Calais fut construit en 1848, électrifié en 1883 et automatisé en 1992. Aujourd'hui il n'y a plus de gardien mais se sont les techniciens des phares et balises qui veillent au bon fonctionnement du phare. Il remplaça la tour du Guet du XIIIe siècle. En effet, à l'époque, on allumait un feu au sommet de la tour afin d'aiguiller les marins. Il est l'un des deux phares français, avec celui de Dunkerque, à être construit près du centre ville. On accède à la lanterne par 271 marches. Il a échappé à la destruction pendant la Seconde Guerre mondiale. De jour il se distingue des autres phares côtiers environnants par sa couleur blanche et le dessous de lanterne en noir. Le phare fait l’objet d’un classement au titre des monuments historiques depuis le 19 avril 2011. Hauteur : 55 mètres - Elévation : 59 mètres - Portée : 43 km. Feux : 4 éclats blancs séparés sur période de 15 secondes. Optique : verre taillé à 4 panneaux, focale 0.30 m. Lanterne : Halogénures métalliques, 250 W. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Phare_de_Calais

Phare de Dunkerque. Source : http://data.abuledu.org/URI/53590f4c-phare-de-dunkerque-risban

Phare de Dunkerque

Le phare de Dunkerque ou phare du Risban est un phare côtier portuaire automatisé de premier ordre. C'est le plus haut de France de ce type. Il est encore en service et peut être visité. Le phare de Dunkerque est bâti sur les ruines du fort Risban (ou Gros Risban) aménagé par Vauban à partir de 1681 (d'où le nom de phare de Risban), sur lequel se trouvait initialement le premier phare de la ville, un fanal allumé en 1683, qui fut emporté par une tempête en 1825. Construit en 1842 (la date est gravée à deux endroits) et mis en service l'année suivante, il fait partie des tout premiers phares érigés lors du premier plan de signalisation maritime français organisé par le capitaine de Rossel et Augustin Fresnel en 1825. Les travaux entrepris en 1883 pour l'installation de l'éclairage et du bâtiment annexe pour les machines et le logement des conducteurs sont dus à l'ingénieur Lyriaud des Vergnes. Le feu n'a cessé d'être renforcé. En 1885, le phare de Risban sera l'un des premiers feux électrifiés au moyen d'une lampe à arc actionnée par des magnéto-génératrices. Avant son électrification, les combustibles employés furent successivement de l'huile végétale (1843), puis de l'huile minérale (1875). Le phare fut sérieusement endommagé par les bombardements de 1940 et d’importants travaux de réparation seront programmés dès 1946. Le phare est automatisé depuis 1985. Il a été restauré en 1992. Hauteur : 63 m - Elévation : 66.35 m - Portée : 28 milles (environ 50 km). Feux : 2 éclats blancs 10 secondes. Optique : optique tournante de 2 x 2 éclats blancs groupés en 10 s. à 4 panneaux. Lentilles de renvoi aérien. Focale 0.50 m sur cuve à mercure modèle BBT. Lanterne : Halogénure métallique, 1000 W. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Phare_de_Dunkerque

Port de Singapour. Source : http://data.abuledu.org/URI/59818126-port-de-singapour

Port de Singapour

Rade et ville de Singapour, vue prise de la maison du gouverneur. Atlas pittoresque, planche 134. - Jules Dumont d'Urville (1846) Voyage au Pôle Sud et dans l'Océanie sur les corvettes L'Astrolabe et La Zélée exécuté par ordre du Roi Pendant les Années 1837–1838–1839–1840 sous le commandement de M. Dumont-d'Urville.

Réfraction. Source : http://data.abuledu.org/URI/50a59f8c-refraction

Réfraction

Principe de réfraction d'onde selon Huygens-Fresnel (Augustin Jean Fresnel, né le 10 mai 1788 à Broglie et mort le 14 juillet 1827 à Ville-d'Avray, est un physicien français fondateur de l’optique moderne ; il proposa une explication de tous les phénomènes optiques dans le cadre de la théorie ondulatoire de la lumière). Le principe de Huygens-Fresnel est un principe utilisé en optique : il permet entre autres de calculer l'intensité dans les phénomènes de diffraction et d'interférence. Il consiste à considérer chaque point de l'espace indépendamment. Si un point M reçoit une onde d'amplitude E(M, t), alors on peut considérer qu'il réémet une onde sphérique de même fréquence, même amplitude et même phase. Au lieu de considérer que l'onde progresse de manière continue, on décompose sa progression en imaginant qu'elle progresse de proche en proche. Formulé par Fresnel en 1815, ce principe reprend la base du modèle ondulatoire développé par Huygens (1690). Soit une surface ∑ et une source lumineuse S. On découpe ∑ en surfaces élémentaires d∑ centrées autour d'un point P. Chaque point P de ∑ atteint par la lumière émise par la source S se comporte comme une source secondaire fictive émettant une ondelette sphérique.

