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Fermes historiques | Photographie | Papier mâché | Traite (zootechnie) | Gravure | Dix-huitième siècle | Langue d'oïl | Français (langue) -- Dialectes | Cartes historiques | Géographie historique -- Cartes | Melbourne (Australie) | Humour | Architecture | Poulaillers | Dix-neuvième siècle | Porcheries | Hautes-Pyrénées (France) | Petites exploitations agricoles | Fermes familiales | Vaches | ...
Ancien poulailler-porcherie dans les Pyrénées. Source : http://data.abuledu.org/URI/5156a10f-ancien-poulailler-porcherie-dans-les-pyrenees

Ancien poulailler-porcherie dans les Pyrénées

Ancien poulailler du 19ème siècle (daté de 1878) avec ferronneries et porcherie en pierre de Lourdes, maison Borie, ''en ço de Borie'', à Bourréac-65. On notera en particulier la présence de deux lauburus, ou croix basque, sculptés dans la pierre dont un de part en part. La maison bigourdane désigne un type d'habitat dont les spécificités architecturales puisent leurs origines dans la Bigorre des XVIIIe et XIXe siècles. La porcherie et le poulailler, souvent situés l'un sous l'autre, constituent un bâtiment d'élevage auquel on apporte le plus grand soin esthétique.

Vache en papier mâché. Source : http://data.abuledu.org/URI/52f2c0f3-vache-en-papier-mache

Vache en papier mâché

Vache en papier mâché attachée à l'arrière de sa voiture par Mrs Mellor en 1944 : cette vache lui servait aux démonstrations de traite du lait à la ferme expérimentale de Werribee. Source : Herald Newspaper Melbourne, Victoria. 1944-02-29.

Carte des Traites en 1732 : les provinces étrangères. Source : http://data.abuledu.org/URI/52d01073-carte-des-traites-en-1732-les-provinces-etrangeres

Carte des Traites en 1732 : les provinces étrangères

Carte établie par l'administration royale en 1732 pour représenter les traites, c'est à dire les zones disposant de statuts fiscaux en terme de barrières douanières. Les cinq grosses fermes : en gros la partie nord de la Loire à quelques exceptions près où le commerce interne était libre et les droits de douane vers les autres provinces et l'étranger avaient été uniformisés (Anjou, Aunis, Berry, Bourbonnais, Bourgogne, Champagne, Maine, Orléanais, Picardie, Poitou, Touraine), correspondant globalement à l'aire linguistique de la langue d'oïl. Les provinces réputées étrangères : Le Royaume de Navarre et la Soule (Pays Basque) à l'extrême Sud Ouest, La Bretagne (à l'Ouest), La Flandre, l'Artois (dans le Nord), la Franche Comté (à l'Est) l'Occitanie et la Catalogne (dans le sud de la France) payaient des droits de douane lorsqu'elles échangeaient entre elles ou avec les autres provinces ordinaires du royaume de France. Les provinces à l'instar de l'étranger effectif : comme le Pays Basque (Bayonne et le Labourd), l’Alsace, la Lorraine, le Comtat Vénessain (États du Pape) étaient considérées comme étrangères au royaume (Provinces à l'instar de l'étranger effectif). À ce titre, elles pouvaient commercer librement avec l'étranger, mais payaient des droits de douane importants pour les échanges commerciaux avec les autres provinces françaises. Ces provinces réputés étrangères ou à l'instar de l'étranger effectif sont d'ailleurs les mêmes qui parlent alors, dans la vie quotidienne, une autre langue que le français : le basque, l'occitan et ses dérivés gascons ou provençal, le catalan, le breton, le gallo, l'alsacien, le flamand… En 1732, la Savoie, le comté de Nice, la Corse sont indépendants du Royaume de France.