Rempart et fossé de Charleville-Mézières. Source : http://data.abuledu.org/URI/598d8593-rempart-et-fosse-de-charleville-mezieres

Rempart et fossé de Charleville-Mézières

Rempart et fossé de Charleville-Mézières (Ardennes).

Rome la veuve. Source : http://data.abuledu.org/URI/53077464-rome-la-veuve

Rome la veuve

Pétrarque, dans son épître à Benoît XII, décrit Rome sous les traits d'une vieille femme qui supplie à genoux de la délivrer de son infortune (Papauté à Avignon). Bibliotheque Nationale, f° 18, Ms italien 81. Rome, où le poète avait été couronné, devint dès lors pour lui une obsession. Vénérant et idolâtrant cette ville plus que toute autre, il écrivit à son propos : « Rome, la capitale du monde, la reine de toutes les villes, le siège de l'empire, le rocher de la foi catholique, la source de tout exemple mémorable. » Cette glorieuse cité ruinée, capitale d’un empire, devait retrouver tout son lustre. Pétrarque, partisan des gouvernements populaires, vit d’un bon œil la politique qu’y menait Nicola Gabrino, dit Cola di Rienzo. Mais, pour que Rome redevienne Rome, il fallait surtout que la papauté délaissât les berges du Rhône pour retourner sur celles du Tibre. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/P%C3%A9trarque.

Statistiques de l'île de La Réunion en 1854. Source : http://data.abuledu.org/URI/5219e91f-statistiques-de-l-ile-de-la-reunion-en-1854

Statistiques de l'île de La Réunion en 1854

Tapuscrit des "Statistiques" de la carte de Victor Levasseur (1800-1846). Carte et descriptif de l'Ile de la Réunion (Océan indien) (hémisphère austral), 1854 - Fonds Ancely. Titre complet du recueil : Atlas national illustré des 86 Départements et des Possessions de la France divisés par Arrondissements, Cantons et Communes avec le tracé de toutes les routes, chemins de fer et canaux. Dressé d'après les Travaux du Cadastre du Dépôt de la Guerre et des Ponts et Chaussées par V. Levasseur, Ingénieur Géographe attaché au Génie du Cadastre et de la Ville de Paris. Gravé sur acier par les meilleurs artistes. Imprimerie de Lemercier à Paris ou imprimerie Dupuich à Paris. Fonds René Ancely (1876 - 1966), B. M. Toulouse. 443 mots.

Taille du Dilophosaurus. Source : http://data.abuledu.org/URI/512299e9-taille-du-dilophosaurus

Taille du Dilophosaurus

Comparaison entre la taille d'un homme et celle de deux espèces de Dilophosaure. Il pouvait mesurer jusqu'à deux mètres cinquante de haut, six mètres de long et peser 500 kilogrammes. Son crâne possédait des articulations qui lui permettaient de plisser le nez et une paire de crêtes osseuses sur la tête (d’où son nom). Le Dilophosaurus fut une importante figure dans le film de 1993 Jurassic Park et dans le roman original de Michael Crichton. La version filmée montre un Dilophosaurus qui possède une membrane rétractile au cou similaire à celle du chlamydosaurus ou lézard à collerette, et a la capacité de cracher aux yeux un venin aveuglant pour paralyser ses victimes. Il n'existe aucune preuve que le Dilophosaurus ait pu cracher du venin, ni qu'il ait possédé une collerette aux couleurs vives, ce qu'a reconnu M. Crichton, en invoquant la liberté de l'artiste. Dans le film de Steven Spielberg, le Dilophosaurus a été réduit à 1 m de haut et 1,5 m de long, beaucoup plus petit qu'en réalité.